Geneviève de Galard, l'infirmière héroïque de Diên Biên Phu

Geneviève de Galard était convoyeuse de l'air durant la guerre d'Indochine. Chargée d'évacuer les soldats blessés par avion, elle s'est retrouvée bloquée dans le camp de Diên Biên Phu au printemps 1954, lors de l'offensive finale du Viêt Minh. La jeune femme a eu une attitude héroïque et a fait preuve d'un dévouement sans faille pour soigner les soldats blessés.
#indochinese #eisenhower #vietnam
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[@tonygallagher5945]

Reposez en paix madame,vous qui soigniait les plaies des soldats pendant la guerre du vietnam français....Dieu vous benisse,.

[@olivelamubertini7074]

elle n était pas la seule femme, les autres n ont pas eu sa gloire, mais une mort horrible

[@bernarddurand6972]

fusilliees par les viet;

[@kherifkhamis8460]

Bravo pour cette infirmière elle mérite les médaille. Une guerre sanglante.

[@olivelamubertini7074]

elle n était pas la seule femme, les autres n ont pas eu sa gloire, mais une mort horrible

[@emiliennekremer1495]

Je recommande son livre L ANGE DE DIEN BIEN PHU...elle a été reçu en héros aux USA

[@BlueJean373]

Elle ne fut pas la seule ….!!! Française elle eu la vie sauve 😉👌

[@olivelamubertini7074]

elle n était pas la seule femme, les autres n ont pas eu sa gloire, mais une mort horrible

[@baboususka9450]

Ce document est impressionnant Je viens de lirede karine lebert Enlacer le ciel et les nuages Qui explique cette epoque de ces femmes extraordinaires qui ont fais un boulot dans l'ombre peu connu Merci

[@mariearchambeau]

Cette dame a beaucoup de mérite pour avoir quitté son confort de vie pour soigner ll'innomable mais je pense à ces guerriers des deux camps engagés dans une guerre illégitime dont il est ressorti des conséquences psychiques et physiques dont la plupart d'entre eux n'ont pu se départir et qui vivaient le traumatisme au quotidien tout en le transmettant à leur famille, sans mots pour l'expliquer. Je n'ai, par contre, jamais entendu dire du mal de ce pays et de ses habitants.

[@olivelamubertini7074]

elle n était pas la seule femme, les autres n ont pas eu sa gloire, mais une mort horrible

[@ritchitombrele5300]

@@olivelamubertini7074 De Galard n'a jamais vu les prostituées ( les grandes dames de DBP. ) Elle en a seulement entendu parler et a mis en doute l'existence des maghrébines en disant qu'elles avaient été sûrement évacuées, alors que c'étaient tout le contraire. Vietnamiennes et Maghrébines ont toutes refusées d'être évacuées et ont même pris les armes contre les viets quand tout étaient foutu. Elles allaient chercher les blessés sous la mitraille c'était réellement de grandes dames, plongées sciemment dans l'oublie au nom du politiquement correct. Le médecin commandant Grauwin a fait un témoignage émouvant à leurs sujet sans citer De Galard. Je le cite: « Ces filles étaient des soldats. De vrais soldats Elles se sont conduites de façon remarquable. Tous mes blessés, tous mes amputés, mes opérés du ventre étaient à l'abri dans des trous souterrains. Et il fallait qu'ils pissent, qu'ils fassent leurs besoins, qu'ils fassent un peu de toilette. Ce sont ces femmes, ces prostituées transformées en « anges de la miséricorde » qui m'ont aidé à les aider, qui ont permit à nos blessés de supporter leurs misères. Elles les ont fait manger, boire, espérer contre toute espérance ». De la suite, de leur agonie, il n'y a plus de témoins directs, simplement le récit que Grauwin a recueilli plus tard, parce qu'un commissaire politique, dans un camp, a parlé de ces femmes à un prisonnier : - Pourquoi un commando de femmes contre nous ? - Il n'y avait pas de tel commando ! - Si, elles nous ont tiré dessus !

