Certainement le plus talentueux et intelligent des interviewers de Michel ONFRAY que j'ai entendu ... Bravo.
@virginiavered23934 ай бұрын
Merci M. Michel Onfray pour votre droiture intellectuelle, pour votre franchise, pour votre aptitude à transmettre le savoir, pour votre loyauté envers ceux que vous aimez et respectez et votre courage à les représenter et à les défendre.
@papis72476 ай бұрын
Merci, Michel Onfray est hors du commun et emprun de simplicité et de prolixité. Félicitations. Ciella Velluet
@guygeorgesvoet41777 ай бұрын
Pendant des longues années j'ai détesté Michel Onfray pour des raisons de positionnement philosophique. Mais j'ai continué aussi à l'écouter attentivement, cet exact contemporain mien de '59, et j'étais frappé de la qualité de son témoignage, mais surtout de sa très belle fidélité à ses racines, à son père, à ses maîtres par exemple. Je me suis rendu compte que derrière l'acerbe polémiste, il y avait plus que tout un homme vraiment honnête, généreux, beaucoup plus ouvert de ce que je n'avais cru appercevoir. Maintenant, étant resté un adversaire philosophique sur beaucoup de points -c'est difficile qu'il en soit autrement si on lutte tous les jours pour rester mielleur thomiste qu'hier- je dois dire que Michel est pour moi devenu Monsieur Onfray, un homme auquel je confierai tout mon avoir -s'il fallait en venir là en cas d'extrémité, disons- sans la moindre crainte. C'est le type d'homme avec qui Dieu peut sauver ce qui reste d'un monde humain. Un vrai patriote, un vrai français, un vrai -mais peut-être pas si bon, désolé- philosophe. Mais surtout aussi, un vrai fils de son père vrai travailleur. Bien à Vous, chèr Maître Onfray, j'ai beaucoup appris de Vous et encore...Merci d'y être et de persister en ce qui Vous êtes, car c'est le qui, chez Vous, qui est votre enseignement de valeur qui perdurerá. Écrit depuis Nazareth, Belgique.
@evegaboury63668 ай бұрын
J’adore ces entrevues en longueur. Merci M. Bureau de nous donner à entendre toute la complexité de la pensée humaine. On a le temps d’absorber et de comprendre.
@christianreynier21208 ай бұрын
Sa complexité...islam, islam, islam...complexe !
@christianreynier21208 ай бұрын
Contre Onfray est un essai critique écrit à la première personne du singulier. Publiant Contre Onfray, le philosophe qu’est Alain Jugnon n’écrit pas contre quelqu’un. Par contre, il déconstruit un mouvement général des idées qui, à l’époque du nihilisme et de la détresse de tous, cherche à ne plus analyser, ne plus comprendre et surtout ne plus savoir. Cet essai critique prend naissance dans le commentaire suivant de Guy Debord : « Le gouvernement du spectacle, qui à présent détient tous les moyens de falsifier l’ensemble de la production aussi bien que de la perception, est maître absolu des souvenirs comme il est maître incontrôlé des projets qui façonnent le plus lointain avenir. Il règne partout seul ; il exécute ses jugements sommaires. » Contre Onfray démontre qu’il y a un homme seul au cœur du Spectacle ; ses jugements sont sommaires et grossiers, mais c’est comme toujours la pensée contemporaine qui est exécutée sur les plateaux de télévision. Dans cet essai polémique, ce qui est écrit et détaillé est fait pour refuser le personnage qui se nomme lui-même « le philosophe Michel Onfray », pour dénoncer ce mensonge spectaculaire et cette tricherie bien intégrée. Mais ce n’est pas un livre contre un homme, car il sera d’abord fait pour que vive demain encore la philosophie et pour en finir avec ce passage à l’acte postmoderne qui veut rendre la pensée honteuse d’elle-même, et ce dans la posture maladive d’une critique bête de l’humanisme et de sa valeur juste humaine, très humaine. L’esprit du temps est à la confusion des esprits et à l’émotion des corps : Michel Onfray en oubliant qu’il fut philosophe est devenu (depuis son livre contre Freud, dans lequel il refusait à la psychanalyse le droit de savoir quoi que ce soit sur son Moi - ce fut sa thérapie) le penseur officiel et écrivain public de cette confusion générale et de cette mascarade adorée qui consiste à faire passer pour des pensées des idées multimédiatiques et d’abord idéologiquement dominantes. Onfray de fait n’est plus nietzschéen et c’est ce qu’il fallait à Alain Jugnon démontrer, ni « de gauche » comme il le croyait, ni un nietzschéen pour la droite comme il le voudrait, il est devenu le fossoyeur de la pensée critique contemporaine. C’est la démocratie et l’humanisme qui s’éclipsent ainsi avec son dernier livre, pris dans l’aspiration droitière et siphonnés avec l’eau du bain de ses mauvaises pensées d’intellectuel célèbre et à la sagesse publique : Onfray est le penseur nouveau de la future nouvelle droite française ; cette conversion se donne à voir dans Cosmos, son dernier livre, sous forme d’un jeu de rôles et de passages à l’acte de la pensée fort peu logiques mais totalement anarchiques (au sens bien sûr non politique du terme). Cet essai de généalogie de la non-pensée onfrayenne relit méthodiquement les écrits du philosophe en regardant de près le travail en négatif de cette conversion : les trahisons du lecteur Michel Onfray sont multiples et ce livre en repère la plupart. Ce sont les contresens de Michel Onfray : au sujet de Foucault, de Lacoue-Labarthe, des poètes en général et de Nietzsche, essentiellement. Ces trahisons sont à chaque occurrence un nihilisme politique à l’œuvre, une fausse parole mise en actes de langage. Il y a au travail chez Onfray une fausse écriture philosophique (et écriture du faux en philosophie) qui renie tout en bloc, pour son propre plaisir, pour s’émouvoir de sa propre jouissance : ce qu’il nomme un hédonisme et qui a tout d’un dandysme assez pathétique. Alain Jugnon est philosophe et écrivain. Il dirige les Cahiers Artaud et La Contre attaque, revue poétique et politique (éditions D’ores et déjà). Dernières parutions : La Trique de nos meneurs ou le nanar chrétien, éditions Dasein, 2014 ; Redrum, à la lettre contre le fascisme, collectif (coord.), éditions Les Impressions nouvelles, 2015. Ont paru chez Lignes : Artaudieu et Le Devenir Debord.
@margane95902 ай бұрын
M Onfray est un homme honnête De bonne foi Il a réussi à se construire cultivant son jardin Il a emmagasiné une culture phénoménale Il est fidèle à ses racines Il nous livre son savoir avec simplicité et nous permet de progresser à l’économie quand notre vie a été bien remplie Un immense merci pour nous avoir permis la joie de la connaissance et la voie du sens de l’existence vers la clarté et la lucidité
@darksidesr74 ай бұрын
Merci pour cette belle entrevue, je suis une grande fan de Michel Onfray, je le suis partout lol
@philmindburst8 ай бұрын
Merci l ´equipe de stephane, j ai grandi encore aujourd’hui. Super d écouter des réflexions aussi profondes et franches. Decouverte pour moi ce penseur.
@tamartanzy5745 ай бұрын
Les questions sont bonnes et notre Michel est excellent comme d'habitude.
@JeMeSouvienPu8 ай бұрын
Merci pour ton travail Stéphane, à date Zemmour et Onfray..... des invités tellement bon, tu dois faire attention à ta santé, je suis un jeune Québécois et je veux qu'ont te garde longtemps sur cette terre. Ton travail est monumentale
@FrancoisBeauregard-mm9qy8 ай бұрын
La véritable devise du Québec c'est : J'me souviens d'absolument rien pi j'men tab... Pauvre " peuple " de lombrics qui rampent, et rampent et rampent encore comme des crétins sous la surface du sol, pour ne pas déranger leurs maîtres anglais et tous les autres peuples qui eux se tiennent debout pour mieux les écraser lorsqu'ils sortent de leur trou. Cela dit, je suis souverainiste depuis, depuis... avant ma naissance je crois. Bonne journée!
@phoenixaz84318 ай бұрын
@@FrancoisBeauregard-mm9qy Durant l'hystérie covidienne, ce n'est pas devant les anglophones que se sont vautrés les lombrics québécois, mais devant des gens au nom de famille de pure laine.
@FrancoisBeauregard-mm9qy8 ай бұрын
@@phoenixaz8431 Les pires ennemis des Québécois franco ce sont eux-mêmes. Ce pauvre " peuple " appelé à disparaitre possède l'art consommé de se tirer dans les 2 pieds. Ce pauvre " peuple " n'a jamais compris qu'un peuple ne peut survivre dans un pays dont la culture et la langue est très majoritairement différents. Il ne l'a jamais compris, ne le comprends pas et ne comprendra jamais.
@yvonmercier88457 ай бұрын
@@FrancoisBeauregard-mm9qySouverainiste avec les politiciens présentement au Québec est un suicide collectif. Le communisme sa te dit quelque chose ??? Sinon va lire tout ce que le communisme a fait dans le monde.
@luziovalerie28725 ай бұрын
je l'adore
@annabruzzolo75708 ай бұрын
Magnifique, éblouissant Michel Onfray !
@christianreynier21208 ай бұрын
Contre Onfray est un essai critique écrit à la première personne du singulier. Publiant Contre Onfray, le philosophe qu’est Alain Jugnon n’écrit pas contre quelqu’un. Par contre, il déconstruit un mouvement général des idées qui, à l’époque du nihilisme et de la détresse de tous, cherche à ne plus analyser, ne plus comprendre et surtout ne plus savoir. Cet essai critique prend naissance dans le commentaire suivant de Guy Debord : « Le gouvernement du spectacle, qui à présent détient tous les moyens de falsifier l’ensemble de la production aussi bien que de la perception, est maître absolu des souvenirs comme il est maître incontrôlé des projets qui façonnent le plus lointain avenir. Il règne partout seul ; il exécute ses jugements sommaires. » Contre Onfray démontre qu’il y a un homme seul au cœur du Spectacle ; ses jugements sont sommaires et grossiers, mais c’est comme toujours la pensée contemporaine qui est exécutée sur les plateaux de télévision. Dans cet essai polémique, ce qui est écrit et détaillé est fait pour refuser le personnage qui se nomme lui-même « le philosophe Michel Onfray », pour dénoncer ce mensonge spectaculaire et cette tricherie bien intégrée. Mais ce n’est pas un livre contre un homme, car il sera d’abord fait pour que vive demain encore la philosophie et pour en finir avec ce passage à l’acte postmoderne qui veut rendre la pensée honteuse d’elle-même, et ce dans la posture maladive d’une critique bête de l’humanisme et de sa valeur juste humaine, très humaine. L’esprit du temps est à la confusion des esprits et à l’émotion des corps : Michel Onfray en oubliant qu’il fut philosophe est devenu (depuis son livre contre Freud, dans lequel il refusait à la psychanalyse le droit de savoir quoi que ce soit sur son Moi - ce fut sa thérapie) le penseur officiel et écrivain public de cette confusion générale et de cette mascarade adorée qui consiste à faire passer pour des pensées des idées multimédiatiques et d’abord idéologiquement dominantes. Onfray de fait n’est plus nietzschéen et c’est ce qu’il fallait à Alain Jugnon démontrer, ni « de gauche » comme il le croyait, ni un nietzschéen pour la droite comme il le voudrait, il est devenu le fossoyeur de la pensée critique contemporaine. C’est la démocratie et l’humanisme qui s’éclipsent ainsi avec son dernier livre, pris dans l’aspiration droitière et siphonnés avec l’eau du bain de ses mauvaises pensées d’intellectuel célèbre et à la sagesse publique : Onfray est le penseur nouveau de la future nouvelle droite française ; cette conversion se donne à voir dans Cosmos, son dernier livre, sous forme d’un jeu de rôles et de passages à l’acte de la pensée fort peu logiques mais totalement anarchiques (au sens bien sûr non politique du terme). Cet essai de généalogie de la non-pensée onfrayenne relit méthodiquement les écrits du philosophe en regardant de près le travail en négatif de cette conversion : les trahisons du lecteur Michel Onfray sont multiples et ce livre en repère la plupart. Ce sont les contresens de Michel Onfray : au sujet de Foucault, de Lacoue-Labarthe, des poètes en général et de Nietzsche, essentiellement. Ces trahisons sont à chaque occurrence un nihilisme politique à l’œuvre, une fausse parole mise en actes de langage. Il y a au travail chez Onfray une fausse écriture philosophique (et écriture du faux en philosophie) qui renie tout en bloc, pour son propre plaisir, pour s’émouvoir de sa propre jouissance : ce qu’il nomme un hédonisme et qui a tout d’un dandysme assez pathétique. Alain Jugnon est philosophe et écrivain. Il dirige les Cahiers Artaud et La Contre attaque, revue poétique et politique (éditions D’ores et déjà). Dernières parutions : La Trique de nos meneurs ou le nanar chrétien, éditions Dasein, 2014 ; Redrum, à la lettre contre le fascisme, collectif (coord.), éditions Les Impressions nouvelles, 2015. Ont paru chez Lignes : Artaudieu et Le Devenir Debord.
