MELANCHOLIA : LA FIN DU MONDE (ET L'ULTIME FIN DU FILM)

[@blastinfo]

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[@totocaca7035]

Est-ce que c'est le dernier épisode de la série "La Fin Du Film", ou le dernier épisode de toutes les vidéos de Pâcome Thiellement sur Blast?

[@frederiquecouture3924]

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[@frederiquecouture3924]

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[@marcloos6108]

De quelle vidéo est extraite l'interview de cet attachant bonhomme "la terre s'est peut-être retournée"? Merci

[@freyia72]

Bravo! Trop heureuse que cette série aussi fantasque que cultivée se termine avec mon réalisateur préféré : Lars Von Trier Le montage est superbe, les rebondissements auxquels nous a habitués Pacôme forment sa signature et virtuose synthèse. Cette épisode est à garder et revoir!!!!

[@28ARTH]

Superbe ! On retrouve bien l'esprit du Dispositif dans cet épisode ! (eh oui je vous suis depuis longtemps)

[@sblugdu4726]

Un des rares films au bout duquel je n'ai pas réussi à aller, le mariage c'était trop détestable. Merci et à bientôt !

[@eustache5929]

Un film qui serait très intéressant à traité selon moi dans votre émission serai La maman et la P*tain de Jean Eustache Sa filmographie est l’une des plus pertinentes et intemporelles, malgré qu’elle soit très peu connue du grand public On y parle de vérité, de détournement, de constatation, témoignage et mensonge C’est une interprétation et une réflexion tout de même très humble mais très poussée sur la simplicité de tout être humain Mon commentaire ne suffirait bien sûr en aucun cas a expliqué clairement et dans le détail qui lui revient ce qu’est l’œuvre d’Eustache Mais néanmoins avec la ressorti d’un coffret dédié à Eustache il y a quelque mois, cela ferai sens et permettrais à de nouveaux adepte d’émerger

[@noevoisin9564]

Merci

[@tontonhennessy6712]

l'apocalypse ne reprend pas les clé car elle est la clé elle même, elle te donne tout ce dont tu as besoin de savoir pour te délivrer du châtiment.

[@madewithrove5624]

Merci

[@Kaliaen]

J’aime beaucoup votre travail Pacôme… Mais franchement, vous ne savez pas de quoi vous parlez ici. L’Apocalypse parle très clairement et très explicitement de la fin des empires violents et avares. Babylone est le summum dans l’imagerie biblique, de la décadence des puissants, qui « vend son corps » pour obtenir les biens terrestres au lieu de se concentrer sur les bien du ciel: l’Amour, la Justice, l’Équité, etc. Et ceux qui croupissent en enfer sont ceux qui font le choix conscient de rejeter l’Amour universel pour leur propre gain et ce, même face à la mort. Il me semble que le message chrétien soit très clair sur tout ces points et très cohérent avec lui-même en ce sens (je parle bien du message en lui-même et non des humains imparfaits qui s’efforcent tant bien que mal de vivre par lui).

[@gloukzarkovitch7292]

Je suis infiniment déçut que ce soit le dernier épisode, et je dois en même temps saluer l’apothéose de cette fin. N'est ce pas le moment de faire une chronique "le film va commencer"? :D

[@JazzRoyalty]

Pa-côme-Pa-côme-Pa-côme-Pa-côme-Pa-côme-Pa-côme !

[@Juliana-jm7xf]

Côme-Pa-Côme-Pa-Côme-Pa

[@leokaramus4522]

Un film qui m'avait fait vivre une expérience esthethique au cinéma comme je ne l'avais jamais vécu. Merci Pacôme pour cette analyse aussi nécessaire que le film lui-même. Quelle tristesse de savoir que c'est le dernier épisode de cette série, on voudrait que ça continue encore et encore pour nous grandir !

[@segolenee.2031]

C'est gentil d'accompagner vos fervents auditeurs vers une fin joyeuse de la série "La Fin du film", je me sentirais presque consolée de ne plus vous voir nous parler de films de façon aussi magistrale. Et bravo pour le montage carnavalesque avec Hanouna à la fin !!

[@joatelier]

Mais trop!! Et Elon Musk en bébé poulet ❤ je me suis fait une élongation du T9 🎉😂😂😂❤

[@Coyou24]

Pacôme, faut nous sortir l'épisode Jeanne d'Arc de l'empire n'a jamais pris fin dimanche prochain STP !! (1 semaine avant élections). MERCI

[@ptittannique5621]

26:31 Tout d'abord, j'adore ce que vous faites, ce que vous avez fait, ce que vous ferez. Cependant, attention a l'exactitude de la citation de Tom Waits -- le diable, ce n'est pas dieu quand il s'ennuie, mais dieu quand il est ivre, d'apres Waits dans Heartattack and Vine. D'ailleurs, une p'tite video sur Waits, ce serait..... un regal....

