Bonjour, Totalement d'accord que la souffrance vient de pensées, merci pour partager :)
@Marie-France-Musique Жыл бұрын
De quoi est construis ce faux moi ? Uniquement de pensées ?
@RegarderCeQuiEst Жыл бұрын
Oui
@RegarderCeQuiEst11 жыл бұрын
Heureux que tu le voies ;-)
@pasq200410 жыл бұрын
Je n'ai pas entendu de réponse claire a la question qui est posée : Apres avoir vu que ce Moi n'existe pas, qu'est ce qui fait qu'il apparait toujours ? Car dire qu'il suffit de ne pas croire la pensée qui arrive est d'une part plus fcile a dire qu'a faire, d'autre part c'est aussi une entourloupe du langage car qui pourrait croire ou ne pas croire ? donc le fait de dire cela impose a nouveau l'idée d'un Moi ++
@RegarderCeQuiEst10 жыл бұрын
J'ai pu repérer deux causes : les croyances à propos de ce qu'est l'éveil, et les peurs associées : peur de la dissolution, de la mort, du vide, de l'ennui, de ne plus focntionner dans le monde, etc. ++Gérard
@levasseurroger62509 жыл бұрын
+Regarder Ce Qui Est .pas mal dit !
@lesansnom946310 жыл бұрын
Mais qui dit "je sais qu'il n'y a pas de moi" ?
@RegarderCeQuiEst10 жыл бұрын
Et s'il n'y avait pas besoin d'un "quelqu'un" ? En réalité tout arrive de soi-même. Sans acteur, sans pilote. Le regard qui se porte sur l'origine des pensées, des choix ou des actions dévoile cette évidence.
@lesansnom946310 жыл бұрын
Mais le "regard" est en quelque sorte un pilote, puisqu'il se dit "je vais regarder d'ou viennent les pensées". Le regard constate que les pensées apparaissent. Mais ce regard, cette chose qui constate, qu'est elle si ce n'est un autre "moi" ? Evidemment je ne parle pas d'un moi au sens égotique mais d'un "truc" qui se place en avant. Ce "truc" qui se place en avant, transcendant, se sépare du reste puisqu'il constate justement. Or vous parlez de non dualité. On ne peut pas placer en même temps un regard qui peut se porter sur une chose ou une autre et une immanence sans "acteur" et totalement pleine. Je comprends la notion d'absence de pilote. Mais cette dernière chose me trouble beaucoup. Quand je regarde vos vidéos, je sais que je comprends ce que vous dites. Il y a effectivement un "regard" qui peut se porter sur des pensées et des actes qui n'ont pas de source identifiable. Ainsi, le libre arbitre est une illusion (ou plutôt un faux problème). Mais ce regard se sépare automatiquement du reste, sinon... hé bien il ne serait pas, et vous ne pourriez même pas parler de regard. Comment écarter la dualité dans ce cas ? Comprenez vous mon problème ?
@RegarderCeQuiEst10 жыл бұрын
Est-ce que le regard se dit quelque chose ou bien n'est-ce pas plutôt qu'une pensée de plus qui vient se surajouter ? Bien sûr "Je Suis" ne va pas employer un autre mot que "je" ! Mais il est vide de l'idée d'un acteur, d'un agissant, d'un pilote. Et non, il ne se sépare de rien ni ne se place en avant. Discuter autour de, faire part de concepts, partager des idées est une chose, VOIR ce qui se passe en réalité en est une autre. A un moment donné, ce qui regarde, ce qui est perçu et le fait de "voir" se fondent en une Présence. Les mots manquent pour en parler. Ce ne seront jamais que des pointeurs. Ne pas s'attacher à eux mais tourner le regard en direction de ce vers quoi ils pointent.
@levasseurroger62509 жыл бұрын
+Le Sans Nom . ça se réalise et personne pour faire cela à votre place . En fait y'a jamais eu quelqu'un ,donc pas de revendication le propre du moi . Vous n'êtes que vos pensées ,pas facile d'en faire autre chose . Avez-vous besoin de croire que l'eau mouille et pourtant c'est exactement ce que vous faites ...vous croyez que vous êtes ceci ou cela .C'est un piège!
@danijisatsang17807 жыл бұрын
+Le Sans Nom Oui je comprends le problème que vous éprouvez. C'est un paradoxe et il est irrésolvable jusqu'à ce que vous le réalisiez vous-même. Une chose reste certaine, s'attacher à des pensée qui demande toujours des preuves logique peut retarder la réalisation, si tel est votre recherche. Donnez peu d'importance aux paradoxe et laissez vous traverser par vos sensations/pensée sans justifier, analyser, fuir, etc. Que ce soit une simple pensée ou une angoisse profonde. Si en vous ce désir de réalisation brûle eh bien c'est la seule condition qui vous permettra cette réalisation. Ça dépend de la nature de votre recherche.
@yandufrene32498 жыл бұрын
« En réalité il n’y pas de moi et il n’y en a jamais eu » Quelle étrange affirmation. Je pense, j’entends, je vois, je ressens, parfois je suis heureux, parfois je suis triste. Et on me dit « Regarde, il n y a pas de moi et il n’y en a jamais eu ». A qui s’adresse-t-on alors ? Qui écrit ces lignes à l’instant ? Personne ? Non, il y a bien quelqu’un ici. Si, à l’entrée d’une pièce sombre, je me mets à crier : « Eh, y’a quelqu’un ? » Et si, tout au fond de la pièce, une petite voix me répond : « Non, personne ! » Vais-je repartir tranquillement en me disant : « Bon, d’accord, cette pièce est vide » ? Quand on me dit « Regarde, il n y a pas de moi et il n’y en a jamais eu », c’est la même chose. Je ne peux pas dire : « Ah oui, vous avez raison, cette pièce est vide, il n’y a personne ». Je sais qu’il y a quelqu’un puisque c’est moi. Mais ... ce moi n’a rien de fixe. « Regarde, il n’y a pas de moi fixe et il n’y en a jamais eu ». Fixe, ce simple mot en plus fait toute la différence. Chercher un moi fixe et ne pas le trouver, ni dans le corps, ni dans l’esprit est tout à fait normal. Il n’y a aucun moi fixe et il n’y en aura jamais, heureusement. Sinon il n’y aurait pas de vie, pas d’évolution, pas de croissance. Tout serait figé en nous et autour de nous. Aucun enfant ne grandirait, aucune plante ne pousserait. C’est parce qu’il n’y rien de permanent, rien de fixe ou d’immuable, pas même le moi que ce monde est possible. Alors je n’ai aucun moi fixe, immortel ou immuable mais je suis là, bien vivant et conscient et c’est déjà pas mal, non ?
@leveil18 жыл бұрын
Bonjour, La perspective non-duelle ne renie pas l'absence d'un "organisme corps mental", mais l'absence de tout auteur. Lorsque l'on y regarde de près, l'on se rend compte que tout arrive de soi-même. Une investigation assidue est nécessaire pour s'en rendre compte. La première question serait peut-être ici : pensez-vous les pensées ou bien apparaissent-elles ? Bien à vous Gérard