Schumann - Etudes symphoniques - Cortot

[@anthonytay523]

One of the best versions I've ever heard

[@CarmenReyes-em9np]

Muy admirado por los grandes pianistas de su época. Y en la actualidad. ( Que jovencito. ). Gracias es un tesoro este vídeo. 👍👋👋👋👋👋👋👋

[@notaire2]

Hoch intelligente Interpretation dieses romantischen Meisterwerks im idealen Tempo mit perfekt kontrollierten Töne aller Tasten. Seine Virtuosität ist noch unvergleichlich. Die Tonqualität ist auch erstaunlich hoch als eine Aufnahme von fast neunzig Jahre vor. Danke fürs echt wertvolle Hochladen!

[@savemail6929]

Pas étonnant qu'aucun dislike n'apparaisse jusqu'à ce jour : ceci est un enregistrement qui techniquement reste de référence même à l'heure actuelle. On a l'envergure et le son, mais sans verser dans le "pachydermisme" de beaucoup de versions "modernes"... J'aimerais dire que Schumann montrait "une rigueur absolue dans le manque de rigueur". Sous ce rapport TOUT Schumann par Cortot est à réécouter, on ne s'ennuie pas une seule seconde !

[@lionelthiebaud7081]

Bien parlé

[@andrearodigari4840]

One of the best performances ever of this opera. I wish I lived in that times.

[@wolkowy1]

Thanks for uploading. This is a real treasure.

[@kaitopianoforte]

0:00 Theme 1:18 Etude 1 2:06 Variation 1 2:52 Etude 2 4:25 Etude 3 5:15 Etude 4 6:10 Etude 5 6:46 Variation 4 8:13 Etude 6 8:48 Etude 7 9:33 Variation 2 11:22 Variation 5 12:44 Etude 8 14:04 Etude 9 14:43 Variation 3 15:24 Etude 10 16:00 Etude 11 17:42 Etude 12(Finale-1852Version)

[@dielotosblume1205]

Really appreciate your marking!

[@CarmenReyes-em9np]

Todos ,que maravilla. ❤️❤️❤️❤️🥰

[@izayoi10]

Thank you❤

[@thomasrigutto2564]

Quelle magnifique pianisme, quelle magnifique inspiration, quelle compréhension profonde de l’œuvre de Schumann ! c'est un régal !!! Il faut être sourd pour ne pas aimer ou avoir les oreilles bien déformées par des à priori pédants !

[@eelevinas]

Voulez-vous dire : "incompréhension" ? Je crois que ce serait plus exact, sans pédantisme.

[@lionelthiebaud7081]

Très bien parlé

[@ぴぃ-u6i]

cortot is truly pianist with romanticism in music.just happy to listed this ..

[@mattiascravaglieri7793]

Pure gold! No one has touched the core of this work as Cortot did

[@pianoman1857]

Brilliant, it’s beautiful !

[@carloseduardobarrosrodrigu6318]

Cortot foi um dos grandesde sua época, se não o melhor. Esta execução é a melhor que já ouvi dessa obra

[@froggy8919]

The best version

[@philippedevaux2858]

Yves Nat nous laissa également un Schumann, incroyablement intime, poétique et. passionnel.

[@norahdealmeida5847]

Mr. Devaux. Yves Nat c'est un un bon pianist. Mais c'est toujours mieux, ne pas comparer deux artistes

[@philippedevaux2858]

@@norahdealmeida5847 Nat.. Un bon pianiste ?? 🤣 🤣 Je pense qu'il était un peu plus que cela.. 😉 😉 Il avait une relation à schumann , qui était unique.. UN VÉRITABLE POÈTE, MAIS CORTOT SUT L'ÊTRE AUSSI. IL LE TOUCHE MOINS..

[@CarmenReyes-em9np]

Divinos estudio. 🥇🇮🇷❤️

[@christiankircher369]

there are only few pianists who also does touch with their real expression. They understand the story behind this music and does present us this story with all the necessary emotions without exagerating. Rubinstein for example was such an artist and Cortot is one who comes closest to the composers will. Combined with parisian elegance Cortots interpretations get highest possible level.

[@Palestrina-us8sv]

I have never understood the hype behind Rubinstein. For me he seems shallow compared to Cortot.

[@Bnorma11]

Truly imaginative!

[@francoriva55]

Grandissimo Cortor. Schumann genio !!!!

[@joeltheivalnec3671]

Le style est un peu daté, certains détails sonnent caverneux, mais le souffle est extraordinaire, le chant exceptionnel, le ton épique avec une part de mystère et d’ambiguïté. On en oublie que la mesure truc ne se trouve pas à côté de la mesure machin, que la variation bidule aurait dû... Bref. Une légende du piano français à mettre aux côtés d’Yves Nat, géant dans la même œuvre.

