HONNÊTEMENT, tu as réglé mon problème d'insomnie tout en m'instruisant !
@_Zilba2 ай бұрын
Ah toi aussi 😂
@MochoCoLaTo9112 ай бұрын
@@_Zilba grave sérieusement cette chère voix philosophique est très réconfortante, je n'arrive pas à me l'expliquer lol
@solangejuget21532 ай бұрын
😂
@genevievepepin5650Ай бұрын
Ah ah oui!!!! Tout comme la voix du Précepteur 😍
@LG-pj8ngАй бұрын
Et comment ? 😂
@franckfmy18952 ай бұрын
Une voix très agréablement parlante , une belle synthèse pour ce sujet très complexe Merci
@lu1398Ай бұрын
Meilleur résumé de Nietzsche sur YT.
@DenisAROUET2 ай бұрын
1:49: "... cette recherche de vérité cachée est souvent une manière d'échapper à la réalité de la vie telle qu'elle est". "SOUVENT": sans doute; mais pas TOUJOURS. Nietzsche, pourtant, était on ne peut mieux placé pour savoir qu'une de ces exceptions est la pensée de Schopenhauer (cf. 4:12), qui affirme la "Volonté" comme essence profonde et cachée du monde, la "chose en soi", en somme, que Kant avait déclarée inconnaissable, ce que Schopenhauer a reconnu, mais en ajoutant qu'à défaut de la comprendre (et pour cause, elle est selon lui irrationnelle et "absurde"), nous pouvons du moins l'identifier, par l'expérience de notre propre corps; et, ce qui me paraît essentiel en l'occurrence, c'est que Schopenhauer, loin d'occulter, de masquer le caractère horrible de la souffrance qui accable plus ou moins tous les êtres vivants, jusqu'à leur mort, et cela sans but ni signification, le souligne au contraire, en portant un jugement de condamnation sans appel, ce que Nietzsche lui a d'ailleurs reproché, très injustement selon moi, en l'accusant lui aussi de nihilisme et en faisant remarquer qu'au lieu de décréter que la vie n'a aucun sens, il fallait lui en trouver un; ce qui revient en fait à donner justement, un autre...sens (sans jeu de mots) au terme en question ("signification" # "objectif"); non content de cela, Nietzsche a aussi du même coup détourné, pour ne pas dire falsifié, le sens d'un autre concept fondamental de Schopenhauer: celui de "Volonté": car là où Schopenhauer pointait une dimension métaphysique universelle, Nietzsche a ramené ce concept de "volonté" à un plat niveau empirique et individuel: par une régression de la métaphysique vers la trivialité d'une psychologie d'"accomplissement de soi", y compris en faisant appel à une "force" visant un idéal de "surhomme", la bonne blague!), s'affirmant au besoin au détriment des plus "faibles"; de sorte que sans aller jusqu'à voir en Nietzsche un précurseur des trop fameux "coaches en développement personnel", il me semble permis d'être atterré par une telle chute, un tel effondrement spectaculaire du niveau de la pensée... 3:00...: la réponse de Silène me rappelle furieusement celle du Choeur à une question d'oedipe dans "Oedipe à Colone" de Sophocle? 11:19: jusqu'ici en tout cas, l'analyse de Nietzsche paraît d'une justesse et d'un précision implacables; mais voyons à présent la manière dont Nietzsche a essayé de "surmonter" ce nihilisme dont il a si bien exposé les causes profondes... 11:53: l'impossibilité (bien réelle) de comprendre le monde devrait selon Nietzsche nous amener à, je cite: " ... EMBRASSER la vie avec toutes ses contradictions et ses souffrances..." 12:03: " Nietzsche encourageait les individus à devenir des "affirmateurs de la vie" (donc à se convertir au masochisme, quitte à être un brin provocateur en traduisant cela en ces termes?), c'est-à-dire à TROUVER de la valeur et du sens dans la vie..." ( à "trouver"?... ne serait-ce pas plus précisément "à inventer", en abandonnant juste une "religion" pour une autre, tout aussi mensongère et illusoire, à la seule différence qu'elle serait "bricolée" individuellement au lieu de résulter de "valeurs" héritées d'une tradition collective?) 