Ariane 6, les défis de l'Europe spatiale. Invité : Xavier Pasco.

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Ciel & Espace

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Күн бұрын

Пікірлер: 38
@bendiaz8157
@bendiaz8157 3 ай бұрын
C'était bien passionnant, comme chaque conférence de Ciel et Espace 😃👍
@marc9080
@marc9080 3 ай бұрын
Je me suis régalé, passionnant et surtout intelligent dans la profondeur du sujet qui reste compréhensible pour le novice que je suis, merci.
@vincebossastro826
@vincebossastro826 2 ай бұрын
Toujours aussi captivantes les conférences de Mr Alain Cirou de ciel et espace et de l'AFA ! Un grand merci à tous !
@by-JL
@by-JL 3 ай бұрын
J'avais déjà entendu X. Pasco lors des RCE. Toujours aussi clair et passionnant
@dutch6390
@dutch6390 3 ай бұрын
Passionnant 👍😉
@benjamindiaz5809
@benjamindiaz5809 3 ай бұрын
🥇🥇🥇👍👍👍👏🏻👏🏻👏🏻🥇🥇🥇
@dutch6390
@dutch6390 3 ай бұрын
@@benjamindiaz5809 vide pas ton stock quand même 👍
@adrienrivas5531
@adrienrivas5531 3 ай бұрын
Super intéressant, merci
@lezoer
@lezoer 3 ай бұрын
AFFLIGEANT de réalité merci pour cet intense entretien 👍 , pas de Hermes sur A6 donc !
@shaddouida3447
@shaddouida3447 3 ай бұрын
En Europe, Copenhague est à la pointe des projets de “ville verte intelligente”. Ambitionnant de devenir la première ville au monde neutre en carbone d’ici à 2025, elle ne se contente pas de multiplier les éoliennes et les pistes cyclables. Elle dissémine aussi des milliers de capteurs dans son mobilier urbain. Des “poubelles connectées” permettant de mieux gérer les déchets, jusqu’aux feux rouges mesurant la qualité de l’air, afin de mieux adapter la circulation (notamment lors de pics de pollution). Mais ce qui ressemble le plus à la ville du futur “intelligente et verte” se trouve en Asie, à Singapour. Cette petite île où se massent 6 millions d’habitants a installé des centaines d’arbres artificiels, hauts de 18 à 50 mètres. Ils sont équipés de modérateurs de température, éclairent les rues grâce à l’énergie solaire, et collectent l’eau de pluie pour alimenter les fontaines et des “fermes urbaines”. Des villes végétales Mais les nouvelles technologies ne seront jamais aussi fortes que la nature pour rendre une ville réellement verte. La concentration exponentielle d’individus dans les “mégapoles” du futur amènera celles-ci à remodeler leurs paysages urbains, en laissant davantage de place à la nature. “Aujourd’hui, à Paris, plus de 50 % de l’espace public est dédié aux voitures, à la circulation, aux parkings ; ce qui veut dire que l’on dispose d’un potentiel phénoménal de végétalisation. Pas du végétal décoratif, mais du végétal massif. Des arbres et de la végétation, des corridors verts, des espaces naturels dans la ville qui auraient un impact positif sur la biodiversité, la qualité de l’air et la régulation des températures”, observe Sylvain Grisot. Les villes occidentales, de Lyon à Copenhague, commencent peu à peu à se “végétaliser”, afin d’éviter à ceux qui y vivront (d’ici à 2050) d’y suffoquer. Mais en raison d’un manque de foncier disponible, la création de grands parcs urbains n’est bien souvent pas à l’ordre du jour. Ainsi, les villes transforment-elles surtout les emplacements disponibles, notamment les friches industrielles, en jardins partagés et en “coulées vertes”. Face au réchauffement climatique, la végétation fournit