[@hindk-]

La terre est mauvaise mais Pacôme nous fait entrevoir un peu de grâce et de lumière.

[@NadNa-f5y]

Certains qui peuple la terre sont mauvaise.😢

[@julienpellegrino5395]

Pacôme président anarchiste !

[@valestyheliosgalahad3221]

Pacôme est sans doute dans l'immédiat l'inconnu que j'ai désespérément envie de connaître. Analyse brillante qui clôture magistralement cette série philosophico-cinéphilique.

[@desgaddi]

Je peux te confirmer qu’IRL il est e-xa-cte-ment le même ❤️

[@jcm5599]

À Blast, et heureusement sur d'autres sites de votre style, nous avons des journalistes, intervenants, etc, qui ont de la culture et de l'intelligence.

[@manueldelsol31270]

Au premier regard, j'ai lu "MELENCHONIA" à la place du titre... 😝

[@PabloYaos]

Un film incroyable, mon préféré de Lars Von Tier, je suis content qu'il soit apprécié par Pacome

[@TheDidier971]

Ne pas oublier Europa, Europa également...😊

[@Isabelleauteure75]

c'est un film magnifique, les femmes qui se soutiennent a la fin du monde

[@etoiledusud2993]

pas la fin du monde mais LA FIN D'UN MONDE!

[@agathos5610]

L'apocalypse en pleine conscience. Merci infiniment M. Thiellement pour ce partage et merci à Blast pour l'existence de la fin du film.

[@lionelbrunet5355]

une belle fin pour une série de vidéos qui vont me manquer, en espérant qu'il y a de nouveaux projets qui arrivent, merci Pacôme

[@raviolokrab5792]

petit rappel : faites pas de blagues où vous dites que vous êtes nazi si vous voulez pas être traité de nazi. 29:50 ...

[@sapere-aude44]

il est plus facile d'imaginer la fin du monde que celle du capitalisme »mark fischer

[@bazrseam188]

Quels plaisirs , poésies, pensées...Vous nous rendez plus riches... Fraternellement.

[@c.musard8712]

Décidément, même en exégèse par Pacôme T., l’œuvre de Lars von Trier m’est insupportable.

[@ValentinGRUNENWALD]

J'ai appris récemment une très mauvaise nouvelle qui m'a plutôt dévastée intérieurement. Votre vidéo me semble une bouée de sauvetage lancée, sur un film que j'ai toujours gardé en mémoire. Merci pour ce que vous faites, monsieur Thiellement

[@chrysteldecastellane65]

Bravo comme toujours ;) à cause de vous et de tant d’autres chroniqueurs, je vous soutiens !!! Je regardais Janvovici en boucle pour sa vision de fin d’un monde et maintenant je danserai le freaks carnaval ;)

[@YannMo]

Arne Vinzon pour terminer, c'est tellement ça...L'hilarité dans un texte dépressif, reflet édifiant. J'ai une autre vision de ce film, j'avais évoqué les comparatifs avec Don't Look Up, notamment la scène de fin "à table", et pour moi, le film (Melancholia) dans sa gestion mathématique d'opposition de réaction qui prend son point central au moment de la prise de conscience globale en plein milieu du film voit une inversion progressive d'émotion et de réaction (déni des uns, choc des autres, acceptation de ces derniers, stupeur et effondrement des autres) avec une fin sublimée par son message de paix et d'amour extrait de tout contexte, un amour pur (apaisé). Excellent sujet, une conclusion à la hauteur du sujet, du temps, et du monde, merci pour tout ce travail Pacôme, quel plaisir!

[@YannMo]

Hanouna d'abord clown sympathique devenu symbole de médiocrité et de division, Macron d'abord assimilé à un sauveur alors qu'il se comporte comme un dictateur, dès 2017 sur la forme, etc...Tout est dans les détails. Bravo pour ce.s montage.s

[@crazy_mike_fishing]

L’inexorabilité d’une fin que l’on ne peut fuir. Il n’y a plus de survie mais juste la plénitude du dernier instant…

[@alcarajo61]

Merci de m'aider à mieux comprendre l'œuvre et l'auteur! Maintenant, je comprends mieux et j'aime bcp plus!

[@elmomoloco42]

En dehors de l'évidence Matrix, une exégèse de Werner Herzog serait magnifique ! Si Aguirre est le plus évident, mon cœur va à Bad Lieutenant: Port of Call New Orleans, un film pas si évident qu'il ne le laisse paraître.

