GODZILLA MINUS ONE, PAUVRES CRÉATURES, LE CERCLE DES NEIGES... - SALE TEMPS POUR UN FILM

[@Capture-Mag]

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[@pauzfilms]

Godzilla Minus One est un chef-d'oeuvre du cinéma!

[@Mrredunited]

Tellement que je n’arrive pas à finir Monarch😂 mais je reconnais que lui et shin godzilla sont des classiques du cinéma.

[@Quemar7]

Grand plaisir de vous retrouver. Vraie frustration de ne pas avoir vu le Bayona au ciné ; même sur une TV ça pète à la gueule !

[@Kaijul_]

Julien Dupuy va enfin pouvoir parler du meilleur blockbuster de 2023 ^^ Du miel pour les oreilles et le cerveau

[@toshiromifune2500]

La lucidité Nucléaire de notre ami Julien pour Godzilla … change rien t’es mon préféré avec l’inénarrable Yannick et le monstre qu’est Rafik LONGUE VIE À VOUS ❤️🔥🔥🔥🔥🔥

[@thecarlospop]

la plaidoirie de julien sur Godzilla est historique. mythique. Épique. vive julien !!!!

[@wakovideo]

J'aime beaucoup la réaction de Piéric sur Godzilla Minus One. Il me donne envie de le découvrir.

[@johanw6812]

Ayant pu découvrir Le cercle des neiges au cinéma en Espagne, une vraie baffe, c'est pour moi déjà l'un des grands films de 2024, ça fait plaisir de retrouver Bayona

[@jeromebobin3688]

Je reviens sur la remarque de Clémence sur le manque d’hémoglobine dans le film de Bayonna qui a justement évité l’écueil d’un effet graphique malvenu. Les dépouilles des compagnons devaient être totalement gelés, le sang ne pouvait s’écouler car solidifié par les conditions extrêmes.

[@mr.manathanx2897]

je dirais que ça coule de source même....

[@DoctorMoreau]

merci pour ce festival de pulls !

[@Zazalahyene]

Après vous avoir écouté à propos de Io Capitano (dont j'avais déjà entendu parler via Julien Dupuy chez Marie Palot), j'ai arrêté l'écoute et j'suis allé le voir. Je ne m'attendais pas à ce que le film soit en langue wolof, et je pense pour affirmer que cela multiplie, ici au Sénégal, en tour cas, les sensations par dix (parce que le film parle essentiellement aux sens et aux émotions). On peut traiter un tel sujet par le beau, vous l'avez dit, cette approche permet de "revisibiliser" les exilés. En littérature, le Sénégalais Mohamed Mbougar SARR, lauréat du Goncourt en 2021 (et, accessoirement, un ami proche, petit instant Rafik 😂) l'a fait dans ce que je considère comme sa meilleure œuvre, "Silence de Chœur", que je vous conseille vivement Vraiment merci, Team Capture, pour le taf de malade que vous faites ! ❤

[@hfaouzi4332]

Respect à tout l'équipe.

[@referenz4440]

Le male gaze dans Poor Things est toutefois assez agressif. Quant au récit concernant l'émancipation, il confine à la parodie bourgeoise, pour ne pas dire aristocratique. La femme finale est effectivement libérée, elle est belle, intelligente, cultivée, sexuelle, elle porte désormais ces injonctions sociales en privilèges, ce pourquoi elle peut remplacer les hommes sur une chaise longue cocktail en main... Bref, si le film est un plaisir esthétique somme toute agréable, sur le plan intellectuel et idéologique, le film ne dit rien qui ne soit pas déjà mieux dit ailleurs.

[@ronanlefur5754]

La conclusion est parfaite :)

[@Suicidium666]

Merci. J’adore les analyses de Julien

[@staarskream8825]

Best conclusion ever ❤️

[@Secam13]

Super vidéo ! Ça serait intéressant d'avoir une spéciale animation avec toutes les merdes et chefs d'œuvre qu'on se bouffe en ce moment, un avis sur l'avenir de l'animation (ou son présent) ne serait pas de refus

[@matadore7422]

Un excellent film godzilla qui se focalise sur les dégâts et le traumatisme qu'engendre la guerre. Le film se focalise sur l'humain et émet quelques critiques sur le pays et les dirigeants. Le film reste classique dans son déroulé et dans l'évolution de ses personnages mais cela est bien traité et j'ai été ceuilli par l'émotion à 2 reprises (ce dont je ne m'attendais pas devant un godzilla... Cependant ayant un enfant en bas âge certains moments et un en particulier m'a bouleversé) Godzilla est sans pitié et vraiment bien filmé avec des angles de caméra bien pensés, on aime à détester ce godzilla indestructible et sans une once d'âme. Bref malgré comme souvent quelques défauts parsemés par ci, par là, ce visionnage a été un vrai coup de coeur.

