Un enfer pour moi aussi Megalopolis. Tellement d'accord avec toi ❤
@MatexdeАй бұрын
Je suis allé voir Megalopolis et j'ai trop kiffé, il ne faut pas l'aborder comme un film mais comme un trip figuratif. Pris comme ça, il fonctionne, très bien même. Mais je comprends parfaitement que 9 personnes sur 10 lui chient dessus. Je me suis même déjà préco le Blu-Ray.
@CrisSilvia-hk4ndАй бұрын
Wolfs une comédie inteligente avec des répliques subtiles et drôles une grande complicité entre les deux grands stars de cinéma Clooney et Brad Pitt. C’est un film pour des gens intelligents qui aiment les films avec des répliques et des mots Pas les films actuels avec bcp de bruit bcp d’effets spéciaux qui plaisent surtout à une génération qui sont accros au jeu vidéo et qui sortent jamais de leur chambre
@danysparta3656Ай бұрын
MOTHERLAND est le titre dune série au USA, MOTHERLAND FORT SALEM. Série de très sympa avec des sorcières
@CristianVancaillieАй бұрын
Megalo colossal flop aux States...!!!!!!! 😊
@joshaferreri3700Ай бұрын
Un vero piacere di vista notturna 😊
@irolexАй бұрын
salut Clapman je voulais te poser une petite question est-ce que tu as hâte de voir Joker folie à deux personnellement j’ai très hâte d’être à mercredi en ayant adoré le premier je pense que le 2 sera vraiment très bien en plus, c’est une comédie musicale et je trouve que c’est une super bonne idée
@orellemortАй бұрын
Salut clap, pourrais tu nous mettre les time code des différents film car c'est dur de trouver une critique en particulier et si on pense à ceux qui ne veulent pas se faire spoil ce serait pratique également
@CLAPMANАй бұрын
Salut ! Les Time code sont bien disponibles en description de vidéo :)
@orellemortАй бұрын
@@CLAPMAN autant pour moi, ne pas les voir afficher sur la barre de progression m'as perturbé
@pierresollier3Ай бұрын
Pour Megalopolis, il faut le vivre comme une expérience en soi. Si tu le regardes comme un film, tu vas très probablement détester. Personnellement j'ai trouvé le film bien et intéressant mais je comprends que beaucoup de monde ont détesté ce film. Résumé : Ambiance "The Batman" + Intrigue intellectuelle à la Nolan (Inception/Tenet) + un monde futuriste à New York inspiré de la Rome Antique
@hiddentreasure1Ай бұрын
L'album Harlequin de Lady Gaga est excellentissime mais c'est vrai que la bande-annonce de Joker: Folie à deux ne me donne pas du tout envie.
@jonaramireАй бұрын
Supers multi critiques
@baadpitt7112Ай бұрын
ca fumait effectivemment de la beuh sur le tournage de megalopolis
@danysparta3656Ай бұрын
Pour WOLF'S j'aime bien apprécié cette comédie et Jon Watts était pas si mauvais avant Marvel avec les sympa COP CAR et CLOWN.
