Counting is easy... but not during a pandemic. Here's why

[@prideprejudicelizzy]

Écouté ce matin sur Deezer, un plaisir, très intéressant! Merci pour cet épisode.

[@EmmanuelBouillon0]

Très intéressant, Merci !

[@SallyLock103emeCaris]

Merci ❤

[@danielchicouene8692]

Autour de ce sujet, il y a aussi des vidéos de Thomas Durand (avec parfois ses invités), par exemple "COVID - Les morts du protocole Raoult [Une étude rétractée ?]"

[@GilbertFINIDORI-yc9vd]

C'est quoi "des données saturées" dont il est question au tout début ?

[@GilbertFINIDORI-yc9vd]

Dommage que tout ce travail ne soit pas utilisé pour diffuser des graphiques sur la grippe, les catastrophes naturelles...

[@Enroweb]

Pour prolonger la discussion sur la réception des données par le public, il est intéressant de faire un détour par les réfractaires au discours dominant sur le Covid (qu'on a pu appeler antivax, antimasques…). Ceux-là ne se sont pas tenus à distance des données mais au contraire, on les a vu débattre (sur Facebook et Twitter) des données et graphiques proposés par les autorités, jusqu'à produire leurs propres « contre-visualisations ». Je tiens à raconter cet aspect (documenté dans l'article de Crystal Lee et al. (2021), « Viral Visualizations: How Coronavirus Skeptics Use Orthodox Data Practices to Promote Unorthodox Science Online ») qui montre qu'il n'y aurait pas les rationnels d'un côté et les illuminés de l'autre, et que la donnée, sous ses atours objectifs, ne suffit pas à construire du consensus politique ou scientifique.