Débat critique : que vaut "Le Garçon et le héron", le dernier film d'Hayao Miyazaki ?

Le maître de l’animation japonaise est de retour au cinéma avec "Le Garçon et le héron", et c'est peu dire qu'il était très attendu. Voici ce qu'en ont pensé nos critiques, Lucile Commeaux et Antoine Leiris.
Visuel de la vignette : Affiche du film / Studio Ghibli
#miyazaki #ghibli #cinéma
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[@AxelMcClane]

Je suis quand même halluciné qu'il ne parle pas de la thématique centrale du film à savoir le deuil et la mort. Je ne suis pas sur que la succession soit si central que ça, à la vue du final. Moi je trouve que c'est un de ses meilleurs films, oui le spectateur n'est pas pris par la main et on demande un investissement supplémentaire. Je trouve que le personnage de l'enfant en pleine expérience traumatique qui fait son deuil au travers d'une aventure qui lui permettra de se redécouvrir lui et sa famille est incroyable. Tous les personnages sont réussi même si le héron vole la vdette. On est pas dans la lignée des films mignons comme Ponyo, Kiki ou Totoro.

[@YLX1970]

Tout à fait, c’est cette thématique qui est la substance principale du film et qui en fait une œuvre entière avec sa spécificité parmi tous les films de Miyazaki, un film d’ailleurs très réussi. Il y a un deuxième niveau de lecture, secondaire à mon sens, qui est celui dont ils parlent dans l’émission, lié aux références aux autres œuvres et au questionnement de Miyazaki sur sa succession. Mais si on ne suit que ce niveau, on passe à côté du film, et je pense que c’est ce qui leur est arrivé.

[@bastienmartin9046]

Je trouve cette critique à côté de la plaque en effet, et pas qu'un peu. Juger ce film sous le prisme de "est-ce que j'ai envie d'emmener mes enfants le voir pendant les vacances", bon... ça pose un peu le niveau du débat. Et je pense comme vous que c'est un très grand film, qui m'a ému comme très rarement au cinéma.

[@TheLaurieJi]

En effet, la mort et le deuil c’est le premier thème qui ressort après le premier visionnement. Par contre il y a en effet le thème de l’héritage avec le grand oncle. Par contre avez vous une idée quand à l’utilisation d’oiseaux tout au long du film ?

[@AxelMcClane]

@@TheLaurieJi non et en plus les symboliques japonaises sont probablement assez éloignées des occidentales. Après je pense qu'il fait lien entre la métier/passion du père du héros dans l'aviation et les oiseaux. Le métier de son père est vu de manière négative, il sépare le père du fils, ils sont utilisés pour faire la guerre donc on peut imaginer que c'est une représentation physique de cette menace. On connait aussi la passion de Miyazaki pour tout ce qui vole....

[@TheLaurieJi]

@@AxelMcClane oh c’est vrai que j’ai totalement occulté le père et l’aviation, malgré les références directes au Vent se lève, et les oiseaux.

[@svelvor]

Je ne sais pas qui est derrière la camera mais la prise de vue est aussi lunaire que cette critique. Principalement la dame qui me semble aux fraises car confondant ses attentes avec la proposition du film. J'ai trouvé ce film aussi limpide que leurs critiques croisées brouillones. Il nécessitera certes plusieurs visionnages pour en assimiler la complexité et la richesse mais c'est bien la force de l'oeuvre de Miyazaki. Même un film comme Totoro, soit disant pour enfants, s'enrichit à chaque visionnage. Il ne faut pas confondre le film que l'on attend et celui que Miyazaki a fait. Devant un tel créateur, on s'incline et on se plie aux méandres de son esprit sans vouloir s'y substituer. Pour lui, c'est un testament pour son petit fils et il a fait en sorte qu'il puisse le redécouvrir à chaque visionnage. Combien de films avec de vrais acteurs réalisés par vos cinéastes préférés résisteraient à cela ? Très peu, car c'est ce qu'on appelle un chef d'oeuvre, un de plus pour Miyazaki.

