L'évaluation de la douleur, Patient / Soignant et si la clef était dans la tête ?

[@jeancharleslauriane4850]

Bonjour, je me permets de te poser une question merci pour ton contenu. Dis-moi selon ce que tu explique du coup. Chez une patiente qui décrit sa douleur à 12 sur 10 et qui ne descend pas en dessous de cette mêler à une forte anxiété. Comme tu le dis, il est possible de penser que cette patiente donne une note trop élevé a une douleur qui n’est pas visible de l’extérieur Dans ces cas là, il faut quand même utiliser de la morphine par exemple pour la soulager ?

[@confianceensoin2453]

En premier lieu il faut changer d'outils d'évaluation. Cela peut lui permettre de ne plus attribuer une note à une douleur connue mais vraiment d'évaluer son ressenti dans l'instant. Deuxièmement, si la morphine ne permet pas la baisse des douleurs, c'est très important de la couplé à une autre molécule, de changer de molécules, et de proposer un autre traitement. Effectivement la morphine peut être inefficace chez certaines personnes ou lorsqu'elle est administré depuis un certain temps et que les patients deviennent réfractaire à la morphine. Il faut l'évaluation de médecin spécialisé dans la douleur.