Mercure, ses mystères et la mission BepiColombo par Lina Hadid

Mercure : une première mission européenne !
Mercure est la planète la plus proche de notre étoile et la moins massive de notre système solaire, elle a joué un rôle important dans l’histoire de l’Astronomie. Les premières informations scientifiques sur Mercure proviennent de la sonde Mariner 10 (NASA, 1974-1975) et de la mission MESSENGER (NASA, 2004-2015). Malgré les découvertes scientifiques faites par ces deux missions, Mercure est encore une planète mystérieuse puisque seulement 40 à 45% de sa surface est connue.
La mission BepiColombo (ESA et JAXA, 2018-2027), actuellement en route vers Mercure, est la première mission européenne dédiée à l’étude de cette planète et son environnement. Elle va permettre de résoudre certains mystères de Mercure, de savoir comment la planète s’est formée, sa géologie, sa composition, son atmosphère et d’analyser sa magnétosphère afin de mieux comprendre la formation et l’évolution des planètes internes, dont la Terre fait partie.
À propos de Lina Hadid
Chercheuse au Laboratoire de Physique des Plasmas au CNRS à l’École Polytechnique, Lina Hadid étudie les processus micro et macro-physiques dans les plasmas spatiaux. Elle a obtenu le prix Vincenzo Ferraro 2019, qui est attribué une fois par an à un jeune chercheur ayant réalisé une thèse et des travaux de recherches de premier plan et internationalement reconnus en physique des plasmas spatiaux. Par ailleurs, Lina a rejoint le Laboratoire de Physique des Plasmas en janvier 2020 après avoir été recrutée au concours CNRS 2019 (Section 17-Astrophysique). Actuellement, Lina est deputy PI de l’instrument MSA (spectromètre de masse ionique) à bord de la sonde Mio de BepiColombo.

[@ramsesastro5632]

Merci pour avoir mis à disposition cette conférence récente (en mai 2024 ). Les propos sont très clairs et les questions intéressantes. J'ai appris beaucoup sur cette planète dont on parle relativement peu.

[@JeremyCharillat]

en plus comme je l'ai toujours dit il faudrait faire pareil sur chaque missions qui iront autour des géantes gazeuses chaudes et froides mais pareil faudra un moteur ionique sur chaque sondes et même encore un ou deux systèmes de propulsions pour aller sur les lunes 🌙 qu'ont va étudier comme Europe, titan, Encelade, Ganymède, triton etc... Et pour l'étude des planètes naines des astéroïdes et des comètes pour ramener un maximum d'échantillons sur terre pour bosser dessus et les analyser en laboratoires et du coup pouvoir les reconnaître. (et moi qui suis autiste de type Asperger comme ses une de mes passions se serait le rêve de bosser dessus car en plus y'a pas grand monde dans les laboratoires et musées que ça intéresse vraiment de bosser que sur les météorites). Jérémy 🔭

[@JeremyCharillat]

Bonjour, se que je voulais dire ses déjà que avec des sondes comme les vikings pour mars ont pourrait reconnaître les météorites sur terre qui viennent de mercure, et que la grosse sonde qui pourrait elle descendre pour aller chercher dés échantillons qu'ont pourrait ramener de l'équateur de mercure grâce à la sonde principal qui grâce à ça vitesse contrôler à l'atterrissage pourrait s'enfoncer ou alors avec un compartiment ou par aspiration ont pourrait récupérer des roches et aussi quelques carottes et une fois attrapé ont referme le ou les compartiment et grâce à des rétrofusée la sonde repartirait directement sur terre car moi qui suis passionné de météorites et de verres d'impacts ont pourrait du coup savoir lequel sur terre sont de mercure Jérémy 🔭

[@JeremyCharillat]

Moi j'ai toujours pensé qu'il fallait mettre tout les système possible de propulsions en même temps sur une sonde donc du nucléaire, des panneaux photovoltaïques qui peut se replier sur eux même, un moteur ionique, etc... pour pouvoir changer de Cap sans forcément être obligé d'utiliser à chaque fois l'assistance gravitationnelle pour aller mettre un satellite en orbite d'une lune 🌙, d'une planète, d'une planète naine, d'un astéroïdes interstellaire, etc... Jérémy. 🔭 ☄️ 🌕 😊🪐