Nature=Futur ! Un béton à base d'huîtres

[@wiwigt3617]

Super reportage !

[@IntouchableBrain]

Ok..combien d'huître pour une maison ? Quel prix pour la nature? Voilà le genre de projet qui n'es bon qu'à dépenser de l'argent bêtement et/ou ne profiteras qu'à des bourgeois capable se payer " la maison du futur"

[@naturefuturlachainedelabio4375]

Bonjour, comme vous pouvez le voir et le comprendre dans le film, ce béton à base de déchets d'huîtres est envisagé dans des zones côtières où l'on peut récupérer des coquilles d'huitres du fait de la culture des huîtres. On utilise donc un déchet comme matière première en remplacement de sable et de gravier, ce qui peut réduire le coût de ce béton novateur. Ce "genre de projet" comme vous le dites est porté par des scientifiques, des collectivités locales, des entrepreneurs conscients qu'une innovation durable qui répond à des besoins vitaux (construire, se loger) ne peut être conçue et envisagée que pour plus de justice sociale et donc pour profiter au plus grand nombre, c'est-à-dire à terme à vous-même !!!

[@IntouchableBrain]

@@naturefuturlachainedelabio4375 naïf , jamais les pauvre ne profiterons des avancées.on ne doit sûrement pas vivre dans le même monde.

[@naturefuturlachainedelabio4375]

@@IntouchableBrain Bonjour, vous posez une bonne question : "Est-ce que des progrès scientifiques et sociétaux à des fins durables profitent réellement aux plus démunis ? " Et vous êtes déjà convaincu (les autres seraient "naïfs") de la réponse. Vous êtes catégorique et vous employez le mot "jamais" et, pire, vous vous excluez de vous-même "du monde des autres". Je vous invite donc, et j'espère que vous le ferez, à échanger et dialoguer avec les chercheurs et les entrepreneurs qui travaillent, au contraire, pour favoriser une science et des innovations au service du plus grand nombre et de générations actuelles ou futures. Ne pas le faire serait bien la preuve que l'absence de dialogue et de compréhension est le premier obstacle à toute avancée positive.

[@renoraines4550]

Quels sont les volumes de matériaux qu'offrirait cette filière? Une goute de nacre dans un océan de sable? Un lac de nacre dans une mer de sable? Tant que l'on se cantonne à utiliser des déchets locaux, l'intention semble louable. Mais c'est compliqué de développer des filières économiquement compétitive avec de petits volumes. L'un des risques serait aussi d'élever des huitres principalement pour palier aux pénuries de sable. Et de voir donc une armé de start-upeur développer des "business modèle" autour de cette stratégie avec tout les problèmes que sont industrialisation engendrerait. (Destruction des écosystèmes et utilisation massive d'énergie carbonée) Heureusement la baisse de nos capacités à oxyder des atomes de carbone viendra contrarier ceux qui se voit déjà faire pousser des bivalves dans des pays à main d'oeuvre bon marché, pour construire les hypothétiques villes "fortunées" du futurs qui auront encore un peu accès aux énergies carbonées.

[@naturefuturlachainedelabio4375]

Vous avez raison : les filières envisagées sont totalement locales dans des régions où les déchets d'huîtres sont disponibles et abondants. Soit à Tahiti avec les coquilles d'huîtres perlières où un scientifique, en collaboration avec le syndicat de conchyliculture et les collectivités locales, développe une entreprise de fabrication de béton pour qu'il soit utilisé principalement pour réaliser des quais et des pontons.