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"Le nombre d'élèves volontaires pour apprendre une langue ancienne est bien plus supérieur que le nombre de places consacrées à cette discipline dans les salles de classe", avoue Robert Delord, professeur de lettres classiques, auteur et président de l'association "Arrête ton char". L'intérêt des élèves pour le latin et le grec ne faiblit pas, au contraire, "le nombre d'élèves latinistes et hellénistes se maintient autour des 500 000 depuis plus de vingt ans". Il estime d'ailleurs que le gouvernement ne "finance pas" assez les cours de langues anciennes. De nombreux établissements sont ainsi contraints de "fermer des groupes".