[@GutBuster]

Pour le Cercle des Neiges, le choix du narrateur c'est surtout parce que c'est grâce à lui que les rescapés ont été retrouvé. Sans sa mort, ils n'auraient pas pu se nourrir et partir chercher de l'aide. Donc c'est lui le véritable "héros", puisqu'il a sacrifié ses convictions pour sauver ses amis. C'est assez clair lorsqu'il laisse le mot avant de mourir.

[@jno8039]

Je trouve que contrairement a Alive, il n'y a pas de héro spécifique, ils le sont tous

[@SylvainThuret]

Cet effet me fait surtout penser à la narration du Tombeau des lucioles. Le narrateur nous parle depuis un "non temps", c'est un fantôme. Qui à la fin nous regarde, brise le 4ème mur et contemple la ville dans le présent. L'affiche où Numa se trouve seul à genoux en nous regardant, nous interpelle un peu de la même manière. Il nous prend à témoin, nous parle depuis un présent qui n'en est pas un. J'ai pris cette nouvelle version des Survivants comme un commentaire sur notre époque et ce procédé aide en ce sens. Très difficile à regarder, un peu long je trouve, pas toujours simple de savoir qui est qui, mais tout bonnement incroyable de maîtrise. Les plans finaux où ils n'en ont plus rien à secouer sont d'une violence extrême.

[@GutBuster]

@@jno8039 d'où mes guillemets ! ;)

[@patrickrockatansky1171]

Cest toujours un vrai plaisir de retrouver la team surtout quand il y a des films de qualité. Jai adoré le Cercle des Neiges et j'attends de voir Pauvres Créatures. Je partage totalement l'avis de Julien et de Pieric Sur Godzilla Minus One. Même si il peut y avoir quelques thèmes communs à Shin Godzilla, je trouve que le film est plus proche du GMK de 2001 de Shūsuke Kaneko, où Godzilla était le réceptacle des esprits des personnes tuées dans les guerres du Pacifique, qui revenait hanté ke Japon. Là dans GMO, Zilla représente la Mort, la culpabilité, la rancoeur, bien sûr la bombe atomique, qui revient hanté le Japon en pleine reconstruction et en pleine crise d'identité. Il agit même comme un boogeyman qui hante Koichi à chaque fois que ce dernier fuit ses responsabilités. Sur un schéma plus classique, je trouve que le film est vraiment plus chargé en symbole et en message que sa structure peut laisser penser

[@guiguicash9136]

Julien parle bien Japonais 😂 Quelle éloquence🤤 Le trailer de créatures 🤩🤩🤩

[@Schopy.]

Vincent, tes blagues sont mon antidépresseur.

[@johanw6812]

Pour Julien, j'ai même souci avec les visages. J'ai ensuite lu beaucoup sur le sujet, les différents survivants, les victimes, etc et revu le film, et c'est encore plus fort la 2eme fois. C'est un film très dur, mais qui mérite d'être revu.

[@Capture-Mag]

On a besoin de vous pour rester présent et faire nos émissions. En l'état, nous ne vivons pas de CAPTURE MAG malgré tout le travail que cela représente. Il nous faut plus des moyens humains et techniques supplémentaires, et c'est pas donné. Sans vous on ne pourra pas tenir. Soutenez-nous sur Tipeee ou Kiss Kiss Bank Bank, l'indépendance a un prix, le travail de fond aussi, on vous remercie : www.tipeee.com/capture-mag ou www.kisskissbankbank.com/fr/projects/capturemag

[@bastienmartin9046]

The Lobster est absolument génial en tous points !

[@robertgatabazi2349]

Pas de vidéo sur Silent Night de John Woo?

[@nicolasdrisset813]

Un steroids peut être

[@johanw6812]

Bientôt dans un Steroids il me semble

[@leraph3904]

Ouais pas faux !!! On veut votre retour

[@Mrredunited]

Décevant. On est loin du syndicat du crime.