@paulrosa62528 ай бұрын
Ce talent de ''suivre'' la pensée d'un philosophe comme Onfray, ça c:est du Bureau ''tout craché'' ! - Même lors de sa ''période Radio-Canada'' il connaissait déjà ses dossiers … et les gens qu'il interviewait, forcément 😁
@robartbenoit60858 ай бұрын
Intéressant d'entendre à la fois l'histoire et l'évolution de la pensée de Onfray. On peut ne pas être d'accord mais échanger, débattre pour exemple la bande de gaza. C'est ce qui fait commun et est réellement le sens de la démocratie. Questionner l'estime de soi et les notions de progrès est travail du citoyen. Bel entretien, encore merci.
@Alex-cl9os8 ай бұрын
Wow, quelle belle entrevue qui nous montre cet homme et ses contradictions. Un homme qui se dit "humble", mais qui affirme avoir "prouvé" l'inexistence de Jésus, rien de moins. Un homme qui se dit défenseur des opprimés mais qui encourage la "vengeance" de l'armée Israélienne, et qui déforme les faits historiques entourant ce conflit pour convenir à ses propos. J ai perdu 1h 19 min 39 sec. de ma vie. Mais au moins, je m épargne la tâche de lire ne serait-ce qu'un de ses 150 livres écrits en carrière. Merci M. Bureau. Beau travail
@virginiavered23934 ай бұрын
Dommage pour vous. Il n'y a pas de "vengeance israélienne!". Les Israéliens ne se vengent pas ! Ce n'est pas ce qu' à dit M. Onfray. Les Israéliens ont été attaqué et sont encore menacés par des terroristes qui sont enkystes dans la population civile. Il ne faut jamais oublier que les terroristes du Hamas, Hezbollah et autres veulent tuer le plus possible de civiles et n'ont aucune considération envers leur propre peuple. Le 7 octobre il y avait 8000 travailleurs Palestiniens de Gaza en Israël qui travaillaient dans différents secteurs. Il ont été rapatriés à Gaza via l'Égypte. Il faut arrêter avec ces mensonges qui ne sont le fruit que d'un profond antisémitisme comme quoi Israël veut du mal à des innocents. Israël se défend et refuse de disparaître et cela semble déranger.
@catherine-e9s8 ай бұрын
Cette "ligne claire"du sillon droit est ce que les parents d'autrefois, même ceux qui n'étaient pas instruits comme on disait ,ont transmis de meilleur à leuts enfants, soyez en assuré
@le_roi_nu8 ай бұрын
Bien d'accord... Je l'écoutais dans l'ancienne version de Contact sur Télé-Québec (vers 2005 je crois). J'ai toujours aimé sa tempérance et sa façon de nous laisser le temps de réfléchir durant ses émissions.
@claudebregaint7 ай бұрын
Merci a vous deux ,un tres beau interwiew ,'le journaliste etait vraiment bien ,et michel fidel a lui meme ,pertinent ,analyse intelligente ,...correct ON aimerait BIEN la paix ....une seule terre et je vous rappelle qu elle est entrain de flanché 🌟🌟🌟🌟🌟🌟🌟🤞🏻👏👏🏾👏🏻💯
@jocelyndrouin32068 ай бұрын
À la toute fin du balado : 《Vive le Québec libre》. Un rappel historique du Général. Un espoir, un pays enfin réalisé.
@sassy197620007 ай бұрын
Exactement ce que je me suis dit. En fait, Onfray a souvent fait l'éloge du Général de Gaule.
@Mimi-vp2ep8 ай бұрын
Quel plaisir cette rencontre avec Michel Onfray! J'ai tellement écouter Onfray, que j'ai dû faire une cure de désintoxication. Chaque phrase qu'il dit est matière à mettre sur pause et partir dans un monde où il nous lance sans filet! Un être merveilleux! Quelle chance vous avez de le rencontrer Stéphane! Bien le bonjour à Michel Onfray! Sur Israel, je suis en désaccord complet avec Michel Onfray! Il y a des limites aux massacres, tuer des enfants n'a aucune excuse, AUCUNE, ce sont des petits innocents sans défense. L'histoire des otages est charriée! Michel Onfray, est-ce possible aussi que les Palestiniens puissent vivre sur leur territoire acquis depuis si longtemps, sans se faire massacrer par des sionistes accoquinés avec les anglo-saxons qui rasent tout sur leur passage si leurs intérêts le leurs commandent. Au Québec, nous savons comment ils font pour éliminer leurs adversaires. Non sur cette question de cette guerre israélo-palestinienne vous n'avez pas la bonne vision du monde malgré votre savoir. Il n'y a pas de savoir pour être capable de distinquer ce qui est mal et ce qui est bien.
@christianreynier21208 ай бұрын
Contre Onfray est un essai critique écrit à la première personne du singulier. Publiant Contre Onfray, le philosophe qu’est Alain Jugnon n’écrit pas contre quelqu’un. Par contre, il déconstruit un mouvement général des idées qui, à l’époque du nihilisme et de la détresse de tous, cherche à ne plus analyser, ne plus comprendre et surtout ne plus savoir. Cet essai critique prend naissance dans le commentaire suivant de Guy Debord : « Le gouvernement du spectacle, qui à présent détient tous les moyens de falsifier l’ensemble de la production aussi bien que de la perception, est maître absolu des souvenirs comme il est maître incontrôlé des projets qui façonnent le plus lointain avenir. Il règne partout seul ; il exécute ses jugements sommaires. » Contre Onfray démontre qu’il y a un homme seul au cœur du Spectacle ; ses jugements sont sommaires et grossiers, mais c’est comme toujours la pensée contemporaine qui est exécutée sur les plateaux de télévision. Dans cet essai polémique, ce qui est écrit et détaillé est fait pour refuser le personnage qui se nomme lui-même « le philosophe Michel Onfray », pour dénoncer ce mensonge spectaculaire et cette tricherie bien intégrée. Mais ce n’est pas un livre contre un homme, car il sera d’abord fait pour que vive demain encore la philosophie et pour en finir avec ce passage à l’acte postmoderne qui veut rendre la pensée honteuse d’elle-même, et ce dans la posture maladive d’une critique bête de l’humanisme et de sa valeur juste humaine, très humaine. L’esprit du temps est à la confusion des esprits et à l’émotion des corps : Michel Onfray en oubliant qu’il fut philosophe est devenu (depuis son livre contre Freud, dans lequel il refusait à la psychanalyse le droit de savoir quoi que ce soit sur son Moi - ce fut sa thérapie) le penseur officiel et écrivain public de cette confusion générale et de cette mascarade adorée qui consiste à faire passer pour des pensées des idées multimédiatiques et d’abord idéologiquement dominantes. Onfray de fait n’est plus nietzschéen et c’est ce qu’il fallait à Alain Jugnon démontrer, ni « de gauche » comme il le croyait, ni un nietzschéen pour la droite comme il le voudrait, il est devenu le fossoyeur de la pensée critique contemporaine. C’est la démocratie et l’humanisme qui s’éclipsent ainsi avec son dernier livre, pris dans l’aspiration droitière et siphonnés avec l’eau du bain de ses mauvaises pensées d’intellectuel célèbre et à la sagesse publique : Onfray est le penseur nouveau de la future nouvelle droite française ; cette conversion se donne à voir dans Cosmos, son dernier livre, sous forme d’un jeu de rôles et de passages à l’acte de la pensée fort peu logiques mais totalement anarchiques (au sens bien sûr non politique du terme). Cet essai de généalogie de la non-pensée onfrayenne relit méthodiquement les écrits du philosophe en regardant de près le travail en négatif de cette conversion : les trahisons du lecteur Michel Onfray sont multiples et ce livre en repère la plupart. Ce sont les contresens de Michel Onfray : au sujet de Foucault, de Lacoue-Labarthe, des poètes en général et de Nietzsche, essentiellement. Ces trahisons sont à chaque occurrence un nihilisme politique à l’œuvre, une fausse parole mise en actes de langage. Il y a au travail chez Onfray une fausse écriture philosophique (et écriture du faux en philosophie) qui renie tout en bloc, pour son propre plaisir, pour s’émouvoir de sa propre jouissance : ce qu’il nomme un hédonisme et qui a tout d’un dandysme assez pathétique. Alain Jugnon est philosophe et écrivain. Il dirige les Cahiers Artaud et La Contre attaque, revue poétique et politique (éditions D’ores et déjà). Dernières parutions : La Trique de nos meneurs ou le nanar chrétien, éditions Dasein, 2014 ; Redrum, à la lettre contre le fascisme, collectif (coord.), éditions Les Impressions nouvelles, 2015. Ont paru chez Lignes : Artaudieu et Le Devenir Debord.
@Abassi2A8 ай бұрын
Je suis de proche orient et je respecte beaucoup M. Onfrayet je le suis depuis longtemps à notre époque il n' y a plus des intellectuels comme c'était dans les années 60 il faut les respecter mais reste ,ce n'est pas grave que certains ne sont pas d'accord avec lui .
@stephanelambert56588 ай бұрын
Je dirais plutôt penseurs. Il ne faut pas oublier que ce sont des intellectuels qui ont fait les guerres. Ce n'est pas le paysan ou le travailleur de l'usine. Les grands penseurs sont surtout vers la fin du 19e et début du 20e. Walter Benjamin, Günther Anders, Martin Buber, Hannah Arendt, Adorno etc... Stéphan Bureau fait un excellent travail. C'est vraiment pas facile de préparer des émissions d'une durée (1h) c'est frustrant . Et en même temps, les sujets qui touchent les guerres ne peuvent être abordés dans 1 heure ou même dans une semaine.
@EWSFoTo8 ай бұрын
Belle entrevue. Un bon intervieweur avec Michel Onfray ça donne un moment privilégié. Merci.
@cyrilgouillard36698 ай бұрын
Encore un plaisir...j'en prends tous les jours ! Enjoy ! Merci Stéphan !
