Merci Charlotte d’Ornellas! C’est tellement bien dit et cela nous arme en tant que parents pour savoir quoi répondre!
@wildux8221Күн бұрын
Ne laissons pas ces pervers s'approcher de nos enfants .
@bernardregis8469Күн бұрын
Vous parlez des curés ?
@bulbizarre2726Күн бұрын
@@bernardregis8469alleeeer, un gauchiste ... UN
@bernardregis8469Күн бұрын
@@bulbizarre2726 Non, petit fafounet, je suis anarchiste
@huli855723 сағат бұрын
Gaucho = pervers
@jjd418620 сағат бұрын
Non,de progressiste névrosé.
@auroremarques6901Күн бұрын
Qu'on foute la paix à nos gosses !
@LeonS.Kennedy81Күн бұрын
Vous n'êtes pas censés les protéger vos gamins ? Les professeurs et directeurs d'école vous leur mettez la pression physiquement et c'est réglé. Bien sûr, à titre privé et anonyme en dehors de leurs heures de travail. C'est simple la vie. 🤜💥😵
@adrien1996Күн бұрын
@@LeonS.Kennedy81plus simple : pas de gosse et comme ça tu n’es pas emmerdé.
@LeonS.Kennedy81Күн бұрын
@@adrien1996 problème : ils en ont et refusent d'assumer leurs responsabilités tous ceux qui jouent aux combattants du bien dans les commentaires. De gros cas sociaux.
@francoiso3046Күн бұрын
Oui, il me semble plus raisonnable de laisser parler la nature, selon l'âge, sans rien imposer. Vous avez raison. Bien cordialement.
@JH-ol9sbКүн бұрын
Si les parents ne défendent pas leurs enfants, ils sont complices.
@brigittecapron9174Күн бұрын
c'est aux parents d'expliquer ce genre de choses, l'éducation nationale n'a pas à s'occuper de cela , c'est IMMONDE
@levasseurroger6250Күн бұрын
Les réseaux sociaux s'en chargent pour le meilleur mais surtout pour le pire ; l'éducation des parents ne pèse rien à côté ...
@tifenneduboi2840Күн бұрын
en fait, les parents peuvent le faire, mais comme c'est la plupart du temps les parents ou des proches qui agresse leurs enfants, c'est pas mal pour certains enfants qu'ils sachent que les adultes n'ont pas le droit de faire certaines choses . comme ça la seule paroles qu'ils auront ne sera pas celle du tonton qui dit que c'est normal et que c'est leurs petit secret. c'est un gamin sur dix en France à qui un adulte explique que c'est normal. et ça parce que personne d'autre leurs explique que ça ne l'est pas ,surtout parce que les parents ne pensent pas que c'est quelque chose qui les concernent. à l'école, au petit ils explique simplement que leurs corp leurs appartient et qu'un adulte n'a pas le droit de faire ce qu'il veut. ça sauve des gosses. pour les plus grands après c'est à vous de voir, mais les parents en général n'imaginent pas que leurs enfants grandissent et c'est internet qui fait leur éducation avec le porno. et pour ma part, je préfère qu'un professionnel leurs explique la sexualité avant que le porno le fasse ou avant que quelqu'un de plus grand profite de leur ingenuitee .... en tous cas. je préfère que les gamins soient au courant que les adultes n'ont pas le droit de faire certaines choses et que ma fille ne se retrouve pas enceinte à 14 ans. pour ça, il faut qu'ils aient quelques notions de certaines choses. et dans la vraie vie du monde réel, les parents n'ont pas les outils pédagogiques les plus efficaces, les enfants n'ont pas spécialement envie d'aborder ces questions avec eux, et surtout, les parents ont un train de retard et voient leurs enfants comme des enfants et arrivent après la bataille.... bref, c'est utile que l'école leurs apporte des outils pour comprendre certaines choses.
@tunkunrunkКүн бұрын
je suis pere , oncle , je n'ai en aucun cas vu les enfants se preocuper de sexualité . Moi non plus quand j'étais gamin . Que ce passe t'il dans ce monde ? si les adultes sont obsedés par la sexualité , n'utilisez pas les enfants pour experimenter vos préocupations existentialistes
@gudetamaminiso513Күн бұрын
@@tifenneduboi2840 Bah du coup c'est à vous de leur dire ! les profs auront pas tellement plus d'outils... Et pour ceux dans des familles malveillantes,, je suis pas sûr que la parole du prof pèse comme ça. Je sais pas...
@lecastoraplumes965523 сағат бұрын
Beaucoup de parents, attendent que l'éducation se fait par les profs.... .
@Jean-François-k4dКүн бұрын
Ça n’est pas à l’éducation nationale à faire de l’éducation sexuelle ! Monde de fous !!! Bien content si les enfants savent lire, écrire et compter en entrant en sixième, tant l’éducation nationale manque à ses devoirs essentiels.
@eliser516723 сағат бұрын
C'est volontaire : abrutir nos gosses avec leur perversités. Comme ça ils pourront légaliser la pé deaufyli et ça passera crème
@Nonalhomophobie19 сағат бұрын
Si si, c’est une forme d’éducation comme une autre.
@thierrymeulan348917 сағат бұрын
On ne parle pas de sexualité en maternelle. En maternelle, on parle d’éducation à la vie affective et relationnelle, plutôt que d’éducation à la sexualité. Parmi les objectifs fixés par l’Éducation nationale, on trouve : « Apprendre à connaître son corps », « comprendre ce qu’est l’intimité », « comprendre ce qu’est un secret », « identifier les adultes de confiance et apprendre à faire appel à eux » ou encore « vivre l’égalité entre les filles et les garçons et la liberté d’être soi-même dans les temps et les lieux de l’école ». À l’école primaire Les premières années de l’école primaire, l’éducation à la vie affective et relationnelle continue de se baser sur la considération du corps, des émotions et des règles de la vie collective. Puis, « étant donné les changements induits par la puberté et le passage progressif de l’enfance à l’adolescence », cette éducation évolue afin de permettre aux élèves « d’appréhender de manière éclairée les changements qu’ils constatent et éprouvent ». Au collège En classe de 6e, l’un des objectifs est de « comprendre et apprendre à vivre les changements de son corps ». À partir d’œuvres artistiques ou littéraires, les élèves peuvent « observer et analyser la diversité des représentations du corps sexué ». En 5e, il s’agit par exemple de « développer librement sa personnalité : savoir s’affirmer sans se sentir obligé ou contraint ». Sur la thématique des réseaux sociaux, l’Éducation nationale propose d’« analyser des publications d’adolescents dans les réseaux sociaux pour identifier et différencier ce qui relève de la vie privée ou de la vie publique, ce qui est légal ou ne l’est pas ». En 4e, un des objectifs est de « mettre en place et examiner les différentes définitions de la sexualité : reproduction, désir d’enfant, plaisir, amour, etc. ». Le programme propose aux enseignants et à leurs élèves de « réaliser une exposition de sensibilisation sur les stéréotypes et les questions d’égalité » à destination des autres collégiens. Enfin, en 3e, toujours à titre d’exemple, les élèves doivent apprendre à « inscrire la sexualité dans la définition et le respect des droits humains ». Parmi les activités proposées pour cette année-là, les collégiens peuvent fabriquer une affiche d’information sur les ressources locales et nationales en matière de contraception et d’IVG, par exemple.
@LouiseMercier-s3l5 сағат бұрын
Uniformiser un respect de l autre qui est nécessaire pour tous et surtout pour les femmes..
@SardaukarX38 минут бұрын
@@NonalhomophobieNon non.
@ManiMani-From-ParisКүн бұрын
Laissons les enfants vivre leurs enfance, les adolescents leurs adolescence et arrêtons de vouloir en faire des hommes/femmes bien avant l'heure.
@thierrymeulan348917 сағат бұрын
On ne parle pas de sexualité en maternelle. En maternelle, on parle d’éducation à la vie affective et relationnelle, plutôt que d’éducation à la sexualité. Parmi les objectifs fixés par l’Éducation nationale, on trouve : « Apprendre à connaître son corps », « comprendre ce qu’est l’intimité », « comprendre ce qu’est un secret », « identifier les adultes de confiance et apprendre à faire appel à eux » ou encore « vivre l’égalité entre les filles et les garçons et la liberté d’être soi-même dans les temps et les lieux de l’école ». À l’école primaire Les premières années de l’école primaire, l’éducation à la vie affective et relationnelle continue de se baser sur la considération du corps, des émotions et des règles de la vie collective. Puis, « étant donné les changements induits par la puberté et le passage progressif de l’enfance à l’adolescence », cette éducation évolue afin de permettre aux élèves « d’appréhender de manière éclairée les changements qu’ils constatent et éprouvent ». Au collège En classe de 6e, l’un des objectifs est de « comprendre et apprendre à vivre les changements de son corps ». À partir d’œuvres artistiques ou littéraires, les élèves peuvent « observer et analyser la diversité des représentations du corps sexué ». En 5e, il s’agit par exemple de « développer librement sa personnalité : savoir s’affirmer sans se sentir obligé ou contraint ». Sur la thématique des réseaux sociaux, l’Éducation nationale propose d’« analyser des publications d’adolescents dans les réseaux sociaux pour identifier et différencier ce qui relève de la vie privée ou de la vie publique, ce qui est légal ou ne l’est pas ». En 4e, un des objectifs est de « mettre en place et examiner les différentes définitions de la sexualité : reproduction, désir d’enfant, plaisir, amour, etc. ». Le programme propose aux enseignants et à leurs élèves de « réaliser une exposition de sensibilisation sur les stéréotypes et les questions d’égalité » à destination des autres collégiens. Enfin, en 3e, toujours à titre d’exemple, les élèves doivent apprendre à « inscrire la sexualité dans la définition et le respect des droits humains ». Parmi les activités proposées pour cette année-là, les collégiens peuvent fabriquer une affiche d’information sur les ressources locales et nationales en matière de contraception et d’IVG, par exemple.