[@Fwedos75]

Parce qu'il n'en vaut pas la peine malheureusement.

[@abbiezap3364]

1:04:16 @Clémence: Numa est le dernier à mourir, ce qui ajoute une charge symbolique à ce choix-là.

[@hammersmith3563]

Cette claque perso pour Godzilla Minus One, sur grand écran je m'en serai pas remis je crois... Ce film montre à quel point les ricains sont à la ramasse...

[@dannywild]

Merci Julien Dupuy pour tes connaissances " Godzillesques " eh, y’a moyens Julien que tu m’donne la marque de tes pompes ? ( j’ai halluciner dessus ! ) merci a la Team Capture pour vos analyses 👍🏻

[@BonnisseurDeLaBath]

Pour Pierrick, le jurassic world de Bayona est la meilleure suite du jurassic park originel. Les 4 autres films peuvent être jetés à la poubelle

[@Capture-Mag]

Pour acheter notre livre CAPTURE MAG 2012-2022 : NOTRE DÉCENNIE DE CINÉMA, rendez-vous chez votre libraire ou site marchand. Akileos : bit.ly/CapMook Librairies indépendantes : bit.ly/AchTMook

[@TucoRope2Tight]

Pauvres créatures tout le monde trouve la mise en scène gratuite et tape à l'oeil, mais le film est super quand même... Il faut m'expliquer. La mise en scène c'est un peu le coeur du cinéma, si elle ne sert pas le film, son propos, mais n'est là que pour faire joli, ou souligner des choses lourdement (noir blanc) alors le film est pas très bien, non ? Je trouve qu'il y a un beau travail sur les décors, plutôt rigolo sans être hilsrant non plus, mais le fond c'est un peu le féminisme pour les nuls. Le personnage et les situations font assez (trop?) clairement passer les idées, y a une efficacité certaine, c'est bien pour le grand public, mais ça reste assez basique et gentil si on a déjà été sensibilisé à ces questions je trouve. D'ailleurs tout le sujet du socialisme est pas vraiment traité.

[@mrvide309]

Bonjour. Merci. Il valait mieux ' chlore ' ce débat sur le film de piscine.....

[@paulfranz3571]

mais bordel steph il va bien? il fout quoi il avait piscine?

[@kraps3475]

Ça marche déjà beaucoup plus que chez nous le Japon et niveau naissance il on pas à nous jalouser malheureusement.... Mais bref je sort de la séance de godzilla et c'était incroyable je me suis régalé

[@leraph3904]

Toujours aussi super vos émissions ❤ En tout cas, le cercle des neiges est une claque cosmique Godzilla encule a sec the flash et compagnie. Quand tu vois le budget et le résultat.....les mecs de chez dc peuvent aller se rhabiller

[@SB-wz2kl]

C’est pas mal quand Julien laisse parler les autres 😅

[@oomusd]

seulement s'ils sont aussi profonds que lui.

[@SB-wz2kl]

​@@oomusd Il n'est pas question du propos/contenu de ce qui est dit, à savoir est-ce "profond" ou non. Pis ça veut dire quoi, que les autres intervenants restent à la surface des choses alors qu'il est question de critique, de sensibilité face à une oeuvre ? Tu justifies qu'on puisse fréquemment couper la parole, empêcher les autres de s'exprimer, ou tout du moins de terminer leur phrase sous le prétexte que ce qui est dit est "profond" ?

[@SylvainThuret]

Dans The Lobster, les gens qui ne trouvent pas l'âme soeur sont transformés en animaux. Le personnage de Farell essaye de se rapprocher de la blondasse type. Qui rejette tout le monde parce que bon, elle le vaut bien. Elle finit en poney, avec une jolie crinière blonde. Regardez The Lobster.

[@romzef]