@christianreynier21208 ай бұрын
Contre Onfray est un essai critique écrit à la première personne du singulier. Publiant Contre Onfray, le philosophe qu’est Alain Jugnon n’écrit pas contre quelqu’un. Par contre, il déconstruit un mouvement général des idées qui, à l’époque du nihilisme et de la détresse de tous, cherche à ne plus analyser, ne plus comprendre et surtout ne plus savoir. Cet essai critique prend naissance dans le commentaire suivant de Guy Debord : « Le gouvernement du spectacle, qui à présent détient tous les moyens de falsifier l’ensemble de la production aussi bien que de la perception, est maître absolu des souvenirs comme il est maître incontrôlé des projets qui façonnent le plus lointain avenir. Il règne partout seul ; il exécute ses jugements sommaires. » Contre Onfray démontre qu’il y a un homme seul au cœur du Spectacle ; ses jugements sont sommaires et grossiers, mais c’est comme toujours la pensée contemporaine qui est exécutée sur les plateaux de télévision. Dans cet essai polémique, ce qui est écrit et détaillé est fait pour refuser le personnage qui se nomme lui-même « le philosophe Michel Onfray », pour dénoncer ce mensonge spectaculaire et cette tricherie bien intégrée. Mais ce n’est pas un livre contre un homme, car il sera d’abord fait pour que vive demain encore la philosophie et pour en finir avec ce passage à l’acte postmoderne qui veut rendre la pensée honteuse d’elle-même, et ce dans la posture maladive d’une critique bête de l’humanisme et de sa valeur juste humaine, très humaine. L’esprit du temps est à la confusion des esprits et à l’émotion des corps : Michel Onfray en oubliant qu’il fut philosophe est devenu (depuis son livre contre Freud, dans lequel il refusait à la psychanalyse le droit de savoir quoi que ce soit sur son Moi - ce fut sa thérapie) le penseur officiel et écrivain public de cette confusion générale et de cette mascarade adorée qui consiste à faire passer pour des pensées des idées multimédiatiques et d’abord idéologiquement dominantes. Onfray de fait n’est plus nietzschéen et c’est ce qu’il fallait à Alain Jugnon démontrer, ni « de gauche » comme il le croyait, ni un nietzschéen pour la droite comme il le voudrait, il est devenu le fossoyeur de la pensée critique contemporaine. C’est la démocratie et l’humanisme qui s’éclipsent ainsi avec son dernier livre, pris dans l’aspiration droitière et siphonnés avec l’eau du bain de ses mauvaises pensées d’intellectuel célèbre et à la sagesse publique : Onfray est le penseur nouveau de la future nouvelle droite française ; cette conversion se donne à voir dans Cosmos, son dernier livre, sous forme d’un jeu de rôles et de passages à l’acte de la pensée fort peu logiques mais totalement anarchiques (au sens bien sûr non politique du terme). Cet essai de généalogie de la non-pensée onfrayenne relit méthodiquement les écrits du philosophe en regardant de près le travail en négatif de cette conversion : les trahisons du lecteur Michel Onfray sont multiples et ce livre en repère la plupart. Ce sont les contresens de Michel Onfray : au sujet de Foucault, de Lacoue-Labarthe, des poètes en général et de Nietzsche, essentiellement. Ces trahisons sont à chaque occurrence un nihilisme politique à l’œuvre, une fausse parole mise en actes de langage. Il y a au travail chez Onfray une fausse écriture philosophique (et écriture du faux en philosophie) qui renie tout en bloc, pour son propre plaisir, pour s’émouvoir de sa propre jouissance : ce qu’il nomme un hédonisme et qui a tout d’un dandysme assez pathétique. Alain Jugnon est philosophe et écrivain. Il dirige les Cahiers Artaud et La Contre attaque, revue poétique et politique (éditions D’ores et déjà). Dernières parutions : La Trique de nos meneurs ou le nanar chrétien, éditions Dasein, 2014 ; Redrum, à la lettre contre le fascisme, collectif (coord.), éditions Les Impressions nouvelles, 2015. Ont paru chez Lignes : Artaudieu et Le Devenir Debord.
@Blue-Tube8 ай бұрын
Merci d'avoir abordé la question du Hamas ! Ce que dit Onfray sur le désir du Hamas de territoire unique s'applique également aux juifs orthodoxes
@baronnuuke78216 ай бұрын
Ah bon, quels juifs orthodoxes ? Une grande partie n'est même pas sioniste ... Selon eux ils pourraient vivre en Europe ils s'en fiche tant qu'ils peuvent aller à la synagogue
@power-sea8 ай бұрын
Bravo à ton courage M. Bureau
@sassy197620008 ай бұрын
Quel plaisir cette entrevue avec Michel Onfray! Grand philosophe contemporain, je suis heureuse de l'avoir découvert avec Décadence, Cosmos et Contre-Histoire de la Philosophie. Continuez votre excellent travail!
@christianreynier21208 ай бұрын
Contre Onfray est un essai critique écrit à la première personne du singulier. Publiant Contre Onfray, le philosophe qu’est Alain Jugnon n’écrit pas contre quelqu’un. Par contre, il déconstruit un mouvement général des idées qui, à l’époque du nihilisme et de la détresse de tous, cherche à ne plus analyser, ne plus comprendre et surtout ne plus savoir. Cet essai critique prend naissance dans le commentaire suivant de Guy Debord : « Le gouvernement du spectacle, qui à présent détient tous les moyens de falsifier l’ensemble de la production aussi bien que de la perception, est maître absolu des souvenirs comme il est maître incontrôlé des projets qui façonnent le plus lointain avenir. Il règne partout seul ; il exécute ses jugements sommaires. » Contre Onfray démontre qu’il y a un homme seul au cœur du Spectacle ; ses jugements sont sommaires et grossiers, mais c’est comme toujours la pensée contemporaine qui est exécutée sur les plateaux de télévision. Dans cet essai polémique, ce qui est écrit et détaillé est fait pour refuser le personnage qui se nomme lui-même « le philosophe Michel Onfray », pour dénoncer ce mensonge spectaculaire et cette tricherie bien intégrée. Mais ce n’est pas un livre contre un homme, car il sera d’abord fait pour que vive demain encore la philosophie et pour en finir avec ce passage à l’acte postmoderne qui veut rendre la pensée honteuse d’elle-même, et ce dans la posture maladive d’une critique bête de l’humanisme et de sa valeur juste humaine, très humaine. L’esprit du temps est à la confusion des esprits et à l’émotion des corps : Michel Onfray en oubliant qu’il fut philosophe est devenu (depuis son livre contre Freud, dans lequel il refusait à la psychanalyse le droit de savoir quoi que ce soit sur son Moi - ce fut sa thérapie) le penseur officiel et écrivain public de cette confusion générale et de cette mascarade adorée qui consiste à faire passer pour des pensées des idées multimédiatiques et d’abord idéologiquement dominantes. Onfray de fait n’est plus nietzschéen et c’est ce qu’il fallait à Alain Jugnon démontrer, ni « de gauche » comme il le croyait, ni un nietzschéen pour la droite comme il le voudrait, il est devenu le fossoyeur de la pensée critique contemporaine. C’est la démocratie et l’humanisme qui s’éclipsent ainsi avec son dernier livre, pris dans l’aspiration droitière et siphonnés avec l’eau du bain de ses mauvaises pensées d’intellectuel célèbre et à la sagesse publique : Onfray est le penseur nouveau de la future nouvelle droite française ; cette conversion se donne à voir dans Cosmos, son dernier livre, sous forme d’un jeu de rôles et de passages à l’acte de la pensée fort peu logiques mais totalement anarchiques (au sens bien sûr non politique du terme). Cet essai de généalogie de la non-pensée onfrayenne relit méthodiquement les écrits du philosophe en regardant de près le travail en négatif de cette conversion : les trahisons du lecteur Michel Onfray sont multiples et ce livre en repère la plupart. Ce sont les contresens de Michel Onfray : au sujet de Foucault, de Lacoue-Labarthe, des poètes en général et de Nietzsche, essentiellement. Ces trahisons sont à chaque occurrence un nihilisme politique à l’œuvre, une fausse parole mise en actes de langage. Il y a au travail chez Onfray une fausse écriture philosophique (et écriture du faux en philosophie) qui renie tout en bloc, pour son propre plaisir, pour s’émouvoir de sa propre jouissance : ce qu’il nomme un hédonisme et qui a tout d’un dandysme assez pathétique. Alain Jugnon est philosophe et écrivain. Il dirige les Cahiers Artaud et La Contre attaque, revue poétique et politique (éditions D’ores et déjà). Dernières parutions : La Trique de nos meneurs ou le nanar chrétien, éditions Dasein, 2014 ; Redrum, à la lettre contre le fascisme, collectif (coord.), éditions Les Impressions nouvelles, 2015. Ont paru chez Lignes : Artaudieu et Le Devenir Debord.
@jean-francoisdufosse92708 ай бұрын
Onfray n'est pas un grand philosophe contemporain ; il n'est même pas philosophe. C'est un sophiste, un charlatan.
@sassy197620007 ай бұрын
@@christianreynier2120 Je ne connaissais pas ce personnage qu'est Alain Jugnon. Néanmoins, après lecture de quelques articles biographiques, j'ai su qu'il enseignait la philosophie au lycée? Qu'il écrit des pièces de théâtres et qu'il a une dent contre Michel Onfray. Ses propos contre Onfray semblent très subjectifs, mais j'avoue que je vais probablement lire son livre. Merci pour ce partage.
@sassy197620007 ай бұрын
@@jean-francoisdufosse9270 Ah bon.
@jean-francoisdufosse92707 ай бұрын
@@sassy19762000 Les philosophes sont reconnus par leurs pairs. Aucun philosophe (reconnu par ses pairs) ne reconnait Onfray. Et ce n'est pas étonnant vu qu'il ne maîtrise pas la pensée des grands auteurs de philosophie modernes et contemporains ni celle d'Aristote. Ce n'est donc pas un philosophe mais une caricature de philosophe : un sophiste ou, autrement dit, un charlatan.
@crissgen8 ай бұрын
Comme d’hab très intéressant d’écouter ce podcast et surtout d’entendre ce grand philosophe
@jean-francoisdufosse92708 ай бұрын
Onfray n'est pas un grand philosophe. Il n'est même pas philosophe du tout. C'est un sophiste, un charlatan.
@StephaneDecelles-ry9yr8 ай бұрын
excellent !
@jean-renejeffrey56038 ай бұрын
Pendant la plus grande partie de ce contact Onfray a parlé de Onfray. Délicieux et touchant.
@songsofalifetime85088 ай бұрын
Merci pour cette entrevue de haut niveau, de très haut niveau! Excellente réflexion sur le monde où l'on vit...
@christianreynier21208 ай бұрын
Contre Onfray est un essai critique écrit à la première personne du singulier. Publiant Contre Onfray, le philosophe qu’est Alain Jugnon n’écrit pas contre quelqu’un. Par contre, il déconstruit un mouvement général des idées qui, à l’époque du nihilisme et de la détresse de tous, cherche à ne plus analyser, ne plus comprendre et surtout ne plus savoir. Cet essai critique prend naissance dans le commentaire suivant de Guy Debord : « Le gouvernement du spectacle, qui à présent détient tous les moyens de falsifier l’ensemble de la production aussi bien que de la perception, est maître absolu des souvenirs comme il est maître incontrôlé des projets qui façonnent le plus lointain avenir. Il règne partout seul ; il exécute ses jugements sommaires. » Contre Onfray démontre qu’il y a un homme seul au cœur du Spectacle ; ses jugements sont sommaires et grossiers, mais c’est comme toujours la pensée contemporaine qui est exécutée sur les plateaux de télévision. Dans cet essai polémique, ce qui est écrit et détaillé est fait pour refuser le personnage qui se nomme lui-même « le philosophe Michel Onfray », pour dénoncer ce mensonge spectaculaire et cette tricherie bien intégrée. Mais ce n’est pas un livre contre un homme, car il sera d’abord fait pour que vive demain encore la philosophie et pour en finir avec ce passage à l’acte postmoderne qui veut rendre la pensée honteuse d’elle-même, et ce dans la posture maladive d’une critique bête de l’humanisme et de sa valeur juste humaine, très humaine. L’esprit du temps est à la confusion des esprits et à l’émotion des corps : Michel Onfray en oubliant qu’il fut philosophe est devenu (depuis son livre contre Freud, dans lequel il refusait à la psychanalyse le droit de savoir quoi que ce soit sur son Moi - ce fut sa thérapie) le penseur officiel et écrivain public de cette confusion générale et de cette mascarade adorée qui consiste à faire passer pour des pensées des idées multimédiatiques et d’abord idéologiquement dominantes. Onfray de fait n’est plus nietzschéen et c’est ce qu’il fallait à Alain Jugnon démontrer, ni « de gauche » comme il le croyait, ni un nietzschéen pour la droite comme il le voudrait, il est devenu le fossoyeur de la pensée critique contemporaine. C’est la démocratie et l’humanisme qui s’éclipsent ainsi avec son dernier livre, pris dans l’aspiration droitière et siphonnés avec l’eau du bain de ses mauvaises pensées d’intellectuel célèbre et à la sagesse publique : Onfray est le penseur nouveau de la future nouvelle droite française ; cette conversion se donne à voir dans Cosmos, son dernier livre, sous forme d’un jeu de rôles et de passages à l’acte de la pensée fort peu logiques mais totalement anarchiques (au sens bien sûr non politique du terme). Cet essai de généalogie de la non-pensée onfrayenne relit méthodiquement les écrits du philosophe en regardant de près le travail en négatif de cette conversion : les trahisons du lecteur Michel Onfray sont multiples et ce livre en repère la plupart. Ce sont les contresens de Michel Onfray : au sujet de Foucault, de Lacoue-Labarthe, des poètes en général et de Nietzsche, essentiellement. Ces trahisons sont à chaque occurrence un nihilisme politique à l’œuvre, une fausse parole mise en actes de langage. Il y a au travail chez Onfray une fausse écriture philosophique (et écriture du faux en philosophie) qui renie tout en bloc, pour son propre plaisir, pour s’émouvoir de sa propre jouissance : ce qu’il nomme un hédonisme et qui a tout d’un dandysme assez pathétique. Alain Jugnon est philosophe et écrivain. Il dirige les Cahiers Artaud et La Contre attaque, revue poétique et politique (éditions D’ores et déjà). Dernières parutions : La Trique de nos meneurs ou le nanar chrétien, éditions Dasein, 2014 ; Redrum, à la lettre contre le fascisme, collectif (coord.), éditions Les Impressions nouvelles, 2015. Ont paru chez Lignes : Artaudieu et Le Devenir Debord.