12:38: " Je VEUX apprendre de plus en plus à voir comme beau ce qui est nécessaire dans les choses (...) je ne veux pas faire la guerre à ce qui est laid..."; wow! c'est beau en effet, "beau comme l'antique", comme le vieux stoïcisme romain qui en gros, si je me souviens bien, recommandait de vouloir CE QUI EST et non ce qu'on souhaite; ou je me trompe beaucoup, ou l'"amor fati" de Nietzsche se résume juste à une resucée de ces belles paroles de Sénèque ou/et d'Epictète:, belles autant que faites de mots seulement, telles des bulles de savon, et en aucun cas de réalisation possible autrement que par une résignation pure et simple. Le fait de subir plutôt que de conquérir et d'obtenir se trouvant ici promu au rang d'idéal: le fait, disons-le, d'une soumission servile au destin simplement parce qu'il est invincible et non par choix véritable, car un choix n'a de sens possible que s'il correspond à une volonté LIBRE, personnelle, et non à courber la tête en disant: "oui, frappez moi, flèches, je suis content, je le veux, ce qui ne me tue pas me rendant plus fort" (tu parles!). Comment ne pas rapprocher ce genre de sagesse de celle du renard de La Fontaine dans '" le renard et les raisins"?... La différence toutefois, c'est que La Fontaine, lui, n'est pas dupe des belles raisons par lesquelles le renard justifie son renoncement à ce qu'il ne peut atteindre, et on le devine sourire en coin... Il est vrai que Spinoza lui-même, ce géant de la pensée, quand il a voulu affirmer l'existence d'une liberté, n'a guère trouvé mieux que les stoïciens dans le passé et que Nietzsche dans son futur, en somme... 12:57: "Nietzsche, penseur religieux plutôt que simplement séculier...": mais, absolument!!... Merci pour cette remarque, " Voix philosophiques", d'autant qu'on entend rarement ce genre de choses au sujet de ce chantre d'un idéal de "surhomme"... surpuissant...! Dont la plupart des critiques, par ailleurs, vantent la beauté "poétique" du style, alors que perso j'avoue le trouver un des plus insupportables qui soient, tant il sombre souvent dans un pseudo-lyrisme de pacotille amphigourique et sentencieux de grand pontife autoproclamé, notamment dans son "Zarathoustra" qui me tombe des mains à chaque fois que, sans doute masochiste moi aussi contrairement à mes habitudes, je retente un effort pour le lire une bonne fois, juste par "acquit de conscience"... En vain: que maudit à jamais soit ce satané phraseur et poseur! 13:14: mais voilà qu'est mentionné son trop fameux "Zarathoustra": il était question de "valeurs": les valeurs dites "morales" n'existent pas, seules existent des conventions humaines pour rendre la vie en société à peu près possible sans que les gens passent leur temps à s'entretuer mutuellement, ce qui ne correspondrait que trop à leur nature profonde, comme Hobbes l'avait bien vu. Puis: une "quête spirituelle" (!!!): késako? en dehors des rares cas d'un amour partagé durable, chose rare mais qui en effet peut exister, je ne connais rien de tel.... 13:38: "un style poétique et prophétique rappelant le Nouveau Testament"... en effet; je ne sais pas trop si Nietzsche aurait apprécié ce genre de compliment, mais je trouve que vous n'avez que trop raison... Pour ce qui est de la "vérité", je préfère encore chercher un peu du côté de l'Ancien: dans "l'Ecclésiaste", par exemple... Pour l'élégance du style, retour à Schopenhauer, indépassable en cela aussi, parmi les philosophes; Et pour la poésie, je préfère de très loin le Rimbaud des "Illuminations", et aussi Laforgue, dans un tout autre genre, à tous les Nietzsche, Claudel, Péguy et autres sermonneurs et vaticineurs du monde réunis... J'écouterai la fin de la vidéo, parce que je le trouve très agréable et instructive en tant que bon compte rendu et explication claire, limpide même, de la pensée de Nietzsche, mais sans plus ajouter de commentaire; conscient que ceci est déjà inadmissiblement prolixe. Mais encore merci!
@pierred.62872 ай бұрын
Ce n'est pas mal, pas mal du tout. Mais j'apprécie quand même Nietzche pour son plaidoyer pour la vie et Schopenhauer pour l'idée d'une réalité sous-jacente (qu'il appelle volonté) au monde.
