À 19:11 . À ce moment précis du film, un mec a applaudi dans la salle.

Super interview, super intéressant, merci beaucoup !

Pas vu le film, mais j'adore la manière avec laquelle il défend ses choix, avec assurance et humilité.

Tant que dans le prochain y a pas un horrible bébé en cgi et un algérien en laisse ce sera déjà pas mal

Capture est en train d'atteindre un niveau d'immense qualité. Merci pour ces émissions passionnantes.

En voyant le plan de l'avant dernier film (celui avant mission impossible) je me suis demandé quel était ce film il avait l'air très bien réalisé et en voyant le générique de fin j'ai découvert que le film en question était "Last night in soho" et tout c'est illuminé évidemment , Edgar Wright étant a la réalisation. Merci pour cette vidéo sur ce sujet très peu abordé.

Encore une superbe émission 👍 merci !

Super interview, merci ! "Révélations" est un de mes thrillers "de bureau" (ou disons d'intérieur) favori...

Il y a une petite reconfiguration des lumières il me semble. C'est mieux. Je vais vraiment voir cette interview après avoir vu le film.

Père Rafik qui nous raconte des histoires sur le cinéma c'est toujours un vrai bonheur !

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Pas que ça me pose problème - car je n'écoute STP1F qu'après avoir vu les films - mais il faudrait vous entendre une fois pour toute sur les spoilers. Parce que raconter intégralement le film et tous ses rebondissements (Poor Thing) sauf la toute dernière scène, ça limite peut-être la discussion pour rien. Et Stéphane m'a bien manqué pour un peu bousculer tous ces avis concordants. ;) Un grand merci pour l'émission !

Merci à vous !!a toute l equipe capture mag et aux 2 réalisateurs que j aime ...beaucoup

Je m'attendais à une citation de JM Poiré mais très bonne video

Cc ❤🙂le meilleur chez Cameron c'est son ex

Bonjour. Je regarde cette vidéo en inclinant un peu mon mobile. Merci

Dutch Qualität !

Grâce à votre analyse, je viens de visiter la Saison 1 de 1883. Une pure et délicieuse pépite. Maintenant je me charger de Civil War. Merci.

J'adore les leçons de cinéma de Rafik et toute l'équipe ! Bravo et merci

Merci !

J'ai bossé comme technicien sur Battlefield Earth tourné à Montréal au Québec, vous n'imaginez pas la honte lors de la première pour l'équipe en salles... 😂😅

🙃🙃🙃👍👍👍

Merci. C'est vraiment super comme émission.