@alainjacquemin-j7d8 ай бұрын
Avant de commenter, et d'écouter Michel Onfray j'admets une admiration pour la compilation de l'histoire de la philosophie qu'il a réalisé brillament, aussi pour son parti pris de gauche progressiste. Je fus convaincu par la démarche entièrement mais depuis l'injustice des attaques subies, à contrario il s'est démonitisé moralement, s'est fourvoyé en une réactivité vindicative suite aux attaques injustes, jalouses qu'il endura brutalement. Les pouvoirs en place souhaitèrent le priver d'audience, éteindre sa renomée, le priver de locaux pour enseigner gratuitement dans sa remarquable université populaire. Ce fut concerté, terriblement cynique et adroit. Michel Onfray ayant vécu cette désaffection orchestrée devint vengeur dans l'âme, en arriva à perdre son sang froid, son discernement notamment en ce qui concerne ses invitations répétées en faveur d'une vaccination imposée par les instances étatiques et sanitaires. Erreur obtuse due à son dépit personnel qui lui fit manquer l'estime et le respect du libre arbitre de chacun, décidant pour soi et pour sa santé. Ses mots d'ordre furent alors rédhibitoires, s'en suivit d'autres déclarations malheureuses ; il est devenu tristement un nouveau BHL plus érudit , autant caricatural de par ses déclarations autant pathétiques. Difficile de reconquérir l'estime et la compétence qu'il avait admirablement gagnées de juste lutte. La tempérance lui est nécessaire et pourrait à nouveau le rendre utile. Je vais tenter de le retrouver.
@jean-francoisdufosse92708 ай бұрын
Onfray est un charlatan faussement érudit qui débite beaucoup d'âneries, raison pour laquelle France culture, sous la pression de ses auditeurs fidèles et authentiquement cultivés, s'est résolue à ne plus retransmettre ses conférences pourries d'inexactitudes, d'approximations, d'erreurs, de contre vérités, exposées dans un bavardage considérable très proche des conversations de bistrot.
@88sublunaire26 күн бұрын
Beau contenu. Merci.
@amirashur3118 ай бұрын
C'est toujours agréable d'entendre des philosophes comme sa,sa remue dans tous les sens ont est pas toujours d'accord, c'est se qui rend le débat Fleurie.
@christianreynier21208 ай бұрын
Contre Onfray est un essai critique écrit à la première personne du singulier. Publiant Contre Onfray, le philosophe qu’est Alain Jugnon n’écrit pas contre quelqu’un. Par contre, il déconstruit un mouvement général des idées qui, à l’époque du nihilisme et de la détresse de tous, cherche à ne plus analyser, ne plus comprendre et surtout ne plus savoir. Cet essai critique prend naissance dans le commentaire suivant de Guy Debord : « Le gouvernement du spectacle, qui à présent détient tous les moyens de falsifier l’ensemble de la production aussi bien que de la perception, est maître absolu des souvenirs comme il est maître incontrôlé des projets qui façonnent le plus lointain avenir. Il règne partout seul ; il exécute ses jugements sommaires. » Contre Onfray démontre qu’il y a un homme seul au cœur du Spectacle ; ses jugements sont sommaires et grossiers, mais c’est comme toujours la pensée contemporaine qui est exécutée sur les plateaux de télévision. Dans cet essai polémique, ce qui est écrit et détaillé est fait pour refuser le personnage qui se nomme lui-même « le philosophe Michel Onfray », pour dénoncer ce mensonge spectaculaire et cette tricherie bien intégrée. Mais ce n’est pas un livre contre un homme, car il sera d’abord fait pour que vive demain encore la philosophie et pour en finir avec ce passage à l’acte postmoderne qui veut rendre la pensée honteuse d’elle-même, et ce dans la posture maladive d’une critique bête de l’humanisme et de sa valeur juste humaine, très humaine. L’esprit du temps est à la confusion des esprits et à l’émotion des corps : Michel Onfray en oubliant qu’il fut philosophe est devenu (depuis son livre contre Freud, dans lequel il refusait à la psychanalyse le droit de savoir quoi que ce soit sur son Moi - ce fut sa thérapie) le penseur officiel et écrivain public de cette confusion générale et de cette mascarade adorée qui consiste à faire passer pour des pensées des idées multimédiatiques et d’abord idéologiquement dominantes. Onfray de fait n’est plus nietzschéen et c’est ce qu’il fallait à Alain Jugnon démontrer, ni « de gauche » comme il le croyait, ni un nietzschéen pour la droite comme il le voudrait, il est devenu le fossoyeur de la pensée critique contemporaine. C’est la démocratie et l’humanisme qui s’éclipsent ainsi avec son dernier livre, pris dans l’aspiration droitière et siphonnés avec l’eau du bain de ses mauvaises pensées d’intellectuel célèbre et à la sagesse publique : Onfray est le penseur nouveau de la future nouvelle droite française ; cette conversion se donne à voir dans Cosmos, son dernier livre, sous forme d’un jeu de rôles et de passages à l’acte de la pensée fort peu logiques mais totalement anarchiques (au sens bien sûr non politique du terme). Cet essai de généalogie de la non-pensée onfrayenne relit méthodiquement les écrits du philosophe en regardant de près le travail en négatif de cette conversion : les trahisons du lecteur Michel Onfray sont multiples et ce livre en repère la plupart. Ce sont les contresens de Michel Onfray : au sujet de Foucault, de Lacoue-Labarthe, des poètes en général et de Nietzsche, essentiellement. Ces trahisons sont à chaque occurrence un nihilisme politique à l’œuvre, une fausse parole mise en actes de langage. Il y a au travail chez Onfray une fausse écriture philosophique (et écriture du faux en philosophie) qui renie tout en bloc, pour son propre plaisir, pour s’émouvoir de sa propre jouissance : ce qu’il nomme un hédonisme et qui a tout d’un dandysme assez pathétique. Alain Jugnon est philosophe et écrivain. Il dirige les Cahiers Artaud et La Contre attaque, revue poétique et politique (éditions D’ores et déjà). Dernières parutions : La Trique de nos meneurs ou le nanar chrétien, éditions Dasein, 2014 ; Redrum, à la lettre contre le fascisme, collectif (coord.), éditions Les Impressions nouvelles, 2015. Ont paru chez Lignes : Artaudieu et Le Devenir Debord.
@Isa-ry4rl8 ай бұрын
Extra ! Merci à Crowdbunker, aux commentaires pour ce partage. Des pépites du Web tant critiqué, le Web vertueux de la connaissance. Bravo à Nagat pour sa lumineuse idée de nous en comptabiliser
@patriciaduguay71068 ай бұрын
Merci, j’apprécie beaucoup l’entrevue.
@MrPhilippeBrun8 ай бұрын
Aaaah Michel Onfray, strike II :) Toujours un immense plaisir pour moi. Merci!
@ericcaumari39577 ай бұрын
Bravo pour votre chaine
@titineh238 ай бұрын
Mr Onfray a ce don de m'emmener dans des montagnes russes, un moment j'apprécie le discours, un moment je le déteste 😅
@christianreynier21208 ай бұрын
Contre Onfray est un essai critique écrit à la première personne du singulier. Publiant Contre Onfray, le philosophe qu’est Alain Jugnon n’écrit pas contre quelqu’un. Par contre, il déconstruit un mouvement général des idées qui, à l’époque du nihilisme et de la détresse de tous, cherche à ne plus analyser, ne plus comprendre et surtout ne plus savoir. Cet essai critique prend naissance dans le commentaire suivant de Guy Debord : « Le gouvernement du spectacle, qui à présent détient tous les moyens de falsifier l’ensemble de la production aussi bien que de la perception, est maître absolu des souvenirs comme il est maître incontrôlé des projets qui façonnent le plus lointain avenir. Il règne partout seul ; il exécute ses jugements sommaires. » Contre Onfray démontre qu’il y a un homme seul au cœur du Spectacle ; ses jugements sont sommaires et grossiers, mais c’est comme toujours la pensée contemporaine qui est exécutée sur les plateaux de télévision. Dans cet essai polémique, ce qui est écrit et détaillé est fait pour refuser le personnage qui se nomme lui-même « le philosophe Michel Onfray », pour dénoncer ce mensonge spectaculaire et cette tricherie bien intégrée. Mais ce n’est pas un livre contre un homme, car il sera d’abord fait pour que vive demain encore la philosophie et pour en finir avec ce passage à l’acte postmoderne qui veut rendre la pensée honteuse d’elle-même, et ce dans la posture maladive d’une critique bête de l’humanisme et de sa valeur juste humaine, très humaine. L’esprit du temps est à la confusion des esprits et à l’émotion des corps : Michel Onfray en oubliant qu’il fut philosophe est devenu (depuis son livre contre Freud, dans lequel il refusait à la psychanalyse le droit de savoir quoi que ce soit sur son Moi - ce fut sa thérapie) le penseur officiel et écrivain public de cette confusion générale et de cette mascarade adorée qui consiste à faire passer pour des pensées des idées multimédiatiques et d’abord idéologiquement dominantes. Onfray de fait n’est plus nietzschéen et c’est ce qu’il fallait à Alain Jugnon démontrer, ni « de gauche » comme il le croyait, ni un nietzschéen pour la droite comme il le voudrait, il est devenu le fossoyeur de la pensée critique contemporaine. C’est la démocratie et l’humanisme qui s’éclipsent ainsi avec son dernier livre, pris dans l’aspiration droitière et siphonnés avec l’eau du bain de ses mauvaises pensées d’intellectuel célèbre et à la sagesse publique : Onfray est le penseur nouveau de la future nouvelle droite française ; cette conversion se donne à voir dans Cosmos, son dernier livre, sous forme d’un jeu de rôles et de passages à l’acte de la pensée fort peu logiques mais totalement anarchiques (au sens bien sûr non politique du terme). Cet essai de généalogie de la non-pensée onfrayenne relit méthodiquement les écrits du philosophe en regardant de près le travail en négatif de cette conversion : les trahisons du lecteur Michel Onfray sont multiples et ce livre en repère la plupart. Ce sont les contresens de Michel Onfray : au sujet de Foucault, de Lacoue-Labarthe, des poètes en général et de Nietzsche, essentiellement. Ces trahisons sont à chaque occurrence un nihilisme politique à l’œuvre, une fausse parole mise en actes de langage. Il y a au travail chez Onfray une fausse écriture philosophique (et écriture du faux en philosophie) qui renie tout en bloc, pour son propre plaisir, pour s’émouvoir de sa propre jouissance : ce qu’il nomme un hédonisme et qui a tout d’un dandysme assez pathétique. Alain Jugnon est philosophe et écrivain. Il dirige les Cahiers Artaud et La Contre attaque, revue poétique et politique (éditions D’ores et déjà). Dernières parutions : La Trique de nos meneurs ou le nanar chrétien, éditions Dasein, 2014 ; Redrum, à la lettre contre le fascisme, collectif (coord.), éditions Les Impressions nouvelles, 2015. Ont paru chez Lignes : Artaudieu et Le Devenir Debord.
