C'est passionnant, elle a 100 % raison ! Il faut vraiment puiser dans les paroles de cette dame pour la campagne, elle vise très juste !
@sandrinearibaud69958 жыл бұрын
"ce que vous vivez n'est pas vivable" "ce n'est pas vous qui n'allez pas bien, c'est la société qui est malade" bravo et merci:)
@PanthereMauV7 жыл бұрын
Claude Halmos, à découvrir par ses interventions dans le magasine Psychologies, une femme très intelligente !
@dupondm2358 жыл бұрын
En cas de crise ...la pensée & se hisser à la réflexion sauvent ...c mon avis ...c ce que je vis ...merci JLM et son équipe pour vos auditions de qualité
@tetraedre91228 жыл бұрын
Ça fait du bien d'entendre quelqu'un mettre des mots sur ses maux.
@nicolaslefrancois85937 жыл бұрын
Interview intéressante avec pas mal de pistes de travail. A quand une thématique sur l'enfance, croisement entre l'école,la santé, la justice des mineurs, les droits des enfants, la protection de l'enfance? Karandache
@floriandrouart49948 жыл бұрын
C'est parti, je regarde !
@doncamilo61438 жыл бұрын
Intéressant merci ! Cependant, je ne suis pas d'accord avec les limites dans une famille pauvre. De manière provocante, je dirais que les valeurs de justice, partage et sobriété peuvent s'apprendre beaucoup mieux dans une famille pauvre. L'exemple du paquet de bonbons me semble ainsi extrêmement mal choisi: l'interdiction du paquet de bonbons à un enfant n'est pas violente, il s'agit d'une frustration éventuelle qui n'est pas illégitime. Elle peut former la personnalité de l'enfant lorsqu'une telle décision est prise par les parents : "les bonbons sont mauvais pour tes dents et ta santé", "si tu as faim, attends d'être à la maison ou veux-tu du pain ?", "je t'ai prévenu que je ne t'achète rien au supermarché (exemple: car nous n'avons pas d'argent pour cela)". C'est vrai le supermarché est terrible pour les parents : une formation de l'enfant préalable est absolument nécessaire. Du coup, cet exemple est excessif par rapport aux souffrances psychologiques réelles dans une famille pauvre : le manque d'argent qui empêche l'alimentation (ou la bonne alimentation), les sorties sociales, les vacances, les activités sportives et de loisirs créatifs ; le manque de temps des parents (moins de soutien scolaire, manque de suivi dans la santé mentale, physique et l'hygiène de l'enfant, moins de surveillance sur les fréquentations, moins de contact avec des aides associatives etc...) qui peut être exacerbé par des moqueries à l'école; le stress et les sentiments de honte tout à fait communicatifs... C'est tout cela qui est très injuste et scandaleux, pas réduire l'acquisition immédiate et pulsionnelle d'un jouet ou des produits de consommation. Une liste d'exemples concrets issus de travaux sociologiques sur l'insécurité sociale et les souffrances psychologiques manque un peu à cette présentation. Après je coïncide sur les solutions évoquées aux souffrances psychologiques.
@goupil1511438 жыл бұрын
violent réquisitoire, j'aime "la spirale de la honte" "la violence de l'absence du paquet de bonbon" (je l'ai encore vu hier chez mon boulanger, qui sympa a proposé une chouquette, refuser énergiquement par la mère (on ne mange pas avant de déjeuner!) "l'adjonction de frustration individuelle pour expliquer les phénomènes de groupe (montons de Panurge) Bravo Madame, vous n'allez surment être invité au 20 h de TF1, ni LCI ou BFM
@scarabeegliding40417 жыл бұрын
Oui c'est important d'en parler : déculpabiliser les chômeurs. Tous ces bouquins sur la méditation, la pensée positive qui ne font que faire croire que les gens sont totalement responsables. C'est comme les stages de gestion des conflits et gestion du stress en entreprise, alors que l'on ne cherche pas à trouver des solutions pour supprimer les éléments déclencheurs. On veut toujours faire croire que c'est l'individu qui est responsable et pas la situation qui est invivable.