« Les neurosciences peuvent-elles éclairer l'éducation ? » par Franck Ramus | ENS-PSL

Enseigner est-il un art ou une science ? Les neurosciences peuvent-elle éclairer l'éducation ? Alors que la discipline semble débarquer en force dans le champ éducatif, suscitant à la fois fascination et répulsion, espoirs démesurés tout autant que scepticisme voire complotisme, Franck Ramus, Directeur de recherche au CNRS, recentre le débat et tente d'apporter des réponses à la question des apports potentiels des neurosciences à l’éducation ? Entre recherches qualitatives, descriptives, et « neuroéducation », à quoi peut ressembler une véritable science de l’éducation ? Découvrez toutes ses réponses dans le replay.
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Organisée en France depuis 20 ans, la Société des Neurosciences coordonne ce rendez-vous annuel des neurosciences au cours duquel des chercheurs et doctorants vont à la rencontre du grand public pour lui faire découvrir le cerveau et les progrès faits par la Recherche en Neurosciences
🔸 À propos de Franck Ramus :
Franck Ramus est directeur de recherche au CNRS. Il travaille au Laboratoire de Sciences Cognitives et Psycholinguistique, Département d'Études Cognitives de l'École normale supérieure de Paris, au sein duquel il dirige l'équipe « Développement cognitif et pathologie ». Ses recherches portent sur le développement cognitif de l'enfant, ses troubles (dyslexie développementale, trouble spécifique du langage, autisme), ses apprentissages scolaires, ses bases cognitives et cérébrales, et ses déterminants génétiques et environnementaux.
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[@JACINTAROMAN]

La mejor muestra de que la neurociencia ayuda a los docentes sobre sus prácticas es la experiencia. A mí me va mucho mejor en las aulas desde que tengo en cuenta sus estudios sobre cómo aprende el ser humano. Y no es el profesor el que por sesgos cognitivos quien dice esto ha mejorado...son los propios alumnos cuando hablan entre ellos. Sobre todo, cuando ves que aquello que les enseñaste hace tres años todavía lo recuerdan.

[@danhmidan72]

La grande question qui préoccupe et qui n a pas été abordée est : la connaissance du cerveau, de ses mécanismes et de ses automatismes, n aiderait-elle pas a mieux enseigner et en même temps a mieux apprendre ?

[@noure006]

Certains ont déjà un blocage quelque part qui les empêchent de mieux réussir dans leurs études ou l'enseignement , un genre d'éducation de travers ...

[@lemanupointdeviou324]

Je ne suis pas sûr de comprendre pourquoi vous dîtes que cette question n'a pas été abordée ? Peut-être que je comprends mal votre question mais pour ne prendre qu'un exemple : le fait qu'espacer les révisions est bon pour la mémoire, c' est clairement une découverte scientifique qui permet de mieux apprendre et mieux enseigner, en même temps. Les vidéos conférences de Frank Ramus sur cette plateforme me semble couvrir ces deux aspects... Qu'est-ce qui n'est pas abordé pour vous du coup ?

[@danhmidan72]

Il serait très apprécié de votre que vous ayez la gentillesse de répondre aux commentaires, sinon a quoi servirait de diffuser sur une telle plateforme

[@noure006]

Je pense qu'il peut aussi y avoir l'art dans cette histoire éducative ,en créant une meilleurs ambiance pour activer l'approche participative des élèves et il faut aussi identifier type d'élèves qu'on a et genre de 'virus mental' qui les bloque quelques part , L'évaluation qui guide le plus , quand on a déjà les autres conditions de base nécessaires pour assurer l'enseignement , il y a aussi la façon de se faire apprécier et en même tant contrôler l'ordre du bon travail et encourager les élèves à s'exprimer et avoir de bonne initiative et poser les bonne questions et parfois même faire semblant (par l'enseignant) de se tromper pour les éduquer à l'esprit critique sans tout avaler , il y a aussi même pour chaque type d'élève une petite variation d'attitude envers lui qui s'impose et tout ça pour que l'élève donne le mieux de lui même et pourquoi pas se faire révéler qu'il pourrait devenir encore mieux .....

[@vanitasvanistatum2730]

Je vois un homme ayant soif de donner des preuves à tout, pour être sur de ne pas se tromper, j’aurais une autre approche consistant à modéliser les bonnes pratiques des meilleurs enseignants (comment font-ils ?) et les généraliser à l’usage de leurs collègues... ce serait plus pragmatique et plus immédiat que des études scientifiques pour isoler les facteurs.