@auroremarques6901Күн бұрын
Surtout à 3 ans, pauvres enfants... Honte de cette education qui est faite pour favoriser les pe dos ! Sortons de cette EU
@benardalbertКүн бұрын
dans un pays qui s'islamise rapidement , c'est logique .... répugnant mais logique o_o'
@tunkunrunk23 сағат бұрын
au lieu d'aprendre le respect des autres , de la religion , de la couleur de peau , des origines , respecter ses ainés , son père , sa mere , ses professeurs , c'est la sexualité sur laquelle on met l'accent . Il y a t'il un Lobby derriere ? ont 'il dejas fabriqués les jouets et autres accessoirs qu'acheteront les enfants apres ces cours ? et apres on est traité de fascistes . Faites comme les américains , ils ont dit non ! au woke et au LGBT à l'école
@Nonalhomophobie19 сағат бұрын
N’importe quoi, personne ne fait ça à des gamins de trois ans.
@thierrymeulan348917 сағат бұрын
On ne parle pas de sexualité en maternelle. En maternelle, on parle d’éducation à la vie affective et relationnelle, plutôt que d’éducation à la sexualité. Parmi les objectifs fixés par l’Éducation nationale, on trouve : « Apprendre à connaître son corps », « comprendre ce qu’est l’intimité », « comprendre ce qu’est un secret », « identifier les adultes de confiance et apprendre à faire appel à eux » ou encore « vivre l’égalité entre les filles et les garçons et la liberté d’être soi-même dans les temps et les lieux de l’école ». À l’école primaire Les premières années de l’école primaire, l’éducation à la vie affective et relationnelle continue de se baser sur la considération du corps, des émotions et des règles de la vie collective. Puis, « étant donné les changements induits par la puberté et le passage progressif de l’enfance à l’adolescence », cette éducation évolue afin de permettre aux élèves « d’appréhender de manière éclairée les changements qu’ils constatent et éprouvent ». Au collège En classe de 6e, l’un des objectifs est de « comprendre et apprendre à vivre les changements de son corps ». À partir d’œuvres artistiques ou littéraires, les élèves peuvent « observer et analyser la diversité des représentations du corps sexué ». En 5e, il s’agit par exemple de « développer librement sa personnalité : savoir s’affirmer sans se sentir obligé ou contraint ». Sur la thématique des réseaux sociaux, l’Éducation nationale propose d’« analyser des publications d’adolescents dans les réseaux sociaux pour identifier et différencier ce qui relève de la vie privée ou de la vie publique, ce qui est légal ou ne l’est pas ». En 4e, un des objectifs est de « mettre en place et examiner les différentes définitions de la sexualité : reproduction, désir d’enfant, plaisir, amour, etc. ». Le programme propose aux enseignants et à leurs élèves de « réaliser une exposition de sensibilisation sur les stéréotypes et les questions d’égalité » à destination des autres collégiens. Enfin, en 3e, toujours à titre d’exemple, les élèves doivent apprendre à « inscrire la sexualité dans la définition et le respect des droits humains ». Parmi les activités proposées pour cette année-là, les collégiens peuvent fabriquer une affiche d’information sur les ressources locales et nationales en matière de contraception et d’IVG, par exemple.
@Mimygasy01Сағат бұрын
@@benardalbertc'est vrai que dans notre gouvernement il y a une majorité d élus musulmans. C'est vrai que la plupart des juges qui laissent les vio* et ped* en liberté sont musulmans . C'est vrai que c'est l Aïd et non Hanouka qui a été fête à l Elysée . C'est vrai que les institutions financières qui contrôlent le monde et donc la France appartiennent à des musulmans. Que les médias " impartiaux " appartiennent à des musulmans.... Mais oui la France s islamise ça doit être ça 😂😂
@Melian_csigКүн бұрын
J'ai eu ces 3 scéances en CM2 (école privée catho sous contrat). On nous a montré des dessins animés éducatifs, avec des espèces de nounours verts qui mettaient préservatifs etc. À 10 ans je n'avais aucune idée de comment on faisait les enfants et j'ai été dégoûtée de la chose pendant longtemps suite à ça. L'école c'est pour l'instruction. Ce genre de chose j'aurais nettement préféré qu'on m'en parle plus tard et/ou surtout à la maison.
@passantparhasardКүн бұрын
En primaire c'est trop tôt. Nous, on a eu des cours en 4e, ça me paraît plus adapté (filles réglées, à un an de la majorité sexuelle...).
@soulawakening987Күн бұрын
Non mais on apprend quant on est amoureuse...c'est juste ça la vie!!Avant on s'en fiche et même moi pas amoureuse burk c'est juste une grave agressiion pour ma vu, mes oreilles tout...
@mariondapsance7803Күн бұрын
Quelle horreur. J'espère que vous avez compris qu'il faut aller dans le catholique hors contrat!? Ils n'ont plus rien de catholique, les autres. Pas de couilles de dire non.
@thierrymeulan348917 сағат бұрын
On ne parle pas de sexualité en maternelle. En maternelle, on parle d’éducation à la vie affective et relationnelle, plutôt que d’éducation à la sexualité. Parmi les objectifs fixés par l’Éducation nationale, on trouve : « Apprendre à connaître son corps », « comprendre ce qu’est l’intimité », « comprendre ce qu’est un secret », « identifier les adultes de confiance et apprendre à faire appel à eux » ou encore « vivre l’égalité entre les filles et les garçons et la liberté d’être soi-même dans les temps et les lieux de l’école ». À l’école primaire Les premières années de l’école primaire, l’éducation à la vie affective et relationnelle continue de se baser sur la considération du corps, des émotions et des règles de la vie collective. Puis, « étant donné les changements induits par la puberté et le passage progressif de l’enfance à l’adolescence », cette éducation évolue afin de permettre aux élèves « d’appréhender de manière éclairée les changements qu’ils constatent et éprouvent ». Au collège En classe de 6e, l’un des objectifs est de « comprendre et apprendre à vivre les changements de son corps ». À partir d’œuvres artistiques ou littéraires, les élèves peuvent « observer et analyser la diversité des représentations du corps sexué ». En 5e, il s’agit par exemple de « développer librement sa personnalité : savoir s’affirmer sans se sentir obligé ou contraint ». Sur la thématique des réseaux sociaux, l’Éducation nationale propose d’« analyser des publications d’adolescents dans les réseaux sociaux pour identifier et différencier ce qui relève de la vie privée ou de la vie publique, ce qui est légal ou ne l’est pas ». En 4e, un des objectifs est de « mettre en place et examiner les différentes définitions de la sexualité : reproduction, désir d’enfant, plaisir, amour, etc. ». Le programme propose aux enseignants et à leurs élèves de « réaliser une exposition de sensibilisation sur les stéréotypes et les questions d’égalité » à destination des autres collégiens. Enfin, en 3e, toujours à titre d’exemple, les élèves doivent apprendre à « inscrire la sexualité dans la définition et le respect des droits humains ». Parmi les activités proposées pour cette année-là, les collégiens peuvent fabriquer une affiche d’information sur les ressources locales et nationales en matière de contraception et d’IVG, par exemple.
@antoinettecostanza68199 сағат бұрын
@@soulawakening987exactement
@annieallietta119Күн бұрын
S'attaquer aux gosses est le plus grand scandale de la macronie,mais quand les français vont se débarrasser de ces pervers....
@kosmosysКүн бұрын
Bientôt.. très Bientôt... enfin je l espère
@etoiledusud299323 сағат бұрын
c'est la suite logique de leurs perversité
@tunkunrunk23 сағат бұрын
les américains ont dit non ! massivement . Aujourdhui , etre contre l'insécuirité , l'immigartion illégale, le non respects des enseignants, de la police , et contre l'enseignment du LGBT à l'ecole c'est etre raciste fasciste , hitlérien . Moi j'suis noir pur beurre , on me traitera aussi de raciste ? de fasciste ? nous en Afrique on ne veux pas de ça . La France est un beau pays , ne laissez pas tout ces industriels , les lobbies , l'industrie du X pervertir votre jeunesse
@huli855723 сағат бұрын
Macron n'en ayant pas...
@thierrymeulan348917 сағат бұрын
Pourquoi y a-il des pervers? En tous cas avec le programme prévu leurs nombres devrais diminuer. On ne parle pas de sexualité en maternelle. En maternelle, on parle d’éducation à la vie affective et relationnelle, plutôt que d’éducation à la sexualité. Parmi les objectifs fixés par l’Éducation nationale, on trouve : « Apprendre à connaître son corps », « comprendre ce qu’est l’intimité », « comprendre ce qu’est un secret », « identifier les adultes de confiance et apprendre à faire appel à eux » ou encore « vivre l’égalité entre les filles et les garçons et la liberté d’être soi-même dans les temps et les lieux de l’école ». À l’école primaire Les premières années de l’école primaire, l’éducation à la vie affective et relationnelle continue de se baser sur la considération du corps, des émotions et des règles de la vie collective. Puis, « étant donné les changements induits par la puberté et le passage progressif de l’enfance à l’adolescence », cette éducation évolue afin de permettre aux élèves « d’appréhender de manière éclairée les changements qu’ils constatent et éprouvent ». Au collège En classe de 6e, l’un des objectifs est de « comprendre et apprendre à vivre les changements de son corps ». À partir d’œuvres artistiques ou littéraires, les élèves peuvent « observer et analyser la diversité des représentations du corps sexué ». En 5e, il s’agit par exemple de « développer librement sa personnalité : savoir s’affirmer sans se sentir obligé ou contraint ». Sur la thématique des réseaux sociaux, l’Éducation nationale propose d’« analyser des publications d’adolescents dans les réseaux sociaux pour identifier et différencier ce qui relève de la vie privée ou de la vie publique, ce qui est légal ou ne l’est pas ». En 4e, un des objectifs est de « mettre en place et examiner les différentes définitions de la sexualité : reproduction, désir d’enfant, plaisir, amour, etc. ». Le programme propose aux enseignants et à leurs élèves de « réaliser une exposition de sensibilisation sur les stéréotypes et les questions d’égalité » à destination des autres collégiens. Enfin, en 3e, toujours à titre d’exemple, les élèves doivent apprendre à « inscrire la sexualité dans la définition et le respect des droits humains ». Parmi les activités proposées pour cette année-là, les collégiens peuvent fabriquer une affiche d’information sur les ressources locales et nationales en matière de contraception et d’IVG, par exemple.