[@robotfried2617]

cant believe i have never heard this

[@jjm6651]

너무 아름답다....ㅜㅜ

[@Ian-vd4mt]

この曲は、何曲もあるシューマンのピアノ曲でも、最も有名な宗教学的楽曲。 コルトーの演奏技術は文句なく見事で、唖然とする。

[@lionelthiebaud7081]

Bien parlé

[@luisademar8986]

Il comprends Schumann, comme s`ìl le serait luimème.

[@lionelthiebaud7081]

Très grand Cortot, pas que dans Chopin, immense Schmannien aussi, magnifique version des Études avec Nat, Pollini aussi

[@ye2z]

❤

[@pianoredux7516]

I join in the all the encomiums here but must add that in the Finale Cortot sounds as if he's both tired and under some pressure to finish the piece before a side runs out, because he loses some control of nuance and articulation of the chords and barrels through in a pushed, headlong tempo that sounds impatient rather than an interpretive choice. It's still one of the greatest versions (or arguably the greatest) of this work ever recorded.

[@tommytrekky855]

Which Version is he playing?

[@ulfwernernielsen6708]

Cortot put In The posthumous variations in his own order. Arrau played the same order in his Philips recording many years later.

[@ye2z]

12:15

[@ye2z]

@조준희 ^^b

[@raphael2692]

7:45

[@raphael2692]

1:25

[@thomasrigutto2564]

Eelevinas, attachez-vous à ressentir le contenu poêtique de cette musique, ça en vaut la peine en général. Sinon vous parlez dans le vide. Avec la pédanterie de beaucoup d'intellectuels qui essayent d'enfermer la musique dans des schémas préconçus et vides de sens.

[@danielceccaldi9676]

Thomas Rigutto tout à fait d'accord avec mr rigutto !

[@bernios3446]

Je suis d'accord avec vous. C'est un phénomène de la musique classique surtout, ce fameux "c'est f-a-u-x", "inacceptable" etc.

[@tedgrant2]

First time hearing these studies- interesting - probably won't be playing them though- too difficult- 🤔

[@radovanlorkovic3562]

Doch die husammenhängendste Wiedergabe, äberzeugend bis in letzte Detail.

[@gregory4067]

Can anybody explain to me how a collecting society is making royalty claims on a recording from 1929? People in the EU shouldn't be seeing adverts. Copyright expires after 70 years. The vulgarity of greed is such that KZbin's Philistines will place a soap advert in the middle of the performance. They distort the integrity of a work of art so that the collecting society can make its profit - in the name of performer who died in 1962. But again: Why do we come to KZbin to listen to classical music? Why do we make this commercial debasement of art possible?

[@afritimm]

It isn’t royalties. It is for providing millions of pieces of music to you on this site. You think this site was made and run for free? Go buy a CD if you don’t like it. Or pay for an inexpensive KZbin subscription like I do. No commercials.

[@afritimm]

Is TV free? Or without commercials? Radio?

[@aaaaaahhh9537]

​@@afritimm(It is royalties)

[@afritimm]

@@aaaaaahhh9537 Wrong. Most is in the public domain. But it is irrelevant to the point. Why should you have this massive online service for free? Or CDs free? Or cable TV free? Or Netflix free? Entitled much?

[@eelevinas]

Une interprétation tintée de maniérisme datant bien l'enregistrement. Le partage des études posthumes n'est pas le meilleur. Mettre la variation posthume n°1 après la première variation seulement semble osé, et semble couper la progression des études symphoniques. Vous mettez la quatrième variation poshume après la cinquième variation, ce qui est un choix possible, mais vous la jouez trop vite, plus vite qu'elle ne le mérite, et en rajoutant une horrible octave qui n'est pas inscrite sur la partition, sans la faire suivre de la cinquième variation, ce qui s'avère être un contresens musical. La deuxième variation posthume n'a pas sa place après la septième variation, et ne peut encore moins être suivie de la cinquième variation posthume. Il est enfin inadmissible de ne pas enchaîner les variations 9 et 10. La variation posthume n°3 doit trouver sa place ailleurs. Enfin, vous omettez la reprise de la variation 11, qui conditionne pourtant la réussite de tout le morceau. Même si techniquement l'œuvre est maîtrisée, le jeu des nuances, des reprises, est totalement à revoir - souvent à la limite du contresens. Il apparaît donc bien clair qu'au total, vous n'avez pas du tout compris les intentions musicales de cette œuvre. C'est nul. 02/20

[@pelegrino791]

C'est amusant de voir de parfaits inconnus donner des leçons de musique aux plus grands génies !! C'est la "magie" de You tube ...