Salut à toute l'équipe, je ne sais pas si vous lirez ce commentaire qui arrive très longtemps après mais je voulais revenir sur ce que disait Julien sur Godzilla Minus One. Il mentionne le fait que la filmographie de Yamazaki était marquée par le nationalisme japonais. Chose qui le dérangeait d'habitude, mais qui lui semblait cette fois absente de ce nouvel opus. En fait, quand on creuse un petit peu, il se trouve que malheureusement c'est encore très présent, même si c'est plus discret et plus habile. Le fait que le film choisisse l'uchronie n'est pas un problème en soi, mais dans le film les américains sont là sans être là puisqu'on nous dit qu'ils sont là, mais de fait on ne les voit jamais, ça c'est un souci mais je crois que ça a été dit. Ensuite, sur le sous-texte Élites politiques versus le peuple, il y a une incohérence dans la mesure où on nous dit que c'est le peuple qui s'organise contre Godzilla, sauf que ce n'est pas n'importe qui, beaucoup sont en réalité des anciens de la marine militaire, pas vraiment des citoyens lambdas. De même les navires qui sont utilisés pour traquer Godzilla dans la dernière partie ont vraiment existé et sont devenus mythiques dans le récit que font certains japonais de la seconde guerre mondiale. Le plus connu de ces navires mythiques, qui pour le coup n'est pas présent dans le film c'était bien sûr le Yamato, qui a été réutilisé plus tard sous forme d'un vaisseau spatialdans un anime par Leiji Matsumoto (Albator) et que Yamazaki a porté à l'écran. Un autre de ses film tiré du manga Archimaedes fait référence au vrai Yamato dont la construction est l'enjeu central de l'intrigue sur fond de complot. Dans Godzilla on fait référence à plusieurs autres navires. A la fin, certains des personnages principaux se trouvent à bord du Hibiki, un destroyer qui est connu au Japon pour être un des seuls navires à n'avoir jamais subi de dégats majeurs pendant la guerre, même si dans la vraie vie, les soviétiques l'ont récupéré et s'en sont servis comme navire-cible pour des entrainements au tir en mer. En fait, par ce biais-là on sait déjà qu'il ne leur arrivera rien, puisque le Hibiki ne peut pas couler. C'est assez habile mais il y a une référence discrète à un imaginaire nationaliste et belliciste, et c'est valable pour tous les navires qui sont mentionnés dans le film, à part les bateaux de pêche et le petit dragueur de mines. Mais le plus gros problème pour moi c'est que Yamazaki fasse dire à ses personnages que si le Japon a perdu la guerre, c'est parce qu'ils étaient mal dirigés par de mauvais hommes politiques. Sauf que précisément, pendant la guerre, au Japon la classe politique et les militaires sont vraiment très étroitement liés depuis longtemps. Ce que fait dire Yamazaki ne correspond pas du tout à la réalité historique, et étant donné la nature des évènements, c'est un gros problème. A aucun moment dans ce film on ne va s'interroger sur le fondement même de la guerre ou sur les motifs qui y ont conduit. Ce qui permet du même coup d'évacuer toute question de responsabilité collective. Et c'est en ce sens que pour moi il joue volontairement avec des conceptions révisionnistes voire négationistes de l'histoire qui sont assez crapoteuses. De même l'utilisation de kamikazes est critiquées mais pas en elle-même. Elle est critiquée uniquement dans la mesure où on savait que la guerre était déjà perdue quand on a décidé malgré ça d'utiliser ce moyen, même si le film se place clairement du côté de la vie. Mais comme on procède beaucoup par sous-entendus, c'est assez bancal et malaisant. En gros Yamazaki défend toujours une vision pacifiste, parce que la paix c'est mieux que la guerre, tout en flattant le nationalisme japonais, c'est une démarche assez particulière dirons-nous. Pourtant toutes ces questions ont déjà été abordées dans le kaiju eiga, y compris par Ishiro Honda lui-même ou par Shusuke Kaneko dans GMK mais Yamazaki préfère mettre tout ça sous le tapis tout en se contentant de les citer en surface. Le nationalisme est toujours là en toile de fond. Il y a bien sûr aussi l'allégorie de la pandémie, mal gérée par la classe politique japonaise (selon Yamazaki, je précise), il l'a dit de manière plus explicite. Je précise que j'ai beaucoup apprécié le film pour son côté spectaculaire, et il faut reconnaitre au film et au récit une capacité à être efficace, à aborder beaucoup d'enjeux en peu de temps, même si c'est parfois assez superficiel au final. Et le design de Godzi est super, ça faisait longtemps qu'on ne l'avait pas vu aussi destructeur, enragé et effrayant, même si je trouve le fond politique du film assez peu ragoûtant à l'image du reste de la filmo de Yamazaki. De ce point de vue, on est vraiment dans une continuité thématique chez lui. Je voulais signaler aussi que certaines idées du film sont directement reprises d"un autre film de kaijû qui fait aussi partie du Godziverse japonais, je le dis d'autant plus que ça n'a été cité nulle part à ma connaissance. J'ai découvert ça par hasard en voyant ce film il y a peu. Il s'agit de Varan réalisé également par Ishiro Honda en 1958 avec Eiji Tsuburaya aux effets spéciaux. Il me semble que c'est le dernier film de kaijus la Toho fait en noir est blanc, prévu pour la télévision au départ puis au dernier moment redirigé pour une sortie en salles. Il y a dans ce film des scènes maritimes avec Varan dont une attaque de navire en costume et en close-up assez impressionnante pour l'époque. Cette scène rappelle beaucoup l'attaque du petit navire dragueur de mines sur lequel se trouvent nos héros face à Godzi au milieu du film de Yamazaki. Autre chose, Varan draine dans son sillage des quantités de poissons morts qui indiquent sa présence, comme Godzi. De même les héros parviennent à tuer Varan en lui faisant avaler des explosifs surpuissants, d'une manière différente, en lui larguant par avion dans la gueule parce qu'il est attiré par les trucs qui brillent. C'est un peu trop proche pour qu'il s'agisse d'une coïncidence, même si pour le coup c'est très habile chez Yamazaki de le faire en réutilisant la thématique du kamikaze qu'il avait déjà utilisé dans un autres de ses films précédents, "Kamikaze le dernier assaut" là encore bourré de nationalisme crapoteux, à l'image du roman dont il est tiré, écrit par une figure nationaliste identifiée comme telle au Japon. On y revient, Yamazaki est hyper cohérent de ce point de vue :) Merci à vous, bravo pour votre travail et à bientôt!