@knightdanewithamАй бұрын
Topissime
@nemomarc7841Ай бұрын
Mother Land un NAVET , même la fin est mal réalisé. ☆ Juste pour le retour de Halle Berry
@jonathancuoq470Ай бұрын
Sur IMDb il on enlève la note mes joker 2 débute avec un 6.3 si c'est pour rassurer
@flo6176Ай бұрын
Mélancolie polissée. Bon, toutes les déceptions autour de ce nouveau film de Francis Ford Coppola étaient ultra prévisibles, et c'est normal - surtout en étant alimentées par une communication très maladroite : Des années de développement dans une autre décennie... une reprise au moment du passage aux années 2020, mais avec une logique économique qui nous donne un résultat visuel aussi anarchique que archaïque, coincé entre les années 80 et 2000 - ces images numériques dorées, floues, sans poids ni substance, très représentatives du début du siècle. Artificialité assumée. Effet poétique loin d'atteindre la qualité d'un Fellini. L'auteur a beau avoir été un des initiateurs du cinéma numérique, il n'a jamais pû en faire un outil au service de la narration comme des Spielberg, Zemeckis ou Cameron. D'autant que sa grande heure de gloire (déjà Mégalo), c'était à l'époque analogique, un temps vers lequel on ne peut pas revenir - sa succession étant déjà reprise depuis des années par sa fille Sofia. Puis : un casting qui fait son marché chez les valeurs sûres - Adam Driver, qui aime tant participer à des "causes perdues" (Star Wars, Jeff Nichols, Terry Gilliam, Ridley Scott, Michael Mann), et continue son étrange voyage dans la culture italienne... Chez les bonnes pâtes un peu cools - Giancarlo Esposito en daron strict, Nathalie Emmanuel et son magnifique visage, Aubrey Plaza dans son emploi habituel de poil à gratter, Laurence Fishburne en bonne conscience (pas très motivé)... Et chez ceux qui ne sont plus cools du tout, qu'on s'attend à retrouver un jour dans un énième opus polanskien indigent - les "Transformeristes" Shia LaBeouf et Jon Voight, Dustin Hoffman, presque en caricatures d'eux-mêmes... Et puis il y a la famille, qui ne fait que passer sauf Bailey Ives, duplicata de tonton Nic Cage (quand ça n'est pas Driver lui-même qui l'imite). Déjà tout ça, c'est du lourd, voir même du portnawak. D'autant que le Francis a déjà eu le défaut de vouloir courir plusieurs lièvres à la fois dans ses histoires, et laisse ici ses acteurs improviser au détriment du script... Certes, aujourd'hui il n'est pas le seul à faire ça. Mais il existe quand-même des cinéastes (et des producteurs) qui ont appris comment faire pour structurer une mosaïque d'idées hétérogènes, et nous donner un Tout suffisamment cohérent. Même chez Marvel, que Coppola ne se prive pas de continuellement critiquer alors que... Ce "Megalopolis" Est (aussi) un film de super-héros : Un personnage principal moralisateur, avec un trauma intime, qui a un super-pouvoir - celui d'arrêter le Temps..? Il le perd quand il est en crise de foi puis le retrouve (comme dans les deuxièmes "Superman" et "Spider-Man") - le Temps, une continuation de thématiques scénaristiques qui intéresse Coppola dans plusieurs de ses films, à travers l'hérédité, les traumatismes et regrets passés, l'immortalité (et l'inverse), les promesses de l'avenir et même les mondes hors du temps. Le cinéaste ne fait néanmoins pas grand chose de cette super capacité, qui aurait pu passer pour un état d'esprit ou un effet onirique si ça ne représentait pas aussi un lien entre deux amoureux (est-ce l'élément scientifique Megalon qui lui a donné cette capacité ? pourquoi Julia arrive à le percevoir et pas d'autres ?). Également du super-héros à la Iron Man (un inventeur addict et arrogant), avec une part de monstruosité physique à un moment donné, hélas vite expédiée... Mais qui remplace les coups de poing par des joutes verbales - et des visions architecturales, souvent très belles (les statues mouvantes, les ombres portées des victimes de catastrophe)... commençant le film là où "Le Rebelle" de King Vidor finissait, en haut d'une projection phallique, pour aller ensuite dans une direction moins auto-centrée. Autre référence claire, le rapport des justiciers avec la grande ville, dont on peut dessiner une trajectoire allant des anciens Empires jusqu'aux cités modernes, la métaphore de Rome