@DenisAROUET2 ай бұрын
@@pierred.6287 juste ceci, et please, ne pensez pas que c'est par pur esprit de contradiction que je dis cela: - Nietzsche, un plaidoyer pour la vie? oui, je crois qu'on peut dire cela. MAIS: connaissez-vous beaucoup de gens qui on besoin d'une sorte de prof pour leur enseigner le désir de vivre, et ce le pleinement possible? et pour ce qui est des gens faibles, sans ou avec peu de volonté, neurasthéniques, dépressifs, dépourvus ou presque d'appétit de vivre, etc. etc., soit ils pourront chercher de l'aide auprès d'un médecin (ou de quelqu'un qui les aime, ce qui est le mieux), soit, malheureusement, ils filent un mauvais coton comme on dit, et ce c'est pas le fait de lire ou pas du Nietzsche qui les aidera; il me semble de façon plus générale que l'art de vivre, ça s'apprend sur le terrain: en vivant, justement, et pas dans les livres, en lisant des philosophes ou des faiseurs de sermons. - Schopenhauer: sa doctrine n'est pas certaine, simplement parce que la métaphysique ne peut fournir aucune certitude (autrement ça se saurait depuis le temps où on a commencé à en faire, je crois?); par contre, il est sans doute possible d'affirmer que de toutes les doctrines proposées à ce jour, même en faisant abstraction des enfantillages religieux, c'est la plus crédible et vraisemblable.
@pierred.62872 ай бұрын
@@DenisAROUET Il est clair qu'on n'a pas attendu après Nietzche pour apprendre à vivre. Comme dit le précepte: "Primum vivere, deinde philosophari." Il est aussi très probable que le monde ait une réalité sous-jacente, donc inaccessible pour nous puisqu'on ne peut l'observer de l'extérieur comme si on n'en faisait pas partie. La conscience elle-même constitue notre propre limite. Même certains scientifiques ont compris cela. Et ça n'a strictement rien à voir avec l'hypothèse d'un dieu créateur.
@Dylonely422 ай бұрын
Je suis d’accord avec vous sur plusieurs points, sauf sur l’ecclésiastique : elle ne vaut certainement pas mieux que la doctrine de Nietzsche. En nous invitons à apprivoiser la douleur, ce dernier ne souhaite pas simplement nous faire souffrir car il devient occurrent, mais parce qu’il est nécessaire. C’est d’une certaine manière utiliser cette souffrance pour arriver à se transcender, même si je suis bien conscients que vivre sans pitié et peur semble impossible.
@DenisAROUET2 ай бұрын
@@Dylonely42 en effet; soit dit au passage, c'est bien sûr à l'ECCLESIASTE que je faisais allusion...
@raitube897627 күн бұрын
Merci ❤
@alicat81512 ай бұрын
merci ❤
@alberteinstein39452 ай бұрын
Merci 🙏🏽
@esteemokoro49262 ай бұрын
Continue... Tu apportes beaucoup à l'univers de nos pensées 🙏
@ericsbricks6199Ай бұрын
Bonjour, j'aime beaucoup votre travail principalement sur Nietzche et j'aimerai communiquer avec vous... Es possible ?
@maitreobiwan52382 ай бұрын
Merci
@baruch80802 ай бұрын
❤
@Meganmegan-ch9stАй бұрын
Hello Merci. S'il-vous-plaît, pouvez-vous augmenter le volume, à l'avenir.
@BbbbpDK9912 ай бұрын
Mais en fait, il y'a en effet quelques pratiques spirituelles qui permettent de vivre sans souffrance ou du moins de la minimiser. Cependant, cette paix se gagne par une lutte contre soi même. Contre ses pulsions, jusqu'à une parfaite maîtrise de soi. Rappelons nous que Nietzsche était fréquemment malade.
@rayanr6312 ай бұрын
Tes podcast sont disponible sur Spotify?
@unsans-dents37072 ай бұрын
Très intéressant mais la musique de fond n'est pas nécessaire.
@djfederik2 ай бұрын
La "souffrance" est une interprétation émotionnelle complexe qui doit être transformée
@isidorearthur91432 ай бұрын
⚜⚜⚜
@Bee-Gee2 ай бұрын
La mort n'est rien, je l'attend sereinement.... mais la souffrance .... pour moi qui ignore tout de la philosophie je suis en plein accord avec Nietzsche . Après cela qu'appelle t'il "volonté cosmique" ? ne serait ce pas aussi une sorte de dieu ? Cet univers est tellement étrange qu'on ne saura jamais le pourquoi il est ainsi, nul n'a la réponse, la science explique comment il fonctionne et c'est déjà très fort.
