À la recherche du temps perdu - 81e lecture, par Alain Lenglet

À la recherche du temps perdu - Lecture de l’œuvre fleuve de Marcel Proust par les Comédiens-Français, en relais soir après soir, comme un mini-marathon en écho à la mise en scène par Christophe Honoré du « Côté de Guermantes » récemment jouée au Théâtre Marigny.
Pour la 81e lecture, vous avez rendez-vous avec Alain Lenglet.
[Enregistré dans les conditions du direct au Théâtre des Bouffes du Nord]

[@paulnewmanbest]

Un ton une voix beaucoup de talent

[@byzantinia]

Merci beaucoup monsieur - très belle lecture 😊

[@frederiquebertrand7363]

Quelle formidable lecture. Merci à Alain Lenglet et à la

[@isabellechastin316]

Quel beau timbre de voix et quelle diction..

[@simongrivet671]

Très forte lecture et un moment important de la littérature

[@sabinemarechal7651]

Merci Monsieur. Quelle voix ! Les silences même racontent beaucoup... La maîtrise dont vous faites preuve est impressionnante.

[@loredanagovi2209]

Merci à Monsieur Lenglet pour cette belle lecture.

[@dugeletjacqueline4968]

Brillante lecture. Alain lenglet restitue une société où l'appartenance prime sur tout. Elle révèle la vanité et la cruauté.

[@bikramphookun4948]

Lecture sûre et parfaitement cadencée! Merci beaucoup!

[@FouadElMghazli]

Merci monsieur. Dreyfus mérite bien une lecture aussi respectueuse de l’état des français de l’époque. Un sentiment qui change parfois de sujets mais reste peut-être ancré dans certaines têtes encloses dans leur identité.

[@annickcoley3580]

Eè444

[@clairesoullier2669]

bravo

[@marcmillan4570]

Ah les rosseries du salon mondain! Belle lecture . Merci.

[@louisa8849]

Malheureusement, je trouve cette lecture trop rapide, elle laisse de côté beaucoup de subtilités du texte, beaucoup de silences, beaucoup de la lenteur nécessaire pour appréhender tout ce que le narrateur découvre et raconte. Cette matinée est légendaire, et on dirait strictement le compte rendu du Figaro lu par son petit-fils à une vieille dame aveugle. La phrase est longue, or, le lecteur, la fait se précipiter comme des ruisseaux multiples, ce qui lui ote de sa majesté et sa densité. Mais j’admet fort bien que tout le monde, semble-t-il, apprécie cette lecture. Delf’ !