La réassignation de genre chez l’enfant // Jean - Claude Maleval

[@danielamonasterio6040]

Excelente Maleval, como siempre, un placer escucharlo....la claridad y precisión es admirable. Gracias por compartirlo.

[@silvanaadami5848]

Jean-Claude Maleval est toujours ce grand clinicien respectueux avant tout de la singuñarite humaine et de sa condition. Ses prises de positions apaisent un débat affolé et fou, et qui sous couvertnde science finit par nous éloigner de la clinique du sujet humain.

[@DamePsy]

Ce qui me dérange à chaque fois que l'on évoque la question des transidentités, c'est cette espèce de généralisation. Comme dans chaque rencontre de patients, je crois qu'il est nécessaire de faire avec la singularité. Transidentité ou non...

[@sabrinakernachi8008]

Bravo pour votre analyse fine et pertinente de cette question complexe.

[@CR-ci1fp]

extrêmement documenté, précis, convaincant. indispensable. merci.

[@didacftm]

Non. Trés mal documenté

[@didacftm]

Non. Trés mal documenté

[@Lalegria010]

Buenísimo! Concreto y muy claro. Gracias desde Cali Colombia!

[@didacftm]

Absolutamente en desacuerdo con usted. Lea a Miguel Missé.

[@patriciaalegria4959]

Excelente Maleval! 👏🏻👏🏻👏🏻Tal y como lo corroboro con mis pacientes niños. Al fin palabras responsables y bien documentadas sobre este tema!

Les sous-titres sont désormais disponibles sur cette vidéo en espagnol, portugais, italien, anglais et français.

[@josephzudas3520]

Merci cher jean Claude quel chemin parcouru depuis ton premier livre présenté à Bordeaux.joseph

[@jean-pierreklotz6838]

Solide

[@rosaapartin817]

Exelente! merci

[@agusjoaco]

Excelente !

[@andrearomero5544]

Subtítulos en castellano por favor 🙏

[@carlochimisso941]

Sottotitoli in italiano?

[@simoneportier5371]

très bonne position c'est un minimun à respecter

[@didacftm]

Quel minimun à respecter?

[@lelead2410]

Bonjour, La propagande LGBT/transgenre imposée aux enfants dans les établissements scolaires n'est pas étrangère à l'augmentation du phénomène chez les enfants et les ados. Ce serait bien d'en parler sinon on ne pourra pas résoudre une grande partie du problème à sa source..

[@mlchapuis-grisoni6067]

La propagande LGBT/TRANSGENRE ?!?! Dans les écoles ?!?! Vous êtes sérieux là ?

[@lelead2410]

@@mlchapuis-grisoni6067 Oui. Conformément aux "standards pour l'éducation sexuelle en Europe" de l'OMS

[@mlchapuis-grisoni6067]

www.liberation.fr/checknews/2018/08/30/est-il-vrai-que-l-oms-impose-des-cours-d-education-sexuelle-avant-4-ans_1675450/ pour relativiser votre discours. Il y a aussi un acces au texte de L'OMS.

[@lelead2410]

KZbin a supprimé ma réponse. Vous avez du la recevoir dans vos notifs

[@lelead2410]

@@mlchapuis-grisoni6067 Ne croyez pas ces "fact-chekers" au service. Interrogez subtilement les enfants, surtout les collégiens

[@arthurleff6277]

Point de vue psychiatrique et non analytique. Une fois de plus on développe un point de vue en surplomb à partir de spéculations théoriques sans expérience clinique. La référence à Millot ajoute à ce point de vue transphobe (belle dénégation au passage de l'auteur) et on continue à ranger les transidentités dans la colonne des psychoses... Cette position conduit alors en effet à éloigner un peu plus encore les personnes de la psychanalyse puisqu'au fond même si l'on peut regretter l'empressement de certains cliniciens, au moins acceptent-ils de prendre en charge une part de la question.