[@crazy_mike_fishing]

Cette vidéo résonne comme un poème d’une folie sous contrôl et béate face à la beauté du lâché prise 😅

[@claudieberthet8479]

Toujours perspicace et juste, Merci monsieur Pacôme Thiellement 👌 Je partage 🌬️🕊️

[@cyrilsalliot9445]

Arne vinzon. C'est la chanson que je me chante souvent le matin avant de partir travailler. Je suis ravi de découvrir que c'était un exercice de méditation pour provoquer la fin du vieux monde et annoncer l'avènement du nouveau.

[@martinpecheur7048]

Ouiiiiinnn 😢 le dernier ! Très bon choix de films et de réalisateur pour clôre ce cycle ! Merci encore Pacôme pour cette analyse brillante et les précèdentes ! Et bravo à l'équipe de montage

[@celineg9496]

Génial ce film. Ça m'a tellement impressionnée que j'en ai longtemps rêvé.

[@mathieukerleroux9352]

Dommage... On en aura pas un sur Matrix

[@naskountel8328]

Lars pouvait comprendre Hitler, ce qui fait de lui un humaniste, quand on sait que Hitler ne pouvait sans doute comprendre personne. En faisant cela, il nous mettait en garde contre notre pulsions à essentialiser les humains.

[@jagre7013]

Merci ! Encore une sacrée leçon de philo, notre détraqué Elyséen devrait peut-être s'y attarder.

[@la3011]

Il ne piperait pas un mot

[@jagre7013]

@@la3011 Pas faux ! 🤣🤣🤣

[@animetrage6816]

Je suis convaincu de ça depuis l'enfance, je vous remercie pour ce message et l'ensemble de votre travail.

[@ThePiiX]

On est d'accord que les passages Andy/Lars ne sont jamais arrivés ? Dans ces conditions, best utilisation de L'IA ever...

[@remidesmots]

C'est génial de finir comme ça l'émission, Bravo!!!

[@Khyssa]

un grand merci pour le travail partagé !! salut et joie

[@OxRedTFT]

Enfin let's goooo ❤️❤️❤️❤️❤️ merci pour ce magnifique programme !

[@AddA_1985]

Merci, Pacôme! J'étais allée voir ce film seule à sa sortie (et je vais très rarement au cinéma). A la fin du film, personne n'a bronché, personne ne s'est levé. On était tous sonnés! Un film fascinant et qui résonne tellement qu'il m'est presque insupportable.

[@songsfromworldapart]

Ça y est, je crois avoir enfin mis le doigt sur ce qui me dérange tant dans l'intellectualisme : l'intellectualisme, c'est une sorte d'absence d'instinct "primal" ou de bon sens, qui interdit de faire la différence entre le génie et la démence, au point que toute production artistique ou philosophique, tout discours "original(e)", qu'il relève du délire psychotique / névrotique ou non, est accepté(e) sans discernement comme significatif pour la condition humaine dans son ensemble, et est présenté(e) comme méritant d'être commenté(e) avec sérieux, sur le ton compassé qui convient habituellement au snobisme... Les films de Lars van Trier produisent toujours sur moi le même effet : non celui d'éprouver l'urgence d'entrer dans le jeu de leur délire intime et de pondre des commentaires-fleuves afin d'être admise dans le club select des "intellectuels" , mais de me barrer durant quelques heures dans la nature, d'y prendre une grande respiration et d'autres points de repère (la mer, les montagne, le vent les arbres, les animaux), afin de me souvenir, à la faveur du contraste, que l'humanité, en fait de terreau privilégié du génie, n'est peut-être devenue, depuis les débuts de la civilisation, qu'un gigantesque asile psychiatrique à ciel ouvert, dans les méandres labyrinthiques duquel, si on n'y prend pas garde, on a vite fait de s'égarer, faute, souvent, d'avoir lâché la proie pour l'ombre, le fil d'Ariane salvateur pour l'illusion... "Le langage est le propre de l'homme", certes ; mais par voie de conséquence, le délire aussi... C'est même ainsi, grâce aux failles intimes de l'intellectualisme (et aujourd'hui du wokisme), que l' "Urinoir" de Duchamps a rencontré si peu de résistances, lui aussi, en son temps, pour accéder au rang d'oeuvre d'art.... L'humanité pose toujours le même défi, à chaque instant : parvenir à différencier ouverture d'esprit et fracture du crâne. Savoir quand s'arrêter, quand rester et écouter, et quand tourner les talons sans autre forme de procès. Mais Charlotte Gainsbourg exprime néanmoins quelque chose de très vrai ici : le problème des délires psychiatriques, c'est que lorsqu'ils s'étendent à un pays tout entier - comme lors du régime nazi -, ou pire, à la planète entière, au point qu'il n'y a plus de dehors ni de dedans, que l'asile c'est partout et que l'on ne peut plus fuir nulle part, c'est que l'individu sain d'esprit est condamné autant que le fou. C'est peut-être cela la véritable fin du monde : c'est quand les fous - psychotiques, mégalo, psychopathes... - parviennent à prendre le pouvoir, parce que suffisamment de gens influents entrent dans leur délire au point de les prendre pour des génies - ou tout du moins des types supérieurs d'êtres humains : des surhommes...

