Les 10 Essentiels de Grand Corps Malade, Ben Mazué et Gaël Faye (X-Men, Dikkenek et Chipster) | GQ

[@HYLofficiel]

Fabien, Gaël, Ben, voilà ma réponse au défi. J'espère que le texte arrivera à vos oreilles et qu'il vous plaira. Merci pour vos chansons qui me bercent dans mon quotidien. Et j'espère à un jour peut-être 🙂 Texte : Salut Fabien, Gaël, Ben, j’aimerais vous connaître. J’ai vu cette interview passer, je prends le défi de faire un texte. J’ai jamais osé vous écrire, vous professeurs de mon parcours. Pourtant vu d’ici, j’ai l’impression de vous connaître depuis toujours. Comme vous, si ma vie est un Grand Prix et que j’ai un temps de retard. J’irai draguer la folie pour voler la victoire. J’ai la maladie d’y croire, comme un shoot qui rentre sans toucher l’anneau. Ce qui est marrant sur votre vidéo, c’est que moi c’était vraiment le 11 sur mon maillot. Grand Corps Malade, je pense que mon timbre, mon écriture crée entre nous cette liaison facile. Au point que pendant mes balances souvent on m’appelle Petit Corps Fragile. Vous savez, moi non plus c’est pas Marvel qui m’intéresse quand j’veux le pouvoir des X-Men. Comme un chipster j’aimerais que mon quotidien croustille quand mes rêves se réveillent. Encore endormi devant Dikkenek, le marchand de sommeil a de l’avance. Sur le coin des lèvres un reste de Danette, un goût de vanille sur les papilles de mon enfance. Moi quand mes yeux dessinent, c’est que j’ai une tonne de rêves sous les paupières. Est-ce que vous pouvez demander à Jeanrachid de l’appeler pour moi Michel Drucker ? Et si un jour ma vie dérape dans un virage. Il ne restera qu’une plaque d’immatriculation faite de mes initiales. Bloqué dans ma petite boule de cristal vous m’avez secoué de vos mots. Dans le nuage de mes émotions vous pouvez changer la météo. Alors je vais tailler ma route en espérant croiser la vôtre. Merci pour cet album, les précédents et tous les autres. Grace à vous j’ai compris que le plus important c’est d’essayer de le faire. De profiter, de savourer puisque tout est éphémère.

[@carog6330]

Merci Fabien, Gaël et Ben de nous faire vivre d'intenses émotions avec vos textes. Voici ma contribution à ce défi! Affalée sur mon canapé Devant ma télévision Je vois ma vie défiler Sans en prendre possession. Je suis là, à me gaver De Danettes vanille et de Chipster Que j’ai vu à la publicité Sans le goût ni l’odeur. Devant mes yeux Des images s’entremêlent De Paris, Risoul, Lisieux de Dikkenek, de Drucker, des X-mens. La victoire de la musique De Benjamin Biolay Et cette chanson assez comique De ceux qui la voulaient. Mon maillot de basket Accroché au mur Me rappelle cette vie de fête Qui rôde qui murmure. Mais je reste assise là A ne rien faire, Je reste assise là Sans savoir quoi faire. Subitement, un klaxon retentit Je regarde à la fenêtre J’y vois cette folle envie De celle qui te fait renaître. Pour la première fois Je prends les clés de ma voiture Je ne sais pas où l’on va Sans doute construire mon futur Je vais tailler la route Mettre des images sous mes paupières Casser mes doutes Et vivre de l’éphémère. C.G.

[@fannydu52]

Une aventure éphémère mais pas tant, Au son de ces trois amis épatants, Pas si loin des terrains d'basket d'antan, C'est aujourd'hui qu'ils ont pris le temps Au cœur d'une tempête, au détour d'un festival, La musique avant tout, et ça c'est primordial, On commence par les x-men, c'est bien vrai, Puis on finit par kidnapper Biolay C'est vrai qu'il claque bien ce trophée de Victoires, Mais quand même, on risque d'passer pour des pillards, On va s'poser, les Chipster à la main, En vérité, on a besoin de rien Quoi que, on peut toujours mater un DVD, Ou alors regarder Drucker à la télé, Le mieux c'est encore de suivre son instinct, Et tailler la route avec les copains Des mélodies au goût Danette vanille, Il faut bien ça pour faire vibrer Bercy, Sous mes paupières, je revois la famille, C'est aussi pour eux que je suis ici