@titineh238 ай бұрын
@@christianreynier2120 merci, je suis totalement incapable de contextualiser mon ressenti et vous le faites avec maestria
@christianreynier21208 ай бұрын
@@titineh23 je n'ai pas écrit ce livre qui me paraît très pertinent
@charlesmartel56818 ай бұрын
Idem!
@olivier77797 ай бұрын
@@christianreynier2120 Verbiage indigeste, avec toujours le même discours enfantin "je suis plus à gauche que lui". Rassurez vous, les mêmes à droite, d'ailleurs les critiques, dans ces sectes que sont la politique moderne, sont toujours dans les batailles intestines. Rocard disait, de gauche ou de droite, c'est être hémiplégique. De Gaulle aussi pensait que la division est une stérile représentation du monde, on gouverne pour tout le peuple. Enfin ... On devrait. C'est hélas vrai aussi que la qualité des dirigeants n'est pas idéale. Aussi je comprends une chose de cet auteur, certes la force médiatique nivelle les valeurs, il y a une absence de sens, de débat profond et réel. Onfray quant à lui est trop passionné, jugements trop binaires. Dommage avec tant de savoir. Ceci dit je ne lui ferai pas les critiques habituelles, je le pense sincère (et touchant) lorsqu'il dit venir aux médias par devoir stoïque.
@christiansarrible96458 ай бұрын
Toujours intéressant d'écouter un érudit qui parle simplement mais avec intelligence de choses simples.
@jean-francoisdufosse92708 ай бұрын
L'érudition d'Onfray n'est que pacotille. Son intelligence est, somme toute, assez limitée.
@miaude42668 ай бұрын
Je découvre votre chaîne avec beaucoup d'intérêt ainsi que votre talent d'intervieweur. Pas facile en face de Michel Onfray dont le débit de parole est continu et sa pensée complexe. Parfois il conforte ma réflexion et parfois il m'agace très fort. Pour exemple, sa négation de l'existence de Jésus à répétition. Cependant Il ne semble pas mettre en doute celles de Moïse ou de Mahomet voire de Bouddha. Étrange ? Non !
@MilLFeuilles8 ай бұрын
Si vous retournez au début de l’entrevue, lorsqu’il aborde très brièvement son enfance, vous comprendrez peut-être mieux pourquoi il nie son existence…
@christiansarrible96458 ай бұрын
Vous nous emmerdez avec votre obsession, il y a aussi d'autres sujets abandonnez votre microscope auto centré.
@christiansarrible96458 ай бұрын
Il n' a rien dit la dessus mais il faudrait lui poser la question si l'on veut avoir une réponse
@lucielefrancois39268 ай бұрын
Très très intéressant ce Monsieur Onfray👌
@Dreuth8 ай бұрын
La meilleure interview de Michel Onfray (qu'on aime ou qu'on aime pas) que j'ai entendue. Si seulement Stéphane Bureau pouvait apprendre à s'effacer davantage, il serait extraordinaire.
@le_roi_nu8 ай бұрын
Je le trouve déjà très respectueux de ses invités... Si on compare avec d'autres entrevues, il y a quand-même beaucoup de place pour les invités. Personnellement, j'aime sa façon de relancer les discussions.
@songsofalifetime85088 ай бұрын
Je crois que Stéphane bureau fait son travail et il le fait très bien.
@gilemino7 ай бұрын
La meilleure interview de Michel Onfray (qu'on aime ou qu'on aime pas) que j'ai entendue. Vous le dites vous-même. La meilleur entrevue de Michel Onfray... Vous croyez vraiment que le travail de Stéphane Bureau n' y est pour rien. Stéphane bureau est un érudit qui s' efface continuellement, pour jeter un peu de bois sur le feu des citations de ses invités. Il en a vu et il en a rencontré de toutes les sortes. Il ne blesse jamais personne et dit souvent vous me corrigerez si je me trompe...C'est sa façon bien à lui de s' effacer et de pousser délicatement ses invités vers des sommets qu' ils n' osent pas atteindre ailleurs. Je voulais savoir qui est Michel Onfray. Je ne voulais pas savoir ce qu' il pense, il pense sans arrêt. Mais maintenant, je sais qui est Michel Onfray.. Bravo Stéphane, travail bien fait. Enlevez Stéphane Bureau et c' est fini. Ils sont très nombreux ceux qui se disent poètes ou philosophe. Qui se ressemble se rassemble. Ils ont chacun leurs admirateurs. Qui peut se vanter d' être la vérité, de posséder la vérité? Chacun a la sienne. Stéphane navigue tellement bien, qu' à chaque fois nous pouvons dire c' est la meilleur interview de cette personne...Stéphane n' affirme rien, il questionne et chaque invité a son langage bien à lui et sa façon de nous faire visiter son monde et de se confesser. Stéphane ne contredit ouvertement personne. Il est là, il questionne, il parle, mais après avoir parlé, il a un petit sourire et....Il s' efface. Il a des années de métier avec des gens prétentieux en disant cela, je ne nomme personne, mais devant l' intelligence de Stéphane, je m' efface et j' écoute. Il sait comment emballer un cadeau. À nous d' ouvrir la boîte.
On n'adore que Dieu. J'admire Onfray, je ne l'adore pas,
@claudineamado30907 ай бұрын
@@OdileALMES parole, parole, parole ..............c est vraiment important. je ne venere personne, mais je peux adorer, aimer, admirer ...........
@cecileliot88047 ай бұрын
Intéressante interview qui éclaire un peu mieux qui est Onfray. Sa définition de l'estime de soi montre que l'espace "développement personnel" de sa bibliothèque doit être assez restreint. C'est presque amusant de le voir se débattre avec ce concept... On voit aussi ses limites dès qu'il parle d'international. Les analyses géopolitiques sérieuses et nuancées demandent beaucoup de travail de recherche et d'information. Difficile à faire pour Onfray qui ne parle pas anglais et qui doit manquer de temps pour ça. À mon avis, il n'est pas assez équipé pour s'aventurer sur ces terrains là publiquement. Ça le discrédite.
@axelmoto508 ай бұрын
Suggestion d'invités pour monsieur Bureau : Louis Olivier Fontaine, avocat démissionnaire du Barreau du Québec sur les limites de notre système judiciaire ou encore Maître Ardavan Amir-Aslani sur la géo politique au Moyen Orient ou encore Héléna Perroud, qui a travaillé sous Jacques Chirac en Russie . Merci
@phoenixaz84318 ай бұрын
Je ne connais que le premier. Si les 2 autres sont de la trempe de celui-ci, ça promet.
@stephanelambert56588 ай бұрын
L'être(lettre). Avant la lettre, le mot, la phrase. Précède le silence. L'être , l'humain a utilisé les mots(maux) pour en faire une arme. Lévinas parlait du visage. Le regard suffit pour comprendre la souffrance. Malheureusement, il y aura toujours les guerres. De Homere, guerre Péloponnèse, la guerre civile qui a ravagé la Chine en 755 et anéanti la moitié de sa population, Etc... Vanité, Vanité....L'ECCLÉSIASTE , très beau texte❤
@carolinebergeron88097 ай бұрын
Comme le disait monsieur Rachid Achachi.. : "il n'y a tellement plus d'intellectuels en France, qu'il y a Michel Onfray ". :)
@catherine-e9s8 ай бұрын
On entendait même dans les années 1980 1990 que la religion musulmane,allait pacifier les quartiers et remettre les dealers sur le droit chemin, autre tromperie ,celle des grands frères eux mêmes dealers tout en étant "éducateurs"
@FrancoisBeauregard-mm9qy8 ай бұрын
Les humains, religieux mais spirituellement malades et infirmes, et peu importe la religion, se tapent dessus comme des imbéciles, croyant que " Dieu" est le dernier des crétins.
@thepilgrimofinfinity48308 ай бұрын
Je ne partage certainement pas toutes les opinions de Michel Onfray, plus particulièrement concernant sa justification du génocide des Palestiniens et sa haine de l'islam. Cela étant dit, c'est un homme intéressant qui n'a pas la langue dans sa poche et j'ai bien apprécié cette entrevue.
@pavetheway8 ай бұрын
En effet, ça allait pas mal jusqu'à ce qu'il déraille totalement au sujet du conflit entre Israël et le Hamas. De sa part, c'est plus que désolant.
@christianreynier21208 ай бұрын
Ce type est, au fond, une ordure raciste.
@Jean-FrancoisPelletier-c2u8 ай бұрын
Merci Stéphane de questionner les politiques d’Israel.
@jackyd39598 ай бұрын
Un homme d'une honnêteté à toute épreuve, d'aucune chapelle, philosophe parce que libre d'aimer comme de décevoir. Respect.
@ornicar1828 ай бұрын
Haut nette ?
@christianreynier21208 ай бұрын
Contre Onfray est un essai critique écrit à la première personne du singulier. Publiant Contre Onfray, le philosophe qu’est Alain Jugnon n’écrit pas contre quelqu’un. Par contre, il déconstruit un mouvement général des idées qui, à l’époque du nihilisme et de la détresse de tous, cherche à ne plus analyser, ne plus comprendre et surtout ne plus savoir. Cet essai critique prend naissance dans le commentaire suivant de Guy Debord : « Le gouvernement du spectacle, qui à présent détient tous les moyens de falsifier l’ensemble de la production aussi bien que de la perception, est maître absolu des souvenirs comme il est maître incontrôlé des projets qui façonnent le plus lointain avenir. Il règne partout seul ; il exécute ses jugements sommaires. » Contre Onfray démontre qu’il y a un homme seul au cœur du Spectacle ; ses jugements sont sommaires et grossiers, mais c’est comme toujours la pensée contemporaine qui est exécutée sur les plateaux de télévision. Dans cet essai polémique, ce qui est écrit et détaillé est fait pour refuser le personnage qui se nomme lui-même « le philosophe Michel Onfray », pour dénoncer ce mensonge spectaculaire et cette tricherie bien intégrée. Mais ce n’est pas un livre contre un homme, car il sera d’abord fait pour que vive demain encore la philosophie et pour en finir avec ce passage à l’acte postmoderne qui veut rendre la pensée honteuse d’elle-même, et ce dans la posture maladive d’une critique bête de l’humanisme et de sa valeur juste humaine, très humaine. L’esprit du temps est à la confusion des esprits et à l’émotion des corps : Michel Onfray en oubliant qu’il fut philosophe est devenu (depuis son livre contre Freud, dans lequel il refusait à la psychanalyse le droit de savoir quoi que ce soit sur son Moi - ce fut sa thérapie) le penseur officiel et écrivain public de cette confusion générale et de cette mascarade adorée qui consiste à faire passer pour des pensées des idées multimédiatiques et d’abord idéologiquement dominantes. Onfray de fait n’est plus nietzschéen et c’est ce qu’il fallait à Alain Jugnon démontrer, ni « de gauche » comme il le croyait, ni un nietzschéen pour la droite comme il le voudrait, il est devenu le fossoyeur de la pensée critique contemporaine. C’est la démocratie et l’humanisme qui s’éclipsent ainsi avec son dernier livre, pris dans l’aspiration droitière et siphonnés avec l’eau du bain de ses mauvaises pensées d’intellectuel célèbre et à la sagesse publique : Onfray est le penseur nouveau de la future nouvelle droite française ; cette conversion se donne à voir dans Cosmos, son dernier livre, sous forme d’un jeu de rôles et de passages à l’acte de la pensée fort peu logiques mais totalement anarchiques (au sens bien sûr non politique du terme). Cet essai de généalogie de la non-pensée onfrayenne relit méthodiquement les écrits du philosophe en regardant de près le travail en négatif de cette conversion : les trahisons du lecteur Michel Onfray sont multiples et ce livre en repère la plupart. Ce sont les contresens de Michel Onfray : au sujet de Foucault, de Lacoue-Labarthe, des poètes en général et de Nietzsche, essentiellement. Ces trahisons sont à chaque occurrence un nihilisme politique à l’œuvre, une fausse parole mise en actes de langage. Il y a au travail chez Onfray une fausse écriture philosophique (et écriture du faux en philosophie) qui renie tout en bloc, pour son propre plaisir, pour s’émouvoir de sa propre jouissance : ce qu’il nomme un hédonisme et qui a tout d’un dandysme assez pathétique. Alain Jugnon est philosophe et écrivain. Il dirige les Cahiers Artaud et La Contre attaque, revue poétique et politique (éditions D’ores et déjà). Dernières parutions : La Trique de nos meneurs ou le nanar chrétien, éditions Dasein, 2014 ; Redrum, à la lettre contre le fascisme, collectif (coord.), éditions Les Impressions nouvelles, 2015. Ont paru chez Lignes : Artaudieu et Le Devenir Debord.