[@lemanupointdeviou324]

Je vois une personne ayant soif de faire changer les pratiques, au risque de se tromper de combat. Modéliser des pratiques éducatives sans un bon modèle de l'humain... c' est un peu utopique me semble-t-il non ? A moins que vous comptiez le faire en mode "boite noire" ? Ou que vous sachiez déjà lesquelles sont les bonnes pratiques ? On est bien d'accord, il faut que les meilleures pratiques se généralisent, et personne ne cherche de preuves à tout. Mais la question centrale reste la-même : Quelle sont les meilleures pratiques ? et comment fait-on pour le savoir ? Vous ne faites que répondre "une modélisation" au lieu de "la méthode scientifique" (qui au passage peut inclure des modélisations), vous voyez le problème ? Comment faire cette modélisation "pragmatiques" concrêtement ? Ceci dit si vous avez de tels modèles, on est tous preneur pour en discuter ! En attendant certains font des expériences et en discutent avant de chercher à généraliser des pratiques à l'usage de tous, par prudence, par "peur de se tromper" si vous voulez oui. Et c'est peut-être pas plus mal en fait non ?

[@maxenceazerty3022]

Idriss Aberkane en sueur 😂

[@Beniamino850]

Pourquoi ! ?

[@herveclavier5857]

@@Beniamino850 Bah je sais pas, peut-être parce que là on a affaire à quelqu'un de sérieux ?

[@44interVentionTV]

Aucune raison de l'être. Le gars par contre présente plusieurs biais. Que de dire que la neuro plasticité est synonymes d'enfoncer des portes ouvertes, y'a que lui qui le pense. Je connais beaucoup d'ami qui ne sont pas au courant de ça. Qui ne pensent pas que (entre autre) vivre de belles expériences répare physiquement le cerveau, au même endroit où les trauma l'endommage. Ouvrez votre esprit critique. Il a beaucoup de negativité. (inquiètude =/= negativité)

[@malauriekoshikawa761]

Pour répondre à la première question : Je dirai les deux combinés.

[@pierremartin9421]

Vous pouvez appliquer sans surprise la critique aux 3 métiers qualifier "impossibles" par Freud : éduquer, guérir et gouverner "des professions impossibles dans lesquelles on peut d'emblée être sûrs d'un succès insuffisant".

[@sistersenactivites1809]

Non mais finalement quelle méthode de lecture est la mieux adaptée pour le cerveau de l'enfant ?

[@JACINTAROMAN]

Habla de sesgos cognitivos: ¿se ha preguntado por sus propios sesgos cognitivos? Cuando alguien está en contra de algo, como es su caso, busca todos los sesgos de confirmación.

[@domsau2]

35:40 : la science est l'étude de la réalité.

[@adrienantunes1859]

Non de la merde.....

[@madratz2682]

@@adrienantunes1859 crétin.

[@Also_sprach_Zarathustra.]

@@madratz2682 Peut-être que sa réalité à lui est "merdique" ...

[@pololsct9086]

Conférence très intéressante mais ne répond pas au titre...

[@gaellegaudron7293]

Je partage ton avis, très intéressant, mais j'ai trouvé la réponse au titre (minute 34 en bas de la diapo par exemple).

[@nadarahmoun6838]

Intéressant

[@anibalfrias8015]

Le principal biais, sinon "enchantement", dans ce catalogue des biais neuropsychologiques liés au contexte éducatif, c'est, paradoxalement, qu'il cède trop à l'explication "neuropsycho" (à la mode), en évacuant - c'est un comble! - le contexte social de l'éducation, lequel ne saurait être un simple "facteur" parmi d'autres. Ainsi, par exemple, les biais liés aux "attentes" des chercheurs ou des éducateurs, ou ceux liés aux "résultats" escomptés d'un test, ne se réduisent nullement à la seule dimension, ou raison, "neuropsycho", mais ont aussi une composante, ou déterminante, sociale, dès lors qu'on a affaire à des expériences éducatives concrètes, en situation ! Les neurosciences + Bourdieu. C'est que les éducateurs comme les élèves ne se limitent pas à leur cerveau... Autre chose: le test "ludique" de départ qui ne donne comme seules options, pour définir ce qu'est l'éducation, que les items "science", "art", "ni l'un ni l'autre", restreint les options possibles : l'éducation ne serait-elle pas, à la fois, une science (un savoir transmissible grâce à une méthode didactique) et un art (une pratique pédagogique en tant que savoir-faire doublé d'un savoir-être)?