@FabenVracКүн бұрын
L’école doit instruire et non éduquer. Je suis toujours étonné que personne ne réagisse à ce sujet, c’est le principe de la novlangue. Des mots tronqués et tout le monde trouve ça normal.
@MissMissile50520 сағат бұрын
Du coup le terme "Education Nationale" il sort d'où ? ( question non réthorique je précise )
@thierrymeulan348917 сағат бұрын
On ne parle pas de sexualité en maternelle. En maternelle, on parle d’éducation à la vie affective et relationnelle, plutôt que d’éducation à la sexualité. Parmi les objectifs fixés par l’Éducation nationale, on trouve : « Apprendre à connaître son corps », « comprendre ce qu’est l’intimité », « comprendre ce qu’est un secret », « identifier les adultes de confiance et apprendre à faire appel à eux » ou encore « vivre l’égalité entre les filles et les garçons et la liberté d’être soi-même dans les temps et les lieux de l’école ». À l’école primaire Les premières années de l’école primaire, l’éducation à la vie affective et relationnelle continue de se baser sur la considération du corps, des émotions et des règles de la vie collective. Puis, « étant donné les changements induits par la puberté et le passage progressif de l’enfance à l’adolescence », cette éducation évolue afin de permettre aux élèves « d’appréhender de manière éclairée les changements qu’ils constatent et éprouvent ». Au collège En classe de 6e, l’un des objectifs est de « comprendre et apprendre à vivre les changements de son corps ». À partir d’œuvres artistiques ou littéraires, les élèves peuvent « observer et analyser la diversité des représentations du corps sexué ». En 5e, il s’agit par exemple de « développer librement sa personnalité : savoir s’affirmer sans se sentir obligé ou contraint ». Sur la thématique des réseaux sociaux, l’Éducation nationale propose d’« analyser des publications d’adolescents dans les réseaux sociaux pour identifier et différencier ce qui relève de la vie privée ou de la vie publique, ce qui est légal ou ne l’est pas ». En 4e, un des objectifs est de « mettre en place et examiner les différentes définitions de la sexualité : reproduction, désir d’enfant, plaisir, amour, etc. ». Le programme propose aux enseignants et à leurs élèves de « réaliser une exposition de sensibilisation sur les stéréotypes et les questions d’égalité » à destination des autres collégiens. Enfin, en 3e, toujours à titre d’exemple, les élèves doivent apprendre à « inscrire la sexualité dans la définition et le respect des droits humains ». Parmi les activités proposées pour cette année-là, les collégiens peuvent fabriquer une affiche d’information sur les ressources locales et nationales en matière de contraception et d’IVG, par exemple.
@MatthieuDurbano15 сағат бұрын
@@MissMissile505 On parlait bien d'Instruction publique avant. Le changement de nom date du début des années 30 sous couvert d'universalisme...
@laurencecoeugneit386711 сағат бұрын
Et oui tout est biaisé l'éducation nationale devrait s'appeler instruction nationale car effectivement leur but est d'instruire et celui des parents d'éduquer !!!
@trekadouble75710 сағат бұрын
Pffff je pense qu'il faut être plus nuancé. Comme le professeur est seul à gérer sa classe et qu'il a la responsabilité du bien-être des enfants, puisqu'il est le seul adulte présent avec eux à l'école, il doit nécessairement aussi pouvoir les éduquer à travailler ensemble, ne pas déranger les autres, coopérer et se respecter. Si tu veux que le seul boulot du prof soit de venir, donner son cours et partir, alors il faut un surveillant par classe pour gérer la discipline. Deuxième argument, l'école a des moyens que les parents n'ont pas, donc il est positif que certains messages soient transmis à l'école aussi. Par exemple, les parents ne peuvent pas forcément inviter des policiers ou des pompiers ou des ambulanciers chez eux pour faire des séances de prévention sur la criminalité, les incendies ou les accidents divers. L'école peut le faire et c'est intéressant qu'elle le fasse. Quant à la sexualité, baaaah, techniquement, la reproduction et le fonctionnement des organes génitaux fait partie du programme de SVT. Les maladies y ont leur place aussi. Connaître la législation sur l'avortement et les droits parentaux pourrait parfaitement avoir sa place dans un cours de citoyenneté ou tout autre cours où on parle des lois. Certains m'ont déjà sorti que parler de consentement à l'école revient à éduquer les enfants plutôt qu'à les instruire, alors que si on l'aborde du point de vue des textes légaux, on en revient à étudier les institutions juridiques françaises et donc à instruire les enfants. Le sujet a sa place à l'école, maintenant il faut mieux la définir
@PA-jh5viКүн бұрын
Que les élèves apprennent à l'école à lire écrire compter calculer; le reste, c'est du flan.
@bobchristophe2242Күн бұрын
Apprendre à des enfants leur sexualité c’est appendre à un spe math en prépa la théorie des cordes, autrement dire un écart d’esprit trop élevé
@thierrymeulan348917 сағат бұрын
On ne parle pas de sexualité en maternelle. En maternelle, on parle d’éducation à la vie affective et relationnelle, plutôt que d’éducation à la sexualité. Parmi les objectifs fixés par l’Éducation nationale, on trouve : « Apprendre à connaître son corps », « comprendre ce qu’est l’intimité », « comprendre ce qu’est un secret », « identifier les adultes de confiance et apprendre à faire appel à eux » ou encore « vivre l’égalité entre les filles et les garçons et la liberté d’être soi-même dans les temps et les lieux de l’école ». À l’école primaire Les premières années de l’école primaire, l’éducation à la vie affective et relationnelle continue de se baser sur la considération du corps, des émotions et des règles de la vie collective. Puis, « étant donné les changements induits par la puberté et le passage progressif de l’enfance à l’adolescence », cette éducation évolue afin de permettre aux élèves « d’appréhender de manière éclairée les changements qu’ils constatent et éprouvent ». Au collège En classe de 6e, l’un des objectifs est de « comprendre et apprendre à vivre les changements de son corps ». À partir d’œuvres artistiques ou littéraires, les élèves peuvent « observer et analyser la diversité des représentations du corps sexué ». En 5e, il s’agit par exemple de « développer librement sa personnalité : savoir s’affirmer sans se sentir obligé ou contraint ». Sur la thématique des réseaux sociaux, l’Éducation nationale propose d’« analyser des publications d’adolescents dans les réseaux sociaux pour identifier et différencier ce qui relève de la vie privée ou de la vie publique, ce qui est légal ou ne l’est pas ». En 4e, un des objectifs est de « mettre en place et examiner les différentes définitions de la sexualité : reproduction, désir d’enfant, plaisir, amour, etc. ». Le programme propose aux enseignants et à leurs élèves de « réaliser une exposition de sensibilisation sur les stéréotypes et les questions d’égalité » à destination des autres collégiens. Enfin, en 3e, toujours à titre d’exemple, les élèves doivent apprendre à « inscrire la sexualité dans la définition et le respect des droits humains ». Parmi les activités proposées pour cette année-là, les collégiens peuvent fabriquer une affiche d’information sur les ressources locales et nationales en matière de contraception et d’IVG, par exemple.
@PA-jh5vi15 сағат бұрын
@@thierrymeulan3489 C'est gentil de nous réciter les objectifs de l'EN, mais une fois encore est-ce le rôle de l'école de parler aux enfants d'homosexualité, de pornographie, de prostitution, de sodomie; surtout quand on connait le niveau misérable des élèves français en lecture orthographe et résolution de problème. L'égalité fille garçon à la maternelle; mais cela n'existe pas. Pour preuve, il y a des toilettes filles et des toilettes garçons, des vestiaires filles et des vestiaires garçons, des coiffeurs pour hommes et des coiffeurs pour femmes, des chaussures pour hommes et des chaussures pour femmes, des parfums pour hommes et des parfums pour femmes, des magasins de vêtements pour hommes et des magasins de vêtements pour femmes, de la presse féminine... En 3ème "fabriquer une affiche d’information en matière de contraception et d’IVG"; déjà le terme IVG est une arnaque: une interruption est une pause dans le déroulement d'un processus. Après un avortement, la grossesse en question est irrémédiablement terminée. Je n'ai pas envie de cette propagande pour mes enfants; qu'une femme peut décider de tuer l'enfant à naître qu'elle porte si elle le souhaite.
@letoiledelesperance5471Күн бұрын
C'est aux parents d'aborder l'éducation sexuelle, et cela, au BON MOMENT ! Les jeunes enfants peuvent être très mal à l'aise lorsqu'ils ne sont pas prêts. Laissons les profiter de leur enfance, cette société leur vole déjà beaucoup trop ! Merci pour ce partage 🙏
@Nonalhomophobie19 сағат бұрын
Non, ce n’est pas aux parents. On ne peut pas faire confiance aux parents pour parler de ce genre de choses, quand on sait les horreurs sexistes ou homophobes que certains peuvent sortir.