[@stefanwilman418]

Ce n’est pas la première fois que cette dame est à côté de la plaque. Elle confond peut-être rigueur intellectuelle avec descente en flammes des œuvres artistiques.

[@mariemadge8599]

Je me permets de laisser un commentaire, en tant que grande fan. Effectivement ce n'est pas un film familial, ni un dessin animé pour enfants, mais finalement très peu des films de Miyazaki le sont (je ne parle même pas de ceux de Takahata). Il me semble que c'est une divergence culturelle, presque un malentendu, de penser que parce qu'il y a dessin, les enfants sont le public convoqué. Ceci dit, les miens 10 et 16 ans étaient vraiment enthousiastes. L'animation est d'une beauté à couper le souffle, y compris dans les temps un peu plus lents de la narration, la musique de Joe Hisaishi envoutante (elle est une des clés du plongeon dans l'univers si singulier de ce réalisateur). Miyazaki invite les créatures de son imaginaire dans l'insondable de l'énigme du monde, de la naissance et de la mort et c'est réellement réjouissant d'avoir cette vision absolument psychédélique mais tellement riche (peut-être trop pour certaines, je peux comprendre :-) à ajouter aux différentes mythologies. Le principal message (je n'ose en dire davantage de peur de gâcher la fin) est bouleversant. Pour les fans de mon espèce qu'il avait laissé absolument défaits après "Le vent se lève" (empreint du drame de Fukushima), il y a un puissant retournement. Si c'est un point final, il est magistral.

[@julienmouraud3596]

Pour une fois, je trouve la critique intéressante que l'on y adhère ou pas. Mais c'est vrai que je suis très surpris de cette critique car j'avais l'impression de voir une certaine unanimité autour du film. Mais je les trouve pas sans matière et ouvrant des angles intéressants ce qui est loin d'être toujours le cas de certains critiques. 😊

[@andyupdate]

Votre soupe aux cailloux doit être phénoménal ;-)

[@mariemadge8599]

@@julienmouraud3596 Elle nous donne en plus l'occasion d'étayer les raisons de nos adhésions (ou aversions) :-)

[@arandomcube3540]

Je veux bien entendre le message principal malgré tout, s'il-vous-plaît. Pour éviter de spoiler accidentellement, vous avez la possibilité de laisser quelques lignes vides au début de votre commentaire, de sorte à ce qu'on doive appuyer sur "lire la suite..." pour afficher le reste. Et éventuellement, ajouter au tout début que votre commentaire contient du spoil.

[@julienmouraud3596]

@@arandomcube3540 n'importe quoi 😅

[@crep757]

Je ne suis pas tellement d'accord avec le commentaire qui est fait sur le personnage principal. Oui, on peut faire une lecture du film en se posant la question de la place du réalisateur lui-même dans ses persos, etc... Mais je trouves qu'il est faux de dire que ça dessert particulièrement le lien entre le spectateur et Mahito, ou que le personnage principal n'est "pas construit" ou qu'on "a pas le temps de le connaître". Je trouves que Nausicaa ou Ashitaka, par exemple, sont des personnages tout aussi génériques, et pour qui on a peut être encore moins d'empathie. Je trouves assez dingue la façon dont ils réussissent à caractériser Mahito, alors que le personnage ne parle presque pas pendant tout le début du film : il joue un rôle stoïque devant les adultes, semble totalement indifférent à ce qui se passe, alors qu'il est clairement perturbé par les changements qui s'opèrent, la relation entre son père et Natsuko, etc... Il se frappe avec une pierre sur le retour des cours. Il est curieux, désobéissant, il ruse, vole un paquet de cigarettes. Il cherche par 3 fois à affronter le héron, alors qu'il comprend clairement qu'il s'agit d'une entité aux grands pouvoirs. Il est gêné quand son père veut jouer les durs/étaler sa richesse, parce que tout ça n'a plus de sens pour lui : il n'aime plus vraiment la réalité, et c'est ça qui le pousse à entrer dans ce monde parallèle. Il dit qu'il doit sauver Natsuko, mais il la connaît à peine, et d'ailleurs elle n'a pas besoin d'être sauvée. Il dit qu'il cherche sa mère, mais il se doute aussi que c'est un piège (scène avec Kiriko vieille et le héron dans la tour) et qu'elle est sans doute vraiment morte (d'ailleurs, il ne la cherche plus vraiment une fois entré dans l'autre monde). De manière générale, je trouves le caractère du personnage intéressant, et je trouves qu'il nous est bien introduit.