[@razorback7828]

Jaaaaaaaaaaanvier!! Bon c'est tout ce que j'avais à dire, j'ai pas encore vu Godzi ni Pauvre créatures! (et je vais zapper vos critiques pour l'instant).

[@chavernac]

❄

[@castoretpollux6047]

"Tu demandes trop d'sex" hum, perso ça m'rapelle certaines choses en effet ... j'ai quitté un travail par rapport à ça 😵 ps ; moi j'apelle ça d'la drogue.

[@princekrapaud1451]

Minus le titre

[@yao3220]

C’est vrai que c’est rare que vous soyez assez raccord niveau avis et dans le positif ! 😀 C’est parce que Stéphane n’était pas le la, le ratio n’aurait pas été le même ! 👀 Sinon, c’est acté que Alain et Clémence donnent plus leurs avis ? C’est trop bien ! Ça amène une autre dynamique ! Et une autre sensibilité ! Continuez comme ça même si Stéphane n’aime rien, ses avis sont tjs interessants ! 😀

[@redhood716]

J'adore votre émission c'est pour ça que je trouve dommage de parler de films sans intérêt le mois dernier vous aviez choisi de parler d'Aquaman 2 alors que vous auriez pu parler de Wonka, Winter Break, une affaire d'honneur ou même de Perfect Days et ce mois ci c'est Night Swim et j'aurai préféré écouter ce que vous aviez à dire de Making of, Les chambres rouges, La tresse.

[@Capture-Mag]

Les films que vous proposez ne retiennent pas vraiment notre attention, non plus. Wonka faisait parti de notre liste de décembre mais nous l’avons écarté, par manque d’intérêt et la liste de mauvais films était déjà bien pleine.

[@IndianTonic]

D'acord avec Julien Dupuy sur quasiement tout ce qu'il dit sur la qualité de production de Minus One, même s'il ne nous a pas expliqué pourquoi Godzilla se comporte comme un chaton qui joue avec un pointeur laser. Sur la question du nationalisme, ça semble un peu plus compliqué que juste considérer que critiquer un gouvernement défaillant en temps de guerre suffirait à se défaire des injonctions sociales nationalistes. Le personnage fini par répondre à l'injonction au mariage et à la famille, qui est justement un enjeu contemporain au Japon dont le pouvoir conservateur mêne depuis deux ans une politique nataliste assez importante. Alors après, c'est certainement mieux de faire des gosses que de se tuer à la guerre, mais ça reste une injonction nationaliste conservatrice au Japon (et pas qu'au Japon d'ailleur).

[@florian4434]

Et en quoi est-ce mal d’être conservateur ?