@louisedahmani3748 ай бұрын
Entretien intéressant mais des réserves sur l"analyse du conflit sur Gaza. Les colons israéliens ne sont pas vraiment de sympathiques personnes qui picniquent sur le bord de la route comme semble les décrire Michel Onfray.
@Roquefortraider18 ай бұрын
Il n'y a plus de colons isaréliens à Gaza depuis 2005. On peut ne pas aimer ceux qui s'établissent en Cisjordanie, mais les victimes du 7 octobre n'étaient pas des colons.
@hipparcia8 ай бұрын
Je suis fan, et j'aimerai, sans aucune arrière pensée, voir la même interview avec Bernard Henry.
@christianreynier21208 ай бұрын
Contre Onfray est un essai critique écrit à la première personne du singulier. Publiant Contre Onfray, le philosophe qu’est Alain Jugnon n’écrit pas contre quelqu’un. Par contre, il déconstruit un mouvement général des idées qui, à l’époque du nihilisme et de la détresse de tous, cherche à ne plus analyser, ne plus comprendre et surtout ne plus savoir. Cet essai critique prend naissance dans le commentaire suivant de Guy Debord : « Le gouvernement du spectacle, qui à présent détient tous les moyens de falsifier l’ensemble de la production aussi bien que de la perception, est maître absolu des souvenirs comme il est maître incontrôlé des projets qui façonnent le plus lointain avenir. Il règne partout seul ; il exécute ses jugements sommaires. » Contre Onfray démontre qu’il y a un homme seul au cœur du Spectacle ; ses jugements sont sommaires et grossiers, mais c’est comme toujours la pensée contemporaine qui est exécutée sur les plateaux de télévision. Dans cet essai polémique, ce qui est écrit et détaillé est fait pour refuser le personnage qui se nomme lui-même « le philosophe Michel Onfray », pour dénoncer ce mensonge spectaculaire et cette tricherie bien intégrée. Mais ce n’est pas un livre contre un homme, car il sera d’abord fait pour que vive demain encore la philosophie et pour en finir avec ce passage à l’acte postmoderne qui veut rendre la pensée honteuse d’elle-même, et ce dans la posture maladive d’une critique bête de l’humanisme et de sa valeur juste humaine, très humaine. L’esprit du temps est à la confusion des esprits et à l’émotion des corps : Michel Onfray en oubliant qu’il fut philosophe est devenu (depuis son livre contre Freud, dans lequel il refusait à la psychanalyse le droit de savoir quoi que ce soit sur son Moi - ce fut sa thérapie) le penseur officiel et écrivain public de cette confusion générale et de cette mascarade adorée qui consiste à faire passer pour des pensées des idées multimédiatiques et d’abord idéologiquement dominantes. Onfray de fait n’est plus nietzschéen et c’est ce qu’il fallait à Alain Jugnon démontrer, ni « de gauche » comme il le croyait, ni un nietzschéen pour la droite comme il le voudrait, il est devenu le fossoyeur de la pensée critique contemporaine. C’est la démocratie et l’humanisme qui s’éclipsent ainsi avec son dernier livre, pris dans l’aspiration droitière et siphonnés avec l’eau du bain de ses mauvaises pensées d’intellectuel célèbre et à la sagesse publique : Onfray est le penseur nouveau de la future nouvelle droite française ; cette conversion se donne à voir dans Cosmos, son dernier livre, sous forme d’un jeu de rôles et de passages à l’acte de la pensée fort peu logiques mais totalement anarchiques (au sens bien sûr non politique du terme). Cet essai de généalogie de la non-pensée onfrayenne relit méthodiquement les écrits du philosophe en regardant de près le travail en négatif de cette conversion : les trahisons du lecteur Michel Onfray sont multiples et ce livre en repère la plupart. Ce sont les contresens de Michel Onfray : au sujet de Foucault, de Lacoue-Labarthe, des poètes en général et de Nietzsche, essentiellement. Ces trahisons sont à chaque occurrence un nihilisme politique à l’œuvre, une fausse parole mise en actes de langage. Il y a au travail chez Onfray une fausse écriture philosophique (et écriture du faux en philosophie) qui renie tout en bloc, pour son propre plaisir, pour s’émouvoir de sa propre jouissance : ce qu’il nomme un hédonisme et qui a tout d’un dandysme assez pathétique. Alain Jugnon est philosophe et écrivain. Il dirige les Cahiers Artaud et La Contre attaque, revue poétique et politique (éditions D’ores et déjà). Dernières parutions : La Trique de nos meneurs ou le nanar chrétien, éditions Dasein, 2014 ; Redrum, à la lettre contre le fascisme, collectif (coord.), éditions Les Impressions nouvelles, 2015. Ont paru chez Lignes : Artaudieu et Le Devenir Debord.
@lucielefrancois39268 ай бұрын
WoW bien dit 👌
@OdileALMES7 ай бұрын
C'est quoi WoH? Vous ne pouvez pas écrire en français ?
@christianreynier21208 ай бұрын
Pour aborder la question de la biographie concrète, lire Lucien Sève "pour une science de la biographie".
@alexmayrand23938 ай бұрын
Un homme qui cautionne la vengeance, n est pas aussi sage qu il le prétends... Et il se dit défenseur des opprimés. Un homme de plus qui joue avec les mots pour gagner sa vie.
@charlybienosa30397 ай бұрын
Les ismaéliens devaient tendre l'autre joue après ce carnage a ciel ouvert ? vous êtes lucide là ? Quel est ce niveau de mauvaise foi ? On massacre votre population et vous voulez discuter d'éthique morale ? Arrêtez un peu !
@ericlandory8 ай бұрын
Michel me fait songer à un notaire, qui, dans l'antre du Titanic - en train de sombrer - note scrupuleusement toutes les brèches... Ce qui m'agace au plus au point, avec lui, c'est que dans sa liste, il y a la brèche qui fait tout couler, mais qu'il ne lui accorde pas plus d'importance qu'aux autres...
@le_roi_nu8 ай бұрын
J'ai l'impression, à vous lire entre les lignes, de deviner à quelle brèche vous faites allusion...
@AdventuresKam8 ай бұрын
Au début, j'ai beaucoup apprécié Onfray, mais avec le temps, il s'est révélé être, comme beaucoup d'autres, un ethnocentrique. À force de lire et d'écrire comme il le prône, tu finis par te déconnecter de la réalité quotidienne, vivant dans une bulle qui t'isole complètement des gens et des véritables tendances en cours. Rien qu'à l'écouter, d'ailleurs, sa vision du monde est tellement franco-française, elle est tellement ancrée dans l'actualité hexagonale et reflète beaucoup la réalité telle qu'elle est décrite par les médias, alors que je trouve qu'il laisse de nombreux angles morts dans son analyse.
@DanielleHammond-k5w8 ай бұрын
Tellement intéressant merci
@philippeleroy-u1f8 ай бұрын
En fait Mr Onfray ,avec tout le respect que je vous doit,je pense enfin que vous n'avez pas assez travaillé,approfondi ce dossier ,vous n'avez pas un regard partial sur ce conflit malheureusement.Bien à vous
@christianreynier21208 ай бұрын
Contre Onfray est un essai critique écrit à la première personne du singulier. Publiant Contre Onfray, le philosophe qu’est Alain Jugnon n’écrit pas contre quelqu’un. Par contre, il déconstruit un mouvement général des idées qui, à l’époque du nihilisme et de la détresse de tous, cherche à ne plus analyser, ne plus comprendre et surtout ne plus savoir. Cet essai critique prend naissance dans le commentaire suivant de Guy Debord : « Le gouvernement du spectacle, qui à présent détient tous les moyens de falsifier l’ensemble de la production aussi bien que de la perception, est maître absolu des souvenirs comme il est maître incontrôlé des projets qui façonnent le plus lointain avenir. Il règne partout seul ; il exécute ses jugements sommaires. » Contre Onfray démontre qu’il y a un homme seul au cœur du Spectacle ; ses jugements sont sommaires et grossiers, mais c’est comme toujours la pensée contemporaine qui est exécutée sur les plateaux de télévision. Dans cet essai polémique, ce qui est écrit et détaillé est fait pour refuser le personnage qui se nomme lui-même « le philosophe Michel Onfray », pour dénoncer ce mensonge spectaculaire et cette tricherie bien intégrée. Mais ce n’est pas un livre contre un homme, car il sera d’abord fait pour que vive demain encore la philosophie et pour en finir avec ce passage à l’acte postmoderne qui veut rendre la pensée honteuse d’elle-même, et ce dans la posture maladive d’une critique bête de l’humanisme et de sa valeur juste humaine, très humaine. L’esprit du temps est à la confusion des esprits et à l’émotion des corps : Michel Onfray en oubliant qu’il fut philosophe est devenu (depuis son livre contre Freud, dans lequel il refusait à la psychanalyse le droit de savoir quoi que ce soit sur son Moi - ce fut sa thérapie) le penseur officiel et écrivain public de cette confusion générale et de cette mascarade adorée qui consiste à faire passer pour des pensées des idées multimédiatiques et d’abord idéologiquement dominantes. Onfray de fait n’est plus nietzschéen et c’est ce qu’il fallait à Alain Jugnon démontrer, ni « de gauche » comme il le croyait, ni un nietzschéen pour la droite comme il le voudrait, il est devenu le fossoyeur de la pensée critique contemporaine. C’est la démocratie et l’humanisme qui s’éclipsent ainsi avec son dernier livre, pris dans l’aspiration droitière et siphonnés avec l’eau du bain de ses mauvaises pensées d’intellectuel célèbre et à la sagesse publique : Onfray est le penseur nouveau de la future nouvelle droite française ; cette conversion se donne à voir dans Cosmos, son dernier livre, sous forme d’un jeu de rôles et de passages à l’acte de la pensée fort peu logiques mais totalement anarchiques (au sens bien sûr non politique du terme). Cet essai de généalogie de la non-pensée onfrayenne relit méthodiquement les écrits du philosophe en regardant de près le travail en négatif de cette conversion : les trahisons du lecteur Michel Onfray sont multiples et ce livre en repère la plupart. Ce sont les contresens de Michel Onfray : au sujet de Foucault, de Lacoue-Labarthe, des poètes en général et de Nietzsche, essentiellement. Ces trahisons sont à chaque occurrence un nihilisme politique à l’œuvre, une fausse parole mise en actes de langage. Il y a au travail chez Onfray une fausse écriture philosophique (et écriture du faux en philosophie) qui renie tout en bloc, pour son propre plaisir, pour s’émouvoir de sa propre jouissance : ce qu’il nomme un hédonisme et qui a tout d’un dandysme assez pathétique. Alain Jugnon est philosophe et écrivain. Il dirige les Cahiers Artaud et La Contre attaque, revue poétique et politique (éditions D’ores et déjà). Dernières parutions : La Trique de nos meneurs ou le nanar chrétien, éditions Dasein, 2014 ; Redrum, à la lettre contre le fascisme, collectif (coord.), éditions Les Impressions nouvelles, 2015. Ont paru chez Lignes : Artaudieu et Le Devenir Debord.
