[FREE] Ateyaba x S.Pri Noir Type Beat : " Kaléidoscope " (prod by @yᴀng @avalancheprod)

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yᴀng

yᴀng

Күн бұрын

Пікірлер: 17
@cyr_lsm
@cyr_lsm 3 жыл бұрын
Trop chaud !
@ethiks
@ethiks 2 жыл бұрын
💪🔥
@bbr9294
@bbr9294 3 жыл бұрын
Incroyable 🪐
@yangbeats
@yangbeats 3 жыл бұрын
merci !
@peacelofi7300
@peacelofi7300 3 жыл бұрын
Super keep it up friend 👍💯👌
@anonymlollipop9750
@anonymlollipop9750 3 жыл бұрын
c'est un chef d'œuvre pas une prod , beau boulot
@yangbeats
@yangbeats 3 жыл бұрын
🙏
@CantaClaroBeats
@CantaClaroBeats 3 жыл бұрын
Très fort 🔥🔥🔥
@yangbeats
@yangbeats 3 жыл бұрын
Merci bcp !
@natch0xvdw254
@natch0xvdw254 7 ай бұрын
ptdr la dinguerie j'ai dormi 2 ans la
@evanakava
@evanakava 3 жыл бұрын
la prod me fait penser à "all the things she said" de t.a.t.u
@JonyTee
@JonyTee 3 жыл бұрын
baguete
@JonyTee
@JonyTee 3 жыл бұрын
cis ma bit
@mugenjiyujin10
@mugenjiyujin10 3 жыл бұрын
C'est c'qui s'appelle briser le mur du son ...
@Voraku
@Voraku 3 жыл бұрын
890000
@MWJ80
@MWJ80 3 жыл бұрын
Réfléchir à des mots à défaut d’réfléchir à demain J’aurai fait signe au bord d’un verre en pleine affaire au destin Dis-moi que tes plaies s’étirent à mesure que la paix se tue, ; mon corps contient cent points de suture J’ai dépensé des mille et des cents Dans les soirées dépourvues de décence Mais la défense de cette jeune fille quant à mon arrogance de jeune pèquenaud Me touche pas… Trop connu de mélodrames dont les départs sont déstabilisants Je/ déshabille Lisa, nom de la jeune fille qui m’a dit ça : t’es si marrant, moi je connais les simagrées… ton apparence est imparable pour qui veut voir delà du barrage Oh…. Cœur ficelé dans une grande boîte Minuit m’éveille et je gamberge Le palpitant me perce poitrine et je ne compte pas décompter tous les mots de sa jeune bouche Préfère penser que les heures censées ne tournent pas actuellement… me rétorque que j’suis là pour tuer le manque Les jours passés sous les gouttes de pluie J’attends l’écoute sans bruit Soudain… elle frappe les cent coups Se rappellera que l’amour s’en coûte Quand son cou ne pourra plus tourner Voir mes yeux, entendre ma voix… Repasser en boucle, vivre dans l’doute, vivre dans l’déni tout l’temps Le nourrir comme un toutou, dans l’acide, tout s’trempe C’est pas la vie que j’imaginais Rentrer bourré dans le noir Face aux images gênantes D’une journée fascinante J’aimerais pouvoir effacer le bruit lancinant Depuis l’erreur que j’ai faite en signant Un pacte avec le diable fait de ciment Les gens regardent, les gens espèrent, prient de bonne foi… et souffrent en silence Alors j’ai pris la vie des deux mains L’ai serrée contre l’être humain Dès demain, je ne dirai qu’un traitre mot JE T’AIME. Hautaine, tu t’es montrée de parure capricieuse Ce soir, à la tienne, je t’aime… la vie, tu me traines dans les bars à l’issue d’un café et d’un carré de sucre Autrefois, je pariais dessus… sur la teille des années fructueuses J’ai voulu tuer l’démon, tu sais, les envies sont fluctuantes La femme est ma muse, pourvu que tu hantes mes moindres phases… même et surtout celle quand je malmène le corps et l’esprit comme le fait un mal aimé J’suis aliéné, tisse ma toile sur 4 mètres carré telle l’araignée Elle me répète : t’as qu’à te mettre à parier en essayant d’te barrer Mais voir son coeur s’accaparer les cas pareils Malgré les années qui défilent, faut croire que j’aime les filles de cabaret Ma mélodie tu m’as sauvé de ces grands bras si inquisiteurs Ah, Mélodie, j’ai mets le titre en ton honneur et je recule devant la vitre Plus besoin de reluquer mon reflet par les vitres des boutiques de la ville Ton prix est démentiel alors je t’ai achetée un jour dont les lueurs tachetées rendaient mon premier jet presque parfait C’est ce que je croyais en m’arrêtant d’écrire et toi t’en étais déjà certaine, pas vrai ? Tu savais pertinemment que je reviendrai alors tu m’as laissé brûler l’acier d’une vie lassante Et quand j’ai vu qu’il suffisait d’ouvrir la porte, des escaliers qu’il fallait simplement descendre Ma mélodie, je t’ai sentie auprès de mon coeur... au centre, tu as soufflé suffisamment pour susciter les cendres J’ai rayonné… presque, aurais-je ri au nez de ces démons paralysants J’ai préféré écrire, me voilà bien distant de ce paradis soi-disant où les dix ans durent autant de temps que le le séisme dont t’es l’épicentre Ma mélodie ; je t’ai pris ça Ce fragment de bonheur impérissable Nécessaire de vivre le risque de t’aimer sale
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