@soazigjoly673018 сағат бұрын
@@Nonalhomophobie je ne sais pas ce que vous avez fait avec vos enfants, mais c'est vous que ça regarde, la connerie fait partie de ce monde, ce n'est pas en choquant des enfants que ça va s'améliorer!
@thierrymeulan348917 сағат бұрын
On ne parle pas de sexualité en maternelle. En maternelle, on parle d’éducation à la vie affective et relationnelle, plutôt que d’éducation à la sexualité. Parmi les objectifs fixés par l’Éducation nationale, on trouve : « Apprendre à connaître son corps », « comprendre ce qu’est l’intimité », « comprendre ce qu’est un secret », « identifier les adultes de confiance et apprendre à faire appel à eux » ou encore « vivre l’égalité entre les filles et les garçons et la liberté d’être soi-même dans les temps et les lieux de l’école ». À l’école primaire Les premières années de l’école primaire, l’éducation à la vie affective et relationnelle continue de se baser sur la considération du corps, des émotions et des règles de la vie collective. Puis, « étant donné les changements induits par la puberté et le passage progressif de l’enfance à l’adolescence », cette éducation évolue afin de permettre aux élèves « d’appréhender de manière éclairée les changements qu’ils constatent et éprouvent ». Au collège En classe de 6e, l’un des objectifs est de « comprendre et apprendre à vivre les changements de son corps ». À partir d’œuvres artistiques ou littéraires, les élèves peuvent « observer et analyser la diversité des représentations du corps sexué ». En 5e, il s’agit par exemple de « développer librement sa personnalité : savoir s’affirmer sans se sentir obligé ou contraint ». Sur la thématique des réseaux sociaux, l’Éducation nationale propose d’« analyser des publications d’adolescents dans les réseaux sociaux pour identifier et différencier ce qui relève de la vie privée ou de la vie publique, ce qui est légal ou ne l’est pas ». En 4e, un des objectifs est de « mettre en place et examiner les différentes définitions de la sexualité : reproduction, désir d’enfant, plaisir, amour, etc. ». Le programme propose aux enseignants et à leurs élèves de « réaliser une exposition de sensibilisation sur les stéréotypes et les questions d’égalité » à destination des autres collégiens. Enfin, en 3e, toujours à titre d’exemple, les élèves doivent apprendre à « inscrire la sexualité dans la définition et le respect des droits humains ». Parmi les activités proposées pour cette année-là, les collégiens peuvent fabriquer une affiche d’information sur les ressources locales et nationales en matière de contraception et d’IVG, par exemple.
@Nonalhomophobie10 сағат бұрын
@ Mais de quoi tu parles de choquer des enfants ? Il s’agit de les éduquer !
@Toscano47Күн бұрын
À aucun moment vous ne parlez des associations comme SOS EDUCATION ou LES MAMANS LOUVES. Pourquoi ?
@stelliomars5884Күн бұрын
Ainsi que le site : Par// ents en col// ère, qui sont très actifs.
@mickaelpagnier39Күн бұрын
Le fait d'évoquer l'éducation à la sexualité est inapproprié dans le cadre scolaire, car c'est de l'ordre de l'intime. Ceux qui font ça ne sont absolument pas "bienveillants" et cherchent juste à pousser un agenda idéologique "déconstructiviste" au détriment de l'évolution naturelle de publics fragiles. L'éducation sexuelle" (la biologie, les caractères sexuels primaire et secondaire, les hormones, le système reproductif, et des notions de base comme le consentement sans que cela ne soit dévoyé à des fins idéologiques, mais certainement pas la "sexualité" en termes de "pratiques" ou "d'orientations"), à sa place dans le cadre académique (si on ne laisse pas les associations et autres éléments extérieurs ou idéologiques s'en emparer). Protégeons nos enfants !
@BullebizzareКүн бұрын
Je sens que mon enfant sera malade ces jours là
@Eloh_67Күн бұрын
Le problème c'est que l'école ne donne aucune date justement pour que les parents ne retirent pas leurs enfants ces jours là. C'est aberrant.
@anges98077 сағат бұрын
Vous n'aurez pas les dates. J'ai déjà demandé ils restent évasifs et dramatiquement collabos du gouvernement !!
@Nonalhomophobie5 сағат бұрын
@@anges9807 T'es cinglé.
@jean-christophedici1928Күн бұрын
Ça me rend FURIEUX, papa de 3 enfants que la maman a amené à plus de 900km de leur papa. J'ai tout de même contacté les 2 établissements de mes enfants pour poser cette question!! Je suis FURIEUX contre ce gouvernement qui est très très fondamentale néfaste!!!!!
@tunkunrunk23 сағат бұрын
mon frere , moi aussi je suis papa , tu sais , les industries du X , à court d'argent veulent se rabattre sur nos enfants pour gagner encore plus , sexualisont les enfants , pour creer des nouveaux besoins que eux ils satisfairont , et c'est nous les parents qui passeront à la caisse
@thierrymeulan348917 сағат бұрын
On ne parle pas de sexualité en maternelle. En maternelle, on parle d’éducation à la vie affective et relationnelle, plutôt que d’éducation à la sexualité. Parmi les objectifs fixés par l’Éducation nationale, on trouve : « Apprendre à connaître son corps », « comprendre ce qu’est l’intimité », « comprendre ce qu’est un secret », « identifier les adultes de confiance et apprendre à faire appel à eux » ou encore « vivre l’égalité entre les filles et les garçons et la liberté d’être soi-même dans les temps et les lieux de l’école ». À l’école primaire Les premières années de l’école primaire, l’éducation à la vie affective et relationnelle continue de se baser sur la considération du corps, des émotions et des règles de la vie collective. Puis, « étant donné les changements induits par la puberté et le passage progressif de l’enfance à l’adolescence », cette éducation évolue afin de permettre aux élèves « d’appréhender de manière éclairée les changements qu’ils constatent et éprouvent ». Au collège En classe de 6e, l’un des objectifs est de « comprendre et apprendre à vivre les changements de son corps ». À partir d’œuvres artistiques ou littéraires, les élèves peuvent « observer et analyser la diversité des représentations du corps sexué ». En 5e, il s’agit par exemple de « développer librement sa personnalité : savoir s’affirmer sans se sentir obligé ou contraint ». Sur la thématique des réseaux sociaux, l’Éducation nationale propose d’« analyser des publications d’adolescents dans les réseaux sociaux pour identifier et différencier ce qui relève de la vie privée ou de la vie publique, ce qui est légal ou ne l’est pas ». En 4e, un des objectifs est de « mettre en place et examiner les différentes définitions de la sexualité : reproduction, désir d’enfant, plaisir, amour, etc. ». Le programme propose aux enseignants et à leurs élèves de « réaliser une exposition de sensibilisation sur les stéréotypes et les questions d’égalité » à destination des autres collégiens. Enfin, en 3e, toujours à titre d’exemple, les élèves doivent apprendre à « inscrire la sexualité dans la définition et le respect des droits humains ». Parmi les activités proposées pour cette année-là, les collégiens peuvent fabriquer une affiche d’information sur les ressources locales et nationales en matière de contraception et d’IVG, par exemple.
@nicoleroyer9389Күн бұрын
L école c est fait pour le français les maths l'histoire et la géographie et non pour ce que veut imposer l état et l Europe
@alexandre.lacour20 сағат бұрын
Le problème, ce n'est pas l'éducation sexuelle. Le problème, c'est le militantisme qui s'invite bien trop souvent et veut imposer sa morale sans se soucier de celle des autres. L'intime n'a pas à répondre aux exigences de parfaits inconnus.
@clochette337820 сағат бұрын
cest grave grave grave le bien est appelé mal et le mal est appelé bien il faut resister
@JH-ol9sbКүн бұрын
Mais ça veut dire qu'emmanuel ne pouvait pas consentir avec brigitte ?! 😱
@graklianiigoeti554722 сағат бұрын
Moi j'ai été viré de l'éducation nationale pour avoir critiqué les cours d'éducation sexuelle en salle des profs. J'en suis tellement fier que je l'ai presque mis dans mon CV.
@thierrymeulan348917 сағат бұрын
On ne parle pas de sexualité en maternelle. En maternelle, on parle d’éducation à la vie affective et relationnelle, plutôt que d’éducation à la sexualité. Parmi les objectifs fixés par l’Éducation nationale, on trouve : « Apprendre à connaître son corps », « comprendre ce qu’est l’intimité », « comprendre ce qu’est un secret », « identifier les adultes de confiance et apprendre à faire appel à eux » ou encore « vivre l’égalité entre les filles et les garçons et la liberté d’être soi-même dans les temps et les lieux de l’école ». À l’école primaire Les premières années de l’école primaire, l’éducation à la vie affective et relationnelle continue de se baser sur la considération du corps, des émotions et des règles de la vie collective. Puis, « étant donné les changements induits par la puberté et le passage progressif de l’enfance à l’adolescence », cette éducation évolue afin de permettre aux élèves « d’appréhender de manière éclairée les changements qu’ils constatent et éprouvent ». Au collège En classe de 6e, l’un des objectifs est de « comprendre et apprendre à vivre les changements de son corps ». À partir d’œuvres artistiques ou littéraires, les élèves peuvent « observer et analyser la diversité des représentations du corps sexué ». En 5e, il s’agit par exemple de « développer librement sa personnalité : savoir s’affirmer sans se sentir obligé ou contraint ». Sur la thématique des réseaux sociaux, l’Éducation nationale propose d’« analyser des publications d’adolescents dans les réseaux sociaux pour identifier et différencier ce qui relève de la vie privée ou de la vie publique, ce qui est légal ou ne l’est pas ». En 4e, un des objectifs est de « mettre en place et examiner les différentes définitions de la sexualité : reproduction, désir d’enfant, plaisir, amour, etc. ». Le programme propose aux enseignants et à leurs élèves de « réaliser une exposition de sensibilisation sur les stéréotypes et les questions d’égalité » à destination des autres collégiens. Enfin, en 3e, toujours à titre d’exemple, les élèves doivent apprendre à « inscrire la sexualité dans la définition et le respect des droits humains ». Parmi les activités proposées pour cette année-là, les collégiens peuvent fabriquer une affiche d’information sur les ressources locales et nationales en matière de contraception et d’IVG, par exemple.
