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Témoignage d'une femme ayant demandé l'autocompression mammaire parce qu'elle appréhendait sa mammographie de dépistage.
Selon la littérature scientifique, la douleur est évoquée comme motif de non-participation des femmes au dépistage organisé dans 25 à 46% des cas.
Partant de ce constat, l’équipe d’imagerie médicale de l’ICL a lancé une étude à grande échelle sur l’auto-compression mammaire, jusqu’à la publication en février dernier d’un article qui démontre
que lorsque les femmes qui le peuvent compriment elles-mêmes leurs seins lors d’une mammographie, la force de compression est supérieure, la tolérance est meilleure et la qualité d’image n’est pas dégradée.
Cette étude détaillée, diffusée dans la communauté scientifique internationale, donne la possibilité à tout service de radiologie de mettre en œuvre cette technique qui est applicable sur tous les
appareils. Il est donc possible de proposer de façon validée l’auto-compression mammaire aux patientes qui en expriment le souhait ou qui vivent mal la mammographie. Cette technique reste aujourd’hui une option, l’étude n’ayant pas été conçue pour généraliser la pratique.
Pour en savoir plus, retrouvez le replay gratuit de la soirée d'actualité présentant l'autocompression :
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