[@djamellaamech2082]

MAIS LES MAROCAINS C'EST QUOI LEURS TACHES DANS CETTE GUERRE ?

[@olivelamubertini7074]

les marocains, une force de frappe, dans la jungle, tout mon respect

[@azambresonia5056]

Merci France Culture

[@opav1234]

Si genevieve de galard merite d'entrer au pantheon, alors il faut y envoyer tous les soldats de toutes les guerres qui ont eu bien plus de courage qu'elle en risquant leur vie et en mournt sur le front. Le feminisme a atteint depuis longtemps, faute de contradicteurs autoirises les limites de l'indescence. Elle meme aurait ete la premiere etonee d'etre envoyee au Pantheon..

[@LoulouChibane-j2i]

La honte !

[@olivelamubertini7074]

elle n était pas la seule femme, les autres n ont pas eu sa gloire, mais une mort horrible

[@ritchitombrele5300]

@@olivelamubertini7074 De Galard n'a jamais vu les grandes dames de DBP. Elle en a seulement entendu parler et a mis en doute l'existence des maghrébines en disant qu'elles avaient été sûrement évacuées, alors que c'étaient tout le contraire. Vietnamiennes et Maghrébines ont toutes refusées d'être évacuées et ont même pris les armes contre les viets quand tout étaient foutu. Elles allaient chercher les blessés sous la mitraille c'était réellement de grandes dames, plongées sciemment dans l'oublie au nom du politiquement correct. Le médecin commandant Grauwin a fait un témoignage émouvant à leurs sujet sans citer De Galard. Je le cite: « Ces filles étaient des soldats. De vrais soldats Elles se sont conduites de façon remarquable. Tous mes blessés, tous mes amputés, mes opérés du ventre étaient à l'abri dans des trous souterrains. Et il fallait qu'ils pissent, qu'ils fassent leurs besoins, qu'ils fassent un peu de toilette. Ce sont ces femmes, ces prostituées transformées en « anges de la miséricorde » qui m'ont aidé à les aider, qui ont permit à nos blessés de supporter leurs misères. Elles les ont fait manger, boire, espérer contre toute espérance ». De la suite, de leur agonie, il n'y a plus de témoins directs, simplement le récit que Grauwin a recueilli plus tard, parce qu'un commissaire politique, dans un camp, a parlé de ces femmes à un prisonnier : - Pourquoi un commando de femmes contre nous ? - Il n'y avait pas de tel commando ! - Si, elles nous ont tiré dessus !

[@radwendrididridi]

Les pauvres colonisateurs, ils étaient à 1 contre 5. Tu faisais quoi dans la terre des autres à les mitrailler sans relâche ? Fallait pas y aller. Mourir à 18 ans pour maintenir au prix de da vie une colonie. À aucun moment dans le reportage il y a le mot colonialisme.

[@SalemYbor]

Cette brève vidéo sur une femme méconnue sort dans un contexte précis de commémoration rappelant sans équivoque ce passé colonial. Il n'y a pas ici de cachotterie: c'est plus une pastille dépendant de tout un corpus.

[@philippebaron556]

elle a ete liberee au bout de quelques jours; on se doute comment une infirmiere vietnamienne capturee par les francais aurait ete traitee

[@olivelamubertini7074]

le communisme a bien plus tuer, et exploiter

[@ritchitombrele5300]

@@philippebaron556 Plus haut, j'ai posté un lien sur les grandes dames de DBP qu'ont été les prostituées vietnamiennes et Maghrébines, qui se sont improvisées aides soignantes. Elles ont refusé d'être évacuées pour s'occuper des blessés, jusqu'à aller les chercher sous la mitraille. quand tout était foutu, elles ont pris les armes pour faire le coup de feu contre les viets. À la chute du camp, les Vietnamiennes ont été exécutées d'une balle dans la tête et les Maghrébines, du moins celles qui ont résisté à la marche de la mort et des privations ont fini par être libérées.