@boblebulotrocuit11 сағат бұрын
@@thierrymeulan3489tu fais pitié.
@Nonalhomophobie8 сағат бұрын
@@boblebulotrocuit Et pourquoi ?
@boblebulotrocuit8 сағат бұрын
@@Nonalhomophobie parce-ce qu'il fait copié collé sur tous les commentaires
@Nonalhomophobie8 сағат бұрын
@@boblebulotrocuit Ben il/elle a raison, c'est tout ce qu'il y a à savoir alors que beaucoup d'ignorants déforment les faits sur l'éducation sexuelle avec des propos dignes du Moyen-Age.
@robertdumout1505Күн бұрын
Merci Charlotte 🙏
@JeanMarieBounousКүн бұрын
On marche sur la tête. C'est pas a l' éducation nationale de s occupé de nos enfants mais plutôt à nous parents.mais c'est quoi ce gouvernement
@bett.C9954Күн бұрын
C'est le projet mondial.. ce n'est même pas notre gouvernement, qui n'est qu'un pantin dans ce grand carnaval grotesque.
@thierrymeulan348917 сағат бұрын
On ne parle pas de sexualité en maternelle. En maternelle, on parle d’éducation à la vie affective et relationnelle, plutôt que d’éducation à la sexualité. Parmi les objectifs fixés par l’Éducation nationale, on trouve : « Apprendre à connaître son corps », « comprendre ce qu’est l’intimité », « comprendre ce qu’est un secret », « identifier les adultes de confiance et apprendre à faire appel à eux » ou encore « vivre l’égalité entre les filles et les garçons et la liberté d’être soi-même dans les temps et les lieux de l’école ». À l’école primaire Les premières années de l’école primaire, l’éducation à la vie affective et relationnelle continue de se baser sur la considération du corps, des émotions et des règles de la vie collective. Puis, « étant donné les changements induits par la puberté et le passage progressif de l’enfance à l’adolescence », cette éducation évolue afin de permettre aux élèves « d’appréhender de manière éclairée les changements qu’ils constatent et éprouvent ». Au collège En classe de 6e, l’un des objectifs est de « comprendre et apprendre à vivre les changements de son corps ». À partir d’œuvres artistiques ou littéraires, les élèves peuvent « observer et analyser la diversité des représentations du corps sexué ». En 5e, il s’agit par exemple de « développer librement sa personnalité : savoir s’affirmer sans se sentir obligé ou contraint ». Sur la thématique des réseaux sociaux, l’Éducation nationale propose d’« analyser des publications d’adolescents dans les réseaux sociaux pour identifier et différencier ce qui relève de la vie privée ou de la vie publique, ce qui est légal ou ne l’est pas ». En 4e, un des objectifs est de « mettre en place et examiner les différentes définitions de la sexualité : reproduction, désir d’enfant, plaisir, amour, etc. ». Le programme propose aux enseignants et à leurs élèves de « réaliser une exposition de sensibilisation sur les stéréotypes et les questions d’égalité » à destination des autres collégiens. Enfin, en 3e, toujours à titre d’exemple, les élèves doivent apprendre à « inscrire la sexualité dans la définition et le respect des droits humains ». Parmi les activités proposées pour cette année-là, les collégiens peuvent fabriquer une affiche d’information sur les ressources locales et nationales en matière de contraception et d’IVG, par exemple.
@bett.C99545 сағат бұрын
@thierrymeulan3489 et donc?
@chouquette2097Күн бұрын
merci et bravo !
@ronan8211Күн бұрын
On demande à des névrosés de venir transmettre tous les problèmes qu'ils ont dans la têtes, à des enfants. J'ai rien contre les névrosés je le suis aussi de temps en temps, mais la chose qu'on a envie de faire dans ces cas là, c'est de préserver les autres qui ne sont pas concernés par ces problèmes. Je parlais pour ce qu'est identité de genre. Sur les violences s et s il suffit juste de faire de l'éducation civique et morale en fait et d'apprendre aux enfants à être des bons citoyens. La question de la non violence sur conjoint et du consentement en sont des conséquences. J'ai du mal à comprendre ce qu'il se passe dans la tête de tous ces progressistes mais ca me fait de la peine pour eux. Ils doivent avoir un entourage vraiment malsain pour avoir cette vision sur le monde.
@passantparhasardКүн бұрын
J'ai un passé dépressif, mais je n'arrive pas à comprendre que devant un gamin, certains n'aient même pas le réflexe de se comporter en adultes.
@beatriceilly2649Күн бұрын
On ne touche pas aux enfants et cessons ces théories fumeuses du genre qui dévoyent les enfants
@VictorDUBOIS-w4tКүн бұрын
Bonjour Charlotte , moi je suis farouchement contre l'éducation sexuel à l'école , c'est une ruse pour pouvoir aborder le sex avec eux , foutez la paix à nos enfants.
@boysdontcryvssКүн бұрын
etre farouchement contre l'education sexuel a l'école c'est une ruse pour pouvoir abuser de ces enfants et être sur qu'il ne vous dénonce jamais
@didierdeam2273Күн бұрын
C'est sûr que c'est urgent d'apprendre la sexualité à des enfants qui ne savent plus écrire. Et apprendre à réfléchir par soi-même serait dangereux pour ceux qui mènent le monde à sa perte... Détruire la famille au service d'un plan machiavélique.
@Lexitop-T37Күн бұрын
Bonsoir au plateau Charlotte explique tjrs TB, ce sujet n'est pas assez révélé au grand jour c'est honteux rt cette nouvelee ministre de l'éducation nat. dabs ke déni total, ils sont de pire en pire à ce poste, on tombe très bas . Conclusion: ils veulent que la pedocriminalite soit normalisée puisqu'ils la pratiquent eux même 🥶👿
@LaelVideosКүн бұрын
Enfin de vraies informations détaillées et argumentées sur le sujet. Car dans la presse mainstream, notamment le service public, il n'y a strictement aucune information à part dire que des réacs et l'extrême droite sont contre l'éducation des enfants...
@thierrymeulan348917 сағат бұрын
On ne parle pas de sexualité en maternelle. En maternelle, on parle d’éducation à la vie affective et relationnelle, plutôt que d’éducation à la sexualité. Parmi les objectifs fixés par l’Éducation nationale, on trouve : « Apprendre à connaître son corps », « comprendre ce qu’est l’intimité », « comprendre ce qu’est un secret », « identifier les adultes de confiance et apprendre à faire appel à eux » ou encore « vivre l’égalité entre les filles et les garçons et la liberté d’être soi-même dans les temps et les lieux de l’école ». À l’école primaire Les premières années de l’école primaire, l’éducation à la vie affective et relationnelle continue de se baser sur la considération du corps, des émotions et des règles de la vie collective. Puis, « étant donné les changements induits par la puberté et le passage progressif de l’enfance à l’adolescence », cette éducation évolue afin de permettre aux élèves « d’appréhender de manière éclairée les changements qu’ils constatent et éprouvent ». Au collège En classe de 6e, l’un des objectifs est de « comprendre et apprendre à vivre les changements de son corps ». À partir d’œuvres artistiques ou littéraires, les élèves peuvent « observer et analyser la diversité des représentations du corps sexué ». En 5e, il s’agit par exemple de « développer librement sa personnalité : savoir s’affirmer sans se sentir obligé ou contraint ». Sur la thématique des réseaux sociaux, l’Éducation nationale propose d’« analyser des publications d’adolescents dans les réseaux sociaux pour identifier et différencier ce qui relève de la vie privée ou de la vie publique, ce qui est légal ou ne l’est pas ». En 4e, un des objectifs est de « mettre en place et examiner les différentes définitions de la sexualité : reproduction, désir d’enfant, plaisir, amour, etc. ». Le programme propose aux enseignants et à leurs élèves de « réaliser une exposition de sensibilisation sur les stéréotypes et les questions d’égalité » à destination des autres collégiens. Enfin, en 3e, toujours à titre d’exemple, les élèves doivent apprendre à « inscrire la sexualité dans la définition et le respect des droits humains ». Parmi les activités proposées pour cette année-là, les collégiens peuvent fabriquer une affiche d’information sur les ressources locales et nationales en matière de contraception et d’IVG, par exemple.
@LaelVideos17 сағат бұрын
@thierrymeulan3489 vous êtes en train de reprendre le programme en 65 pages tel que formulé par le Conseil Supérieur des programmes. Il est améliorable mais c'est pas le principal souci. Le problème c'est ce qu'il est devenu après son passage par le CESE qui veut littéralement le transformer en cheval de Troie idéologique avec un rapport de 350 pages. Même en passant par la direction générale de l'enseignement scolaire.
@thierrymeulan348917 сағат бұрын
@@LaelVideos Idéologique, ça dépend pour qui. Pour les cathos surement.
@Rosalieneel20 сағат бұрын
Vous êtes vraiment admirable Mme D Ornellas !! Merci à vous de votre point de vue objectif et clair !
