Mille mercis pour cette vidéo, cela m’émeut de la voir, et surtout de l’entendre ! Quel plaisir d'écouter les propos brillants de la grande Julia Kristeva et la lecture du non moins incontournable Philippe Forest ! Il n'y a pas d'hommage plus beau et plus prestigieux à la Deuxième Vie de Sollers, que celui rendu par ces deux personnalités d'exception. Forest a su trouver le rythme parfait dans sa lecture. Lumineux ! De plus, cette élégance nous éloigne enfin (il était temps !) de la bassesse de Josyane Savigneau qui sévit dans ce milieu, et qui aurait même tenté vainement de saboter cet hommage en semant des messages de haine, des "mots d’ordre", et de calomnies à tout va, y compris chez les éditions Gallimard (comme tout le monde le dit dans le milieu), pour ne s’attirer que le ridicule et le mépris. Toujours plus loin dans sa crétinerie, la vulgaire Savigneau ose insulter Philippe Forest (LE meilleur spécialiste de Sollers !) sur les réseaux sociaux, allant jusqu'à qualifier Forest de "rapace" (selon une chansonnette nunuche de Barbara, sic) ! Ce qui est tellement comique c’est qu’à la voir, elle, s’agiter ainsi venimeusement, on dirait vraiment une piteuse "harpie", et c’est sans doute pourquoi elle utilise stupidement ce genre d’insultes. Heureusement, enfin a eu lieu le 5 mai à la Closerie des Lilas, un authentique et parfait hommage à Sollers, avec ses vrais amis et les vrais connaisseurs de son œuvre ! Cela donne vraiment envie de replonger dans l’ouvrage de référence de Forest sur Sollers, toujours si actuel, et même encore plus actuel aujourd'hui qu’au moment de sa publication. Et surtout, lire et relire "La Deuxième Vie", où seule la pensée permet d’accéder à la clarté, très loin de la venimosité des "fausses femmes" à la savigneau, comme le dit si justement Sollers lui-même dans ce livre.
@zhaoraser7 ай бұрын
Merci
@fverrieres7 ай бұрын
On meurt de son vivant, Céline ne dit pas autre chose, mais les morts nous rattrapent et nous dépassent.
@dominiquegillet-x8c7 ай бұрын
Vu et entendu un lundi de pentecôte quand l'Esprit découvre le monde, où il estime en soufflant fort par les narines avoir du pain sur la planche...