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Here’s a dream I had, accompanied by the Octatrack as the soundtrack.
Too lazy to read?
No problem-just play the video in the background, close your eyes, and imagine your own story.
Feel free to share it in the comments afterward 😉
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🇫🇷 Texte en français :
Un Rêve Étrange et Chaotique :
Sur le toit-terrasse d’un immeuble, nous luttions contre des envahisseurs extraterrestres. Ces créatures ressemblaient à des "Predators", féroces et implacables. Mon arme était étrange : je la tenais à l’envers, le manche pointé vers le haut, comme si quelque chose n’allait pas. Soudain, tout a basculé. Un sniper, posté sur une tour voisine, nous tenait en joue. Il voyait à travers les murs. Rester immobile était impossible.
Un homme surgit alors, vêtu d’un survêtement, la tête rasée. Nos regards se croisèrent, et par réflexe, nous braquâmes nos armes l’un sur l’autre. Mais une compréhension tacite nous saisit : nous étions du même camp.
Peut-être avions-nous peur que des humains aient pactisé avec ces créatures... Je lui criai de se mettre à terre à cause du sniper. Mais au lieu de s’abaisser, il bondit au-dessus de moi. Le monde autour de lui semblait ralentir alors que je restais à vitesse normale. Il atterrit lourdement, mais indemne.
Nous aperçûmes une immense rampe d’escaliers longeant le flanc de l’immeuble, rappelant la muraille de Chine, et qui descendait vers le sol. Les aliens paraissaient avoir disparu. Avec un compagnon - je ne sais plus qui - nous entamâmes la descente. Un pote marchait devant, mais sur un seul pied, comme s’il était blessé. En observant le paysage, je m’émerveillai : "Je ne pensais pas que l’Afrique pouvait être si verte." (?!?)
Alors que la tranquillité semblait s’installer, un avion de chasse surgit dans le ciel. Il lâcha des boules lumineuses qui, en touchant le sol, créaient de petits cratères. Des arcs électriques apparurent, suivis de puissantes explosions, soulevant des pans entiers de la croûte terrestre. L’immeuble se fractura en morceaux, et les escaliers sous nos pieds s’effondrèrent. Je m’accrochai à un drap flottant, criant à mon père de m’aider à tenir. Il réagit lentement, comme détaché de la panique ambiante. Le mélange entre la structure de mon ancien lit mezzanine et les escaliers en béton accentuait cette sensation irréelle.
Les bombardements se succédaient, forçant notre progression accélérée. Je soutenais mon pote, l’aidant à avancer malgré sa blessure. Au sol, la situation ne faisait qu’empirer. Ma grand-mère fixait les cratères laissés par les bombes, indifférente au danger. Je courus pour la sauver. Les escaliers, désormais en bois mouillé, devenaient traîtres. Des gens chutaient autour de nous, mais nous avancions prudemment.
Puis, un étrange ballet aérien débuta. Des avions français à hélice firent leur apparition, visiblement non armés. Peu après, un appareil plus atypique descendit du ciel. Il atterrit verticalement, tel un hélicoptère, mais ce n’était pas un avion : c’était une voiture de luxe équipée d’une structure pour voler.
Une femme blonde, élégante, sortit de l’habitacle. À ses côtés, une jeune fille courut en criant : "Monsieur Pouget !" La confusion m’envahit. De la voiture descendit ensuite un homme, "Loulou" (feu mon grand-oncle), impeccablement habillé comme un magnat des affaires des années 1950, avec une longue veste grise.
Il nous fit une révélation stupéfiante :
"Ce ne sont pas des extraterrestres. Ce sont les banques. Elles orchestrent ces destructions pour racheter les terrains à bas prix."
Un silence pesa sur le groupe. L’apparente richesse et influence de Loulou soulevèrent une question glaçante : et si c’était lui, la véritable tête pensante derrière ce chaos ?
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