aussi de l’ombre, absorbe le CO2 et refroidit l’air. C’est pourquoi, en Amérique du nord, les villes d’Austin, Seattle et Montréal tentent de planter des centaines de milliers d’arbres d’ici 2030. En France, Paris prévoit d’en faire sortir de terre 170 000 d’ici 2027, à la place des parkings et des voies sur berge. En Italie, Milan va plus loin, avec un programme de plantation de 3 millions d’arbres d’ici 2030. Mais plusieurs experts ne cachent pas leur scepticisme face aux “forêts urbaines”. “Sur une étude à la Défense, on avait calculé que les 70 premières années de vie des arbres serviraient à absorber le CO2 émis par le renforcement des infrastructures. Avec ces projets, on est plutôt dans un symbolisme de l’écologie. Au niveau du climat, ça ne fonctionne pas réellement”, explique Philippe Rahm, architecte suisse, dans Le Monde. Caroline Mollie, architecte paysagiste, rappelle qu’un arbre, “pour qu’il donne son maximum d’effet, doit avoir au moins une trentaine d’années. Voilà pourquoi mieux vaut planter moins, mais mieux, au bon endroit”. A Melbourne, par exemple, une programme de reforestation ne prévoit “que” 3 000 pieds pour 4,5 millions d’habitants. Des forêts verticales Planter ainsi des arbres en ville reste complexe, en raison d’une forte pression du foncier et d’un manque de place. C’est pourquoi des architectes et des urbanistes conçoivent aussi des forêts “verticales”. À Milan, les deux tours résidentielles du projet “Bosco Verticale” regroupent depuis 2017 plus de 20 000 plantes et arbres, soit l’équivalent de 2 hectares de forêt répartis en façade. Ce projet de reforestation verticale a pour objectif “d’augmenter la biodiversité, de réduire l’expansion urbaine et de contribuer à la régulation du microclimat.” À Singapour, où l’espace est très limité, les plantations d’arbres sur les toits et les terrasses se multiplient depuis 5 ans. Une “architecture verte” à l’origine du surnom de la cité : la “ville-jardin”. Les hôtels Parkroyal et Oasia, notamment, disposent d’une surface végétale 5 à 10 fois plus importante que leur surface au sol. “Ce qui veut dire que dans la ville de demain, la nature pourrait être 10 fois plus présente que si la ville n’existait pas”, estime l’architecte Wong Mun Summ. Reste le risque de voir naître une nouvelle forme d’inégalités, liées au cadre de vie plus agréable procuré par les tours végétalisées. À Milan, les gratte-ciel boisés de Bosco verticale sont surtout peuplés de personnes fortunées. Le complexe compte 131 appartements, dont le prix varie de 10 000 à 18 000 euros le mètre carré. En Corée du Sud, Songdo n’attire aussi que des familles aisées. Car cette “smart city verte” suit une logique immobilière, qui repose sur des partenariats public-privé, et donc le besoin d’attirer des populations CSP + pour être rentables. C’est sans doute pour éviter cela que les urbanistes de Singapour privilégient de plus en plus des projets d’immeubles végétalisés destinés à toutes les catégories sociales, avec un part importante de HLM.🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️🏙🏙🏙🏙🏙🏙🏞🏞🏞🏞🏞🏠🏡🏢🏣🏤🏥🏯🏭🏬🏫🏪🏩🏨🏦💒⛲️⛰️🏔🗼🌐🌍🌏🌎🌳🌲🪴🌱⚘️🌷🌼🌻🌴🌵🍀🌿🍃🦋🐌🐚🦑🦐🦞🦀🐙🦈🐡🐠🐟🦭🐬🐋🐳🦖🦕🐉🐲🐍🦎🐢🐊🐸🦜🦚🦩🪶🦤🦉🦢🦆🦅🕊🐧🐦🐥🐤🐣🐓🐔🦃🐾🦡🦘🦨🦦🦥🐼🐻‍❄️🐨🐻🦇🦔🦫🐿🐇🐰🐹🐀🐁🐭🦛🐿🦣🐘🦒🦙🐫🐪🐐🐑🐏🐗🐖🐷🐄🐃🐂🐮🦬🦌🦓🦄🐎🐴🐆🐅🐯🦁🐈‍⬛🐈🐱🦝🦊🐺🐩🐕‍🦺🦮🐕🐶🦧🦍🐒🐵
@Astroraoul
@Astroraoul 3 ай бұрын
Sous l'ère Clinton, c'est Daniel Goldin avec Faster, Better Cheaper, je suppose?
