Et rebelote..., Bon, par contre, les "vigiles 24h sur 24" ont dû prendre une sacrée pause café pour pas voir se monter les baraquements. Si c'est pas évacué très vite ça va pousser comme des champignons.
@renefargues26343 жыл бұрын
La sncf va pouvoir se faire rembourser les prestations de l'entreprise de surveillance.... 😉
@petiteceintureparis21053 жыл бұрын
Ce Dimanche 26 Décembre, les baraques ont été détruites et la secteur grillagé au niveau de la plateforme sur les rails des deux côtés du campement, barbelés côté nord vers la Porte de Clignancourt. Les familles sont elles parties avant ou ont elles été accompagnées et abritées en ces jours de Noël ?
@soso_50053 жыл бұрын
Bonsoir et t,il l'égale de faire un graffiti à la petit ceinture ? Merci d'avance
@petiteceintureparis21053 жыл бұрын
Voilà la réaction sur Facebook de Gilles Menede, Adjoint au Maire du 18e chargé des espaces verts et affaires funéraires, de la nature en ville, de la végétalisation de l’espace public, le 17 décembre 2021 : "Bonjour, Nous avons été prévenus mercredi midi de cette intrusion et installation sur la PC. L'ensemble des services concernés a été informé (Police Nationale, Police Municipale et DEVE de la Ville de Paris). Des contacts ont été établi avec les personnes présentes sur la PC18. Ces personnes ont décliné l'offre d'hébergement proposé par la Ville. Une solution de mise à l'abri doit être trouvée dans les meilleurs délais, l'ensemble des services concernés y travaillent. La présence d'un agent de sécurité 7/7 et 24/24 de la SNCF sera bien sur toujours assurée. Afin de ne pas avoir de nouveau une occupation de la PC18, la réparation très rapide des clôtures doit être envisagée dans les meilleurs délais."
@petiteceintureparis21053 жыл бұрын
Et la réponse de Petite Ceinture Paris : Nous sommes heureux d’apprendre que la ville et ses services ont été prévenus et informés, d’autant que le dernier Conseil de Paris de Décembre 2021 vient de voter la convention de superposition d’affectation (2021 DU 150 DEVE) qui permettra des « aménagements pérennes avec de nouveaux accès et la mise en place d’un cheminement sur la plateforme », et donc « des travaux de sécurisation du périmètre » avec « la mise en sécurité du site » et même « la mise en place de vidéo-surveillance ». Le tout à la charge de la ville de Paris. Donc les vigiles et la sécurité seront bientôt à la charge de la ville de Paris : on se demande si les délais d’intervention vont s’allonger augmentant en conséquence les coût d’expulsion, de réparation et de nettoyage. La SNCF avait dépensé, à l’hiver 2017-2018, des centaines de milliers d’euros de nettoyage et paye tous les ans plusieurs centaines de milliers d’euros en gardiennage annuel. Mais cela risque de prendre du temps car pour expulser les habitants des nouvelles baraques, il faudra une décision judiciaire comme en novembre 2017 ... Cette section de la Petite Ceinture située entre la Porte des Poissonniers et la Porte de Clignancourt appartient toujours à la SNCF et va très bientôt être géré par la ville de Paris pour y faire une promenade et y installer une ferme urbaine. Des projets qui risquent d’être compromis ou sacrément reportés par ce nouveau campement, son évacuation et les gros travaux de sécurisation. Peut-être attendrons nous longtemps avant que le projet de « Jardin des Traverses » ne soit une vraie réalité. Mais nous pouvons découvrir le projet, les plantes et fleurs qui y prospèrent dans ce film réalisé en 2019 avec l’agronome et écologue Bruno Ballet et le paysagiste Germain Lainard : kzbin.info/www/bejne/b4rGi5VpZ9h4Y6M Peu étonnant que ces familles qui se sont vite organisées à cet endroit, n’aient pas souhaité être orientées vers des structures d’accueil et d’hébergement. Si les grilles et clôtures sont remplacées dans la dizaine d’endroits où elles ont été tordues, endommagées et vandalisées, espérons que « ce meilleur délai » annoncé ne soit pas trop long et ne permette pas une installation de dizaines d’autres baraques comme en 2016-2017. Mais une fois les clôtures réparées, on peut se demander par où donc les habitants de ces baraques vont pouvoir rentrer et sortir, vu qu’ils n’acceptent pas d’être hébergés par la ville de Paris ? Il est bienheureux que les vigiles restent sur place, mais leur présence ne semble pas avoir empêché l’installation de ces nouveaux habitants et surtout la construction de ces baraques fait montre d’une maîtrise certaine avec des matériaux de qualité même s’ils semblent être de récupération. Il est difficile d’imaginer que ces matériaux aient été récupérés, acheminés et assemblés en une seule journée par une poignée d’adultes. Les suqatteurs se sont installés dans un quartier déjà compliqué, où vivent déjà beaucoup de personnes en difficulté. Les proches abords des baraques sont devenus une vraie poubelle depuis leur arrivée. Espérons que le camp ne grossisse pas et ne fasse pas l’objet d’un trafic de baraques comme c’était le cas avec le gros bidonville précédent. Car ces cabanes se trouvent à un endroit où elles ont été nombreuses. Et lors de l’expulsion des habitants en 2017, les travailleurs sociaux ont pu constater que n’étaient plus présents beaucoup d’habitants qui avaient été répertoriés car ils avaient été remplacés par d’autres personnes installées ici par des loueurs de cabanes. Ces situations difficiles le sont aussi pour les habitants d’un quartier déjà bien précarisé … Voir le film sur l'expulsion du bidonville en Novembre 2017 : kzbin.info/www/bejne/nXezZ2x3qc6Gd8k Quant aux causes du retour des baraques, il est clair que la Petite Ceinture est et restera un espace libre où squats et campements peuvent abriter les personnes à la rue car avec ses ponts, tunnels et abris, le plus grand ouvrage d’art de Paris est un vrai lieu de refuge ... Voir le film "La Petite Ceinture Refuge" : kzbin.info/www/bejne/qX3GfJR4Z8acnac Cette section de la Petite Ceinture a été longtemps un gros bidonville et a posé de graves problèmes aux habitants du quartier. À l’hiver 2017-2018, la SNCF a payé plusieurs centaines de milliers d’euros pour nettoyer les déchets laissés par les centaines d’habitants qui vivaient dans ce qui était le plus gros bidonville de Paris. Les images témoignent du chantier titanesque réalisé par une équipe de valeureux professionnels avec l’aide de 2 pelleteuses rail-route, 1 dumper et des camions benne pour évacuer des tonnes de déchets. Espérons que ce retour des baraques ne se transformera pas vite en gros bidonville et que les habitants n’aient pas à subir les multiples nuisances endurées à l’époque. Pour éviter une telle situation et la facture à payer par la SNCF et désormais par la ville de Paris, il va falloir vite intervenir … Voir le film sur grand nettoyage de cette section de la Petite Ceinture à l'hiver 2017/2018 : kzbin.info/www/bejne/b2SuZ2iqdt2cpbM