[@cyrillecaron2723]

Merci Mr Thiellement Merci encore pour ce récit qui dépasse son sujet et qui pourtant fait un lien logique avec celui-ci et vaux autres thèmes et qui les relies à notre réalité trouble et incertaine actuelle. votre travail est précieux pour travers l'apocalypse à venir de façon sereine.^^

[@synthifou5815]

Utiliser les Éclairs sur l'au-delà comme bande sonore... ❤️

[@bidonproductionchannel2686]

C'est vraiment la fin du film? c'est bien dommage, merci à Pacôme et Blast pour cette serie hors du commun, c'est bien rare... Apocalypse now de la fin du film?

[@MANOSALVASR]

Wow.. nouveau Yoga Apocalyptique.. Exellent.. Thanks

[@teilofrappier7397]

Je ne suis qu'au début de l'épisode, je prends déjà beaucoup de plaisir, merci d'avoir choisi comme dernier épisode Melancholia

[@insddn3963]

"On reconnaît le bonheur au bruit qu'il fait quand il s'en va", Prévert

[@Robzitoune]

Un grand Merci Pacome pour les travaux 🤝🏻ce format était génial . hâte de voir ce que tu nous réserves pour la suite ..

[@nathaliemalouf7801]

C'est finiiiiiiiiiiiii!........ noooooooooon!!!!!!!!!!! .... Ces réflexions sont devenus l'air psychique que je respire..... merciiiiii infiniment...

[@korolepoulpecosmiquedevore53]

La journée s'annonce bonne quand notre Homme bus préféré sort une vidéo

[@MrZhradu]

le poussin musk va sans doute rester gravé de longues années dans ma mémoire.

[@abigailenderland6146]

Merci (et tristesse) pour ce dernier épisode ! La Fin du Film est probablement ma série KZbin préférée. Gratitude totale pour Pacôme et pour le reste de l'équipe !

[@bioethik1689]

La mariée avec un bouquet empoisonné.... Déjà sur l'affiche t'as capté !

[@johnnybegood1569]

Si les belles choses étaient éternelles, en plus de perdre tout attrait elles tueraient tout espoir d'existence future. Sans les précédentes extinctions on n'aurait pas la chance de se lamenter de nôtre condition. :)

[@content02]

Ce fou du bus dès les premières secondes, ça va être bien !

[@66philondor]

J'aurais aimé connaître le sens du nombre de trous du golf. John dit qu'il y en a 18 et Justine le répète. Or on voit à la fin qu'il y en a 19. Les chevaux que l'on ne monte pas ou que l'on ne peut plus monter : les chevaliers de l'Apocalypse sans cavalier ? Il aurait aussi été intéressant de mettre en regard Melancholia et Don't Look Up (surtout la fin des deux).

[@mathieu.d9312]

La fin du film c'était vraiment un super programme, merci! (Et quel final !!)

[@camegratte5176]

Je ne connais que peu de films de ce réalisateur mais "Dog Ville" m'a particulièrement marqué. Merci Pacôme pour, encore une fois, cette excellente analyse.

[@Unammedacc]

Les américains, ça les arrange qu'on achète leur matos. C'est tout le principe de la standardisation du matériel et des calibres des armes et équipement de l'OTAN. C'est positif parce que ça permet aux armées d'êtres très homogènes et interopérables, mais c'est négatif car ça permet aux amerloques de nous refourguer tous leur matos. Idéalement, les américains souhaitent une défense européenne nombreuse et autofinancée mais qui se fournit chez eux en matériel.

[@Freedomfor_JA_WL]

Merci Pacôme et merci blast

[@cyranoidemisanthrope553]

Merci Monsieur Thiellement, joli point final! Le cinéma de von Trier! Je me suis souvent demandé si c'est du Lars ou du cochon. Nyph()maniac c'est pas du cochon. "La question est vite répondue" La dépression est plus qu'une prophétie autoréalisatrice, en son sein on y sent le sel du réel. Le déprimé dans sa vision en creux ressent et sait qu'il a raison. "Memento mori" et même si construire un foyer est un jeu d'enfant "Play it Sam, Play As Time Goes By"

[@tartiflettefontaine2473]

Mdr le malaise de la pauvre kirsten dunst quand il parle

[@keyserlecter]

Bravo Pacôme, excellente vidéo et non moins excellent épilogue (Hanouna et Musk en "freak" fric ?)

[@nnae4323]

Pacôme Thiellement n'est pas un hasard. MerciGénial!