n'étant d'ailleurs pas du tout originale - et celle de sa Chute n'étant même pas l'objectif de Coppola, puisque c'est la recherche d'une Utopie qu'il vise. Dans un film qui enchaîne les hommages au Cinéma, notamment muet, impossible de ne pas penser à la paronyme "Metropolis" de Fritz Lang, déjà une fable optimiste et enfantine, plaidant pour l'union entre les opposés. Et dont le nom inspirera évidemment la ville d'adoption de Superman, père de tous les super-héros. Qu'on soit à Manhattan ou dans d'autres dystopies monstrueuses à la Gotham ou "Dark City", tout y est question de verticalité écrasante ou bien aérienne - ça dépend du point de vue où on se place. Donc de lutte des classes, de la possibilité de s'élever, de labyrinthe de rues et bien sûr de la peur de leur destruction. Intéressante uchronie créée à partir d'une Rome antique dont la culture n'aurait pas disparu, jusqu'à citer directement la conjuration de Catilina... Et en même temps la façon dont Coppola y représente les jeunes de banlieue n'a pas bien changé depuis le Batman de 1989. Pareil, faire un pastiche de Britney Spears via une jeune prêtresse vierge, ça apparaît comme assez daté (le puritanisme américain a eu le temps d'en prendre un coup). Un peu moins pour Shia LaBeouf, en simili John Galliano pourri gâté. Dur aussi de ne pas penser à "Hunger Games", son Pain et ses Jeux, dont l'ambiance survivaliste et révolutionnaire avait plus de nerfs en comparaison. Bref on a donc une œuvre en trois parties, plutôt Film Noir dans la première (la musique de Osvaldo Golijov est elle aussi joliment Rétro), Romantique dans la deuxième et Synthèse (forcément ennuyeuse) dans la troisième où il n'y aura même pas à combattre le populisme et l'avidité... ils finissent presque par se détruire d'eux-mêmes. Épopée manichéenne bien peu expérimentale, plus théâtrale et sentimentale, où Coppola (maintenant veuf) se projette à la fois dans les deux antagonistes principaux, comme s'il voulait réconcilier aussi bien les générations que les époques... Le seul avantage de ce film peu structuré, protéiforme, aux acteurs peu dirigés, c'est qu'il est à contre-courant du cynisme ambiant. Ou bien d'une stylisation carrée à la Fincher ou Nolan, autres bâtisseurs d'architectures complexes, mais incapables de faire muter leur cinéma. Et en étant aussi brut, sans filtre (après tout, quand on s'appelle Francis) et sans la présence de producteurs contradicteurs, "Megalopolis" devrait faire tomber les illusions des spectateurs attachés à la notion d'Auteur tout puissant - et de Légende. Quand le plaisir de tourner et l'illustratif comptent plus que la précision et la puissance du Sens, c'est peut-être tout simplement de l'Art naïf. Modestopolis finalement ?
@annedubouch1137Ай бұрын
Megalopolis est un film tout à fait prétentieux. Le réalisateur glisse des citations tout le long du film et une narration en voix off alors qu'il n'y a rien à raconter, si ce n'est l'histoire de Wow Platinum et de la chanteuse qui prétendait être vierge, les deux seules vraiment intéressantes de mon point de vue. Ce que j'attendais était la critique de l'attitude idéaliste de César, qui n'est jamais remise en question, et c'est ce qui fait qu'on s'ennuie devant ce film parce que tout le potentiel pour réaliser un film qui aurait explosé se trouvait dans là-dedans. Plus personne ne peut nier le fait que les gens abandonne progressivement les idées de gauche parce que des réalités telle que la question de la gestion de la politique migratoire ou du poids de la dette publique deviennent de plus en plus concrètes. Et pour moi, ce film a clairement été tourné pour participer à la campagne anti Trump. C'est tellement dommage, parce que tu as l'impression de ne pas partir dans une vraie exploration des couches de la société. Le peuple n'est vu que de loin, lors de manifestations ou d'émeutes, et le maire est un réac en carton. Et pour clore ce commentaire, quoi de mieux que de se référer aux toutes dernières paroles de César, personnage présenté comme vertueux ? Ce sont des paroles assez flippantes, je vous préviens :"Il y a encore tant de choses à accomplir" Est-ce que ce ne serait pas ce que dirait un dictateur une fois qu'il serait arrivé à la tête d'une nation ?