C'est pour quand une mission spatiale entièrement autonome ?

Quand on voit la progression actuelle en robotique, on imagine très bien, un futur proche où l’humain travaillera sur #Mars 🟤 ou sur la #Lune 🌗 avec l’aide de machines 🤖💻 qui lui faciliteront les tâches difficiles et répétitives 🥵🥵... Mais si on essaye d’aller un peu plus loin, est-ce qu’il ne serait pas plus simple finalement d’envoyer à la place des humains, des robots intelligents capables de travailler seuls avec leur propre capacité de décisions grâce à l'#ai 🧠 Alors, c’est pour quand une mission spatiale entièrement autonome ? La réponse dans cet épisode...
0:00:01 Extrait du film Passengers (2016)
0:00:10 Introduction
0:00:58 Dans le spatial il y a toujours un humain derrière la machine
0:01:58 Que désigne-t-on par "mission spatiale entièrement autonome" ?
0:02:33 Magali Bouyssou (responsable opérations instruments Perseverance au CNES) - Où en sommes-nous de l'autonomie des missions spatiales aujourd'hui ? Est-ce qu’on peut imaginer les missions spatiales du futur entièrement pilotées par des intelligences ? Quels seraient les risques à faire des missions uniquement pilotées par des intelligences artificielles ? C’est pour quand une mission spatiale entièrement autonome ?
0:06:51 Caméo de Capitaine du NEXUS VI (vidéaste science-fiction) : l'IA et les robots dans la science-fiction
0:07:45 Conclusion
💻 Les missions spatiales citées dans l'épisode :
Curiosity, un rover à la découverte de Mars msl-curiosity.cnes.fr/fr
Perseverance, un rover à la recherche de "bio-signatures" martiennes supercam.cnes.fr/fr
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👘 Sweat zippé à capuche homme "Made in CNES" bleu marine porté par Sylvain :
maboutique.cnes.fr/fr/module/...
Avec la participation de :
Capitaine du NEXUS VI : vidéaste science-fiction ‪@ChroniqueNEXUSVI‬
Magali Bouyssou (responsable opérations instruments Perseverance au CNES)
Présenté par Sylvain Charrier (CNES)
Scénario : Nicolas Baby (Prodigima) & Sylvain Charrier
Production : Romain Gaboriaud (Prodigima)
Prise de vues : Florence Pradalier & Mathieu Barasz (Prodigima)
Montage : Ronan Deruy (Prodigima)
Motion Design : Nathan Saillour & Valentine Caillon (Prodigima)
Constructeur : Yoan Richard (Prodigima)
Etalonnage : Nathan Saillour (Prodigima)
Mixage : Cyril Legrain (Prodigima)
Musique : As Daylight Fading de Evocativ
Extraits de films :
Passengers (2016) Columbia Pictures
2001, l'Odyssée de l'espace (1968) Metro-Goldwyn-Mayer
Her (2013) Annapurna Pictures
Terminator 3 (2003) Columbia Pictures
Chappie (2015) Columbia Pictures
2001, l'Odyssée de l'espace (1968) Metro-Goldwyn-Mayer
Ex Machina (2015) Universal Pictures
A.I. Intelligence Artificielle (2001) DreamWorks Pictures
Crédits additionnels :
Getty images
Envato Elements
SpaceX
NASA
NASA Jet Propulsion Laboratory
CNES
CNRS
Los Alamos National Laboratory
Prodigima
Crédits : CNES - Juin 2024

[@macatuese2830]

Merci , super

[@ariandyonis9986]

HAL 3 lettres décalées de IBM, pour l'anecdote !

[@leaure23]

Super Mag !!!

[@martial7246]

Merci pour cette vidéo, à quand des rovers sur d’autres planètes autres que Mars ou Lune, pluton, Venus etc

[@Delakroute]

Bonjour, merci pour cette première. Comment nettoyer efficacement les panneaux solaires d’un rover svp ?

[@whiterabbit9131]

Avec un racloir et un peu de produit ça doit être pas mal

[@DC2022]

Lors de la conception du rover/atterrisseur, la taille des panneaux est déterminée en tenant compte de l'accumulation de poussière dessus de façon à ce que pour la durée de la mission, la fourniture d'énergie par les panneaux soit conforme aux besoins même avec la couche de poussière croissante dessus. En somme, on fait des panneaux plus gros que nécessaire parce que leur performance va diminuer au fil du temps et qu'au pire ils devront quand même fournir assez d'électricité aux systèmes de la machine. Pourquoi? Parce que c'est non seulement plus simple qu'un système de nettoyage, plus léger, moins cher et plus fiable. Imaginez, vous dimensionnez vos deux panneaux solaires pour les besoins du rover avec une marge de sécurité de 25% chacun ce qui fait qu'en tout ils produisent 150% des besoins du rover. Lors de l'atterrissage, le système de nettoyage du panneau droit ne se déploie pas correctement, non seulement il ne fonctionne pas, mais en prime, il obstrue 20% du panneau. La durée de la mission est compromise parce qu'il va rapidement manquer de l'électricité.

[@Delakroute]

@@DC2022 bonjour, merci pour votre retour. J’aurais bien imaginé un outil fondamentalement basique et léger qui « brosserait » systématiquement les panneaux lors du déploiement. Même si le process que vous décrivez est intelligemment conçu, je trouve dommage de limiter la durée de vie d’un rover pour si peu. Un bijou technologique qui finit en galère d’un coup de chiffon sur Mars :D

[@joelcalmet5710]

Jamais sinon on crèvera d’ennui. Seul le vivant est capable d’intelligence, les calculateurs ne sont capables que de suivre des algorithmes ce qui ne leur donne aucune intelligence. Ce ne sont que des systèmes experts, comme dit l’invitée dans un moment de lucidité C’est fou qu’en même cette volonté d’écraser l’humain, de vouloir à tout prix le sortir de la maîtrise de sa technologie. Il faut au contraire favoriser l’Humain dans la conquête spatiale, pour sa créativité que n’a pas et n’aura pas, dans un futur prévisible, le moindre algorithme.

[@axeldebur1206]

Veux. CT uu