[@henribrissac9584]

Mais les psychanalystes prennent en charge la question, justement... Mais pas d'une manière qui convient aux activistes du genre, certes...

[@jean-claudemaleval8420]

Où avez-vous entendu dans cette intervention que la transidentité soit rangée dans la colonne des psychoses? C'est assurément plus complexe que cela.

[@arthurleff6277]

@@jean-claudemaleval8420 Relisez Millot... De plus on ne parle plus de transsexualisme depuis plusieurs années. Le signifiant n'appartient pas plus d'ailleurs au vocabulaire de la psychanalyse. En entrant dans la culture, comme l'homosexualité classée en maladie à une certaine époque, nous parlons aujourd'hui de transidentités. Le psychopathologique n'a d'ailleurs jamais apporté quoi que se soit aux intéressés si ce n'est la contribution à une machine normative de réification. Les psychiatres et certains analystes gagneraient donc à lire l'histoire et les études de genre pourtant aujourd'hui profuses.

[@didacftm]

@@arthurleff6277 Merci

[@marlenevalenzuela3643]

donde escucho en español o leo subtitulos en español?

Todavia no tiene para esta vídeo. Dentro de poco, estaran disponibles.

[@AntoineBesse]

Bonjour M.Maleval, merci pour cette vidéo mais serait-il possible de mettre en lien les sources que vous citez ("90% des personnes une fois adulte abandonne leur souhait" / "Dans 70% des cas c'est un prédicteur de l'homosexualté et 10% souffrent de dysphorie"). Merc encore, Bien à vous

[@miclas62]

Muy bueno. Lástima que no tiene subtítulos en castellano. Saludos

Dentro de poco tiempo, esta vídeo, como todas, tendra los subtítulos en castellano, italiano, ingles y português.

[@miclas62]

@ excelente!! Gracias

[@didacftm]

@ Pues de paso podría corregir todos sus errores

[@mathieup.8366]

Pourriez-vous fournir les sources des études citées SVP ?

[@mathieup.8366]

Et pas juste VOS bouquins ... pardon mais c'est limite ...

[@Yourfavoritneighbor]

Les ouvrages sont cités de manière annexe, néanmoins le lien donnant sur l'article de Jean Claude Maleval dans la revue Lacan Quotidien permet d'y retrouver les sources. Les commentaires négatifs c'est comme le choix du changement de genre, quand c'est précipité c'est contre productif.

[@ricardoseldes]

Claro y preciso

[@didacftm]

Je suis un homme transgenre et je me demande si vous connaissez, accompagnez des personnes transgenres ou si vous théorisez? “La dysphorie est en passe de devenir un phénomène de société”. Je rève en vous écoutant! La seule chose qui se passe est que nous ne nous cachons plus et que nous revendiquons notre place. De même, il est urgent et nécessaire que vous révisiez votre vocabulaire. Le mot transexuelle est obsolète. Comme psychanaliste vous devriez le savoir. Puis, vous devriez vous documenter correctement à propos de la transition pour les personnes mineures. En aucun cas il ne s’administre d’hormones avant la majorité mais tout au plus des bloqueurs à la puberté qui ne provoquent rien d’irréversible. Il s’agit seulement d’accompagner l’enfant pour qu’i.el souffre le moins possible et si c’est réellement le cas, l’aider enfin dans sa transition plus tard. Je ne peux pas m’étendre longuement car ce mode communication ne s’y prète pas. Mais en parlant du suicide vous êtes naïf. Il est incontestable que la socièté si transphobe est extrèmement responsable de cet état de fait. Lisez le livre de Lexie qui vient d'être publié: Une histoire de genres. Si vous comprenez l’espagnol, je vous engage à lire aussi Miquel Missé.