Merci pour cette vidéo j'adore ❤

Salut à toute l'équipe, je ne sais pas si vous lirez ce commentaire qui arrive très longtemps après mais je voulais revenir sur ce que disait Julien sur Godzilla Minus One. Il mentionne le fait que la filmographie de Yamazaki était marquée par le nationalisme japonais. Chose qui le dérangeait d'habitude, mais qui lui semblait cette fois absente de ce nouvel opus. En fait, quand on creuse un petit peu, il se trouve que malheureusement c'est encore très présent, même si c'est plus discret et plus habile. Le fait que le film choisisse l'uchronie n'est pas un problème en soi, mais dans le film les américains sont là sans être là puisqu'on nous dit qu'ils sont là, mais de fait on ne les voit jamais, ça c'est un souci mais je crois que ça a été dit. Ensuite, sur le sous-texte Élites politiques versus le peuple, il y a une incohérence dans la mesure où on nous dit que c'est le peuple qui s'organise contre Godzilla, sauf que ce n'est pas n'importe qui, beaucoup sont en réalité des anciens de la marine militaire, pas vraiment des citoyens lambdas. De même les navires qui sont utilisés pour traquer Godzilla dans la dernière partie ont vraiment existé et sont devenus mythiques dans le récit que font certains japonais de la seconde guerre mondiale. Le plus connu de ces navires mythiques, qui pour le coup n'est pas présent dans le film c'était bien sûr le Yamato, qui a été réutilisé plus tard sous forme d'un vaisseau spatialdans un anime par Leiji Matsumoto (Albator) et que Yamazaki a porté à l'écran. Un autre de ses film tiré du manga Archimaedes fait référence au vrai Yamato dont la construction est l'enjeu central de l'intrigue sur fond de complot. Dans Godzilla on fait référence à plusieurs autres navires. A la fin, certains des personnages principaux se trouvent à bord du Hibiki, un destroyer qui est connu au Japon pour être un des seuls navires à n'avoir jamais subi de dégats majeurs pendant la guerre, même si dans la vraie vie, les soviétiques l'ont récupéré et s'en sont servis comme navire-cible pour des entrainements au tir en mer. En fait, par ce biais-là on sait déjà qu'il ne leur arrivera rien, puisque le Hibiki ne peut pas couler. C'est assez habile mais il y a une référence discrète à un imaginaire nationaliste et belliciste, et c'est valable pour tous les navires qui sont mentionnés dans le film, à part les bateaux de pêche et le petit dragueur de mines. Mais le plus gros problème pour moi c'est que Yamazaki fasse dire à ses personnages que si le Japon a perdu la guerre, c'est parce qu'ils étaient mal dirigés par de mauvais hommes politiques. Sauf que précisément, pendant la guerre, au Japon la classe politique et les militaires sont vraiment très étroitement liés depuis longtemps. Ce que fait dire Yamazaki ne correspond pas du tout à la réalité historique, et étant donné la nature des évènements, c'est un gros problème. A aucun moment dans ce film on ne va s'interroger sur le fondement même de la guerre ou sur les motifs qui y ont conduit. Ce qui permet du même coup d'évacuer toute question de responsabilité collective. Et c'est en ce sens que pour moi il joue volontairement avec des conceptions révisionnistes voire négationistes de l'histoire qui sont assez crapoteuses. De même l'utilisation de kamikazes est critiquées mais pas en elle-même. Elle est critiquée uniquement dans la mesure où on savait que la guerre était déjà perdue quand on a décidé malgré ça d'utiliser ce moyen, même si le film se place clairement du côté de la vie. Mais comme on procède beaucoup par sous-entendus, c'est assez bancal et malaisant. En gros Yamazaki défend toujours une vision pacifiste, parce que la paix c'est mieux que la guerre, tout en flattant le nationalisme japonais, c'est une démarche assez particulière dirons-nous. Pourtant toutes ces questions ont déjà été abordées dans le kaiju eiga, y compris par Ishiro Honda lui-même ou par Shusuke Kaneko dans GMK mais Yamazaki préfère mettre tout ça sous le tapis tout en se contentant de les citer en surface. Le nationalisme est toujours là en toile de fond. Il y a bien sûr aussi l'allégorie de la pandémie, mal gérée par la classe politique japonaise (selon Yamazaki, je précise), il l'a dit de manière plus explicite. Je précise que j'ai beaucoup apprécié le film pour son côté spectaculaire, et il faut reconnaitre au film et au récit une capacité à être efficace, à aborder beaucoup d'enjeux en peu de temps, même si c'est parfois assez superficiel au final. Et le design de Godzi est super, ça faisait longtemps qu'on ne l'avait pas vu aussi destructeur, enragé et effrayant, même si je trouve le fond politique du film assez peu ragoûtant à l'image du reste de la filmo de Yamazaki. De ce point de vue, on est vraiment dans une continuité thématique chez lui. Je voulais signaler aussi que certaines idées du film sont directement reprises d"un autre film de kaijû qui fait aussi partie du Godziverse japonais, je le dis d'autant plus que ça n'a été cité nulle part à ma connaissance. J'ai découvert ça par hasard en voyant ce film il y a peu. Il s'agit de Varan réalisé également par Ishiro Honda en 1958 avec Eiji Tsuburaya aux effets spéciaux. Il me semble que c'est le dernier film de kaijus la Toho fait en noir est blanc, prévu pour la télévision au départ puis au dernier moment redirigé pour une sortie en salles. Il y a dans ce film des scènes maritimes avec Varan dont une attaque de navire en costume et en close-up assez impressionnante pour l'époque. Cette scène rappelle beaucoup l'attaque du petit navire dragueur de mines sur lequel se trouvent nos héros face à Godzi au milieu du film de Yamazaki. Autre chose, Varan draine dans son sillage des quantités de poissons morts qui indiquent sa présence, comme Godzi. De même les héros parviennent à tuer Varan en lui faisant avaler des explosifs surpuissants, d'une manière différente, en lui larguant par avion dans la gueule parce qu'il est attiré par les trucs qui brillent. C'est un peu trop proche pour qu'il s'agisse d'une coïncidence, même si pour le coup c'est très habile chez Yamazaki de le faire en réutilisant la thématique du kamikaze qu'il avait déjà utilisé dans un autres de ses films précédents, "Kamikaze le dernier assaut" là encore bourré de nationalisme crapoteux, à l'image du roman dont il est tiré, écrit par une figure nationaliste identifiée comme telle au Japon. On y revient, Yamazaki est hyper cohérent de ce point de vue :) Merci à vous, bravo pour votre travail et à bientôt!