[@IndianTonic]

@@florian4434 C'est génant parce que bien ou mal d'être politiquement conservateur selon les espaces politiques donnés, je pourrai en débattre. Je pourrai me positionner sur les politiques natalistes conservatrice et nationalistes des gouvernements japonais ou français par exemple. Mais là, c'était pas du tout mon propos. Je parlais du contenu du film. Qui lui est de qualité.

[@oomusd]

@@florian4434 " Et en quoi est-ce mal d’être conservateur ? " typiquement le conservatisme, ce sont des gens qui veulent préserver un statu quo coûte que coûte mais pourquoi préserver un statu quo ? Parce qu'on est en position de force (dominant: riche, des propriétés, confortables) ainsi un "conservateur" va avoir rien à foutre des conséquences de ses lubies et idéologies qui lui font sa vie confortable. Par exemple, le japon: encourager à la natalité alors que l'inflation est galopante, que le pays a un problème de fond avec l'aide aux démunis, SDF, etc, et qu'il est traversé par un déni sur le ressentiment chinois et coréen sur leurs crimes, tout cela forme un fond malsain qui n'a jamais rassuré le japonais moyen de faire des gosses. Ce n'est pas nouveau l'injonction à pondre du petit humain au Japon, le pays est généralement conservateur. Aussi, les politiciens sont désavoués, à un point peu commun : il est archi classique de voir des séries et histoires japonaises dire qu'il faut avoir rien à foutre de la politique car c'est MORT : rien en sort. Actuellement, il y a de fortes critiques sur le fait que malgré l'inflation, le gouvernement japonais ne prend aucune initiative. Et c'est assez classique aussi. SI en France nos politiciens nous vendent qu'on est de grosses merdes immobiles alors qu'on a réforme sur réforme sur réforme sur réforme (ho, on va encore réformer le collège...) au japon, le gouvernement est souvent paralysé paralysé sur les jo paralysé sur la modernisation de l'administration (le fax et la disquette était encore outil de référence y a une poignée d'années) paralysée lors de la crise de Fukushima et sa corruption avec Tepco et maintenant l'inflation. En cela, comme le conservatisme français, chinois, américain, c'est le MAL. LE conservatisme est un dogme que "moi ça va, donc RIEN ne doit changer bande de pouilleux" C'est en cela que classiquement être "conservateur" est une INSULTE. (et de trèèèèès longue date, c'est un propos séculaires, qu'on retrouve dans toutes les cultures). - mais encore une fois: AUCUN DOGME n'est BON. Aucune "idéologie" érigée subitement en Pensée Pour Tout, en Religion est bonne. ça les dévoie, les pervertit. Si vous obéissez à ce qui vous est confortable, tout en ayant rien à foutre des conséquences, vous êtes le MAL, qu'importe ce que professe votre idéologie. Le changement pour le changement et foutre en l'air tout ce qui permettait aux gens de bien vivre, c'est tout aussi dégueux. Vous devez être flexible et prendre selon le contexte et les outils à votre disposition, les décisions nécessaire pour le bien de tous et toutes.

[@vandalhertz5991]

Trop mignon Julien qui met le pull que sa grand mère lui a tricoter et qu'elle lui a offert pour Noël ❤

[@furyoblues]

"Godziya" 😩

[@OldboyRaf]

Est il prévu que vous alliez voir "Les chambres rouges" vrai thriller de qualité (selon moi) ?

[@vincentguignebert]

Je conseille également, avec une héroïne aussi mystérieuse qu'obsessionnelle.

[@lefeur]

Pauvre créature, c’est bizarre, il nous montre quelque part les plaisirs sexuels d’un enfant, en fait c’est c’est franchement c’est trop Étrange

[@Grift76600]

Le trailer de Pauvres Creatures m"intriguait un peu mais j'avais une espèce de pressentiment qui me gênait. Du coup: "Frankenstein féministe" = Gif de Seinfeld qui se lève et se barre de son siège. Faut toujours se fier à son instinct.

[@maitreboissier2510]

geek squad

[@melanoboy]

Même expérience pour Godzilla, je pense que c’est un bon film, mais j’ai eu du mal à m’accroche au personnage, et j’ai piqué du nez sévère, malgré des sound design assourdissant …

[@channelsaez]

Le micro de Vincent.. Une torture pour les oreilles chez moi..😬😬😬😁😁

[@MarinTruli]

Change d'oreilles ? ^^

[@masscritic6981]

Pauvres créatures Pauvre film Pauvre Ema Pauvre féminisme Pauvre... Création

[@Fwedos75]

Les blagues sur les noms grecs et les anecdotes sur le fiston sans chute....mmmmh...ce sont des moments de gêne dont je me passerais bien. C'est dommage parce que les autres chroniqueurs sont très bons.

