J'avais un a priori négatif, mais j'ai écouté jusqu'au bout, pour connaître vos motivations à faire tomber quelques arbres pour pousser votre coup de gueule. Et quand la journaliste pose une question intéressante, à savoir est-ce que ces supposés imposteurs ne servent-ils pas un peu, quelque part, la philo, oubliée du grand public, vous n'êtes même pas capable de répondre, de donner votre avis, parce qu'apparemment cette question ne vous a pas effleuré. Comme vous dites, ça mériterait thèse antithèse, mais le plus triste et incroyable est que vous ne vous soyez pas posé cette question avant d'écrire ce livre. Je trouve ça méprisant et condescendant pour les auteurs et pour ceux qui apprécient ce qu'ils font.