La Pâque est forte comme la peste: Antonin Artaud, le théâtre et la contagion des sacrements

[@aslafy]

Excellent. Une finesse rabbinique alliée à une rare intelligibilité sensible et communicative du christianisme. Un plaisir.

Merci beaucoup pour votre travail

[@sanctusgloria4236]

Toujours pertinent !

[@troubageoff]

Merci pour vos propos inspirants et éclairants, nourriture bienfaisante sur le chemin qui nous conduit ces jours-ci à la suite de Celui qui nous aima jusqu'au bout... Je trouve que l'icône du Christ Ressuscité du Cenacolo (cf. ker-zamis.pagesperso-orange.fr/Anastasis/Anastasis.jpg ) illustre bien la façon dont Dieu agit dans les sacrements. Il s'approche et nous touche, nous prenant par la main à la suite d'Adam et d'Eve, Il nous tire du tombeau. Et qui a vu l'original de l'icône sur le mur du chœur de la chapelle où d'anciens drogués l'ont peinte sait que Jésus Hostie s'y cache, là-même où Il vient si souvent nous chercher : dans les ténèbres. La porte du tabernacle est dissimulée derrière le couvercle d'un des deux cercueils...