@benjamindiaz5809
@benjamindiaz5809 3 ай бұрын
TROIZ'Zz !
@archibaldtuttle1664
@archibaldtuttle1664 3 ай бұрын
🥉🥉👍👍👏👏
@adrienrivas5531
@adrienrivas5531 3 ай бұрын
👍👌👏🥉
@shaddouida3447
@shaddouida3447 3 ай бұрын
Derrière l’utopie, la ville verte du futur est-elle possible ? En 2050, nous serons 6 milliards à vivre dans les villes. Comment pourront-elles tous nous nourrir, et éviter que la pollution ne rende l’air irrespirable ? Urbanistes et architectes planchent sur des projets destinés à créer demain des villes durables, voire autosuffisantes. Et leurs projets ne sont pas forcément utopiques. Beaucoup d’œuvres de science-fiction oublient une donnée quand elles imaginent le futur des villes : la nature. Mais depuis une quinzaine d’années, urbanistes, architectes et experts en environnement urbain dessinent les contours d’un tout autre type de cités. Des métropoles “végétales”, durables, et même autosuffisantes. Certains architectes, notamment en France et à Singapour, esquissent des concepts futuristes et un brin utopiques. Vincent Callebaut, architecte belge installé à Paris, imagine des villes où les immeubles seraient couverts d’arbres, de potagers, de panneaux solaires et d’éoliennes, formant des “villages verticaux”. Consulté par la Mairie de Paris pour imaginer le Paris de 2050, il a réalisé des prototypes de gratte-ciel “verts” et à “énergie positive”. Dans son scénario, la capitale se transformerait en une véritable cité végétale. Parmi les idées de son projet, baptisé “Paris Smart City 2050” : des tours maraîchères aux balcons potagers, des ponts habités enjambant la Seine, un corridor écologique de 23 kilomètres ponctué d’immenses immeubles photo-catalytiques “dépolluants” en forme de tubes ou d’alcôves, et de gigantesques fermes verticales. Une vision que l’on pourrait facilement estampiller comme de la science-fiction. Et pourtant, ce genre de projets, comme l’assure d’ailleurs l’architecte, ont tous été imaginés à partir de technologies déjà existantes, ou en cours d’étude dans les laboratoires. En outre, des projets urbanistiques de ce type ont réellement été lancés, avec des réalisations concrètes, qui permettent de toucher du doigt un futur possible pour les villes. Des villes de plus en plus denses Pour comprendre d’où viennent de telles idées que l’on pourrait considérer de prime abord comme fantaisistes mais qui semblent pourtant en passe d’être appliquées à grande échelle, il faut d’abord expliquer les enjeux vitaux qui se poseront bientôt à nos villes. Une hausse des températures et des catastrophes naturelles appelées à être de plus en plus fréquentes à cause du dérèglement climatique. Une pollution problématique de l’air et de l’eau, causée par les émissions de CO2 (produites à 80 % par les villes). Et une explosion démographique qui risque de tout aggraver. Selon l’ONU, la population mondiale devrait atteindre les 9,7 milliards d’habitants en 2050. Parmi eux, 75 % vivront dans les villes. Certes, l’urbanisation galopante devrait surtout se concentrer dans des pays en développement, comme l’Inde, la Chine et le Nigéria. Mais les villes occidentales, elles non plus, n’échapperont pas à la surpopulation. En France, selon l’Ined et l’Insee, nous serons entre 68 et 74 millions en 2050. Une augmentation de la population relativement contrôlée. Avec de plus en plus de citadins choisissant d’habiter à la campagne, prédit l’Inrae. Mais la part de la population urbaine en France devrait malgré tout continuer d’augmenter et passer de 80 à 90 %. Comme l’explique Mathieu Favriau, urbaniste