[@Shy17000]

Ouf je suis rassurée je ne suis pas le seul a trouver cette critique hors sol et complètement a côté de la plaque Allez voir se film au premier degré dans un premier temps ensuite intéressez vous ou sous texte C est avant tout une oeuvre qui offre du plaisir rien qu en la regardant

[@say_siri_in_reverse]

(Attention, spoil) J'y suis allée avec des amis, et ils ont eu un avis similaire à Lucile Commeaux et je comprends qu'effectivement ce film est différent des univers très immersifs qui ont fait ses grands succès (Mononoke, Chihiro, Château ambulant ...). Cette fois-ci, le film est un peu une signature, ou du moins, une question soulevée par Miyazaki : "Vaut il mieux vivre dans ses fictions, être au contrôle de son univers, ou se confronter à la réalité, incontrôlable et insensé (selon moi)" et c'est là que j'y ai trouvé ma satisfaction. À différence de ses autres films, celui ci est plus personnel au réalisateur, et donc oui, c'est une nuance importante qui divise son public. Plutôt que d'y ressentir une division, j'ai préféré y voir un héritage honnête et justement très confus. Car comment faire la part entre l'artiste et son art ? Ici, il nous a offert un mélange des deux et j'ai vraiment beaucoup aimé.

[@benoitgranger2773]

Dans les premières minutes la caméra qui filme un rideau gris c'est pas top 😅. 2:56

[@marcschndr]

Ce film est magnifique, il faut le voir 2, 3 fois, pareille pour la musique, pour comprendre le sens de la musique et du film. Entant que musicien j'ai écouté la bo avant d'aller voir le film et j'ai eu le même sentiment, j'ai aimé mais je n'ai pas eu d'émotion tout de suite. J'ai du réécouter la bo 2 ou 3 fois pour être submergé d'émotion. En fait les thèmes sont plus subtiles que d'habitudes, il y a des bijoux harmoniques, mélodiques, la mélodies est souvent cachée, ou plus restreinte plus simple que d'habitude et c'est volontaire. Hisaishi revient à ses sources :le millimalisme. Que dire de ces harmonies utilisées, de l'utilisation du piano et de la fausse simplicité de l'orchestration, peu d'élément dans l'orchestre car ce qui est important c'est de montrer la simplicité, la pureté. Étant shintoiste, on voit toutes les références au shintoisme

[@JeanNadrigny]

Comment est ce que t’as pu écouter la musique ? Je la trouve ni sur Spotify ni sur KZbin 😢

[@laurapatricio8012]

Je ne veux pas être méchante, je sais que c'est une émission de radio, mais ne mettez pas le stagiaire à l'image. C'est très perturbant

[@andyupdate]

Paradoxalement Miyazaki nous offre à nous occidentaux notre bouffée d'oxygène. Peut être pour la dernière fois ?

[@TheoGourp]

9:25 le tunnel végétal dans chihiro ? dans totoro plutot non ?

[@benoitgranger2773]

Oui c'est vrai de mémoire le tunnel de Chihiro est fait de briques rouges, mais bon c'est "à la montagne" d'où la confusion peut-être.

[@alexbr07]

Oui, je pense qu'elle s'est emmêlé les pinceaux parce qu'on retrouve aussi dans ce film une scène proche de celle du tunnel au tout début de Chihiro.