[@stephanektorza5601]

RAPTASTROFF On relève le défi De prendre vos souvenirs Comme des X que l’on coche, Men Sans ordre établi En rap en slam en poésie Le tout est de se tailler A bord du cabriolet Un moment de plaisir Croiser nos routes et pas croiser le fer Ferrer nos doutes au fait de l’éphémère On portera haut et fort Le maillot bleu de Saint-Denis Si un son en ressort Comme un goût de vanille Debout comme pour Danette On portera le trophée De notre victoire en musique Comme le grand prix de Biolay Croiser nos routes et pas croiser le fer Ferrer nos doutes au fait de l’éphémère Mais là, on cherche un peu notre inspiration Pas facile comme devoir, difficile comme leçon Après un Dikkenek pour seule inspiration Des paquets de Chipster pour donner illusion On s’est pris à rêver et si ça arrivait On s’est vu chez Michel et pas n’importe lequel Le Drucker des soirées et des dimanches aprèm Celui de la télé première ou deuxième chaine Je retourne ma boule et Risoul s’enneige Il relit deux trois lignes juste avant la tempête On modifie des trucs comme des notes de solfège Pour pas trop écorcher vos oreilles de maîtres Au fait on y pense on ne s’est pas présentés Sur notre plaque vous pourrez lire qu’il est immatriculé : Bobzy La Tire, Papyrap et Lov’iock. Amitiés

[@rafaellenicolas3383]

Trop bien !! En le lisant je peux même les entendre chanter ce titre !

[@fabiennelacamera450]

Merci pour ton commentaire...😉 très sympa à toi...

[@christelleb.9354]

Merci à vous trois pour cette idée, j'ai adoré l'exercice, l'occasion en prime de vous adresser quelques mots, j'espère que vous pourrez les lire. Ca s'appelle "Prince Charmant" J’ai la tête comme une boule à neige et toujours ces paupières de plomb Il était une fois, ma rengaine, ma vie post-séparation Non, ils ne vécurent plus heureux, ni mariage, ni Happy End Faut écrire une nouvelle histoire, en alternant les weekends A moi, les matins sportifs, en mode maillot de basket A moi, les samedis festifs, en mode copines et Chipsters A moi, les dimanches oisifs, en mode affalée d’vant Drucker A moi les lundis tardifs, en mode devoirs, bisous, Tinder Plus d’ascenseur émotionnel, plus de Grand Prix des sentiments, Vivement que la vie soit plus belle, que l’hiver fasse place au printemps… Mais j’comprends pas J’suis la Femme Idéale Je me lève Tôt le matin J’me construis un Mental Viens partager mes lendemains Un jour, j’en ai rencontré un, un beau brun qui aime les bouquins Un sensible qui joue d’la guitare, mange des Danettes chocolat noir, Un d’ceux qui sait suspendre le temps, quand il te touche du bout des yeux Un doux, un tendre et un brûlant, qui sentait bon les jours heureux J’lui ai dit : je veux voir Risoul, il m’a dit : j’exaucerai ton rêve Enivrons-nous jusqu’à être saoul, j’ai 10 plaques planqués à Genève On s’marrait d’vant François Damiens, entre 2 partages musicaux, Je découvrais Ben Mazué, il s’éclatait sur Commando…. Mais comment ai-je pu oublier, qu’on est sur 2 fuseaux horaire, Qu’à cette légère brise d’été suivrait le vent glacial d’hiver Que cette idylle devait s’achever, laissant mon cœur bien solitaire Une nouvelle page à esquisser, il était une autre fois, un peu amer… J’comprends pas J’suis la Femme idéale Je me lève Tôt le matin J’me construis un Mental Alors, viens.. et prends ma main Ceci est ma première chanson, merci donc pour votre indulgence Vous la trouverez naïve, par contre, elle est sincère, quoi qu’on en pense Vos parcours forcent l’inspiration, vos mots résonnent et m’donnent confiance, Alors… un immense MERCI à vous !!

[@pilith1]

Chapeau 😜👍!