[@lejeunemerolise9727]

vos videos vont me manquer, pacome

[@AlaricCantonain]

Ce film, je l’ai regardé sans attente, sans information préalable, un soir, comme ça. Quelle claque !

[@Arca2ius]

Ô faites que cela ne soit pas le dernier film ! Bravo à l'équipe et à Pacôme : j'ai adoré ! Spécialement la reprise un peu synthé du Ich ruf zu Dir ❤️

[@Voyageursdelanuit]

Bah pour ce qui est de la fin du monde.............. ne t'inquiète pas Bonhomme Poutine il pense pour nous !!! Le projet avance..... avance........ C'est en cours !!!

[@paulinesailly1051]

"Elle [la marchandise spectaculaire] présentait comme des biens extraordinaires, comme la clef d'une existence supérieure, et peut-être même élitiste, des choses tout à fait normales et quelconques : une automobile, des chaussures, un doctorat en sociologie. Elle est aujourd'hui contrainte de présenter comme normales et familières des choses qui sont effectivement devenues tout à fait extraordinaires. Ceci est-il du pain, du vin, une tomate, un oeuf, une maison, une ville ? Certainement pas, puisqu'un enchaînement de transformations internes, à court terme économiquement utile à ceux qui détiennent les moyens de production, en a gardé le nom et une bonne part de l'apparence, mais en en retirant le goût et le contenu."

[@totocaca7035]

C'est du G. Debord?

[@Eldrss]

punaiiise Musk en poule-freaks à la fiiiiin h'h'h'

[@ratatata9450]

Plus grande série de l'histoire de KZbin

[@TheSalyanea]

Merci

[@olivierfouchard8678]

Je déteste L.Von Trier... Il n'expérimente pas grand chose... Ses délires avec le dogme etc... Il a pompé pas mal dans l'underground ... Et franchement cette vidéo ne change en rien l'aversion que j'ai sur ce type et son cinéma... Il est gâté par la marché ... Non, franchement, P. Thiellement vous vous vautrez dans la boue du mainstream bobo assez médiocre, dommage, j'aimais bien vos analyses notamment vos émission sur le cinéma avec "la fin du film" et puis l'infernet " etc... Les études historique etc ... Mais là je m'ennuie, c'est mauvais, et puis la comparaison sous-jacente avec le grand A.A.Tarkowski par la musique c'est déplacé ... Non, j'écoute en écrivant et je m'emmerde grave... Bon, allez on ne peut pas être bon à chaque fois, c'est votre moins bonne émission.... C'est nul ! .... Bon, je vais allez jusqu'au bout mais je ne partage pas. C'est dit.

[@melbla3609]

Ah, et si quelqu'un-une croise Buffy, vous voudrez bien lui demander d'arrêter de fiche en l'air la fin du monde ? (ça devient pénible, quoi). Merci. Signé, la Némésis de Buffy. (a.k.a l'épée de Damoclés).^^

[@BirdyRaven]

Magistral ! j'adore ! surtout la fin de la vidéo , j'adore le montage génialissime avec des passages en incrustation , images subliminales qui donnent encore plus de relief à l'exégèse de Pacôme 🤩 j'aime l'idée directrice de Pacôme qui tente à chaque fois, de nous aider à trouver le chemin pour naviguer à contre courant , comme si nous étions tous prisonniers d'un train lancé à grande vitesse vers un mur ou un précipice: les plus éclairés en auraient conscience et leur salut viendrait du chemin qui mène à la queue du train fou ...je trouve ça poétique et beaucoup plus beau que ceux qui ne veulent pas prendre conscience de l'issue fatale vers laquelle nous sommes conduits. Ou se mélanger aux musiciens qui continuent de jouer sur le Titanic qui coule à cause de l'orgueil de ses dirigeants avides de puissance... Vive les sans roi , vive Pacôme et vive Blast !

[@djeffreydowney6736]

Qu'il est excellent,Pacôme Thiellement.

[@mz3344]

Etourdissaant-vertigineux, je sens que je vous aime. Malgrè au gré et grace à une melancholia profonde qui ressemblerait à de la béatitude j'irai voter comme on trinque à la vie L'Chaim

[@olivierfouchard8678]

A quand une vidéo sur Bella Tarr, c'est d'un niveau bien plus haut que ce pauvre Trier... Pas facile hein ? D'aborder les grands ... Je vous met au défi mais attention, avec des type comme Bela Tarr, Dreyer, ou Tarkovsky, il faut toucher au parfait !...

[@cedekarasso3112]

Encore un été sans Pacôme 😭 J'ai adoré cette dernière année sur vos différents programmes chez Blast (ou le live avec Dany et Raz😉).. Vous êtes mon fou du bus préféré, une mine de connaissances exégètiques. Vivement la rentrée!