[@sumeragi69]

Il y a bien une course dans une enfilade de rhododendrons, mais le tunnel forestier est typiquement dans Totoro, élément qui fait d'ailleurs partie des similitudes avec Alice in wonderland. Pareil, ruine dans Totoro ? Ben non, c'est dans Chihiro avec l'entrée en ruine du territoire. Une sorcière en lien avec Kiki ? Sérieusement, tant qu'à évoquer du sorcier, autant viser du côté du Château Ambulant

[@Swiss_Bohemian]

La caméra des premiers minutes, essaye-t-elle d'imiter le style de Miyazaki? ^^

[@remuspioli5549]

"Ce héron n'est-il pas le lapin d'Alice au pays des merveilles ?" 🤣🤣 Ne changez rien

[@wolfwoof2000]

En vrai le parallèle est bon, le film a pas mal de références à Alice aux pays des merveilles

[@lowyckmichael6014]

Il rend quand même hommage à son ami feu Takahata dans l'incendie. Le tombeau des luciole. Et liser how do you live your live, un roman interdit durant la seconde guerre mondiale au Japon.

[@AkiMoonlight]

Enfin un avis un peu nuancé sur ce film un peu décevant !!

[@benoitgranger2773]

4:35 nan la caméra c'est vraiment pénible. Autant reuploader la vidéo avec un fond France Culture random, ça ferait moins amateur

[@ATx1000]

Miyazaki magnifie et anime dans son film, le tableau de Boklin "l'ile des morts". Dans son imaginaire il reprend souvent des éléments de la culture occidentale (Alice au pays des merveilles version grand maitre japonais). Ici cette 12ème et ultime œuvre graphique et narrative (à voir sur grand écran VO) est remplie d'évocations aux films précédents de Miyazaki et de son collègue Isao Takahata figuré par le Héron. Le Garçon n'est autre que Miyazaki jeune et le grand oncle ressemble à Miyazaki sous son aspect créateur. Avec cette clé d'interprétation le message est simple : Il a vécu son travail artistique et créatif de l'intérieur comme une aventure personnelle fascinante, avec un coeur d'enfant blessé par la vie (cicatrice sur la tête, orphelin, mal à l'école; mal dans sa famille, mal dans son pays). Pour décrypter les milles et unes allusions il est nécessaire d'avoir vu tous les films précédents certes mais reste superbement captivant pour les petits comme pour les grands. Un moment j'ai été saisi par la son de la pluie tombante, on s'y croyait, au japon puis soudain par petite touches d'étrangeté du réel, soudain frénétiquement plongé dans un monde imaginaire. Au moment où se referme la porte, on se rend compte que les blocs de pierres blanches géométriques représentent les œuvres faisant tenir en équilibre cohérent tout le spectacle qui nous a emporté depuis des années et conduit dans cette salle de ciné. Le personnage féminin n'est autre que sa propre mère comme sans doute toutes les héroïnes féminines qui traversent son oeuvre. Moment touchant de retrouvailles et d'adieu climax pour moi jusqu'aux larmes qu'il réussi à arracher à cet instant. Un chef d'oeuvre testament, hommage crépusculaire sublimissime. Rien de violent dans ce film tout est vrai. Merci Maître Miyazaki san.

[@remizirnhelt4844]

tout à fait d'accord avec les analyses énoncées. Déçu en sortie de salle, après avoir lu des analyses j'aurai plaisir à le revoir tranquillement à la maison. ce n'est pas le meilleure Ghibli mais certainement le plus personnel pour Miyazaki.

