Rien ne pourra réparer, l'abandon, l'humiliation et la ségrégation, que nos parents et nous enfants, avons subi..de notre mère patrie, la France, souffrances imprescriptibles 😭😭😭
@veronique76253 жыл бұрын
Bah il est temps...c est d ailleurs les seuls à qui on doit demander pardon.
@terencegros63263 жыл бұрын
Respect pour les Harkis !
@malikadjelabi70429 күн бұрын
Merci pour mon père malheureusement décédé!!
@fandechichoune85163 жыл бұрын
Je suis un vieux 85. Mes amis algériens ont fait parti de ma jeunesse et l amitié qui était notre ne fut jamais obscursit par les religions , donc salutations a mes copains Benhamou,Drissa ,Elbrahim ,. Honte aux extremistes
@lapraline62493 жыл бұрын
Arrêtez de chialer sur les harkis. C'est le FLN et l'armée algérienne qui sont coupables et responsables.
@fellagamania77043 жыл бұрын
faux, révisez l'histoire, merci de ne pas la ré écrire, la relégation dans les camps, hameaux de forestage et autres lieux concentrationnaires ne sont pas le fait du F.L.N mais du pouvoir français, idem pour les circulaires du 12 et 17 mai donnant l'ordre de les désarmer et de ne pas les ramener, vous l'ignorez surement mais l'armée française est restée l'arme au pied jusqu'en....1964 en Algérie : Le 12 mai 1962 : le jour où la France trahit les harkis Lorsqu’on veut rendre hommage aux victimes de la guerre d’Algérie, on fait plus souvent référence au 19 mars, au 25 septembre ou au 5 décembre, mais jamais au 12 mai 1962. Pourtant, des enfants de harkis militent depuis peu pour faire de cette date une véritable journée de ralliement et d’hommage à tous les harkis tués ou disparus après le cessez-le-feu en Algérie. Mais pourquoi des enfants de harkis veulent-ils aujourd’hui que l’on parle de cette date et que beaucoup d’entre eux souhaitent la commémorer ? Pourquoi les gouvernements français depuis 1962 occultent-ils cette date en imposant des dates de commémoration sans rapport avec l’histoire des harkis ? Sans doute parce le 12 mai 1962 est-il une date honteuse que la France veut oublier à jamais tout en préservant des hommes politiques qui ont du sang sur les mains, alors que les harkis y voient tout un symbole pour honorer leurs morts et le point de départ d’une éventuelle réparation de leur préjudice. Une date honteuse, que la France cherche à oublier… Si le 19 mars 1962, date du cessez-le-feu, donne le signal pour pourchasser et massacrer les harkis et leurs familles sans oublier les pieds-noirs restés sur place, le 12 mai 1962 quant à lui est le début de l’abandon des harkis, livrés sans défense à la vengeance des vainqueurs, et des atrocités dont ils furent victimes. En effet, les accords d’Evian n’avaient pas prévu le rapatriement des harkis puisqu’ils stipulaient que « nul ne peut être inquiété, recherché, poursuivi, condamné ni faire l’objet de décision pénale, de sanction disciplinaire ou de sanction quelconque, en raison de d’actes commis en relation avec les évènements politiques survenus en Algérie (…) ». Les harkis devaient être couverts sur place par ce texte, et la France ne voyait pas l’utilité de les rapatrier en raison notamment de leur supposée incapacité à s’intégrer à la société française. Leur installation en France n’était ni prévue ni souhaitée et encore moins encouragée, sauf pour les personnels militaires dépendant du ministère des armées. Pour les harkis, rattachés au secrétariat d’Etat aux rapatriés, seule était envisagée leur protection en Algérie. Le gouvernement français, en désarmant et en laissant sur place les harkis, et en pensant que les vainqueurs respecteraient les accords signés le 18 mars 1962, a fait là preuve d’une grande naïveté. Il a ensuite a fait preuve d’indifférence et d’irresponsabilité pour n’avoir pas fait respecter les accords d’Evian et surtout pour avoir donné des ordres pour limiter, et interdire les départs de harkis vers la métropole. En effet, le gouvernement français, dirigé par Robert Boulin, incapable de prévoir les besoins d’accueil des pieds-noirs massivement rentrés en métropole, n’avait pas de moyens pour accueillir les harkis fuyant les vexations et les mauvais traitements. C’est pourquoi, le ministre en charge des affaires algériennes, Louis Joxe, dans une note du 12 mai 1962, interdit le débarquement de supplétifs en métropole tout en préconisant leur renvoi en Algérie ainsi que des sanctions contre les officiers à l’origine des rapatriements. Cet ordre est relayé le même jour par le ministre des armées, Pierre Messmer, et le ministre de l’intérieur, Roger Frey, adresse le 17 mai 1962 une circulaire aux préfets pour empêcher l’installation des harkis en France. La naïveté et l’indifférence françaises sont directement à l’origine du drame des harkis : plus de 100 000 personnes ont été tuées, dont des femmes et des enfants, plusieurs dizaines de milliers d’hommes ont été emprisonnés et torturés, sans oublier de nombreux disparus. Quant aux harkis qui ont pu s’établir en France, grâce à des militaires honnêtes qui ont risqué leur carrière, ils ont vécu avec leurs familles pendant plusieurs années dans des camps ou des cités isolées, privés de liberté et de toute chance de s’insérer socialement et économiquement dans la communauté nationale. La France en a fait des citoyens de seconde zone, des assistés dépendant des services sociaux et incapables de se débrouiller seuls.
@Yo-ue2ny3 жыл бұрын
Toujours aussi bête
@shakyamouni2 жыл бұрын
C'est trop tard pour mon père et nous enfants, sommes encore en galère 😭😭😭
@gillesmathis4893 жыл бұрын
Sans oublier les jeunes blanches enceintes ,éventré,le bébé pose à côté d’elle et , les entrailles remplies de pierre.