[@olivetom1599]

Rho ça va hein, Mélanchon par ci, Mélanchon par là réveillez-vous les moutons, faites vos propres recherches, ça fait réfléchir, à bon entendeur, PTG 44

[@mornill-z1b]

Je crois que j'ai jamais vu un film de Lars Von Trier... je vais faire en sorte de corriger cela :) Merci Pacome

[@Eldrss]

.. pour la "toute vision" de Justine et notamment le passage choisi, il faut qd même préciser que LvT se foooout de notre gueule ici ^^.. càd du côté visionnaire cheap du personnage et du visage hypnotisé du personne de ch. gainsbourg et dc du nôtre.. de notre capacité à tomber en admiration devant un don de vision, un savoir insu, "magique".. mais de rarement se poser la question d'à quoi il sert, de pour quoi il sert, de ce qu'on en fait.. Jveux dire.. *elle "sait!" le nbre de haricots ds le bocal*.. - waooow ! So useful! So deeep! Comme ne pas pouffer durant cette scène.. franchement..(c'est à que LvT fait pr ainsi dire le "tri" entre ceux qui de ses spectateurs se feront avoir comme le personnage de gainsbourg, ébloui par la poudre au yeux, le Quoi qui se passe et se fout du Comment, et gobera du coup tout le reste du speech, et les autres, qui y verront le non-sens total.. grotesque.) - Nan, soyons sérieux, LvT ici, comme à son habitude, est d'un sarcasme mordant et entend nous dire que ce don visionnaire, si il existe encore à notre époque (tt en étant total étouffé - contrairement à une époque récente, avnt WW2), ne sert à rien.. Ou, plutôt : AU Rien : à du bullshit total sans aucun intérêt ni intellectuel ni spirituel.. niveau "guinness bock of records". C'est un don visionnaire au service d'un trip "comptable"..ds une civilisation totalement vérolée par le chiffre, la catégorisation, la performance.. (elle est pubarde hein.. pas artiste ou guérisseuse ^-). Dc cette fin du monde c'est surtout celle d'un système technicien mettant toute tentative de spiritualité ds une impasse, incapables de poésie ni d'émerveillement aucun, parce qu'on l'a trop sous la peau, ce délire comptable.. nihiliste... et que les humains sont trop névrosés, voir en état limite entre névrose et psychose désormais.. Elle n'est donc certainement pas à prendre comme une "référence", Justine.. Et tout ça n'est dc certainement pas à prendre au 1er degré.. vraiment pas, bien qu'il soit très sérieux sur certains points.. (mais comme à son habitude aussi, LvT déconne tjrs qd il sérieux, et est tjrs sérieux qd il déconne... je le reconnais, parce que chuis idem..) LvT parle de notre monde, aspiré par son propre vide, aspirant tout ce qu'il peut encore y avoir de capacité à voir au delà de la matière, dans l'invisible.. une civilisation devenue trou noir de tout ce qui pourrait non pas le, mais nous sauver nous ^-.

[@tomauberwenig2116]

Merci pour cette épisode une fois de plus virtuose et d'une profondeur Abyssale dans laquelle se perdre est un plaisir, au moment où le fil réapparaît, les noeuds complexes ayant tissé une toile résonnant avec les synchronicités (presque) subliminales disséminées avec une parcimonie toujours jouissive. le Minotaure rode, mais les fils d'Ariane sont Legion. EDIT : (j'avais écrit une série de dithyrambes à Lars Von Trier et à ta façon de nous le conter, mais bon, ça peut se résumer à "j'adore ce que vous faites", donc je t'épargne un pavé, mais le coeur y est et y reste!)

[@dersou668]

Très intéressant, merci. Dommage que ce soit le dernier. Au fait, pourquoi n'avoir pas rapproché "Le sacrifice" de Tarkovsky du Melancholia de Lars von Trier ?

[@SaloméAdiba]

Plutôt que essayer de justifier cest vss , mais arrivé a en parler malgré les contradictions cest magnifique

[@Esther-pq4ch]

