ECHO - Eva Illouz - Les émotions contre la démocratie

[@rogergarnier7873]

Bravo au monsieur d'avoir su mener avec clarté, bonhommie et humour cet interview. Eva Illouz a ainsi pu déplier simplement ses idées inspirées et inspirantes.

[@lisahello382]

Merci 🌈💖🌈 super intéressant

[@מיכאלניסיםעלוש]

Quel imbroglio! Quelle confusion! je n'entends rien de rigoureux! Rien que des citations et des comparaisons discutables, voire des amalgames honteux. Des idees progressistes qui font "progresser" et promouvoir ceux et celles qui les proferent, mais qui detruisent la societe, la cellule familiale et le bonheur.

[@zongora123]

Je suis vraiment déçue de son raisonnement. Elle trouve légitime que le peuple juif d'Israël ait peur de sa propre disparition, du grand remplacement sur ses espaces, mais elle rejette le même sentiment du grand remplacement, un fait concret qui s'opère véritablement en France(!). Elle ne parle pas des frontières, comme si la démocratie ne représentait pas un système de régime propre à l'histoire d'un territoire, d'un état, càd. des frontières et la gestion de l'économie (production et redistribution, PIB), fruit d'un peuple légitime sur ses terres. C'est dommage. Si elle analyse des émotions sans frontières, alors toute sa sociologie tombe à l'eau, car les émotions sont attachées aux valeurs centrées sur des terres qu'on travaille, le foyer, càd. au système d'organisation (justice, crime et châtiments). Et les peuples qui se reconnaissent en tant qu'un peuple ont tous besoin d'un système de valeur, d'un hiérarchie dans un cadre (l'unique valable est la famille et l'état ! car la redistribution s'organise à ces deux niveaux et pas ailleurs), et dès lors il s'agit d'un système de valeurs profondes (et pas d'un ticket de caisse et des taxes, mais d'anthropologie et partage vertical et horizontal, CAF et pension incl.). Le problème en Israël entre juifs et musulmanes, c'est identique au problème de la France. Pourquoi elle en fait une exception ? Il y a des peuples qui disparaissent. Le nombre de naissance en témoigne. Les "GHETTOS", le communautarisme se forment partout à cause des systèmes de valeurs qu'on protège (un état dans un état, presque comme la maffia, organisation fondée sur le respect et le remerciement), et c'est ce qui permet de faire société (un état dans un état détruit la société, l'état). Ce qu'elle raconte est intéressant, mais biaisée (ou cause de son refus d'analyse de la souveraineté historique du peuple). Comment peut-elle parler de la démocratie sans la souveraineté. La souveraineté est la transmission (la culture n'est pas un ticket, un acte d'achat, et c'est à ce niveau que la politique nationale devient légitime). La NATION est historique, et pas génétique. Elle confond cela ou elle en fait une soupe avec un mixer, pour occulter l'histoire politique de la souveraineté d'un état. Les émotions qu’animent la création, la transmission de la culture, tout ça est attachée à l'homme et est renforcée par le système scolaire. Le souci central du grand remplacement est l'interchangeabilité (la chosification, la réification) de l'Homme et la disparition de la culture et de l'organisation sociale sur le territoire d'un état, légitimée par un peuple souverain. Elle brouille tout cela, même si certains liens qu'elle établit entre concepts empruntés d'autres sociologues sur certaines gammes d'émotion (ex dégout des insectes, que l'UE veut qu'on mange dans l'UE, les peuples de l'UE ne veulent pas des insectes du Vietnam et de la Chine, la démocratie n'est pas menacée par Orban, mais par la CE). Sa méthode d'analyse est aussi confuse que celle de Youval Noah Harrari (ou cette méthode de compilation est parfaite pour créer le chaos nécessaire à la globalisation piteuse). Je pense qu'elle a une vision du monde selon laquelle à cause du climat et des virus, il n'y a plus de frontières légitimes (exception Israël) pour protéger des peuples de leur disparition, des peuples ne doivent plus être souverains sur leurs terres millénaires (sauf Israël, est-ce un territoire des juifs et des musulmanes ou celui des juifs... elle n'en parle pas, comment ose-t-elle parler des sentiments, sans la culture, l'histoire des peuples, et système de valeurs?). Mettre Orban (qui n'a jamais pris un bulldozer pour démolir les taudis des gitans, les gitans pondent au moins 4 enfants par femmes, et les femmes reçoivent d'incroyables avantage par rapport aux hommes, zéro taxe à vie, 8.OOO euro pour une voiture, en H on peut avorter sans souci, et les homosexuels peuvent vivre ensemble, il y a même des ministres homo, mais pas de propagande d'Lgbtq dans l'enseignement) au même niveau que Netanyahou /fin de taxe si on s'engage dans le militaire pour protéger le peuple contre les musulmanes de la Cis-Jordanie et du Gaza/... et ce qui se passe en Israël n'est pas née avec Bibi, lui il ne fait que de renforcer quoi ? C'est ça le souci : exactement ce qu'elle justifie, la peur du grand remplacement du peuple juif. Elle donne la preuve de la méconnaissance totale de la Hongrie et d'être idéologisée à fond. Je pense qu'elle déteste les nations, tout comme des insectes, elle y assimile tout ce qui est sur son plat ... /la Hongrie n'a jamais colonisée, ni néo-colonisé, comme la France, les minorités existent et Orban vit en paix total avec ses voisins et le gouvernement Orban permet des mariages interraciales/ et je pense que pour elle que la nation est une question génétique. C'est affreux de de voir qu'elle confonde tout cela. Est-ce qu’elle n'est tout simplement pas aussi talentueuse intellectuel comme le Zeit veut le faire croire, ou elle ponde des écrits comme un ingénieur social académique (comme le fait Harari) pour accélérer la globalisation ?

[@contresens9072]

Qu'en est-il du génocide perpétré contre les palestiniens ?

[@lisahello382]

Tu parles du génocide du 07 octobre Ta de la compassion pour les jeunes teufeurs pacifiques innocents ? Violés torturés tués T'en a pas ? Va te faire f... Hamas comme le bataclan, des tarés terroristes affreux