[@lemanupointdeviou324]

Je ne comprends pas pourquoi vous opposez le concret Vs le cerveau aussi "brutalement". Je partage pleinement votre point sur le fait qu'il ne faut pas se centrer sur les individus, mais s'attaquer au dynamiques de groupe, aux interactions apprenant-outils, etc. Donc oui la cognition va sortir un peu du cerveau, mais ça reste du traitement de l'information. Est-ce que vous auriez un autre exemple parce qu'en fait je crois que je comprends pas votre point sur le fait que "les attentes des éducateurs ne se réduisent pas à la dimension neuropsy". En quoi c'est pas juste le cerveau qui a pris des signaux venant de son environnement social ici ?

[@lemanupointdeviou324]

Par ailleurs l'option "un art et une science" a déjà souvent été proposée dans d'autres vidéo conférences. Ca ne change pas grand chose, c’est juste une option de plus qui ne marche pas à mon avis, surtout une fois qu'on a l'option de dire que c'est "une pratique" (donc ni l’un ni l’autre). Vous pouvez essayer de défendre que enseigner est une science.. mais j'ai peur qu'on soit plus du tout d'accord sur ce qu'est la science/la méthode scientifique du coup… (cf vidéo)

[@adrienantunes1859]

Mdrrrr.... Un gars qui ne sait pas qu'il est....... Explique un truc qu'il ne connaît pas.....

[@madratz2682]

ayez son niveau et revenez après, en attednant fermez la

[@madratz2682]

@S D et vous vous nje donnez pas le début d'une reflexion ou d'un argument

[@madratz2682]

@S D "directeur de recherche au CNRS" j'ai vu pire en terme de nullité intelectuelle

[@madratz2682]

@S D un dévellopement, des arguments peut être?

[@madratz2682]

les attaques sur l'orthographe, ou la définition de l'incapacité à donner des arguments, encore plus sur un clavier

[@anniesmith6102]

les neurosciences auraient un role si elles etaient libres des conflits d'interets. Comme le President du CNRS, recevant des dotations de big pharma pendant que sa femme , ministre de la sante, rend les vaccins obligatoires. Monsieur et sa femme deviennent multimillionnaires pendant que les "chercheurs" trouvent ce qu'on leur demande de trouver tout en etouffant les vrais decouvertes.

[@madratz2682]

ça ce sont les arguments de quelqu'un qui ne connait rien au monde de la recherche.

[@theodupong]

Idées interessantes ! Mais admettons qu'une personne enseigne le domaine de la spiritualité, sur quelles connaissances scientifiques pourrions-nous nous pencher ? À chacun sa vérité. Dans ce cas, c'est l'art de transmettre nos propres vérités de par nos propres vérifications. Nous devons tous prendre du recul sur ce que nous apprenons. La science se trompe régulièrement dans la mesure où, par exemple, on n'admettait pas l'idée que nos gènes pouvaient être tout simplement modifiés (du à notre mode de vie). Aujourd'hui on nous prouve le contraire. D'autres exemples avec pleins de sujets. Néanmoins, on savait ce qu'était l'ADN, gènes, etc.... Conclusion, ce que nous enseigne les "praticiens" peuvent être à la fois des informations scientifiquements vrais et fausses. À nous d'aller plus loin de ce que nous pouvons apprendre par n'importe qui. 😉👌

[@lemanupointdeviou324]

Enfin bon.. la différence entre la méthode scientifique et l'introspection , c'est quand même que "la Science" se donne les moyens de se rendre compte quand qu'elle se trompe... Et en fait il me semble que ce que vous voulez présenter ici comme une raison de relativiser les connaissances scientifiques : "ça évolue donc des fois c'est vrai, des fois c'est faux"... C'est tout au contraire, précisément parce que la science évolue, que ça en fait la meilleure méthode collective qu'on a trouvé pour faire avancer la connaissance. Je me méfie beaucoup plus des domaines où on dirait que les savants "ne se trompent jamais", genre dans les domaines spirituels par exemple hum.. enfin ça dépend de ce que vous voulez dire par spirituel. Est-ce que des études sur les états de consciences altérées, méditation, transe etc ça vous irait ? Ou vous aviez autre chose en tête ?