[@stefanosspanopoulos2134]

+michel brillaud Je ne suis pas d' accord avec le monsieur (eelevinas) mais je ne suis pas non plus d'accord avec l' acceptation inconditionelle de l "autorité". Toute interprétation peut être critiquée. Ce n'est qu' une interprétation aprés tout....Le génie c'est Schumann

[@eelevinas]

+Stefanos Spanopoulos puisqu'Ici mon commentaire fait débat, je suis contraint de m'expliquer. Je crois que ce que je dis est exact : ce sont des spécialistes de Schumann qui le disent aussi. Schumann n'avait pas vraiment réussi à imposer la forme sonate (trois mouvements) : il n'y arrivait pas. Cependant, ses oeuvres font très souvent malicieusement montre de trois moments (pour ne pas dire "mouvements"). C'est le cas des Kreisleriana (op16), des Fantaisies (op17), mais aussi des papillons (op2) et du Carnaval (op 9). La structure des Études Symphoniques est, elle, bien plus originale. Nous avons en tout un thème, onze variations (sans les posthumes), et un finale. Le thème et les dix premières variations sont en do dièse mineur (sauf la septième mais ce n'est pas important, c'est un ton d'emprunt étendu à toute une variation qui n'a aucune valeur intrinsèque), mais la onzième est en sol dièse mineur (une oeuvre de génie au surplus ! Schumann y utilise magnifiquement tous les tons voisins), et le final en do dièse majeur. On voit donc que du mineur initial, on finit sur le ton homonyme en majeur, ce qui n'est pas de facture romantique. Cela est permis par la forme non fixe des variations : si on remarque bien, le thème se finit par une demi-cadence : elle permet d'introduire la suite, de lier thème et variations : ELLE NE PEUT QUE SE RÉSOUDRE SUR UN EXCÈS DE MAJEUR À LA FIN. Qui ne comprends pas ca ne comprends pas les études symphoniques. En plus, on retrouve une forme sonate : mouvement 1 du thème à la variation 5 ; mouvement 2 de la variation 6 à la variation 7 ; mouvement 3 de la variation 8 à 10. C'est la seule structure possible. La suite (variation 11 et finale) est consacrée à la résolution en majeur de la demi-cadence initiale. * J'en viens donc aux variations posthumes : elles sont au nombre de 5, on ne sait pas très bien leur histoire. Certains affirment qu'elles voulaient être insérées par Schumann dans le corps de l'oeuvre, d'autres qu'elles voulaient être jouées à la fin. Pour cause, 2 et 5 sont majeures ; 1, 3 et 4 mineures. 1 et 2 peuvent s'enchaîner ; 3, 4 et 5 aussi. Chose curieuse, si on les insère après chaque mouvement (variations 5 et 7 : 1 et 2 après 5 ; 3, 4 et 5 après 7) non seulement l'ordre est très fluide, mais en plus on finit en majeur, ce qui donne une fin majeure à chaque mouvement, et confirme la logique de résolution. Autre solution, qui ne fait pas contresens : jouer à la fin, après le finale. Insérer les variations posthumes dans le désordre et n'importe où, comme c'est le cas ici, est intolérable et insupportable. Cela montre en effet une incompréhension totale de la structure de l'oeuvre, de son dynamisme, et de son fonctionnement.

[@joeltheivalnec3671]

Il est trop tard pour lui demander de rejouer en tenant compte de vos conseils magistraux, vous appuyant sur votre autorité... Avec la reprise correctement effectuée de la variation 11, nul doute que vous auriez remonté votre cinglante note de 2/20... Quels regrets!

[@emilechandellier600]

Aie aie aie qu'est ce qui m'a pris encore tout enflammé par ces études symphoniques de dérouler le fil des commentaires : 1) Ça n'a aucun sens même d'un point de vue analytique de considérer la forme (structure temporelle) comme prépondérante chez Schumann. Pourquoi ? En plus je peux développer si vous le souhaitez mais votre compréhension de la forme chez Schumann est trop limité, ça manque de recul tout ça, la question de la structure cycles est bien plus complexe que ça. 2) Bordel vous aimez vraiment Schumann ? Votre critique est dénuée de poésie et d'imagination... Vous avez lu Hofmann ? Heine ? La fantaisie ça vous dit quelque chose ? Johannes Kreisler, les articles exaltés de Robert, Eusebius et tout cet imaginaire extraordinaire !!!! Et tout ce que vous trouvez à dire c'est "l'ordre n'est pas bon" et mettre une note insipide ? C'est une critique Phillistin et vous êtes à des idées lumières de Cortot pour comprendre Schumann. Ne serait ce parce que Cortot et la musique de Schumann partagent une chose que vous loupez complètement : l'enthousiasme débordant et la passion !

[@ОльгаБулатова-ъ7э]

❤

[@polonaise]

11:22

[@raphael2692]

12:15