[@juliensarda6340]

Dikkenek, vous me regalez!😂

[@mariethomas1730]

Si jouer avec quelques mots amène à danser, alors je joue... T'as voulu tailler la route, on a taillé la route T'as voulu voir Risoul, et on a vu Risoul T'as voulu être de bon'heure, et on a vu l'bonheur T'as voulu écouter, et j'ai cru voir l'amour J'ai voulu voir Drucker, et on n'a pas vu l'heure J'ai voulu voir ton coeur, il est devenu amer Comme toujours Mais ça va pas, qu'est-ce que tu me chantes ?! T'as plus aimé Risoul, on a quitté Risoul T'as plus aimé mon coeur, on a quitté l'bonheur T'as plus aimé l'amour, on a quitté l'amour T'as voulu voir l'envers, du décor rien qu'un tour T'as plus aimé l'hiver, t'es devenu râleur Comme toujours Mais je te le dis, je n'irai pas plus loin Mais je te préviens, nous deux c'est fini D'ailleurs, j'reprends mes péchés à la con Des danette vanille aux chipster en flocons ! T'as voulu voir chez moi, et on a vu chez toi T'as voulu voir ce que j'aime, et j'ai sondé ton âme J'ai voulu voir le mieux, je n’ai vu que du fake T'as voulu voir la mer, on a pris ta r'nault bleue T'as voulu voir ton père, et on a fait la queue Au cinéma du coin, t'as r'fusé Dikkinek Malgré moi T'as plus aimé l'azur, tu as changé de voiture T'as plus aimé ta plaque, tu as changé l'immat' T'as plus aimé le basket, t'as rendu ton maillot De c'que je sais de toi, j'suis plus à une surprise Et tant pis pour les matchs, t'as changé de tactique Tu apprends la guitare et tu songes aux victoires D'la musique Mais je te le redis Je n'irai pas plus loin Mais je te préviens Nous deux c'est fini Le cd de Biolay tu me l’ramènes Enfin je récupère mon vinyle des x-mens T'as voulu voir l'amour, on a cru à l'amour T'as voulu voir Risoul, et on a vu Risoul T'as voulu voir mon coeur, et t'as changé d'humeur T'as voulu faire un tour, et on a fait demi-tour J'ai rêvé à nouveau, je voulais croire à l'amour De l'amer à l'amour, il n'y a qu'un mot amer Comme toujours... J'n'ai plus aimé ton ton, j'ai tourné les talons J'n’ai plus aimé Risoul, j'ai préféré Vesoul J'n'ai plus aimé l'malheur et j'ai quitté le malheur J'ai plus aimé le séjour, t'as perdu ton humour T'as voulu voir ailleurs, cueillir une autre fleur J'ai entendu le tonnerre, et j'ai quitté ton coeur Comme toujours Mais je te préviens, j'irai seule à Paris D'ailleurs, j'irai faire un tour à l'Accor Arena J'vais resourire et faire d'la poésie J'irais danser autour de tas de chansons J'ai voulu voir Paris et j'ai revu Paris J'ai gonflé les poumons, et j'ai tourné en rond En haut du sacré coeur, j'ai enfin vu l'bonheur On était en décembre, j'ai fait sa connaissance J'ai voulu voir plus loin, j'ai rouvert mon coeur À la fin d'la chanson, il m'a tenu la main Pour toujours

[@piagauthier4042]

Gael, Fabien et Ben : j'adore "Ephémère". Je l'écoute sans arrêt. Je craignais que Gael n'ait rien. Il est si discret.

[@askemworld]