@SilviePuygreier7 ай бұрын
Ça me semble difficile dans la totalité des thèmes abordés d’être complètement pour ou contre… je trouve intéressant ce patchwork chez les gens… 😘
@mireilleboivin85638 ай бұрын
Merci encore pour cette entrevue avec M Onfrey...j'apprends à chaque fois et ma curiosité est au maximum . ❤
@mireilleboivin85638 ай бұрын
Excusez Onfray
@jean-francoisbienvenue67418 ай бұрын
Très intéressant comme échange. Le concept de conservateur de gauche. Quand on y pense bien, le conservatisme est plutôt un point de vu qu'une idéologie politique. Ce qui me fait penser à Jean-Claude Michéa et son socialisme contemporain qui serait en fait un libéralisme. Ça pourrait faire un bon invité ce Michéa
@jean-maxboyer48558 ай бұрын
Vous donnez audience à un personnage qui a parlé des "jérémiades" au sujet mères palestiniennes qui demandaient un violon pour distraire aussi leurs enfants dans la bande de gaza! Quelle infamie alors! Je reste abonné, vous êtes bien mieux inspiré par ailleurs.
@christianreynier21208 ай бұрын
L’Italie de Meloni ouvre les centres de consultation familiale aux anti-avortements Le Parlement a voté un amendement déposé par le parti Fratelli d’Italia, qui permet aux groupes opposés à l’IVG d’intervenir directement dans les centres de consultation. En Émilie-Romagne, où l’avortement est encore correctement accessible, la décision provoque inquiétude et colère
@axelmoto508 ай бұрын
Il dit tout et son contraire, la chaine YT Juste Milieu en a fait une analyse critique très factuelle Michel ONFRAY : crépuscule d'une GIROUETTE ... en France il est tombé dans la catégorie BHL
@renatotapado63977 ай бұрын
Cette "vengeance" "c'est un suject important en Georges Simenon.
@marcellotorello26718 ай бұрын
Il faut changer de sujet, c’est comme pour le Covid, c’est mieux qu’il se taise.
@9mifasol108 ай бұрын
Pfffffffffff
@jean-francoisdufosse92708 ай бұрын
Onfray à propos de l'inexistence de jésus (1:08:04) :" j'attendais des débats de qualité". L'ennui, c'est que ce charlatan a toujours refusé de débattre avec Jean - Marie Salamito, professeur d’histoire du christianisme antique à l’université Paris- Sorbonne et qui dirige l'école doctorale d'histoire antique et médiévale. De même il a récemment refusé de débattre de son livre avec Fabrice Hadjadj, diplômé de l'Institut d'études politiques de Paris, agrégé de philosophie, membre du Conseil pontifical pour les laïcs.
@sandrinen13338 ай бұрын
Un grand homme tout simplement je devore vos livres la nef des fous ou plutot le grand paquebot des fous .. .😂😂😂😂 excellent
@samsungs8tv5228 ай бұрын
Je me méfie énormément de Onfray. C'est quand même un homme qui passe son temps à dire tout et le contraire de tout. Rappelez vous quand même qu'en 2019 il faisait l'éloge de François Asselineau en réunion publique, puis le lendemain il déclarait aux médias que c'était (entre les lignes) une ordure... surement après avoir reçu un visiteur du soir ou un coup de fil d'en haut. Récemment il disait à la télé française - dans laquelle il a tous les accès - qu'il faut un Frexit mais qu'il n'existe aucun parti en France qui le propose et qu'il va donc s'abstenir. Alors même qu'il a repris 90% des analyses de Asselineau, et qu'on est en pleine campagne électorale... dans laquelle ce dernier est complètement censuré. Bon bref, passer sa vie à faire de la "philosophie" pour finir avec si peu de courage et d'honnêteté intellectuelle, il aurait mieux fait de faire autre chose !
@jean-francoisdufosse92708 ай бұрын
Onfray prétend faire de la philosophie mais n'a jamais produit aucune pensée, aucune analyse, aucun concept. Ce n'est qu'un charlatan.
@jean-francoisdufosse92707 ай бұрын
Onfray (7:22) : "quand je faisais mes études à la fac, enfin je suis rentré à la fac en 76 il n' y avait pas de biographie de philosophe, ça n'existait pas la biographie des philosophes, on ne voulait pas savoir ce qui était la vie de machin, de bidule ou d'untel. Kant écrivait la Critique de la raison pure et le texte flottait dans l'air comme des idées pures et on ne voulait pas savoir qui était Kant, quelle était la vie de Kant, ce qu' était la pensée de Kant, ce qu'était sa mère : piétiste." Ce que dit Onfray ici est totalement faux ; c'est un menteur ! (ou alors il ne comprenait rien à ce qu'on lui enseignait !!). Ajoutons que ce n'est pas la biographie qui permet de comprendre la pensée d'un auteur philosophe mais sa généalogie intellectuelle. S'agissant de Kant et de la Critique de la raison pure, il importe donc d'étudier, d'une part, Leibniz et Wolff, d'autre part, Hume, et aussi, enfin, un peu, Newton et Clarke. Mais Onfray n'a jamais été fichu de comprendre ça, d'où sa profonde ignorance de l'œuvre de Kant !
@sassy197620007 ай бұрын
J'aborde en votre sens au sujet de la "généalogie intellectuelle". Bien sûr que les enseignants et les personnes d'importance ont moulé la pensée des Grands Philosophes. Néanmoins, je crois que l'humain ne peut façonner sa pensée qu'en usant de ses enseignements sans que les facettes de sa vie n'y soient imprégnées.
@jean-francoisdufosse92707 ай бұрын
@@sassy19762000" je crois que l'humain ne peut façonner sa pensée qu'en usant de ses enseignements sans que les facettes de sa vie n'y soient imprégnées." Sans doute mais lorsqu'il s'agit d'un philosophe, l'effort d'abstraction pour penser de telle sorte que soit légitime la prétention à la valeur universelle de ses jugements, a pour conséquence que sa biographie n'a pas du tout l'importance que veut lui conférer Onfray. Qui plus est, quand Onfray dit, parlant de Kant : "un type qui fait 500 pages pour exploser la métaphysique occidentale et qui ne l'explose pas juste pour ne pas déplaire à sa mère parce qu' il est pas question d'être le penseur de l'athéisme, d'une certaine manière." C'est extraordinairement mal vu. En fait, Onfray ne comprend pas la généalogie intellectuelle de la pensée kantienne ni la pensée même de Kant. Ce n'est qu'un charlatan.
@sassy197620006 ай бұрын
@@jean-francoisdufosse9270 Bon! Donc, Onfray ne "comprends pas" la pensée Kantienne? Alors, bien évidemment qu'il est un charlatan?!! Belle déduction, Watson!
@jean-francoisdufosse92706 ай бұрын
@@sassy19762000 C'est en effet une déduction (plus exactement, une suite de deux déductions) parfaitement logique. Un philosophe qui, comme prétend le faire Onfray, intervient en histoire de la philosophie, connaît au moins les auteurs du programme de philo de terminale. Or Onfray ne connaît pas, ne comprend pas la pensée kantienne. Donc, par modus tollens (syllogisme conditionnel), il n'est pas un philosophe. Or il prétend l'être. Donc, par syllogisme catégorique, c'est un charlatan puisque toute personne prétendant être philosophe mais ne l'est pas est un charlatan. Elémentaire !
@aurelienleo47187 ай бұрын
Onfray est obsolète sur bon nombre de sujets. En particulier sur ce qu'il se passe en Palestine. Ne pas oublier également ses prises de position outrancières et discriminatoires lors de la crise COVID. Personnage devenu pathétique et lâche. Philosophe bas de gamme aux ordres.
@robertalenrichter8 ай бұрын
Ce qui me frappe chez Onfray, c'est son empressement de toujours tout savoir, et toujours mieux que les autres. Il a servi à déboulonner quelques statues, mais maintenant, bon. Quand quelqu'un accapare la parole pour nous asséner ces vérités, il ne fait que combler ses faiblesses.
@christiansarrible96458 ай бұрын
Essaie d'en faire le dixième après on n'en reparle.
@jean-francoisdufosse92708 ай бұрын
@@christiansarrible9645 Un dixième de daube (disons daube pour ne pas être grossier), c'est bien préférable à la daube tout entière.
@jeveuxpasdechainecal8 ай бұрын
Vous faîtes d'excellentes entrevues, M. Bureau. Malheureusement, depuis la trahison de Onfray durant la COVID et surtout son refus d'admettre ses erreurs, je ne suis plus intéressé à écouter cet homme. Il a littéralement eu la même attitude que Sartre durant la IIe guerre. Attitude dont il critique par ailleurs sévèrement. Onfray: Plus jamais pour moi.
@christiansarrible96458 ай бұрын
Rien ne vous oblige de l'écouter il y a certainement d'autres supports pour écouter ce que vous adoré
@9mifasol108 ай бұрын
Passez votre chemin !
@kevinchedorge20918 ай бұрын
Au sujet de la GPA, une personne née de cette pratique a témoigné à plusieurs reprises. Elle se nomme Olivia Maurel.
@vivianemardelli8 ай бұрын
J'adore écouter M. Onfray sauf quand il s'agit d'Israël. Un petit conseil, si je puis me permettre face à ce géant, suivre toutes les interviews de Jacques Baud, le plus honnête des hommes.
@linebouffard42938 ай бұрын
Bonjour!!
@robby18188 ай бұрын
La Girouette...cf les propos sur le COVID...
@fannygerard2838 ай бұрын
Je n’ai pas apprécié non plus sa période Covid mais ça serait injuste de ne pas se rendre compte du bien-fondé de ce qu’il dit sur bien d’autres sujets.
@zeugoret8 ай бұрын
Idem sur le Covid. Retournement de veste complet et déni de ses paroles. Pour ça, un 0/20.
@9mifasol108 ай бұрын
Faut passer à autre chose ! Connaissez-vous quelqu'un d 'infaillible? Je pense pas. Mr Auffray est tout simplement brillant.
@analadoubee79308 ай бұрын
Oui,il n'a pas de savoir sur les vaccins .personne n'est parfait ...dans la balance , 150 livres ...plusieurs fois au bord de la mort , travail géant . Et générosité de cœur pour le peuple , fidèle à son père qui etait ouvrier agricole , donc , pauvre ...
@kouenclaude98358 ай бұрын
Vous nous faites chier avec votre COVID , Onfray à le droit de penser ce qu'il veut sur la question et de ne pas vouloir évoluer sur des positions, la vaccination est la pierre angulaire de notre système de santé .. maintenant donnez des sources que le vaccin anti COVID a fait plus de mal que de bien..
@stephanerochon81698 ай бұрын
Humm... je crois qu'on a compris qu'il n'est pas très Macron ;-)
@davidmartin79318 ай бұрын
Il n'est pas très Macron, pas très LePen, pas très Zemmour, pas très Mélenchon, pas très Ciotti ...
@richard14528 ай бұрын
Onfray n’aime que lui
@christiansarrible96458 ай бұрын
Rassure vous il y en a beaucoup d'autres
@sassy197620007 ай бұрын
Pas très Jésus non plus... haha!
@lxrn8 ай бұрын
J'ai l'impression que Michel est schizophrène. Il écrit un livre pour dire que Jésus n'a jamais existé et d'autre part je n'ai jamais écouté quelqu'un qui défend si intelligemment le christianisme. C'est passionnant.
