Musique I.A. : Nurgle, la Litanie des Supplices

Nurgle est une des quatre divinités majeures du Chaos. Il est nommé le Grand Seigneur de la Pourriture, et représente la morbidité, la maladie et la corruption physique. Des quatre dieux, on dit qu'il est celui le plus responsable de la détresse humaine. Ceux affligés par ses contagions se tournent souvent vers lui pour échapper à leurs souffrances.
Coécrit avec ChatGPT et mis en musique par Suno.
Paroles:
Le corps plie sous le poids des fièvres,
Les nerfs hurlent sous les chaînes de l’éther.
Mais dans chaque spasme, une douce caresse,
Chaque cri devient un chant d’allégresse.
Les chairs se fendent, mais l’âme danse,
Un ballet de plaies, une étrange transe.
Grand-père tend les bras, pleins de pustules,
Et dans ses baisers, la douleur est une bulle.
Oh, Nurgle, tes fléaux sont des présents,
Chaque souffrance un pas vers le ravissement.
Dans tes maux, nous trouvons la lumière,
La joie suinte de nos corps en poussière.
Les chairs pourrissent, mais le cœur s’élève,
Chaque plaie ouverte révèle un rêve.
Dans la fange noire, un éclat doré,
La douleur nous guide vers l’éternité.
Les mouches rient, portées par le vent,
Leurs ailes d’ombre sont un doux tourment.
Grand-père sourit, son amour déborde,
Même dans la mort, il accorde ses cordes.
Oh, Nurgle, tes fléaux sont des présents,
Chaque souffrance un pas vers le ravissement.
Dans tes maux, nous trouvons la lumière,
La joie suinte de nos corps en poussière.
"Plie le genou, enfant de l’agonie,
Abandonne tes peurs, offre ta vie.
Dans mes bras, trouve un amour suintant,
Une étreinte qui transforme le sang."
"Chantez, mes enfants, dans la pestilence,
Trouvez l’extase dans la décadence.
Chaque fléau est une mélodie,
Chaque souffle un pas vers l'infini."
Oh, Nurgle, Père des bénédictions pourries,
Ton rire doux efface nos envies.
Dans la douleur, nous sommes enfin complets,
Dans la mort, ton amour pour nous est parfait.
Le râle s'éteint, mais le cœur exulte,
Dans l’étreinte pestilentielle, tout bascule.
Grand-père nous sourit dans son jardin,
Et dans sa pourriture, nous trouvons la fin.