[@c.portefin7561]

Merci pour le spoil de poor things d'entrée :(

[@MarinTruli]

C'est précisé dès la première minute de l'émission.

[@matadore7422]

Salut capture mag et merci pour tous vos formats. (longue et mal écrite car ce film m'a perturbé dans la mauvaise sens du terme) Curieux de savoir votre point de vue sur mon interprétation et si je suis pour vous complètement à côté de la plaque (si que je peux concevoir) ou non) Je ressors totalement perplexe du film car je n'arrivais pas du tout à me mettre dans le postulat de départ du film : À savoir "Une corps adulte est doté d'un vrai cerveau d'un nourrisson et va découvrir le monde " Du coup le fait qu'on touche cette adulte qui n'en a que l'apparence, le fait que le scientifique la fiance à son apprenti (et que si le scientifique ne l'épouse pas lui-même est parce qu'il ne peut plus avoir de désir à cause d'expériences faites par son père sur lui...mais sinon il l'aurait sûrement épousé). Ils n'ont donc aucun soucis à avoir du désir, épouser et de fiancer avec un nourrisson... ils laissent même ce nourrisson décider de partir avec un étranger (pour sa gouverne lui n'est pas au courant) moi ça m'a profondément fait frissonner car je voyais ce qu'on fait subir, les attouchements, la pédophilie à ce nourrisson dans le corps d'un adulte... et dans ce cas laisser bella partir sur un coup de tête comme en ont tout le temps les nourrissons et enfants : ce n'est pas de la liberté mais de l'abandon de paternalité. Je comprends l'idée qui permet à quelqu'un de "vierge" idéologiquement, politiquement, societalement... De se confronter aux us et coutumes du monde et de les dénoncer de s'en émanciper mais autant dans barbie (peu importe ce que l'on pense de la qualité du film) le postulat de base fonctionne car on parle d'un jouet qui est tout de même adulte dans son monde et qui va découvrir un nouveau monde, là on parle d'un nourrisson pur et dur et pour moi ça coince. Surtout que le métrage revient plusieurs fois sur le fait qu'on a mis le cerveau du nourrisson dans le corps de sa mère...dur d'aller au-delà de ce postulat de base afin d'y voir seulement et uniquement la fable de l'être "pur", ce rappel constant soulève forcément des problèmes éthique, Moral... La créature de Frankenstein réussissait aussi à éviter ce problème. Plus le nourrisson grandit et plus on le voit être "adulte" (meme si on ne sait pas quand car on a pas de notion de temps ni de vitesse d'évolution de Bella) et plus je suis rentré dans le film. Cependant celui-ci à des longueurs et une pointe d'ennui est venu s'assoir à mes côtés notamment à Paris et je n'ai pas adhérer à ce ton vraiment trop vulgaire balourd redondant qui finit par desservir le film. On parle d'un film progressiste dune bella qui brise les codes mais elle ne les brises pas puisqu'elle ne les connais pas, elle réagit juste de la manière qu'un enfant qui découvre le monde réagirait. J'ai toujours eu un peu de mal avec le jeux de mark ruffalo, je vois bien qu'il se démène et fait tout ce qu'il peut mais un je ne sais quoi fait que j'accroche rarement et c'est encore ici le cas. Par contre les dialogues et apparitions de Willem Dafoe sont excellentes de même que la prestation magistrale de Emma stone. Si on enlève ce que j'ai soulevé plus haut, le personnage de Willem Dafoe n'est autrement pas du tout présenté comme un monstre, c'est juste son physique qui est atypique mais malgré ses experiences peu conventionnelle il semble avoir un bon fond et on s'attache à lui du début à la fin vis à vis des horreurs qu'il a vécu enfant, on s'attache à sa tendresse et de son amour pour Bella. Grâce à cet amour paternelle il devient un vrai père et s'émancipe totalement de ce qu'il a connu avec son propre père. La musique est intéressante mais est parfois trop présente et ne m'a pas toujours convaincu, je vois bien l'intention d'appuyer l'ambiance bizarre du métrage mais c'est parfois fait avec de bien trop gros sabots via cette partition. Les décors, lumière, costume sont de toutes beautés. Bref mitigé mais à voir pour se faire un avis. PS : pour continuer à étayer mon ressenti et même si je risque de me répéter un peu