Jean Christophe Rufin, la voie libre

Le virus de la montagne contracté à l’âge de huit ans a fait des ravages… J’aime l’escalade, le maniement des mousquetons, l’amitié des guides dont j’utilise rarement les services mais toujours les conseils car je suis incurablement un premier de cordée.» Dans le bureau de son chalet, au pied du Mont-Blanc, Jean-Christophe Rufin écrit son discours d’entrée à l’Académie Française. Pour rédiger son texte, l’homme aurait pu s’inspirer de sa vie folle et passionnante, le médecin, pionnier de l’humanitaire est allé partout avec l’objectif d’aider intelligemment les gens dans les situations de crise : Afghanistan, Rwanda, Sarajevo… Son discours aurait pu raconter tout cela, il aurait pu écrire sur la médecine qu’il aime tant, son paysage intérieur… En habit vert, c’est de la montagne qu’il parlera devant cette assemblée prestigieuse… La montagne, l’écriture, deux mondes qu’il croise, qu’il mêle. Des terres d’exploration, de vagabondage qui poussent l’imaginaire au plus loin. Les voies de la liberté, l’exigence, l’effort, l’humilité dans l’action… Toute sa vie en somme. Portrait de Jean-Christophe Rufin, médecin, historien, écrivain et diplomate français.

[@yogananda2]

Bonjour monsieur Ruffin. J’aime ce que vous faites , je sais que vous avez travaillez et aimez en Afrique si ma mémoire est bonne. Je sais aussi que vous êtes l’Ami de Sylvain Tesson ( que j’adore) Vous faites partie de ces grands hommes de grandes simplicités quel bonheur de savoir qu’il existe encore des personne comme vous .. Merci

[@user-pd8ry2nm9l]

Un grand cœur 🕊️❤

[@laurentdu7139]

Bonne réflexion merci 😊

[@jaclisse]

vos lecteurs attendent peut être un livre qui évoque une histoire de MONTAGNE.

[@didierretornaz9266]

"le poids c'est la peur" superbe raccourci..

[@helenecarlin1298]

Monsieur Ruffin est un chat il aime vadrouiller, puis se peletonner, chez lui, moi je parlais de ma maison comme le bunker ma mère le prenait mal, pourtant c'était mon refuge, où la paix me faisait faire ce que j'aimais tranquillement. Et la colline si haute, tous ces arbres autour nous étions des privilégiés. Nous n'avions pas de compte à rendre, appars dire bonjour a une personne du voisinage. Et c'était bien.

[@helenecarlin1298]

Monsieur Ruffin, le costume d'académitien, le nœud papillon sa le fait pas.