Ayant traversé ce douloureux processus, cette intervention m'a vraiment parlé et m'a également fait du bien. Merci
@Philomobile5 ай бұрын
Il me semble qu'ici, il est plutôt question d'attachement et de détachement que d'amour. Or on peut aimer sans être attaché. Si l'on en croit Spinoza "l'amour c'est la joie accompagnée de l'idée d'une cause extérieure". Donc on peut éprouver de la joie sans être soi-même attaché à cette cause, ainsi on peut aimer un écrivain, un artiste des temps passé, on peut par aimer une personne qui est décédée ou dont on est séparé sans avoir besoin qu'elle nous aime en retour. On l'aime par qu'en pensant à elle cela cause une joie en nous. Dans l'épreuve dont parle ici Fabienne Brugère il est question d'accepter de ne pas être aimé et d'apprendre à se détacher, ce qui n'est pas la même chose que "désaimer" (ce qui voudrait dire ne plus éprouver de joie à l'idée de cette causes extérieure).
@christellecarfantan56775 ай бұрын
La vie n'aime pas le vide, l'amour non plus 👍🥰
@pascalemadelon15925 ай бұрын
Aime toi déjà toi-même. Ça va remplir pas mal de vide
@ORIGJIN5 ай бұрын
Pourtant tout naît bien du vide…
@EtienneCourivaud5 ай бұрын
C'est bien parler de l'amour, mais c'est une chose mystérieuse qu'on ne peut décrire. On sait bien parler de l'amour-propre, donc l'amour de soi, de son ego qu'on satisfait.
@Passiflora635 ай бұрын
5:43 je m'ennuie déjà alors que le sujet m'intéresse... sait elle vraiment de quoi elle parle ? On dirait qu'elle cherche à se persuader elle-même... il y a pourtant tant à dire... quel dommage...
@edfet71464 ай бұрын
Dès le début, dès la première phrase, je me suis ennuyé. J'ai vite arrêté le calvaire. Vous êtes sûr que c'est de la philosophie ?
@bbbenj5 ай бұрын
Bref, c'est compliqué et différent à chaque fois.
@pascalemadelon15925 ай бұрын
Une montagne de platitudes 😅
@JM-fu9qi5 ай бұрын
Lieux communs, généralités, truismes, phrases toutes faites...