Insulter quelqu'un de gros ça ne ce fait pas mais être obèse ça reste une maladie. L'obésité ne doit pas être valorisé mais combattue.
@TheAngeliciousTV3 жыл бұрын
Absolument personne ne le valorise
@cecilemounier57574 жыл бұрын
merci!et regardez l e film, car 'est aussi l'histoire d'un combat...
@lechevroeilsecdukalahari55004 жыл бұрын
Bravo pour ce combat, très courageux (et les seuls commentaires abjects qui peuvent circuler montrent une fois de plus le travail qu'il reste à faire sur ces questions). Hâte de voir la vidéo !
@armakis174 жыл бұрын
Félicitations Marx daria
@vikos784 жыл бұрын
Symptomatique de notre société de la complainte permanente : Venir se plaindre d'une situation dans laquelle on se met soi-même, principalement sur France Inter, la radio bienveillante par excellence qui a fait de la compassion son fond de commerce. Que dire à une femme, qui de toute manière n'écoutera rien, ne prendra aucune décision pour sortir de son état, car comme lui a expliqué tout psychologue de base, ses problèmes remontent à l'enfance et à sa mère. Une pensée pour les diabétique de Type 1 qui eux n'ont pas le choix, si pour combler un mal être ils vident le pot de Nutella, c'est la mort directe.
@vikos784 жыл бұрын
@Andrea Williams Oui, merci. Toi aussi.
@delphinephinou87864 жыл бұрын
@Andrea Williams Pitié ! Les obèses se nourrissent très mal sinon ils ne seraient pas dans cet état. Et comment ça ne pas prendre c'est facile ? Comment sont ils devenus obèses si c'est facile de ne pas prendre ? Qu'essayez vous de dire ?
@stormirnikolsky35313 жыл бұрын
Andrea Williams elle dit elle même que la plupart des obèses ont des pulsions et s’enfilent un pot de mayonnaise et toi tu me parles de manger équilibré. L’obésité est une maladie et non la plupart des obèses ne deviennent pas obèses en mangeant des brocolis vous êtes vraiment des hypocrites
@vikos783 жыл бұрын
@@stormirnikolsky3531 La maladie de bouffer du Nutella, oui, oui. Au frais de la sécu les soins ?
@margoumkarima43893 жыл бұрын
Quand on est gros on croit que vous ne prenez pas soin de vous...que vous vous laissez aller ....que vous passez votre temps a manger ...que vous êtes mal habille alors qu'au delà du 44 les vêtements étaient moches (je parle des années 1990)..un tas de préjugés
@TheKnoucky4 жыл бұрын
Je suis assez perplexe par rapport au cheminement de l'interview, dans un premier temps vous expliquez qu'être gros est souvent le résultat d'un mal être, d'un vécu. Ensuite vous vous interrogez sur le fait que peu de gros sont mis en avant. J'ai l'impression que la réponse est dans la question, quel programme va vouloir mettre en avant des personnes qui ont un profond mal être ? C'est beaucoup plus vendeur d'afficher une personne mince qui n'a (a priori) pas de problème. Je suis d'accord sur le fait que les "gros" doivent être traités de la même manière que les personnes "minces" ou dans la "norme" dans tous les domaines (médecine, emploi etc...), mais si leur poids est le résultat d'un problème sous-jacent autre que la malnutrition, pourquoi vouloir à tout prix banaliser cet état ? Comme le dit l'interviewée elle assume l'adjectif gros, qu'en est-il du fait d'assumer qu'elle rencontre un problème et qu'elle doit le résoudre/se faire soigner ? Bon j'ai surement une vision biaisée car je ne connais pas cette problématique, mais cette émission m'a fait me poser plus de questions qu'elle n'en a résolu
@Mouktouk4 жыл бұрын
Je peux vous apporter un élément de réponse. Qu'il s'agisse de personnes noires, asiatiques, homosexuelles, handicapées, obèses, naines et j'en passe, la question de la représentation dans l'espace culturel et médiatique définit la normalité, à la fois pour les personnes qui sont concernées et celles qui ne le sont pas. Pour les personnes concernées, il s'agit de pouvoir s'identifier à des personnes qui leur ressemblent. "Si tu me ressembles, c'est que tu as sans doute vécu les mêmes choses que moi et te voir réussir me donne le sentiment que je suis capable de réussir". Dès lors, la représentation médiatique a son importance. Seulement, si l'on prend par exemple les personnes grosses, comment sont-elles représentées ? Comme des personnes ayant mauvaise hygiène de vie, des personnes qui puent, qui se goinfrent, qui transpirent en levant la jambe, des caricatures grotesques de personnes difformes et sans volonté. À partir de là, une personne grosse qui voit ce genre de représentation s'estime bien souvent humiliées, rabaissées, on fait de leur corps la caractéristique principale de leur personnalité et ça alimente ce mal-être, ce sentiment de ne pas avoir sa place dans la société. Quant aux personnes qui ne sont pas concernées par ces représentations, ça a aussi un impact. Les représentations définissent un imaginaire collectif et alimentent des préjugés tenaces qui à leur tour alimentent des comportements qui peuvent être réellement blessants et