@JoyJoyce-jw3cc2 ай бұрын
L'être humain dans la pensée , posez-vous d'abord cette question : qui est cette animal qui meurt avec un musée de connaissance comme un être humain ? Pour que vous le comparez à un animal intelligent ? Ne serez-vous cette incohérence que le départ à la poussière d'un être humain est une perte pour l'univers sujet même d'une déroute actuellement observée ? Les philosophes avait bien leurs bonne raison dans leur révolution ,c'était le temps qui avait fait défaut , pour encore dire ils étaient leurs pensées en précipitation ,or une situation demande pas mal de temps ... Ce pourquoi de ma part l'être humain se suffit avec la chaleur de la fumée dans sa froideur en ignorant que c'est le feu qui en est le promoteur et qu'il faut se saisir ,
@MariefranceTeolis2 ай бұрын
Il voulait nous faire comprendre que la religion était devenue une idéologie
@Dylonely422 ай бұрын
19:20 Je suis un peu déçu… il en revient à la même philosophie du stoïcisme et de Spinoza. Il termine par se résoudre à admettre qu’il faut embrasser la vie dans tous ces aspects, positifs et satisfaisants comme infâmes et injustes. Or, nous ne pouvons pas rester indifférents à l’horreur et l’injustice si nous sommes raisonnables. Pourquoi s’abstenir à les énumérer ; les catastrophes naturelles, les inconvénients biologiques, les troubles mentaux, et notre propre conscience qui nous exhorte inéluctablement à nous interroger sur notre existence en dépit de notre bien-être émotionnel… tout ça entre autres. 25:40 Si seulement cela pouvait s’avérer être aussi simple… Les trois dernières phrases énoncés dans la vidéo (25:55) sont des plus pertinentes et de quoi conclure admirablement ce discours. Les inégalités profondes sont inhérentes aux expériences humaines, ainsi qu’à la condition humaine elle-même. Ce que nous propose ces philosophes, c’est qu’il faut tout accepter dans la vie et que ces événements ne sont uniquement malheureux et déplorables si nous les considérons ainsi. La doctrine de Nietzsche pourrait être s’instaurer comme l’idéal dans un monde où univers à travers lequel la détresse physique et mentale n’a pas une place aussi importante. Dans notre réalité, nous ne sommes pas simplement confrontés à l’absurdité, mais également et particulièrement par l’existence et l’occurrence de l’abomination et la cruauté. En somme, notre conscience humaine nous a voué à l’accablement chronique, puisque cette faculté nous permet de raisonner sur une vie dont le sens intrinsèque nous dépasse largement, et que nous devrions simplement subir la vie dans plusieurs de ses aspects, sans s’y soumettre inconditionnellement, mais en s’y résignant d’une certaine manière. L’Homme n’est qu’un esclave de la vie qui ignore son véritable et maître et pense être libre par la raison, principe qu’il a lui même défini. Tout cela est trop abstrait, trop élaboré, et bien trop affligeant, mais c’est ainsi. La vie dans son fardeau, ou la mort dans sa simplicité et sa vraisemblable purgation. Chacun peut toujours se faire son avis, mais je ne vois pas comment on pourrait me contredire là-dessus. À vos pensées !
@enjolras2790Ай бұрын
Yo, La conclusion de la vidéo sur laquelle tu appuies ton discours est fallacieuse. L'amor Fati, ou acquiescement à la vie (qui fait corps avec l'idée de l'éternel retour), n'est en rien synonyme de résignation, ni la lubie d'une existence bourgeoise et paresseuse, aveugle à la cruauté du monde. Un seul exemple: les athlètes paralympiques. C'est parce qu'ils ont accepté leur état qu'ils ont pu le transformer en une force. S'ils avaient passé leur temps à ressasser celui où ils n'étaient pas handicapés, ou bien à imaginer un monde où ils ne le seraient pas, jamais ils n'auraient pu créer ces nouvelles possibilités de vie qui à nos yeux semblent si incroyables . L'amor Fati est la condition de possibilité de toute création.
@alicat81512 ай бұрын
🤦♂️ c koi l essence de cette volonté absurde qu on a pu percevoir par notre raison qu on peut pas expliquer pourquoi ?
@verite-rd8ko2 ай бұрын
l histoire de la religion notament la bible dit que l homme a choisis l arbre de la connaisance au lieux de l arbre de la vie??? :: donc l homme continue avec ces decouvertes a soulager les soufranceS :mais n arrive pas a a arrete la soufrance est finalement la decheance du corps et vas vers sa mort programme par sont premier choix de s avoir cru plus fort que dieu : verite