Avignon, seule en scène

"Il était une fois un homme et une ville qui se rencontrèrent, s'aimèrent, se marièrent, et eurent un enfant nommé Festival". C'est en ces mots que le grand Jean Vilar décrit la création, en septembre 1947, d'"Une Semaine d'art en Avignon", qui deviendra au fil des ans le Festival d'Avignon tel que nous le connaissons aujourd'hui. Antoine de Baecque, historien et critique, co-auteur d'une "Histoire du Festival d'Avignon" (Gallimard, 2016), retrace les liens qui unissent historiquement la ville au théâtre. Il est l'invité d'Oliva Gesbert.
La Grande table Culture d’Olivia Gesbert - émission du 12 février 2020
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[@ROBINdulce]

Soy mexicano. He tenido la oportunidad de ir tres veces al Festival d'Avignon. En efecto: fue una experiencia indeleble asistir a la representación del Quatuor d'Alexandrie à la Carrière de Boulbon bajo las estrellas; o de Penthesilea de Heinrich von Kleist; de disfrutar de las puestas en escena con despliegue tecnológico de Medea Material de Heiner Müller, o de Les Aveugles de Maurice Maeterlinck; escuchar la integral del Catalogue d'Oiseaux d'Olivier Messiaen dans la Cour d'Honneur; o les Trois Petites Liturgies con Yvonne Loriod en las ondas Martenot; y propuestas audaces como lo fue Tragédie d'Olivier Dubois. El Festival d'Avignon es un verdadero puente que se tiende para la inteligencia y la empatía entre las diversas culturas de este planeta. ¡Larga vida al Festival d'Avignon!

[@naoeonomequeeuqueria]

Que cabelo bonito esse moço tem