[@Borh7777]

Je suis tout à fait d'accord avec Lucile Commeaux, pour moi ce film est très décevant. Fan de la première heure de Miyazaki à une époque où c'était ringard, j'avais même vu le château dans le ciel via un import de Hong Kong, j'ai maintenant l'impression que c'est devenu l'inverse, si t'es snob, tu peux pas dire que son dernier film est un ratage. Globalement la première partie est chiante, il se passe rien, comme le dit Lucile Commeaux, le héros est très superficiel, y a rien à part sa tristesse pour la mort de sa mère (tire larme facile). La deuxième partie est sans queue ni tête. Contrairement à ses autres univers fantastique de Miyazaki, il n'y a aucune cohérence, faut tout accepter parce que ta gueule c'est une pierre magique... Au final oui, le film est une métaphore de la vie de Miyazaki, mais c'est incompréhensible si on connaît pas sa biographie. Et un film métaphore doit s'apprécier sur plusieurs niveaux de lectures. Là pris au premier degré (l'histoire du garçon) ce film ne tient pas.

[@crep757]

Je ne vois pas en quoi la mort de la mère est un tire-larme plus facile que d'autres morts dans d'autres Miyazakis, ni en quoi la première partie est chiante, ni en quoi la deuxième partie est davantage sans queue ni tête que celle de Chihiro, ni en quoi le héro est plus superficiel qu'Ashitaka ou Pazu, ni en quoi la pierre magique est plus problématique ici que dans le Château dans le ciel, mais bon, d'accord... Et je trouves pas que ça soit nécessaire d'analyser, de creuser ou de connaître spécialement la bio du réal et sa filmographie pour apprécier le Garçon et le Héron. C'est un kiff supplémentaire pour ceux que ça amuse, mais on peut très bien faire comme pour tous les autres : y aller en touriste, passer un très bon moment, puis ressortir de la salle avec plein d'émotions et l'impression d'avoir entrevu un autre monde.

[@carolinep3938]

Le plan a 9:30 😂😂😂

[@ozzi1169]

Pas du tout d accord avec la demoiselle.... On a pas du voir le même film !! Le petit garçon trouve un père de substitution ?? C est juste son ancêtre et il ne faut pas aller voir un myiazaki si l on ne veut pas être dépaysé !! Ce ne sont en aucun cas des experts en manga visiblement ces critiques !

[@julievalet2806]

C’est dommage que les critiques dévoilent tout le film…

[@charlesenglebert8226]

Ce film part dans tous sens.

[@julienmouraud3596]

Heureusement que Spielberg a lâché l'affaire 😂

[@Libegfrat1]

Le réal était malade ?

[@ugu8963]

On sait si le caméraman va bien ?

[@nicoco.6520]

L'orfèvre peut realiser avec de l'or... Il peut dire ce que ca vaut et en a la légitimité.

[@cednako8563]

Les journalistes ne comprennent rien comme d'hab.

[@stefanwilman418]

Je ne comprends rien à vos analyses. Et c’est tant mieux et ce n’est pas à cause des mouvements perturbés de la caméra du studio. Vous êtes trop compliqués.

[@jean-christopheblanke9740]

tous ces commentaires pour dire que le dernier Miyazaki est décevant. succulent. c'est surement une Masterclass, tout simplement parce que le personnage principal est un petit soldat vraiment dur et déterminé ( presque maléfique) transcendant l'espace et le temps. c'est un récit de caractère et de mythomane ( le héron) qui fout une baffe aux wokistaniais ne pouvant comprendre que de la cruauté née l'imaginaire et vice versa sans message creux et lisse faiblement moral. le Top.

[@clementl9960]

Question en quoi le hero est presque malefique ?

[@jean-christopheblanke9740]

il est cruel, il laissera agoniser le pélican ou fera un trou dans le bec du Héron.@@clementl9960

[@marcschndr]

Film qui bouleversé tous les codes wokistes, et les trucs gnangants de héros des bons et méchants etc etc.... Oui il y a pas beaucoup d'actions pendant presque 30 minutes, mais c'est miyazaki, c'est du cinéma japonais. KURUZAWA faisait la même chose.

[@lucieg3702]

codes wokiste ???? Miyazaki est clairement l’ecolo-feministe numéro un il suffit de l’écouter parler de ces films