@thierrymeulan348917 сағат бұрын
On ne parle pas de sexualité en maternelle. En maternelle, on parle d’éducation à la vie affective et relationnelle, plutôt que d’éducation à la sexualité. Parmi les objectifs fixés par l’Éducation nationale, on trouve : « Apprendre à connaître son corps », « comprendre ce qu’est l’intimité », « comprendre ce qu’est un secret », « identifier les adultes de confiance et apprendre à faire appel à eux » ou encore « vivre l’égalité entre les filles et les garçons et la liberté d’être soi-même dans les temps et les lieux de l’école ». À l’école primaire Les premières années de l’école primaire, l’éducation à la vie affective et relationnelle continue de se baser sur la considération du corps, des émotions et des règles de la vie collective. Puis, « étant donné les changements induits par la puberté et le passage progressif de l’enfance à l’adolescence », cette éducation évolue afin de permettre aux élèves « d’appréhender de manière éclairée les changements qu’ils constatent et éprouvent ». Au collège En classe de 6e, l’un des objectifs est de « comprendre et apprendre à vivre les changements de son corps ». À partir d’œuvres artistiques ou littéraires, les élèves peuvent « observer et analyser la diversité des représentations du corps sexué ». En 5e, il s’agit par exemple de « développer librement sa personnalité : savoir s’affirmer sans se sentir obligé ou contraint ». Sur la thématique des réseaux sociaux, l’Éducation nationale propose d’« analyser des publications d’adolescents dans les réseaux sociaux pour identifier et différencier ce qui relève de la vie privée ou de la vie publique, ce qui est légal ou ne l’est pas ». En 4e, un des objectifs est de « mettre en place et examiner les différentes définitions de la sexualité : reproduction, désir d’enfant, plaisir, amour, etc. ». Le programme propose aux enseignants et à leurs élèves de « réaliser une exposition de sensibilisation sur les stéréotypes et les questions d’égalité » à destination des autres collégiens. Enfin, en 3e, toujours à titre d’exemple, les élèves doivent apprendre à « inscrire la sexualité dans la définition et le respect des droits humains ». Parmi les activités proposées pour cette année-là, les collégiens peuvent fabriquer une affiche d’information sur les ressources locales et nationales en matière de contraception et d’IVG, par exemple.
@jeanpierre335917 сағат бұрын
Que l’école s’occupe d’apprendre à nos enfants à lire et à compter. La sexualité est du resort de l’éducation familiale; cela n’a rien d’académique.
@jean4003Күн бұрын
Qu’est-ce que je suis heureux que mes enfants ne soit plus à l’école, je plains, mais alors de tout mon cœur, les parents qui mettent leurs enfants dans l’école française, maintenant l’école de la soi-disant république bananière
@Johannad102Күн бұрын
Que l’Etat reste à sa place et fasse son taff … qu’il n’arrive déjà pas à faire. C’est à dire retrouver sa souveraineté et protéger sa population en assurant ses fonctions régaliennes: police, justice, monnaie, et apprendre à lire, écrire et compter à sa population
@VeroniqueRobin-gb3ux20 сағат бұрын
Tout à fait d'accord. Rien à ajouter.
@olivier-leglapeutКүн бұрын
Rien a rajouter, bravo pour cette analyse pertinente et bien traité 👏
@thierrymeulan348917 сағат бұрын
On ne parle pas de sexualité en maternelle. En maternelle, on parle d’éducation à la vie affective et relationnelle, plutôt que d’éducation à la sexualité. Parmi les objectifs fixés par l’Éducation nationale, on trouve : « Apprendre à connaître son corps », « comprendre ce qu’est l’intimité », « comprendre ce qu’est un secret », « identifier les adultes de confiance et apprendre à faire appel à eux » ou encore « vivre l’égalité entre les filles et les garçons et la liberté d’être soi-même dans les temps et les lieux de l’école ». À l’école primaire Les premières années de l’école primaire, l’éducation à la vie affective et relationnelle continue de se baser sur la considération du corps, des émotions et des règles de la vie collective. Puis, « étant donné les changements induits par la puberté et le passage progressif de l’enfance à l’adolescence », cette éducation évolue afin de permettre aux élèves « d’appréhender de manière éclairée les changements qu’ils constatent et éprouvent ». Au collège En classe de 6e, l’un des objectifs est de « comprendre et apprendre à vivre les changements de son corps ». À partir d’œuvres artistiques ou littéraires, les élèves peuvent « observer et analyser la diversité des représentations du corps sexué ». En 5e, il s’agit par exemple de « développer librement sa personnalité : savoir s’affirmer sans se sentir obligé ou contraint ». Sur la thématique des réseaux sociaux, l’Éducation nationale propose d’« analyser des publications d’adolescents dans les réseaux sociaux pour identifier et différencier ce qui relève de la vie privée ou de la vie publique, ce qui est légal ou ne l’est pas ». En 4e, un des objectifs est de « mettre en place et examiner les différentes définitions de la sexualité : reproduction, désir d’enfant, plaisir, amour, etc. ». Le programme propose aux enseignants et à leurs élèves de « réaliser une exposition de sensibilisation sur les stéréotypes et les questions d’égalité » à destination des autres collégiens. Enfin, en 3e, toujours à titre d’exemple, les élèves doivent apprendre à « inscrire la sexualité dans la définition et le respect des droits humains ». Parmi les activités proposées pour cette année-là, les collégiens peuvent fabriquer une affiche d’information sur les ressources locales et nationales en matière de contraception et d’IVG, par exemple.
@vinceuvalle4082Күн бұрын
perso je pense que la biologie a raison et que le reste est juste un cas psychiatrique mais ça reste mon avis ..
@paseropierre6864Күн бұрын
Tous à fait d'accord le reste à besoin d'un bon psy.
@vincentrichard2703Күн бұрын
C'est juste du bon sens...
@sylviefayolle3158Күн бұрын
Sexualité et maternelle ne vont pas ensemble. Lâchez les gosses ,😡😡
@am3liberte939Күн бұрын
Pas plus pr le primaire,et pas sous cette forme orientée et porno en collège,et au lycée tu les envoies « ch.er » C’est leur vie,pas celle de ces enfants adultes dégénérés dits « progessistes » Planning familial = danger!
@fauve6269Күн бұрын
L'école c'est math et français et histoire et le sport
@thomasduranceau444Күн бұрын
Mais ça c'était avant. C'était la belle époque. 😒
@claudinefaure9090Күн бұрын
Oui et en français, on apprend à lire. Et on peut lire " on ne naît pas femme, on le devient". Là dessus on peut réfléchir
@Emeric62Күн бұрын
Et la discipline !
@valentinanon7883Күн бұрын
@@claudinefaure9090 Pas besoin de beaucoup de réflexion puisque ce n'est pas le cas! Sauf pour les idiots utiles de cette idéologie mortifère et né d'un délire de psychopathes qui ont réussi à le faire devenir un délire collectif par ingiénerie sociale !! 🤭😳😔
@vincentrichard2703Күн бұрын
@@claudinefaure9090on né fille et on devient femme, tout comme on né garçon et on devient homme. Toute autre combinaison n'est que délire 🤣
@leftjoКүн бұрын
Que le l'état fasse ce qu'il doit faire. Et je me charge d'éduquer mes enfants.
@Nonalhomophobie19 сағат бұрын
C’est à l’école de faire l’éducation sexuelle des enfants, pas aux parents.
@Winnie6749311 сағат бұрын
Pour qui vous prenez-vous ?
@leftjo8 сағат бұрын
@@Nonalhomophobie vos parents n'ont pas dû vous rater effectivement
@Nonalhomophobie8 сағат бұрын
@@leftjo Effectivement ils ne m'ont pas raté du tout. Les tiens, par contre...
@leftjo8 сағат бұрын
@Nonalhomophobie tu as trop de reparti pour moi, tu as gagné.
@micouhenry12Күн бұрын
Définition de l'école :L'école sert à INSTRUIRE les élèves, à leur transmettre des connaissances. À l'école, on apprend à lire, écrire, compter et à comprendre l'histoire du monde, la géographie. DONC l'éducation n'appartient pas aux devoirs de l'école mais AUX PARENTS, l'école sort totalement de ses droits et devoirs.
@FozzieBx23 сағат бұрын
On rappellera que la corruption de mineur est un délit grave. Beaucoup semblent l'avoir oublié.
@VeroniqueRobin-gb3ux20 сағат бұрын
La France est au bord du gouffre et voilà de quoi se préoccupent des gens payés par nos impôts: parler de zizi à des gosses de 3 ans. On a vraiment touché le fond.
@joseoncrack18 сағат бұрын
Quand tu vois le niveau catastrophique des élèves actuellement, c'est totalement délirant. Ils sauront en détail faire des p* avant de savoir lire et écrire. Tout cela dans le but prétendu de les armer contre la p*doc*. De qui se moque-t-on? (Comme si, d'ailleurs, le problème serait que les enfants ne savent pas ce qui est ou n'est pas acceptable avec un adulte, ce qui est l'argument sous-jacent, qui est en soi un argument complètement tordu. Comme si les agre**eurs leurs demandaient leur avis. Et tout ça en enterrant systématiquement toutes les enquêtes sérieuses d'affaire p*oc*. Sinistre farce.)
@stefguta4278Күн бұрын
Sinon, un p'tit truc comme ça en passant. La France est classé 22 ème en maths 24 ème en compréhension de l'écrit et 22 en sciences.. Voilà parmi les 38 pays de l'OCDE.(Voir classement PISA) . Mais c'est certainement plus important de faire des cours d'éducation sexuelle hein...
@philippeboissard9494Күн бұрын
Ils leur apprennent LGBT avant ABCD 😕
@letoiledelesperance54714 сағат бұрын
@@philippeboissard9494 👍🤣
@evelynegenette1117Күн бұрын
Dans un monde normal, les enseignants peuvent très bien refuser ces cours scandaleux et faire grève pour protéger les enfants dont ils la charge d'instruire, mais pas la sexualité. Notre pays par vraiment en cacahuètes.