A Grand Corps Malade, Gaël Faye et Ben Mazué. J'veux être un type honnête, Un type chic et net et pas un dikkenek. J'suis qu'un mec qui frappe la planète comme une pluie d'10 comètes. J'déconnecte et j'disparais comme si j'étais Nek. J'suis qu'un ex-acrophobe suspendu à plus d'2000 m. Prêt à lâcher j'étais, je suis Du haut d'ma p'tite fenêtre Et dans ma lettre, j'ai écrit : "Vis, essaye. Signé Y." Vis et saigne. Vis et sème. Viens, on s'aime en rires, en sanglots. Viens, on s'aime libres ou en sangles. Viens, on s'aime. Le reste, on s'en fout. Viens ! J'navigue à vue, perché sur mon drakkar J'suis comme Drucker : éternel, comme si j'avais 3 coeurs. Voilà qu'je trace sans GPS comme GCM ou GF ou BM. Cap sur Risoul, NYC ou Bélem. J'ai b'soin d'rien. P't-être d'un maillot, de baskets, de vinyles, De Chipster, de 4 Danette, D'une casquette et d'une île. J'roule à 100, à contresens, sans plaque et sous l'averse J'écris des versets où j'dis qu'c'est toi qui fais que la peur enfin cesse. Fou, je rêve que j'suis en plein cœur d'une foule debout, je nage Dans l'avalanche, j'suis rien de plus qu'une vulgaire boule de neige. Mets-nous du X, Qu'on entende les voix de Cass et Ill Mets-nous du Grand Prix, on s'en tape que t'aimes ou pas, c'est chill Passe Ephémère, Lundi Méchant, Mesdames et Paradis Envoie Farewell : la piste 6 que je puisse parader. J'me fiche des trophées ou des Victoires, J'écris que j'laisse ma trace. Mon âme atrophiée ne voit qu'toi C'est tout c'qu'il m'restera, ça. Vis et sème... Plus d'amour que tu n'en recevras. Vis, enseigne... Plus de choses que tu n'en apprendras. Vis, essaye... T'es tombé(e), mais tu t'en remettras. Vis, en somme. Et s'il le faut, tu fondras dans mes bras. Donc viens, on saigne, on rit ensemble. Viens, on s'aime à en rire aux sanglots. Viens, on s'aime libres ou en sangles. Viens, on s'aime à en devenir cinglés. Viens, on s'aime, on vit ensemble. Viens, on s'aime en rires, en sanglots. Viens, on s'aime, en vie, en cendres. Viens, on s'aime à en devenir cinglés. Viens ! Insta : askemworld

[@Matt-qy9gw]

Masterclass

[@PetitAngeBlanc]

Est-ce qu'il y a un mail où l'on peut envoyer nos textes ??

[@MisterDou]

C’est quoi la marque du sweat de Gael Faye ??

[@angeliquetribolet6352]

Tailler la route Suivre son chemin Les chemins de traverse Traverser la rivière Se laisser emporter Lâcher prise Et suivre le cours de l'eau L'eau nous mène sur le chemin A contre courant c'est moins bien Beaucoup d'énergie à conserver Des épreuves tu vas Traverser Traversée de la vie Vivre dans le moment présent Présente beaucoup de belles rencontres Les Belles Âmes sont là Partout où tu iras Sois tranquille pour ça L'univers est derrière cela L'amour est de tous les combats Choisir ses combats pour ne pas Se laisser guider par de mauvaises idées Pensées positives seulement Car seul le moment présent Compte vraiment ! Good vibes only Slowly and Lovely Je vous aime mes amis Je vous aime mes ennemis

[@lou-lisepoirotdurupt]