@sassy197620008 ай бұрын
Onfray nie l'existence historique de Jésus, l'homme. Néanmoins, il appuie l'idéologie d'un Christ allégorique. 😊
@christianreynier21208 ай бұрын
Contre Onfray est un essai critique écrit à la première personne du singulier. Publiant Contre Onfray, le philosophe qu’est Alain Jugnon n’écrit pas contre quelqu’un. Par contre, il déconstruit un mouvement général des idées qui, à l’époque du nihilisme et de la détresse de tous, cherche à ne plus analyser, ne plus comprendre et surtout ne plus savoir. Cet essai critique prend naissance dans le commentaire suivant de Guy Debord : « Le gouvernement du spectacle, qui à présent détient tous les moyens de falsifier l’ensemble de la production aussi bien que de la perception, est maître absolu des souvenirs comme il est maître incontrôlé des projets qui façonnent le plus lointain avenir. Il règne partout seul ; il exécute ses jugements sommaires. » Contre Onfray démontre qu’il y a un homme seul au cœur du Spectacle ; ses jugements sont sommaires et grossiers, mais c’est comme toujours la pensée contemporaine qui est exécutée sur les plateaux de télévision. Dans cet essai polémique, ce qui est écrit et détaillé est fait pour refuser le personnage qui se nomme lui-même « le philosophe Michel Onfray », pour dénoncer ce mensonge spectaculaire et cette tricherie bien intégrée. Mais ce n’est pas un livre contre un homme, car il sera d’abord fait pour que vive demain encore la philosophie et pour en finir avec ce passage à l’acte postmoderne qui veut rendre la pensée honteuse d’elle-même, et ce dans la posture maladive d’une critique bête de l’humanisme et de sa valeur juste humaine, très humaine. L’esprit du temps est à la confusion des esprits et à l’émotion des corps : Michel Onfray en oubliant qu’il fut philosophe est devenu (depuis son livre contre Freud, dans lequel il refusait à la psychanalyse le droit de savoir quoi que ce soit sur son Moi - ce fut sa thérapie) le penseur officiel et écrivain public de cette confusion générale et de cette mascarade adorée qui consiste à faire passer pour des pensées des idées multimédiatiques et d’abord idéologiquement dominantes. Onfray de fait n’est plus nietzschéen et c’est ce qu’il fallait à Alain Jugnon démontrer, ni « de gauche » comme il le croyait, ni un nietzschéen pour la droite comme il le voudrait, il est devenu le fossoyeur de la pensée critique contemporaine. C’est la démocratie et l’humanisme qui s’éclipsent ainsi avec son dernier livre, pris dans l’aspiration droitière et siphonnés avec l’eau du bain de ses mauvaises pensées d’intellectuel célèbre et à la sagesse publique : Onfray est le penseur nouveau de la future nouvelle droite française ; cette conversion se donne à voir dans Cosmos, son dernier livre, sous forme d’un jeu de rôles et de passages à l’acte de la pensée fort peu logiques mais totalement anarchiques (au sens bien sûr non politique du terme). Cet essai de généalogie de la non-pensée onfrayenne relit méthodiquement les écrits du philosophe en regardant de près le travail en négatif de cette conversion : les trahisons du lecteur Michel Onfray sont multiples et ce livre en repère la plupart. Ce sont les contresens de Michel Onfray : au sujet de Foucault, de Lacoue-Labarthe, des poètes en général et de Nietzsche, essentiellement. Ces trahisons sont à chaque occurrence un nihilisme politique à l’œuvre, une fausse parole mise en actes de langage. Il y a au travail chez Onfray une fausse écriture philosophique (et écriture du faux en philosophie) qui renie tout en bloc, pour son propre plaisir, pour s’émouvoir de sa propre jouissance : ce qu’il nomme un hédonisme et qui a tout d’un dandysme assez pathétique. Alain Jugnon est philosophe et écrivain. Il dirige les Cahiers Artaud et La Contre attaque, revue poétique et politique (éditions D’ores et déjà). Dernières parutions : La Trique de nos meneurs ou le nanar chrétien, éditions Dasein, 2014 ; Redrum, à la lettre contre le fascisme, collectif (coord.), éditions Les Impressions nouvelles, 2015. Ont paru chez Lignes : Artaudieu et Le Devenir Debord.
@sassy197620007 ай бұрын
@@christianreynier2120 Ok..? Amenons-les en débat.
@christianreynier21207 ай бұрын
@@sassy19762000 onfray ne débat pas...pas le niveau...suffit de regarder ses réactions face à Badiou...
@cloud-cr5gs8 ай бұрын
Le prix du Gpa c'est 10 000€ hors France ☝️. C'est même tarif pour un mariage blanc en France.... très pratiqué également....
@catherine-e9s8 ай бұрын
Le problème des penseurs d'aujourd'hui c'est que leur pensée neutralise le choix ,et ça c'est très énervant !la mode est au gris! comme vous dites,certains parlent de nuances , mais il y a comme vous dites des choix qui exigent le noir et blanc
@bernardmariusroth2918 ай бұрын
Au moment de la discussion sur Gaza j’ai passé à autre chose.
@christiansarrible96458 ай бұрын
Et pourtant il a dit des choses très équilibrées, mais vous êtes parti avant
@philippeleroy-u1f8 ай бұрын
Je suis loin de partager l'analyse de Mr Onfray sur le conflit entre Israèl et le Hammas.
@DiltTam8 ай бұрын
J'aime lobotomisé mon cerveau, j'écoute Michel au frais 🙃
@christiansarrible96458 ай бұрын
En as tu un de cerveau
@DiltTam8 ай бұрын
@@christiansarrible9645 Oui un cerveau lobotomisé comme le tien sauf que toi tu le sais pas 😂
@wass74878 ай бұрын
Il faut que Onfray cesse d’être névrosé sur la géopolitique au moyen orient toujours bon de rappeler que l’Arabie Saoudite, le Maroc et d’autres états musulman ont voulu normaliser leurs relations diplomatiques.
@TheClauddiam8 ай бұрын
et t'as vu le résultat?
@wass74878 ай бұрын
@@TheClauddiam C’est l’Iran qui a fait en sorte de stopper ces accords en organisant avec le Hamas le massacre du 7 octobre. Néanmoins l’Arabie Saoudite pays leader de l’Islam Sunite n’étais pas en conflit avec Israël donc quand Onfray dit « tout les pays autour veulent détruire Israël » c’est clairement un raccourci volontaire de sa part !
@catherine-e9s8 ай бұрын
Vous avez tellement raison sur Gaza et Israël,!
@persiljackson31597 ай бұрын
Qu'est ce que tu racontes ? bien sûr que entre autres Jacques Derrida est encore lu et cité, ce qui ne sera surement pas ton cas, et bien sur qu'un philosophe un pourvoyeur d'idées et de concepts, et tu réfutes cette définition juste parce que tu n'en as produit aucune ? philosophe de mes deux
@richard14528 ай бұрын
Onfray philosophe comme moi je suis pape,il est plutôt politique Il n’aime que lui ,,Onfray est à gerber Personne ne trouve grâce à ses yeux
@louisedahmani3748 ай бұрын
Trop gentil de leur part de ne pas vouloir occuper Gaza. Non, les victimes du 7 octobre n'étaient pas des colons. Cela en aurait été le cas, j' en aurais été autant horrifiée, croyez-moi. Je ne pense pas que les colons ont autant d'empathie pour les enfants palestiniens.
@baronnuuke78216 ай бұрын
Le 7 octobre a fait se poser la question à beaucoup de gens, peut-être aurait-il été préférable de coloniser entièrement Gaza, ce qui aurait peut-être évité un 7 octobre et certainement évité la guerre actuelle
@EricK-rj8lu8 ай бұрын
Ondray excellent comme toujours
@christianreynier21208 ай бұрын
Contre Onfray est un essai critique écrit à la première personne du singulier. Publiant Contre Onfray, le philosophe qu’est Alain Jugnon n’écrit pas contre quelqu’un. Par contre, il déconstruit un mouvement général des idées qui, à l’époque du nihilisme et de la détresse de tous, cherche à ne plus analyser, ne plus comprendre et surtout ne plus savoir. Cet essai critique prend naissance dans le commentaire suivant de Guy Debord : « Le gouvernement du spectacle, qui à présent détient tous les moyens de falsifier l’ensemble de la production aussi bien que de la perception, est maître absolu des souvenirs comme il est maître incontrôlé des projets qui façonnent le plus lointain avenir. Il règne partout seul ; il exécute ses jugements sommaires. » Contre Onfray démontre qu’il y a un homme seul au cœur du Spectacle ; ses jugements sont sommaires et grossiers, mais c’est comme toujours la pensée contemporaine qui est exécutée sur les plateaux de télévision. Dans cet essai polémique, ce qui est écrit et détaillé est fait pour refuser le personnage qui se nomme lui-même « le philosophe Michel Onfray », pour dénoncer ce mensonge spectaculaire et cette tricherie bien intégrée. Mais ce n’est pas un livre contre un homme, car il sera d’abord fait pour que vive demain encore la philosophie et pour en finir avec ce passage à l’acte postmoderne qui veut rendre la pensée honteuse d’elle-même, et ce dans la posture maladive d’une critique bête de l’humanisme et de sa valeur juste humaine, très humaine. L’esprit du temps est à la confusion des esprits et à l’émotion des corps : Michel Onfray en oubliant qu’il fut philosophe est devenu (depuis son livre contre Freud, dans lequel il refusait à la psychanalyse le droit de savoir quoi que ce soit sur son Moi - ce fut sa thérapie) le penseur officiel et écrivain public de cette confusion générale et de cette mascarade adorée qui consiste à faire passer pour des pensées des idées multimédiatiques et d’abord idéologiquement dominantes. Onfray de fait n’est plus nietzschéen et c’est ce qu’il fallait à Alain Jugnon démontrer, ni « de gauche » comme il le croyait, ni un nietzschéen pour la droite comme il le voudrait, il est devenu le fossoyeur de la pensée critique contemporaine. C’est la démocratie et l’humanisme qui s’éclipsent ainsi avec son dernier livre, pris dans l’aspiration droitière et siphonnés avec l’eau du bain de ses mauvaises pensées d’intellectuel célèbre et à la sagesse publique : Onfray est le penseur nouveau de la future nouvelle droite française ; cette conversion se donne à voir dans Cosmos, son dernier livre, sous forme d’un jeu de rôles et de passages à l’acte de la pensée fort peu logiques mais totalement anarchiques (au sens bien sûr non politique du terme). Cet essai de généalogie de la non-pensée onfrayenne relit méthodiquement les écrits du philosophe en regardant de près le travail en négatif de cette conversion : les trahisons du lecteur Michel Onfray sont multiples et ce livre en repère la plupart. Ce sont les contresens de Michel Onfray : au sujet de Foucault, de Lacoue-Labarthe, des poètes en général et de Nietzsche, essentiellement. Ces trahisons sont à chaque occurrence un nihilisme politique à l’œuvre, une fausse parole mise en actes de langage. Il y a au travail chez Onfray une fausse écriture philosophique (et écriture du faux en philosophie) qui renie tout en bloc, pour son propre plaisir, pour s’émouvoir de sa propre jouissance : ce qu’il nomme un hédonisme et qui a tout d’un dandysme assez pathétique. Alain Jugnon est philosophe et écrivain. Il dirige les Cahiers Artaud et La Contre attaque, revue poétique et politique (éditions D’ores et déjà). Dernières parutions : La Trique de nos meneurs ou le nanar chrétien, éditions Dasein, 2014 ; Redrum, à la lettre contre le fascisme, collectif (coord.), éditions Les Impressions nouvelles, 2015. Ont paru chez Lignes : Artaudieu et Le Devenir Debord.
@Hibou888888 ай бұрын
@contactpodcast Je vous suggère d'inviter le philosophe André Moreau, car c'est un fou Non-malade qui pourrait nous apporter un délire créatif des plus intéressant....
@christianreynier21208 ай бұрын
Le mufti de Jérusalem ne representait quasiment personne! Les historiens sont d'accord sur ce point...sauf le Danube de la pensée Onfray.
@johannelaberge8518 ай бұрын
Onfray!! non merci, je passe mon tour...
@christianreynier21208 ай бұрын
Onfray justifiant un génocide...et il se prétend philosophe...
@roselinemichaud17288 ай бұрын
Merci pour l’entrevue 🌺
@richard14528 ай бұрын
Onfray a part critiquer Macron , Onfray transpire la haine ,ce personnage donne l’impression d’être en pleine dépression
@catherine-e9s8 ай бұрын
D'accord aussi pour les choix de couleur en représentation et en haut lieu !on prend les français pour des imbéciles qui n'auraient pas compris la créolisation
@fadelaguermoudi70888 ай бұрын
Onfray désolé, mais impossible pour moi de l'écouter.
@TheClauddiam8 ай бұрын
C'est vrai qu'il n,est pas islamogauchiste
@makavelihussein20138 ай бұрын
@@TheClauddiam"Islamogauchime" n'existe qu'en France. C'est une invention française. L'islam par définition est conservateur, patriarcale et même capitaliste. Bref tout le contraire du gauchisme. Il suffit de voir les pays du golf pour le constater.
@christiansarrible96458 ай бұрын
Et bien ne l'écoute pas, pourtant il y a bien fallut que tu l'écoutes pour faire tes commentaires
@TheClauddiam8 ай бұрын
@@christiansarrible9645 ou comme plusieurs, commentent sans avoir écouté ou lu.