@vincentrichard2703Күн бұрын
Il ne le feront pas, soit par crainte d'être qualifiés de fachos, soit parce qu'ils sont d'accord 🤮
@g.c.1488Күн бұрын
Je remarque qu'il n'est jamais question de l'effectivité de la prévention contre les abus. Alors qu'elle sert d'argument pour défendre ces programmes il semble que sa transmission et même son existence simple préoccupe assez peu en contradiction avec l'importance qui lui est donnée. Sophie Auduger avec son association avait d'ailleurs relevé de nombreux cas dans lesquels elle était absente, balayés d'un revers de main au prétexte que tout n'était que mensonge. Nous sommes donc face à la première œuvre humaine pure et parfaite. Le sujet serait sérieux si de nombreux contrôles avaient lieu étant donné le risque d'atteinte au psychisme d'une génération entière, la légèreté avec laquelle le sujet est abordé souligne à mon sens le peu de sincérité des partisans de cette instruction a la sexualité.
@sarahperreaux8261Күн бұрын
Dans ce monde fou, l’institution en famille est l’avenir.
@bulbizarre2726Күн бұрын
Moi je pense qu'on devait plutôt leur enseigner la cuisine, la nature/le jardinage et le bricolage.
@michelaubry4518Күн бұрын
Et bien ce n est pas avec l état de s occuper de ca l état aujourd'hui veut faire des lois pour des règles pour tout et ne s occupe pas du plus urgent
@passantparhasardКүн бұрын
Il y a 3 mille milliards de dette, on fouille les fonds de culotte...
@Rose-jm8xf20 сағат бұрын
Nous parlons d'un fait qui n'est jamais arrivé par le passé...et qui peut desaxer la jeunesse..on marche sur la tête.
@luqman_405320 сағат бұрын
La France a chassé la pudeur de l'école mais voici que l'idéologie LGBT et les cours d'éducation sexuelle y entrent par la porte et les fenêtres. La situation devient critique à présent!!
@chantalhue96073 сағат бұрын
Les parents doivent protéger les enfants de ces pervers 😡😡😡
@Nonalhomophobie3 сағат бұрын
Non, il faut protéger les enfants des parents pervers qui leur enseigneront n'importe quoi sur la sexualité !
@michelaubry4518Күн бұрын
Les politiques et l éducation se mêlent de ce qui les regardes pas ils fond les bases de la sexualités l utilisation de préservatif et rien d autres le reste c est la responsabilité des parents l état n est pas le centre de assistance
@MrElGorillazКүн бұрын
Le probleme, c'est de trouver le juste milieu. Mettre l'ES uniquement sur les parents est tres mauvais aussi, entre ceux tellement coincés au'ils n'en parlerons pas du tout. Ceux qui "touchent" leurs propre gosses, qui evidemment ne vont pas parler que ce n'est pas correcte. Et ceux qui vont essayer d'endrocrinner leurs gosses pour des LGBTIQIAPDF...
@michelaubry4518Күн бұрын
@MrElGorillaz oui ça je le comprends mais il y a des limites prévenir les abus sexuelle et les bases des attribues ok mais pas au-delà et à partir de 3ans c est normal importe quoi
@vincentrichard2703Күн бұрын
@@MrElGorillaz ce ne sont pas les parents qui endoctrinent leurs enfants sur la "cause" LGBTQ++++... Fort heureusement les "parents" de ce genre sont encore une très faible minorité ! On peut expliquer aux enfants ce qu'est l'inceste sans rentrer dans des détails scabreux ou alambiqués de consentement... Consentement de quoi à 5 ans ???!!!
@micheldl70721 сағат бұрын
Les garçons naissent dans les choux et les filles dans les roses... Et non l'inverse comme l'école publique voudrait nous le faire croire... C est le curé de la paroisse qui nous l a dit...😊
@henricochet585019 сағат бұрын
Ce n'était pas des cigognes ?
@micheldl70712 сағат бұрын
@henricochet5850 DES CIGOGNES....!!! Vous êtes d un naïf mon pauvre ami 😊😊
@henricochet58505 сағат бұрын
@@micheldl707 vous verrez de détruire mes illusions 😭
@EdmondHenry-cv6mxКүн бұрын
On veut changer la société.
@tunkunrunk23 сағат бұрын
qui se cache derriere ce on ? il faudrait qu'on remonte aux sources , qui impose le LGBT à l'école ? tu verra que il y a des industriels derriere , ils ont dejas une panoplie de jouets , de gadgets , de loviciels , de jeux à vendre aux enfants leurs prochaines victimes , dès qu'ils seront sexualisés à outrence
@anges98077 сағат бұрын
Qu'ils se mefient☝️ car la société est bien en train de changer justement et pas dans leur sens !!
@ChristAxelAndre-vx7bm20 сағат бұрын
Et le travail de ces infirmières étaient lui construit à chaque fois en fonction du niveau, de l'âge des enfants, dans un grand respect ... sans toutes ces horreurs
@Lipalipa8017Күн бұрын
Je me souviens que j'avais une copine en primaire. J'allais chez elle et on dormait ensemble, libre de toutes ces idéologies minables.... Ne pas mentir, être honnète, restecter ses profs, savoir écouter, se taire aussi parfois, pardonner, préter... c'est ca que l'on doit transmettre à nos enfants. Mon amie a sa fille aveugle, elle ne demande pas à tout le monde d'être aveugle.... Je suis triste....
@anne-laurecomte9536Күн бұрын
Merci Charlotte
@bett.C9954Күн бұрын
Tous ces chamboulements étaient évidemment prévus avant le covid, sinon la fameuse "bête de l'événement" n'aurait pas eu lieu d'être mentionnée. Je suis profondément attristée par ce que les nouvelles générations vont connaître, en contraste avec le semblant d'équilibre que nous avons connu et qui rendait notre vision du monde aimable et acceptable. Il semble que le monde se laisse entraîner dans cette tornade de démolition des tabous sans trop ruer dans les brancards.. grand bien lui fasse.
@am3liberte939Күн бұрын
D’où les masques,les enfants prêts à se soumettre,à servir, à être conditionnés (qui les a protégés ? Pas l’éducation nationale en tt cas,qui adhèrent à tout! Même au pire!)
@TheChattounet21 сағат бұрын
" C'est fantastique" Cohn-Bendit
@cindyb413419 сағат бұрын
Au delà de 14ans c'est dégueulasse "F.Miterrand"
@FranLestat6920 сағат бұрын
Si l'identité de genre n'est pas la théorie du genre, y'aurait comme qui dirait une forme de cousinage !!
@pipioupois644320 сағат бұрын
Toujours juste dans ses analyses, Charlotte !
@77PipiouКүн бұрын
L'art et la manière de vouloir mélanger et détourner les mots... Quand j'étais jeune, le X était le pornographique, et ce n'est qu'un exemple...
@fleurdelis455312 сағат бұрын
ça n'est pas une question de consensus mais de vérité, de respect des lois naturelles, de ce qui est juste et bon pour l'ensemble de la société... il ne saurait donc y avoir de choix à offrir à des enfants en devenir !
@MB-kom-AKКүн бұрын
Merci.
@Rosalieneel20 сағат бұрын
Bravo !
@jeanlucdamien8294Күн бұрын
Chem sex ? Hum, hum, c'est le député LFI ou Palmade qui ont été consultés pour écrire le programme ?
@mariadacunha397739 минут бұрын
Merci ! Charlotte toujours aussi pertinente ... Le projet étant la légalisation de la pédophilie comme aux Pays Bas ??
@jacqueslemiereКүн бұрын
le seul rôle légitime de l'etat dans l'éducation c'est que les enfants deviennent des citoyens ... donc connaissent les institutions la constitution... ce qui implique une surveillance que le contenu proposé par les écoles soit républicain et conforme à la constitution.. et c'est tout...
@passantparhasardКүн бұрын
La Constitution prévoit que les programmes scolaires relèvent de la législation. Art. 34
@jacqueslemiereКүн бұрын
@@passantparhasard oui la constitution français est tyrannique.. je pensais légitime vis à vis des droits de l'homme ..
@stephaniebecquet795122 сағат бұрын
C'est vital de consentir à apprendre des choses correctes à des enfants
@franckygoestohollywood12345Күн бұрын
On pourrait peut être apprendre à nos enfants, à lire, écrire et compter, et les initier au raisonnement cartésien pour les préparer à l'analyse et la construction d' une opinion.
@MrElGorillazКүн бұрын
Non, sa deviendrait des citoyens qui mettrait en question nos chers dirigeants
@passantparhasardКүн бұрын
@@MrElGorillaz C'est sûr! Il faut bien assurer la carrière de Raphaël Arnault.
@ericsorbara53866 сағат бұрын
Charlotte je t adore
@JenniferLepage-w1k21 сағат бұрын
Ne venez pas au Canada (Québec) dès la maternelle à 5 ans jusqu'à 11 ans, ils ont des cours de sexualité. Je trouve ça très bien. Il apprend les parties du corps, de dire non. J’en ai parlé à mes enfants que personne ne doit toucher les parties intimes ou te demander à les voir
@Paga969Күн бұрын
😂😂. Vivement que je crève pour ne plus voir ce monde délirant qui me gonfle sérieusement. Violence, déviances sexuelles , drogue, les nouvelles normes sociales à la mode
@clementclarisseclemen3d708Күн бұрын
Si le monde que vous voyez vous déplaît, créez le vôtre et partagez-le, ce sera plus intelligent et courageux que de "simplement disparaître"...