Bonjour, bonsoir, je ne sais pas. Je sais seulement que je ne sais rien, enfin je crois. Je commence par une citation quelle image ça donne de moi ? Le pire c’est que j’ai oublié qui a dit ça. Je participe peut-être au concour, ou peut être pas, En fonction des mots qui me viendront on verra. Je vous avoue que c’est un assez bon prétexte Pour vous aborder, remercier dans un texte. Enfin, encore faudrait-il que j’ose vous l’envoyer, Et c’est pas garanti vu comme vous m’impressionnez. Je ne suis pas albatros, je ne suis pas mouette, Mais je trébuche dans mes ailes et accumule les erreurs. Et la seule image que j’ai en tête, C’est moi, qui craque, aussi facilement qu’un chipster. Je ne suis certainement pas à la hauteur, De mon mètre 67. Pourtant j’ai gober tout les leurs, Soupe, légumes, j’ai finis mes assiettes. Le seul effet: j’ai bonne mine, Mais toujours ce corps de mauviette. Les grands se moquent de moi à la cantine, Je rêve qu’ils s’étouffent avec leur dannette. Je vais vous faire un aveu, Je ne connais pas les X men. Voilà je sais c’est malheureux, Pardon si ça vous fait de la peine. On est pas de la même génération, Vous êtes de celle de mes parents. Vous tenez ce rôle à la perfection, Et m’inspirez depuis 15 ans. J’en aurai 16 le 2 décembre. C’est pas le 20 je sais. Je me contenterai d’écouter dans ma chambre, Vos chansons se succéder. Cela dit 6 et 11 les chiffres varient sur les maillots, Mais il est vrai que si les chiffres changent: pas les mots Et ceux ci me sont venus ce soir De toute façon il est trop tard. J’ai vu passer ni le temps ni les doutes, Coincée dans un routine déroutante. Vitesse constante je suis la route, Je suis encore débutante. Aux intersections je ne suis jamais sûre, A qui la priorité ? Même si qu’importe, dans la voiture, Si longue soit elle, la route sera taillée. En vérité j’ai le temps, En vérité je le prends. Les gars je vous affectionne, Croyez pas que je vous abandonne, Même si votre chanson cartonne, Désolée je reste piétonne. Le bruit de mes pas sur le bitume, Mon immatriculation. L’odeur de béton mouillé que je hume, Est la meilleur des sensation. Quand tout deviens flou, Que j’avance en marche arrière, Plutôt que de donner des coups, Je ferme juste les paupières. Les informations se trient, Mon esprit s’épure. Je laisse pleurs et cris, Dans leur sépulture. La densité des gens diminue , La masse s’éparpille, Je recouvre la vue, Je libère mes pupilles. Un seul souvenir suffit, Celui de mes montagnes. De là vient l’accalmie, De mes Vosges natales. Quelques flocons Sur le perron J’étais noyée dans la foule, Jusqu’à ce qu’il neige dans la boule. Comme la voiture je roule, Et j’arriverais jusqu’à Risoul. Même si je ne suis pas actrice, Je vis au cinéma. Ma vie sans artifices, N’a plus d’importance la bas. Sur les sièges de rouge teintés, je n’ai plus peur. Rouge comme le canapé, De celui qui questionne les acteurs, Du conducteur d’hélicoptère, Du bien connu Michel Druquer. J’aime aussi traîner à la bibliothèque. J’ai essayé d’apprendre les échecs: échec. Alors j’apprends plutôt les répliques de dikkenek, Pour toujours avoir de quoi leur clouer le bec. On dirait que je participe finalement, Trophée ou non c’est pas l’important. Même les défaites peuvent donner de l’espoir, Vous n’avez pas gagné la 36 eme, Mais avez écrit et chanté une « superbe » histoire, Mais vous en avez créé un poème. C’est pour ça qu’à tout prix, Je participe à ce grand prix. Que je cherche que je persévère, A trouver les bons mots dans mon vocabulaire. Et si on ne se voit pas ce 20 décembre à l’accord Arena, J’espère quand même qu’un jour ou l’autre on se croisera.

[@gaellesellier5863]

Bonjour, où peut-on envoyer nos textes? une adresse mail peut être?

[@The05TO]

J'ai pris le temps, … J'ai pris le temps, ... J'ai pris le temps, … et là, un peu seul dans ma bulle, Dans ma boule à neige, une éphémère avalanche Agité d'insomnie, me voilà noctambule Le temps passe, hélas, sous mes paupière, le dimanche Le temps passe, hélas, sous mes paupière, le dimanche A moitié chez grand-mère, à moitié chez Drucker Écouter les vinyles de grand-père, en jouant aux p'tites voitures Les chipster à l'apéro, les danettes au dessert, Jamais j'aurais pensé passer ce temps à l'écriture Jamais j'aurais pensé passer ce temps à l'écriture Trop peur de faire mon Dikkenek, ou d'être à côté d'la plaque Va falloir mouiller l'maillot si j'veux écrire un truc qui claque ! Mes idoles n'en ont pas eu, j'm'attends pas à gagner d'victoire J'ai besoin de rien, j'ai tout c'qui faut, juste envie d'un concert à voir !

[@Conila78]

La classe

[@detexiermarion1850]

🎁

[@luciedts]

On est le 20 décembre, j'espère que @gaelfaye et @benmzue seront présent ce soir à Bercy ! Réponse dans quelques heures...

[@leroititus2.0]

Heuu n1 ma béquille...🤦