stigmatisants, même s'ils partent d'une bonne volonté à la base. Combien de personnes asiatiques se sont faites surnommer "Jackie Chan", par exemple ? Pour une personne qui n'est pas concernée, elle se dirait peut-être "Quand même, c'est un maître des arts martiaux, l'appeler Jackie Chan c'est un compliment", sauf qu'une personne asiatique peut très bien estimer qu'en n'étant pas appelée par son nom, elle est privée de son identité, et plus encore que tout ce que voit son interlocuteur, c'est son origine, comme si elle posait un problème. Combien de personnes naines ont été surnommées "Passe-Partout" ? Combien de personnes homosexuelles ont été écartées par peur que leur préférence sexuelle se "transmette", aux adultes comme aux enfants ? Combien de personnes maghrébines sont soupçonnées, de base, d'être des délinquants ? Combien de personnes autistes n'ont pas été crues parce qu'elles n'étaient pas des génies des maths incapables de communiquer ? Combien de personnes anorexiques ont été enjointe à manger davantage parce qu'elles étaient considérées comme laides ? À titre personnel, je n'ai connu aucune personne issue d'une minorité, quelle qu'elle soit, qui n'a jamais été renvoyé à sa différence, qui n'a jamais été stigmatisée ou qui n'en a jamais souffert. Certaines le gèrent bien, d'autres le vivent très mal. La question de la représentation, c'est la question de la norme. Être absent des représentations, c'est être absent de la norme. C'est potentiellement se développer en se considérant comme une personne anormale, donc incapable de trouver sa place dans la société. Quand il s'agit de troubles comme l'obésité, la boulimie ou l'anorexie, le mal-être que l'on a par rapport à son corps peut être alimenté par le mal être que l'on ressent en société. Le fait de diffuser des films ou des séries où des personnes vivent ce mal-être, et éventuellement parviennent à le surmonter, ça peut aider quelques uns, ça peut sensibiliser un certain public mais ça n'est qu'estimer la différence comme un problème à traiter. Selon moi, il faut surtout permettre une meilleure représentation de ces personnes dans toute les sphères culturelles et médiatiques. Pas pour se donner bonne figure, pas pour faire bien-pensant, pas pour plier le genou devant la bonne morale, mais simplement parce que toutes ces minorités représentent au final une grande part de la société française et même mondiale, et elles ont pourtant le sentiment d'être soit invisibles (voire rendues invisibles volontairement), soit mal représentées. En déverrouillant ce carcan, on assouplit le regard de la société sur ces personnes, on leur permet une plus grande liberté et de mieux vivre leur condition. Dans le cas des personnes souffrant, par exemple, d'un trouble du comportement alimentaire, ça peut les soulager d'une pression qu'on leur renvoie ou qu'ils se renvoient à eux-mêmes, ça rend l'idée d'une guérison largement plus accessible et envisageable. Voilà, navré pour la longueur de ce commentaire, je ne m'attendais pas à être aussi prolixe. Il ne faut pas me prendre comme parole d'évangile, je souhaite juste apporter ma pierre à l'édifice de votre réflexion, en espérant vous avoir apporté quelques éléments de réponse.
@gaiahesiode68984 жыл бұрын
@@Mouktouk Merci ! Je n'aurais pas dit mieux ! Belle pierre à cet édifice oh combien difficile à faire grandir au vu du commentaire auquel vous répondez et à celui d'Orian Traoré...
@Francois-en3vu4 жыл бұрын
Je crois qu'on se pose beaucoup trop de questions. Dans la vie, on est toujours le désavantagé de quelqu'un et, plutôt que de se lamenter sur son sort ou sur les discriminations dont on serait l'objet, il vaut mieux essayer de s'améliorer.
@delphinephinou87864 жыл бұрын
@@Mouktouk Et vous pensez que la normalisation d'un état de mal être et d'une dégradation corporelle poussée à l'extrême est souhaitable pour notre espèce ?
@axyz82363 жыл бұрын
Donc si on vous suit, il ne faudrait pas montrer d'acteurs souffrant de maladie de Crohn, de cancer, de dépression, bref de tout ce qui entraîne un mal-être et une souffrance ? Et ben va pas rester grand monde !
@LondonUnderground1864 жыл бұрын
J'aimerais sentir tes pieds Daria
@Francois-en3vu4 жыл бұрын
Ce qu'elle dit est intéressant et je partage. Mais je me demande si le fond sectaire de Caroline Fourest ne va pas ressurgir si on parle de la GPA ou du mariage pour tous. L'intolérant c'est toujours l'autre. Je salue quand même cette salutaire prise de conscience de la part d'une ex gauchiste.
@mariefrlambot15844 жыл бұрын
C dingue de chouiner co ca
@delphinephinou87864 жыл бұрын
Toute cette énergie qui pourrait être dépensée beaucoup plus utilement.
@TheAngeliciousTV3 жыл бұрын
Commentaire inutile
@robfon95624 жыл бұрын
Victimisation 😁
@robfon95624 жыл бұрын
Après une discussion avec 5 femmes. Je m excuses pour mes paroles. Je n'avais pas compris les agressions perpétuelles. Désolée