et environnementaliste au cabinet Urban Hymns, les pouvoirs publics ont pour objectif de lutter contre l’artificialisation des sols et l’étalement urbain. “La solution : exploiter toutes les ressources foncières des villes. Donc tendre vers une densification urbaine importante”, indique-t-il. Des villes sans voitures La densification devrait d’abord les pousser à trouver des solutions pour contenir, puis baisser leur empreinte environnementale. Pour cela, de nombreuses métropoles, de Paris à Montréal, en passant par Oslo, Dubaï, Séoul et Madrid, tentent déjà de réduire le nombre de voitures, voire de les faire disparaître totalement des rues. Les rues se piétonnisent, les pistes cyclables se multiplient. Des villes sorties de terre, comme Chengdu en Chine et Masdar aux Émirats Arabes Unis, ont même été conçues dès le départ pour être entièrement dépourvue de voitures. Leurs plans directeurs prévoient que toutes les rues puissent être praticables à pied ou à vélo. Selon Chris Drew, du cabinet d’architectes SmithGill, les voitures seront, à terme, inutiles dans les “villes nouvelles” du futur : “les enfants pourront aller à l’école à pied et la population se trouvera à proximité de son lieu de travail.” Face à l’épuisement de leurs ressources naturelles, les villes tenteront aussi de se passer des énergies fossiles, en privilégiant les énergies renouvelables. Plusieurs, comme Strasbourg, se sont déjà engagées à devenir “carboneutres” d’ici 2030. Sylvain Grisot, urbaniste et président de l’agence d’innovation urbaine Dixit.net, est l’auteur d’un “Manifeste pour un urbanisme circulaire”. À la recherche “d’alternatives à l’étalement des villes”, il défend l’idée selon laquelle celles-ci n’auront d’autre choix que de se “recycler”. En “optimisant” ce qui a déjà été bâti et en réinvestissant les espaces libres, notamment ceux libérés par la disparition des voitures. Des “villes vertes intelligentes” Au pire, si l’on se base sur ce que prévoient les nombreux projets de “villes intelligentes” en cours de par le monde, les voitures qui continueront à circuler seront autonomes et électriques. D’ici 2050, les chercheurs prédisent la transformation de nombreuses villes en “smart cities”, où tout serait connecté, avec des systèmes d’IA et des réseaux de capteurs permettant une adaptation en temps réel des éclairages publics, des flottes de taxis autonomes et des feux de signalisation.🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️🏙🏙🏙🏙🏞🏞🏞🏞🏠🏡🏢🏣🏤🏥🏯🏭🏬🏫🏪🏩🏨🏦💒⛲️⛰️🏔🗼🌐🌍🌏🌎🌳🌲🪴🌱⚘️🌷🌼🌻🌴🌵🍀🌿🐘🦣🦏🦛🐭🐁🐀🐹🐏🐑🐐🐪🐫🦙🦒🦬🐮🐂🐃🐄🐷🐖🐗
@cariadeastern4762
@cariadeastern4762 2 ай бұрын
Remarquables analyses
@RachidRachid-ln1po
@RachidRachid-ln1po 3 ай бұрын
c'est une blague le titre ou un troll?
@cedp6615
@cedp6615 3 ай бұрын
Moi c'est ça qui m'avais choqué en juin 2022 : L’Allemagne vient de lancer le premier de ses satellites d’observation militaires de nouvelle génération, inaugurant un nouveau système de radar multistatique plus performant. Le lancement a été fourni par SpaceX.
@virgilius7036
@virgilius7036 3 ай бұрын
Car SpaceX est beaucoup moins cher!
@cedp6615
@cedp6615 3 ай бұрын
@@virgilius7036 non 2022 il y avait pas d'Ariane ni de Véga
@archibaldtuttle1664
@archibaldtuttle1664 3 ай бұрын
Comment l'Allemagne préfère les US à l'Europe ? Etonnant non ?
@marc9080
@marc9080 3 ай бұрын
@@archibaldtuttle1664 Oui, l'Allemagne reste juste pour pomper et apprendre pour ensuite faire mais comme dit dans la vidéo la France est le Maître dans ce domaine comme dans l'Industrie de la défense! les allemands ragent mais sont le cul entre deux chaises!