@Paga969Күн бұрын
@@clementclarisseclemen3d708 je bosse 6/7 12h par jour pour sauver mon entreprise. Mes enfants vont bien , moi je m’arrache pour eux. Si vous n’avez rien d’autres à faire allez y. Moi il me reste 8h pour dormir et manger, 4h pour aimer mes enfants et 12h pour survivre
@LeonS.Kennedy81Күн бұрын
L'idéologie des égoïstes : après moi le déluge....
@Paga969Күн бұрын
@@LeonS.Kennedy81 Quand vous ferez la moitié de ce que je fais pour les autres en bossant 6/7 jours et de 8h à 19h , 11 mois par an , vous pourrez commenter
@LeDestructeurdeStreamers-k8h8 сағат бұрын
L'éducation sexuelle est le meilleur moyen de lutter contre l'obscurantisme.
@brigittecapron9174Күн бұрын
Foutez la paix aux enfants !
@MCbarra6Күн бұрын
C’est épouvantable de laisser des personnes qui pour beaucoup sont déviantes, nous dicter la façon d’éduquer les enfants! Quelle décadence, non content de ruiner notre pays, notre identité il faut qu’ils s’en prennent aussi à la sexualité!!! Notre magnifique cérémonie d’ouverture des jeux en est la preuve! Je ne parle même pas des pubs ou séries… C’est scandaleux de vouloir formater des enfants de la sorte! Il à appartient aux parents de les éduquer ! Mais dans quel monde vivons nous!?
@natachajarry118022 сағат бұрын
La Grande Déconnade😡🥴🤪, on commence à s’habituer. Mais là, ça touche les enfants. INEXCUSABLE ‼️❗⛔⛔⛔ Merci Charlotte 🙏, les Mousquetaires 🙏 Les parents ne sont pas des potiches manipulables.
@j-mefdvoushihi19316 сағат бұрын
Bonjour, voici (mon opinion ): A chaque rentrée scolaire les parents doivent pouvoir demander et avoir les informations importantes du dossier de la ,le ou les professeurs! Commencer par la se srait du bon sens deja!!
@Universal_Gratitude22 сағат бұрын
L'Education à la sexualité oui, c'est une bonne chose mais uniquement sur des bases saines. Et pour avoir des bases saines, il faut réussir à instaurer un référentiel sain ! Un homme a un penis et aime une femme. Une femme a un vagin et aime un homme. Dans de rares cas ca peut être autrement et c'est OK, mais faut arrêter de compliquer des choses qui sont simples, naturelles et établies depuis des millions d'années. Car oui, sortir de ces schémas n'est pas un standard, ca ne doit pas être un motif de violence ou de discrimination mais il faut arrêter de lobotomiser les gens normaux qui représentent 99.99% de la population avec des valeurs et des idées qui ne leur correspondent pas.
@anges98077 сағат бұрын
Notre enfance n'était pas pervertie de pédophilie et de lgbt. Nous avons vécu une enfance normale et saine Et figurez-vous que nous nous sommes débrouillés seuls pour enfanter !! Aucun besoin de pervertir l'esprit infantile, à moins d'être soi-même pédo ou taré !!
@am3liberte939Күн бұрын
On parle de ce qui ne concerne pas du tout les enfants,en ts ça sous cette forme qui s’assimile à une incitation à toutes les sexualités (adultes donc,les enfants n’étant ps concernés, désolée !) à une violence,une grande confusion et non une prévention,une protection! C’est tt le contraire,on efface les frontières….
@Nonalhomophobie3 сағат бұрын
Tu peux le voir comme tu veux, cette éducation n'est pas une incitation à la sexualité mais à une approche saine de la sexualité QUAND ILS AURONT L'AGE.
@GRAM172Күн бұрын
Lire écrire compter ce n est pas le rôle de l école de parler des trans …. Du sexe stop
@edmondgautier8301Күн бұрын
Votre titre est tres bien, mais de quoi parle-ton? Pouvez vous donner le lien vers le document dont vous parlez? Merci
@phylogenusdelacroix4632Күн бұрын
Le jour où tout humain acceptera sa réalité, alors, le monde se relèvera.
@bluesky9579Күн бұрын
Si dans 20 ans, la France existe cette génération de boomer qui a laissé faire sera terriblement sanctionné par les historiens.
@anasthazianicolas638821 сағат бұрын
Quels historiens ?!
@bacchusxx65Күн бұрын
Elle est ou Christine Kelly? Ils ont pas oser la virer j'espère?
@guigui565614 сағат бұрын
Elle l a dit ! Urgence familiale
@rickota827519 сағат бұрын
C’est très grave de mettre cela dans les manuels scolaires …
@Anonyme-car-trop-de-cons8 сағат бұрын
😊 de la définition du détournement de mineurs 😊
@thierrymeulan348917 сағат бұрын
On ne parle pas de sexualité en maternelle. En maternelle, on parle d’éducation à la vie affective et relationnelle, plutôt que d’éducation à la sexualité. Parmi les objectifs fixés par l’Éducation nationale, on trouve : « Apprendre à connaître son corps », « comprendre ce qu’est l’intimité », « comprendre ce qu’est un secret », « identifier les adultes de confiance et apprendre à faire appel à eux » ou encore « vivre l’égalité entre les filles et les garçons et la liberté d’être soi-même dans les temps et les lieux de l’école ». À l’école primaire Les premières années de l’école primaire, l’éducation à la vie affective et relationnelle continue de se baser sur la considération du corps, des émotions et des règles de la vie collective. Puis, « étant donné les changements induits par la puberté et le passage progressif de l’enfance à l’adolescence », cette éducation évolue afin de permettre aux élèves « d’appréhender de manière éclairée les changements qu’ils constatent et éprouvent ». Au collège En classe de 6e, l’un des objectifs est de « comprendre et apprendre à vivre les changements de son corps ». À partir d’œuvres artistiques ou littéraires, les élèves peuvent « observer et analyser la diversité des représentations du corps sexué ». En 5e, il s’agit par exemple de « développer librement sa personnalité : savoir s’affirmer sans se sentir obligé ou contraint ». Sur la thématique des réseaux sociaux, l’Éducation nationale propose d’« analyser des publications d’adolescents dans les réseaux sociaux pour identifier et différencier ce qui relève de la vie privée ou de la vie publique, ce qui est légal ou ne l’est pas ». En 4e, un des objectifs est de « mettre en place et examiner les différentes définitions de la sexualité : reproduction, désir d’enfant, plaisir, amour, etc. ». Le programme propose aux enseignants et à leurs élèves de « réaliser une exposition de sensibilisation sur les stéréotypes et les questions d’égalité » à destination des autres collégiens. Enfin, en 3e, toujours à titre d’exemple, les élèves doivent apprendre à « inscrire la sexualité dans la définition et le respect des droits humains ». Parmi les activités proposées pour cette année-là, les collégiens peuvent fabriquer une affiche d’information sur les ressources locales et nationales en matière de contraception et d’IVG, par exemple.
@karld5754Күн бұрын
Un petit cours auprès de Moranzizi avant de faire la morale Charlotte?
@maximusd26Күн бұрын
comme d'habitude, ca n'existe pas, ce n'est pas ca ... jusqu'à ce que ce soit implanté exactement comme ca ! mais la ca devient normal (gare au cas des US)
@gerardmessinahyperyon514021 сағат бұрын
Et quand il y aura une famille qui ne supportera pas cette éducation sexuelle..... , on pleurera encore ,oh le pauvre enseignant qui vient de se faire frapper, ou pire!!!!!
@remo74williams22 сағат бұрын
Bravo elle as su noyer le vrai problème et personne ou presque n’as réagi 😅
@passantparhasardКүн бұрын
Pour les textes qui tantôt existent, tantôt n'existent pas, Greg Tabibian a la réponse: on a un président quantique. A méditer.
@barnabehaycraft1492Күн бұрын
La sexualité se découvre tout seul pas grâce à un acteur extérieur que ce soit les parents ou l'école il y a des livres de médecine pour ça
@larryhoward1593Күн бұрын
J'ai envie 🤮 mon enfant est en maternelle et n'a pas besoin d'entendre ça à cet âge. Je télephonerai á l'école pour savoir les dates de cette propagande afin que mon enfant soit bien absent! 😡
@IreneGourdel-yq7dg22 сағат бұрын
Ils vont vous envoyer l ASE
@larryhoward159322 сағат бұрын
@IreneGourdel-yq7dg Ils peuvent m'envoyer le GIGN, mon enfant ne mettra pas un pied dehors ce jour lá 🫤
@Nonalhomophobie8 сағат бұрын
Il a besoin d'entendre des notions qu'il peut comprendre à son âge. Pour se libérer de TA propagande...
@larryhoward15937 сағат бұрын
@@Nonalhomophobie Je pense que nous avons des valeurs différentes et heureusement, merci aurevoir.
@Nonalhomophobie7 сағат бұрын
@@larryhoward1593 Donc garder ton enfant dans l'ignorance, possiblement l'exposer à la détresse et à l'angoisse s'il est gay, c'est une "valeur" pour toi ? Pas pour moi. Pour moi, c'est être un mauvais parent, et du mauvais traitement.
@ChristAxelAndre-vx7bm20 сағат бұрын
C'est tout de même fou de nier tout le travail des infirmières de l'éducation nationale qui ont œuvré seules tout ce temps sur ces sujets Avec des manifestations non divulguées par tous ces médias qui aujourd'hui racontent n'importe quoi pour faire passer l'impensable
@FRANCciscoPACito21 сағат бұрын
demander donc au président , il a eu une éducation tres personalisée !!
@joseoncrack18 сағат бұрын
Oui.
@wopy41105 сағат бұрын
C'est jean Michel qui a pondu ce programme..?
@ringokillywatt753823 сағат бұрын
J'ai toujours eu cette impression qu'on habitue petit à petit nos enfants à devenir les proies consentantes des pédophiles.