[@mauricettescheyvaerts2349]

Déjà la notion de consentement même chez des adultes quelle farce cynique

[@annes.8651]

Il n'y a pas tant d'évolutions depuis les cours que j'ai reçus (subis) à Rennes 2 autour de 2010. Faire un parallèle entre le consentement à une relation sexuelle d'un mineur et la dsyphorie de genre est absolument ignoble. Étonnant que les lacaniens s'évertuent à vouloir donner leur avis sur un sujet auxquels ils refusent de réellement s'intéresser. La démarche que vous avez suivie pour étudier les sujets autistes auraient été plus interessante et plus humaine. En tant que clinicienne, il y a longtemps que j'ai quitté le petit monde des lacaniens, mais il m'arrive encore régulièrement de devoir répondre de vos errances, auprès de mes patients. Patients trans entre autres, qui doivent construire et se partager des "safe lists" de soignants, notamment psy. Ne serait-ce que pour ne pas être désignés comme "transsexuels".

[@julienselignac9434]

Merci d'en parler. C'est important!

[@annagrahm9836]

9:19 90% !? j'aimerais bien connaître vos sources ...

[@nathaliegeorgeslambrichs]

Enfin une énonciation précise et responsable

[@estellee4892]

faire transitionner des enfants est délétère. Les parents qui signent sont des irresponsables, c'est diabolique. En revanche, je n'ai rien à dire quand il s'agit d'adultes, c'est leur choix!

[@fredhesse]

Merci dans l'espoir que votre voix puisse portée

[@mauricettescheyvaerts2349]

Vive le commerce? Totalement pervers

[@patriciaheffes4548]

Excelente apelación a la responsabilidad

[@mercedesdelossantos6804]

Cómo puedo conseguir la traducción al español?

Todavia, no tiene los subtitulos. En agosto, estaran !

[@Lionpsyche]

Incredible!

[@jean-francoiscottes6872]

Impeccable et salutaire.

[@isabellaramaioli816]

Mirabile! Merci

[@leocouvert6381]

C'était intéressant. J'ai une question qui me vient : vous ne vous attardez pas sur les bloqueurs de puberté. A ma connaissance, ils ne sont pas dangereux sauf cas particuliers, n'ont pas d'effet définitif (leur effet disparaît si le traitement s'arrête) et on peut même envisager qu'ils ont plus un rôle de sursis qu'un rôle de transition. N'est-il pas alors envisageable d'accéder à cette demande en particulier, chez certains pré-adolescents/adolescents qui en expriment le besoin, en attendant qu'ils soient plus à même de prendre une décision définitive ? Les bloqueurs de puberté ne sont pas irréversible, la puberté l'est d'avantage.

[@jean-claudemaleval8420]

Il peut en effet être envisageable d'accéder à cette demande, non chez des enfants, mais chez des adolescents bien avertis et bien décidés.

[@didacftm]

Il ne s'administre jamais d'hormone à un enfant. Il faut arréter de le faire croire

[@annagrahm9836]

@@jean-claudemaleval8420 Prescrire des bloqueurs aux ados diagnostiqués dysphoriques de genre, ça serait le minimum en effet (accompagné d'une psychothérapie ça je suis d'accord et même consternée que ce ne soit pas toujours le cas - en Suisse il me semble que ça se passe ainsi) , parce que la puberté fait BEAUCOUP de mal (inutilement) aux transsexuelles ensuite, et je peux hélas en témoigner ; au delà de 25 ans, il ne reste hélas plus que la chirurgie esthétique (FFS) pour reconstruire un visage abîmé par la testostérone, et les oestrogènes de substitution eux-mêmes ont un effet beaucoup plus limité une fois la croissance achevée. Il me semble qu'interdire la prise en charge médicale d'un enfant dans la détresse (certes observée et justifiée) c'est AUSSI de la maltraitance. Je reste en revanche convaincue que toute chirurgie de réassignation doit être proscrite jusqu'à la majorité légale, soit 18 ans : puisque l'enfant sera dès lors adulte et par conséquent responsable de ses choix.