REPORTAGE - PHARMACIEN D'OFFICINE - Episode 7

Le Tutorat Angevin PASS LAS (2ATP) vous amène en immersion à la découverte des professionnels de la santé !
Aujourd'hui nous allons suivre le Julien qui est pharmacien d'officine, il nous montrera son quotidien et répondra à nos questions sur son métier.
Nous tenions à remercier la faculté de santé d'Angers et le CHU d'Angers pour le soutient apporté à cette série de reportages.

[@SandroDeveno]

Ce genre d’entretien et le discours de ce pharmacien m’aurait bien plus convaincu de choisir la filière officine que mes stages effectués en pharmacie à l'époque… Trop tard pour moi mais bravo à lui et à vous pour votre initiative

[@michelemercie5676]

C est un travail intéressant et varie !

[@michelemercie5676]

Tres interessant !

[@lyndabnb7360]

Une vidéo très enrichissante. Question : est ce difficile d'ouvrir sa propre pharmacie en étant un étudiant étranger ?

[@marwanerezgui156]

Petite question combien en moyenne un pharmacien traite d'ordonnance par jour ?

[@husseinzakareya3870]

une vingtaine je dirais

[@arthurpelo2252]

une centaine

[@theoblige3959]

150 patients par jour pour les pharmacies de centres commerciaux qui tourne 60 patients par jour pour une pharmacie de quartier plutôt de taille moyenne

[@Cc-no7tv]

Bonjour, un pharmacien adjoint peut il refuser d’effectuer des heures supplémentaires ? Merci

[@verorove9419]

Oui

[@undefinedfr-fr]

Red flag à 3:06. :/

[@YouAreYou.]

trop

[@Speefiix]

ça paraît compliquer car on sait que ces médicaments ne sont pas efficaces mais souvent le mode de vie associé à la prise de l'homéo est assez bon, donc tout n'est pas vraiment a jeté d'autant plus avec l'effet placebo

[@polpol4194]

Pour traiter différentes pathologies en pharmacie on a ce qu’on appelle un « arsenal thérapeutique » Certains patients ont des préférences quant au type de médicament souhaité (naturel, le plus efficace ou même homéopathique) Le but n’est pas forcément de toujours donner un médicament le plus efficace possible mais le plus adapté au patient. Un exemple un patient qui a une douleur dentaire, en allopathie on lui donnera du paracetamol (si pas de contre indication) mais bien des fois on lui donne de l’huile essentiel de clou de girofle qui est un anesthésique local TRÈS puissant pour faire passer la douleur ( en attendant de consulter un dentiste) Et pour rappel la plus part des médicaments allopathiques (de synthèse) sont souvent dérivé de produit naturel ( plante, ecorce, champignon etc) 😉

[@undefinedfr-fr]

@@polpol4194 Il faut je pense rappeler que le terme « allopathie » n'appartient pas champ lexical de la médecine. Comme sa forme l'indique : le suffixe -pathie servant en médecine à qualifier les maladies (pneumopathie, neuropathie, etc.) et non des méthodes thérapeutiques. C'est un terme à la base d'homéopathie, et qui n'a rien à voir avec la notion de synthèse puisqu'elle désigne l'« ancienne médecine », « criminelle et inexcusable », en gros celle du malade imaginaire, avec ses saignées et purges. C'est aujourd'hui un terme de marketing au services des pseudo-médecine. Mais notons que ce problème, l'usage d'une novlangue pour berner le chaland était déjà dénoncée au 18ème siècle. Il est bien dommage qu'au 21ème, on trouve toujours des professionnels de santé pour se faire avoir.

[@polpol4194]

@@undefinedfr-fr il me semble que tu confonds 2 choses complètement différentes : Allopathie : ce sont les médicaments que tu connais le plus, ceux qui « combat les symptômes » comme les Bbloquants les statines les neuroleptiques et même les poches de chimiothérapies ! Et après on a l’homéopathie ( ce que tu décris) donc à savoir soigner le mal par le mal, ça on ne va pas se mentir chacun a le droit d’avoir un avis là dessus Ce n’est pas l’ancienne médecine loin de là ni la nouvelle médecine ce sont deux deux familles de médicaments Et pour ta gouverne les saignées et les sangsues sont encore utilisées en CHU et appartiennent à l’allopathie