Une lecture personnelle du film : • La mère boomeuse jouée par Charlotte Rampling, qui affirme au cours de son discours, censé être bienveillant, sa haine du mariage, en humiliant, rabrouant, démolissant ses gosses au passage est quelque chose que je n'ai jamais vu dans aucun autre film : cette haine de la vie chez ceux-là mêmes qui nous ont conçus. Cette haine de tout engagement et donc toute contrainte, ce haine des traditions et de tout ce qui rythme la vie humaine depuis la nuit des temps, cette haine de tout ce qui est sans doute un peu kitsch, un peu ridicule, mais qui consiste à nier la misère fondamentale dans laquelle nous nous trouvons. Les boomers sont à la fois de grands enfants, et des contempteurs glaciaux, démoniaques, de la vie humaine et de ses réalités. De grands enfants et des vieillards impitoyables à la fois. Ils sont la mort et rien ne sera possible avant que le dernier d'entre eux n'ait expiré. Cette libération n'arrive pas, ceci dit, dans le film ; c'est bel et bien la mort qui gagne. • Cette planète qui heurte la Terre constitue la fin la plus stupide, la plus dénuée de sens, la plus sortie de nulle part, et donc la plus terrifiante qui soit, pour l'humanité. Même une apocalypse nucléaire, si absurde soit-elle, reste une consolation dans la mesure où elle est le produit de notre propre comportement, elle est interprétable comme un châtiment collectif, ou le crime d'un fou. La destruction de la Terre par la planète Melancholia n'est pas interprétable. • Charlotte Gainsbourg, la juive, révoltée par cette fin religieusement absurde d'un point de vue judéo-chrétien ; Dieu n'avait rien annoncé d'aussi terrible. À l'inverse il y a Kirsten Dunst, la païenne, qui prend des bains nue dehors au clair de lune, sur du Wagner, et pour qui cette fin cataclysmique est peut-être religieusement plus acceptable ; les lois de la nature dominent et l'Homme n'est pas le centre de l'univers. • Mais derrière cette dichotomie (qui n'existe que dans mon interprétation du casting, et peut-être dans les intentions de Lars von Trier) se cache le triomphe, la victoire par hérédité de maman Rampling. "La vie sur Terre est mauvaise" dit, texto ou en substance, je ne sais plus, Justine à sa soeur, pour la convaincre que l'arrivée de Melancholia est une bonne chose. La vie est mauvaise, le mariage et la reproduction sont mauvais, le bonheur est sans objet, l'avortement et l'euthanasie sont bons car la mort est bonne. Les boomers gagnent et le monde finit avec eux.

[@Ericletraon]

Je ne vois pas le rapport avec MELENCHON. Comme vous, je soutiens les élus des INSOUMIS le 7 juillet 2024. Merci.

[@myroieegalitariste40]

Merci pour ce travail. Comme à chaque fois, j'apprends plein de choses. Je suis pas d'accord avec tout dans cette vidéo, en revanche. Du coup je vais me fendre d'un petit pavé pour donner mon avis. J'aime bien donner mon avis. Déjà, je me dis que c'est rassurant de réaliser que je donne pas un blanc saint aux créateurices que j'apprécie. Là, j'aime pas trop la lecture de Melancholia, surtout sur l'aspect dépression et joie de mourir. Disons que me concernant, j'ai pas lu ce film comme ça. Je le vois davantage comme un film qui illustre la dépression jusqu'à son accomplissement ultime et dramatique, mais ça n'est en rien joyeux. C'est tragique. La dépression nous fait croire à une lucidité sur la vie parce que le pessimisme et le cynisme sont souvent associés à l'intelligence. Et d'ailleurs, si Justine est indéniablement intelligente, elle n'est glorieuse à la fin de l'histoire que parce que la terre entière devient son domaine via la destruction. L'extérieur reflète son monde intérieur, tout ne va plus devenir que cendre mais c'est pas grave, puisqu'en elle déjà, tout a brûlé. Le fait qu'elle soit sereine, là où tout le monde panique, son intelligence n'y est pour rien. Les planètes s'alignent, juste (aha). C'est beau mais c'est triste. Triste parce qu'elle n'a pas eu le temps de mettre à profit son talent pour sortir de sa dépression car la mort est arrivée avant. Qu'on juge la mort de Justine à la fin comme étant métaphorique (le film serait sa vision de la vie et la fin du monde serait la fin de /son/ monde), ou littérale (il y a bel et bien une fin du monde), la fin nous prive de l'acte suivant, celui qui est réellement joyeux et fort : le rétablissement. Par contre, j'aime bien la conclusion de la vidéo. Je pense que oui, il faut célébrer les fins. Les morts symboliques. Un peu comme dans le tarot où la carte de la Mort ne symbolise pas le trépas littéralement, mais le changement. Le renouveau. Pour qu'il y ait un début il faut une fin. L'image de la danse macabre me plaît bien d'ailleurs, pour illustrer l'entre-deux dans lequel nous nous trouvons. J'aime bien ce que dit Antonio Gramsci à ce sujet "Le vieux monde se meurt, le nouveau monde tarde à apparaître et dans ce clair-obscur surgissent les monstres ". Vivement la mort du vieux monde pour qu'enfin on puisse construire des choses différentes et balayer les monstres hors de nos vies.