@jjacolo1
@jjacolo1 2 ай бұрын
Comme il est difficile de reconnaître le Genie d Elon Musk. Il a créé PayPal, Tesla et quand il fait Space X on rigole. Ce n est pas un contexte socio économique et politique qui a tout changé. C est son génie, point final. Et sa philosophie ” les échecs sont d excellents professeurs” En Europe, au bout de trois échecs toute le monde aurait été limogé.
@JhgffjPoubelle
@JhgffjPoubelle 2 ай бұрын
Il a racheté paypal, il a racheté Tesla, et Space X est sous perfusion financière permanente du gouvernement US. Un mégalo avec beaucoup de pognon n'est en rien un génie. C'est un petit fasciste adulé par une clique d'ignorants envieux, pas de son pseudo génie, mais de son argent. Et philosophe en plus... Bientôt, Musk l'inventeur de l'écologie et des voitures électriques.
@brunohaas9836
@brunohaas9836 3 ай бұрын
l'Europe défie Space X 😂🤣😂🤣😂
@matinou6591
@matinou6591 3 ай бұрын
Genre quelqu'un qui prend son premier cours de judo va défié Teddy Riner 😂😂😂😂
@Mr_Friendly_B
@Mr_Friendly_B 3 ай бұрын
C'est grâce à des "experts" de ce calibre que la France en est où elle est.
@virgilius7036
@virgilius7036 3 ай бұрын
Vous pourriez arrêter de dire des conneries? Ariane 6 n'est PAS récupérable, elle ne peut donc défier SpaceX qui en est à plus de 300 tirs sans un seul échec!
@Matthieu-lh7gm
@Matthieu-lh7gm 3 ай бұрын
La récupération est en projet...et ariane 6 est multifonction.... Bref informez-vous plus sérieusement
@sebastiendine4834
@sebastiendine4834 3 ай бұрын
Pour rappel, la Falcon 9 n'est que partiellement récupérable (1er étage). Il faut comprendre qu'il était primordial de maintenir un accès à l'espace indépendant des USA à un prix raisonnable même si cela reste plus cher que chez SpaceX. On se fiche qu'elle ne soit pas partiellement récupérable. C'est le cas aussi chez les indiens, japonais, russes et chinois. D’ailleurs les militaires US n’hésitent pas à payer jusqu'à 2 fois le prix au kg par rapport aux lancements civils pour garantir un traitement prioritaire ce qui permet à SpaceX de réduire le coût des lancements civils. C'est un mécanisme classique de subventions indirectes chez les américains. Cela contribue autant à réduire le coût du kg en orbite basse que la réutilisation partielle. Le prix moyen d'un lancement de Falcon 9 est de 62 millions $, c'est 95 millions pour les militaires US. La capacité d'emport en orbite basse est de 22800kg (sans récupération) ou 17500kg (avec récupération) donc: 3.5 millions $ / tonne (avec récupération) pour les civils 5.4 millions $ / tonne (avec récupération) pour les militaires. Pour Ariane 6 cela sera 10350kg (Ariane 62 et 75 millions €) et 21650 kg (Ariane 64 et 90 millions €) donc respectivement: 7.24 millions € / tonne (A62) 4.15 millions € / tonne (A64). Pour le marché civil la version A62 est deux fois plus chère par contre la version A64 est à peine plus chère et son prix est même inférieur que pour les lancements "premium" (militaires) chez SpaceX. Ariane 6 est donc assez compétitive pour rester une alternative mais il y a en effet peu de chances qu'Ariane 6 bouscule la domination de SpaceX sur le marché des lancements privés.
@marc9080
@marc9080 3 ай бұрын
Copier ne sert à rien il faut surpasser! c'est ce que Ariane va faire, 3 missions en 1, la récupération des coiffes, et bientôt très vite de nouveaux acteurs privés en France vont cartonner à condition de ne pas copier SpaceX mais de faire mieux après s'en être inspirer et c'est ainsi dans tous les secteurs industriels de pointe!
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