Un viol n’est jamais consenti mais l’enfant, la victime peut le ressentir comme un acte sexuel consenti parce que l’agresseur a posé des stratégies en place et puis, il y a tout un tas de mécanismes qui se mettent en place pour éviter un effondrement psychique.
@DjamOukri-cy4qi Жыл бұрын
L,education a la television avec les marseillais, les ado les voie comme leurs idols ... merci a magalie berda avec touted cest influenseuses. Adolescence fragile qui identifie au escorts de dubai qui les fait rever avec leurs luxure sur les gros bateaux. Les ado fragile pense que cest la belle vie, aloes quelled sont exploiter parfois pire comme portie pota. En france cest les banlieux sensible qui sont viser est non la villa des marseillais.... haha la maeva aucune culture, pas de code rien , qui influence les jeune adolecente, qui cri tout le temp , qui enbrouille tout le monde. Magalie berda tes emissions devrais pas exister. Une ecole a la prostitution.
@baswordfish6 жыл бұрын
une conclusion tellement vraie... Bien expliquée, parfaitement juste. Peut-on qualifier cette situation de "viol consenti"?
@ACPEASSO6 жыл бұрын
Bonjour, un viol ne peut pas être consenti. La victime souffre d'une carence affective et sexuel qui l’amène à penser que ces pratiques sont normales. Aussi, des mécanismes psychiques se mettent en place lors de l'agression qui pousse la victime à ne pas réagir, afin de survivre cette situation de danger extrême. De plus, des facteurs tels que la honte poussent également la victime à ne pas se reconnaître comme telle.
@elodiecadet6614 жыл бұрын
@@ACPEASSO comment accompagner une jeune dans cette situation ? Que lui dire sans qu'elle se braque ?!
@ACPEASSO4 жыл бұрын
@@elodiecadet661 Bonjour Elodie ! Vos questions sont fondamentales. Accompagner une jeune dans cette situation n'est pas chose facile. Toutefois, il est important d'instaurer un dialogue dans une atmosphère tranquillisante et bienveillante afin d'avoir des informations sur la situation sans braquer la jeune. Il est important de ne pas engager de conflit et de se rappeler que la jeune est une victime. Il ne faut pas chercher absolument à lui faire avouer ses conduites. Il est aussi préférable d'employer le vocabulaire utilisé par la jeune. En effet, les jeunes emploient généralement des termes tels que "escorting" ou "michetonnage" plutôt que "prostitution". Malgré vos efforts, si la jeune refuse de parler de la situation, vous pouvez discutez d'autres sujets primordiaux : santé, alimentation, sommeil, bien-être, etc. afin de faciliter le dialogue et montrer à l'enfant qu'elle peut compter sur vous. N'hésitez pas à demander de l'aide aux médecins, assistants sociaux, centres de planification, maisons de la justice et du droit, centres d'information sur les droits des femmes et des familles. Vous pouvez aussi contacter l'ACPE pour obtenir de l'aide ou plus de renseignements !