[@lacanotanymore]

Une des grandes difficulté pour l'être humain c'est qu'il se perçoit au travers de son identité, d'une singularité superficielle. Alors que la véritable singularité de l'être humain, repose sur le contraire d'une identité. L'identité c'est un inventaire de ce que l'on aime en fonction de ce que l'on déteste ( le goût est fondé sur le dégoût ) qui procure une illusion de semblable avec des senblables par la similitude et par le rejet d'un tiers exclu, ce qui est soit dit en passant le processus inévitable de toutes les formes de xénophobie. Mais l'inventaire est sans fin, nul ne peut clore la liste ce qui lui permet de dire voilà je suis TEL, la somme de tout ce qui me définit. L'inventaire est sans fin car toutes les identités tentent de repousser la part d'inachevé, la part d'infini. L'être humain qui récapitule l'infinité, l'inachevé de l'univers, devenu depuis quelques temps multivers. Il n'y a rien qui soit pensable comme une finitude absolue ( qui y avait il avant le Monde, avant Dieu ? Qu'il y a t il véritablement en Enfer ou au Paradis, nul ne peut croire à ces représentations infantiles ) Bref l'Infini est partout et il est aussi en l'être humain, le moment où se croyant comme ci ou comme ça il fait l'expérience de se découvrir différent à cause d'un évenement. La véritable singularité humaine, c'est faire l'expérience de sa propre étrangeté. Du fait que l'on est étranger à soi même et c'est cette expérience intime qui fait que lorsqu'on a en face un etranger, humain, animal ou autre, on est capable de reconnaitre qu'il nous est INTIMEMENT lié, qu'il est véritablement un semblable. Et non l'artifice sans cesse renouvelé, accumulé, des choses matérielles qui servent à se donner des airs d'être plus important qu'un autre. De se distinguer. Et la course consumériste qui nous consume qui en résulte. La conscience renouvellé qu'il est périssable et à brêve échéange, cet individu qui se croit seul auteur de sa propre vie par une contorsion du Moi, le début et la fin de lui même, cette conscience qu'il lui faut développer face à la perspective de la fin de ce monde qui court littéralement à sa perte, ça peut peut être le sauver en tant qu'espèce. La mort de l'individu ou tout du moins l'abandon du dogme du consommateur. Alors oui la fin du monde est une manière d'envisager avec une certaine quiétude qu'il y aura un après soi, un après l'individu, un après la société de consommation, un après tout les Dieux uniques vengeurs, tout les monothéismes, les promo individualismes, un après les paternalismes, patriarcats. Que la solidarité soit et pour cela, il n'existe que le moment où l'être humain se redécouvre être une part minime de la société humaine. Au milieu du péril. Vivre la fin du monde au quotidien c'est tenté de s'éveiller à la complexité du monde et à la modestie légitime de sa propre existence. Voilà ce que m'a inspiré Mr Pacome Tiellement.

[@nobbyraish56]

Merde, j'avais lu "Melenchonia" ... à force de souhaiter la victoire du Front Populaire, j'ai des hallus...

[@andreannegarant6346]

L'apocalypse n'est pas le premier quoi que ce soit, à l'époque où il a été écrit, c'était un style littéraire très répandu qui servait à critiquer le pouvoir en place. celui-ci a été préservé et diffusé largement parce qu'il a été choisis au concile de Nycée pour faire partie de la bible officielle mais au 3es, c'était super commun d'écrire des apocalypse comme aujourd'huis des romans policiers ou des romans d'horreur, faut se détendre un peu avec l'apocalypse. Franchement.

[@conreo]

Super épisode, je me souviens d'avoir vu Melencholia au cinéma, l'après scéance lorsque le publique quitta la salle il était dans un état second, avec un silence de plomb, aucun sourire juste les spectateurs qui ce dirige vers la sorti sans rien dire, sans expression... L'après fin du monde doit ressemblé a cela j'imagine. Étant grand fan de Jia Zhangke et de Wang Bing j'attend un épisode sur d'un d'entre eux. Même si sur Wang Bing cje n'ai pas pu voir un de ces film, comme "A la folie", le documentaire et mon genre favori, mais bien plus difficile pour l'esprit que la fiction ou le fantastique...

[@esther7910]

j'ai vu Melancholia à 14 ans et c'est la seule oeuvre dont je peux vraiment dire qu'elle a 'altered my brain chemistry'. je l'ai jamais revu parce que j'ai trop peur de devenir définitivement folle

[@catherinedurant356]

Ce film m'a fait déprimer...🥺

[@andreannegarant6346]

L'épisode de la femme infidèle n'a pas été écrite par Jean, je te l'ai déjà dit ça a été écris en angleterre au 12es. Si tu veux parler de l'humanisme de l'évangile de jean, y a plein d'autres exemples, arrêtes de citer celui là, tu te décrédibilise et ça me fait chier que tu te décrédibilise parce que tes propos sont intéressants.