beaucoup, je rajoute quelques lignes ci dessous : -lorsque je visionne un film en général les idées, les scènes choquantes et provocantes notamment dans les films de Lars, Gaspard, haneke, takashi mikee...et nombreux consorts...Ne me font pas l'effet que j'ai eu devant ce film. Même le bébé pris par la cheville dans apocalypto ou bien encore le bébé démembré de "Mother" je les trouve pertinents car je vois clairement la métaphore, ce que ça signifie, ce que le réalisateur veut dire... mais là ça m'a dérangé car pour le moment je ne vois pas ce que le réal a réellement en tête avec cette provoc, surtout que l'on sait bien qu'il y avait mille et une autre manière de faire que cette "création / créature" soit totalement vierge du monde sans forcément par l'utilisation d'un cerveau de nourrisson. Âpres voilà ,on ne peut pas adhérer à tous les films et propositions et on peut passer à côté de certaines choses, on peut s'insurger devant des choses que les autres personnes ne semblent pas voir et c'est bien normal c'est l'expérience, le ressenti de chacun. Je vois tout à fait le conte qu'est ce film et normalement dans la très très grande majorité des œuvres j'arrive à dépasser le postulat de base (aussi loufoque, choquant, provocant) puisse t'il être, permettant ensuite au film de dérouler son propos de comprendre les rouages qui découle de ce postulat. Mais là non rien à faire le postulat de base du cerveau du nourrisson est trop tordu, trop compliqué dans de nombreux domaines de réflexions...j'ai beau essayé je ne peux pas mettre de côté toutes les problématiques que pose ce postulat et tout les angles de réflexion sociétal, de mœurs, de moral que ce postulat implique indubitablement. Surtout que Bella est bien une personne à la personnalité totalement différente de Victoria, ont le voit bien à la fin lorsque le mari de Victoria débarque, Victoria était sadique et sa Moral, ses manières, sa vision de la société...aux antipodes du cerveau du nourrisson qui a donné Bella. Bella n'a aucun souvenir, rien qui l'a rattache à Victoria si ce n'est son enveloppe corporelle. Bref à cause de celal est impossible de mettre toutes ces réflexions sous le tapis pour ne voir qu'un conte sur : "l'émancipation d'une femme vierge de tout, qui découvre le monde et va en bouleverser ses codes" Là non c'est : "l'émancipation d'un nourrisson vierge de tout, qui découvre pour la première fois le monde et qui avec toutes la desinhibition et le non contrôle ni de ses émotions ni de ses envies va vivre des choses qu'un nourrisson ne devrait jamais vivre" Et même si c'est un conte fantastique et que l'évolution du nourrisson est rapide, l'échelle de temps n'est pas indiqué et ce nourrisson reste donc mineur une majeure partie du film et comme le film critique des choses réel de notre société, on ne peut pas balayer ce réel problème du postulat de base et du regard que porte le film à ce postulat. Pour moi en l'état et dans la manière dont c'est traité dans le film c'est soit choquant pour être choquant, donc de manière bête et méchant ou le réalisateur à un fond très malsain et est plus tordu que les matzneff et consorts.

[@jalil4879]

s'agirait d'arrêter de prononcer Godziya au bout d'un moment et d'apprendre à prononcer des noms et prénoms japonais sans rajouter ou enlever des syllabes merci (pas pour toi Julien tu es le goat)

[@AlexBelte3002]

C'est vrai que c'est pas terrible. Mais quand tu sais que t'as un quart de la France qui prononce sac : "poche", je pense que le parler japonais est un problème secondaire.

[@jalil4879]

​@@AlexBelte3002 je pense que transformer un réalisateur nommé Ishiro en Inoshiro et un personnage appelé dans 37 films "Godjila" en Godziya n'est pas une question de parler et n'a aucun rapport avec des différences régionales de dialectes mais ok frérot (et dire que Godzilla lu à la française donnerait Godziya n'est pas une excuse valable)

[@oomusd]

GODEUDJIRAAA !!!

[@hazzanafrika]

On dit Gojira. Comme le papi dans la scène du briquet de celui de 98 avec Reno. Et la fameuse réplique >

[@sampaio]

Le lien pour la page kiss kiss bank bank dans la description est pas bon

[@Capture-Mag]

Merci