Merci Rafik pour cette dose de culture

Toujours au top Déjà Vu. Bravo à toute l'équipe !

Tony Scott ?

Merci Rafik

Toujours aussi passionnant et instructif ! Merci

Super intéressant ! Merci

Bravo as usual 😊👍

Super episode, merci rafik!

Merci Rafik.

Merci des deja vu , j'aime beaucoup apprendre les techniques cinématographiques. Pour mon prochain long bien sur ;-)

J'en reviens pas de l'anecdote du niveau à bulle pour les plans dit débullé 🤯

Tout est très intéressant sur le réalisateur, rien à dire. En revanche se faire insulter de merde parce qu’on vote à droite……. Très très très limite. Dommage, cela décrédibilise tout son discours. On parle d’une personne comme Stanley Kubrick, pas nécessaire de donner son opinion politique. Vidéo à bannir désolé.

Un film pas si mauvais que ça

Je viens d'aller le film avec un ami, on a trouvé très bon tous les deux. Julien et Alexandre sont deux réalisateurs que je suis et soutiens depuis leurs débuts, je deviens fan. Et merci Capture pour cette super interview passionnante 🤝♥️

Au niveau Cohen, vous auriez pu évoquer The Barber.

Mon dieu, cette scène où Wagner Moura crie au ralenti sur une musique mélodramatique, Michael Bay n'aurait pas osé, Garland l'a fait, et pas qu'une fois dans le film, hélas. Misère.

Superbe interview d’un réalisateur que je ne connaissais pas, merci CaptureMag 👍

Stallone ❤️ ❤️ ❤️

Yannick Dahan c'est notamment le mec qui a fait ce film vraiment pas glorieux (pour ne pas employer un terme plus dégradant... )qu'est "la Horde", on comprend bien pourquoi il a autant besoin de démolir les bons films Mdr, l'archétype du gars qui est critique ciné, parce que réaliser un film de qualité c'est trop dur pour lui, mais casser ceux des autres, c'est trop de la balle... hé là, je vous vois venir... 😉ceux d'entre vous qui vont me dire que ma propre critique est facile. Seulement moi, je sors du film, je suis remué, marqué, encore sous le choc... et j'esperais voir des critiques qui se donnent la peine de dire des choses intelligentes (heureusement il y en a aussi....) sur ce film, à défaut d'être forcémment positives. Et là, je vois juste un putain de critique incapable de faire du cinéma lui-même, se faire plaisir à chier sans vergogne sur un film qui personnelement m'a bouleversé.

Complètement vrai. Excellente critique. Préférons revoir Salvador, Network, l'année de tous les dangers etc...

Passionnant à écouter, même quand on a pas du tout aimé le film, merci à vous pour ces questions et avis sans concession malgré la présence des réal, et à eux pour se prêter au jeu en connaissance de cause. Passionnants de bout en bout ces échanges.

je checke pour le voir (parce qu'un film coréalisé par un gars qui porte un tshirt black sabbath porte forcemment une promesse complémentaire🔥) mais les heures et salles c'est pas si évident, faut pas se louper, on est pas sur un gros volume