Gratitude pour cette vidéo et ce satsang qui a eu lieu le jour de mes 40 ans. je reçois ce message au bon moment. Merci Claudette.
@artdevivre28 жыл бұрын
Vous avez les mots et le ton pour que l'énergie fasse son chemin. J'aime la simplicité et oser dire qu'on a le droit de faire ce qui nous tient à coeur.
@ClaudetteVidal8 жыл бұрын
+Lynda Renée Merci !
@artdevivre27 жыл бұрын
Une chance qu'il y a une Claudette Vidal dans le monde de la spiritualité!
@beraud1939 жыл бұрын
Merci Claudette.
@lovehouria5529 жыл бұрын
Merci.
@catherinesimard18596 жыл бұрын
Quelle belle métaphore
@dracolombe27884 ай бұрын
Tout dépend de quelle peur il s'agit. Tout d'abord, je voudrais parler du courage : ce n'est pas de ne pas avoir peur, mais de ne pas laisser les peurs nous soumettre, nous corrompre, nous empêcher d'agir en bien. Vous dites d'accepter les peurs au lieu de les confronter. Sauf qu'il y a des peurs qui sont du registre de l'inacceptable et le resteront, que la vigilance n'apaisera pas, qu'il n'est pas possible d'englober. Je ne vais pas chercher à vous le démontrer ici, ce n'est pas l'idée, non, je cherche, tout comme vous, comment "se libérer de ses peurs". Je trouves ce concept d'acceptation très dangereux, il est synonyme de consentement. Vous consentez en agissant de la sorte à subir ce qui vous fait peur, ainsi, si cela vous arrive, on vous dira que vous en êtes responsable, coupable, que vous l'aviez choisi, n'est-ce pas ?... Alors non, il me parait fou d'accepter, rendons plutôt à César ce qui est à César. Si je n'acceptes en rien que mes peurs ce produisent, celui qui me ferait endurer les maux de ces peurs est par conséquent le responsable, le coupable. Je n'ai pas a endurer à la fois le crime et la culpabilité. Il en va de même avec le principe de la non-dualité. Si dans l'idéal, dans l'absolu, il n'y aurait que le bien sous sa plus haute forme constante et intangible, alors il n'y aurait pas de raison de chercher à le définir et le comparer à une inexistante absence ou variation de celui-ci. En revanche, dire dans un monde comme celui dans lequel on vit qu'il n'y a pas de mal, alors qu'il y a : les guerres, les maladies, les abattoirs qui engendrent une souffrance incommensurable, les viols, les précriminels, la misère, l'humanité domestiquée, tenue en laisse par l'argent et asservie (la misère a remplacé le fouet, le néo-esclave sous syndrome de Stockholm est fière de l'être et consentant, "dans l'acceptation" comme on lui fait dire.); La prédation en générale, cette abomination du dévorez-vous les uns les autres dans la souffrance et la peur; etc... Dire que le mal est inexistant dans un tel contexte, excusez-moi mais c'est soit de la malveillance, soit de l'inconscience, soit un handicape de discernement. Et à ceux qui prétendent que cela est bénéfique et nécessaire à l'évolution, il me semble au contraire que les traumatismes sont sujets à freiner l'évolution, ou encore que la souffrance n'apprend rien d'autre que l'obéissance forcée par la menace et la peur ou la rébellion. Et je ne vois que cette exception de rébellion justement : celle de ne plus accepter, de s'en relever, de s'en indigner, de s'en insurger, et de mettre en lumière la présence des maux qui nous font souffrir dans l'unique but, non pas de s'en accommoder, mais de s'en émanciper. Comment pourrions nous, par exemple, vivre sans la crainte de souffrir atrocement dans un monde où il est accepté, toléré, que tourne des abattoirs pour répondre à des plaisirs gustatifs dérisoires ? C'est impossible ! Allez donc voir ce qui se passe en abattoir, les mots "abject et "traumatisant" ne suffiraient pas à qualifier ce que vous y constateraient. Mais pourtant cela se passe, et certains refusent de le voir tout en s'en faisant l'avocat et en contribuant à de telles pratiques, d'autres sont tout simplement des monstres assoiffés de sang pleinement conscients du problème pour des raisons encore plus sombres... Les peurs sont circonstancielles, elles ne sont que des conséquences de maux existants. Le dénis ne change en rien la réalité de la présence du mal, la pensée positive c'est 1984 d'Orwell : supprimer le langage négatif pour empêcher de comprendre, de concevoir, de définir et de mettre en lumière ce qui est négatif. Est ici considéré comme étant négatif le fait de dénoncer le négatif afin d'y mettre fin au profit du positif, de dire que ce sont les circonstances qui doivent êtres positives et non ce qu'on en dit (mais paradoxalement c'est aussi considéré comme étant "trop utopique", et utopique étant perçu comme un terme péjoratif...), pendant qu'est perçu comme étant positif le fait de se faire l'avocat de ce qui est négatif, de réprimer toute contestation de ce négatif, est de défendre l'idée de se complaire en toutes circonstances. Je vous le répètes, c'est 1984 d'Orwell, et cela n'est profitable qu'a l'expansion de ce qui est négatif. L'omerta, le dénis de la présence du mal n'est profitable qu'au mal, qui cesserait s'il était mis en lumière, conscientisé et désapprouvé en âme en conscience de tous. _« Rien de bon n'a pour base le mal. Le Dieu juste n'impose pas à l'humanité la nécessité des misérables. Il n'y a de nécessaire en ce monde que la justice et la vérité. »_ Victor Hugo (Personnellement j'entends par justice le bien moral et le vrai. Non pas la vengeance, ou la fausse justice des gouvernements à quoi ce mot est souvent référencé.) _« Voici des axiomes dont vous avez probablement quelque idée :_ _- 2 et 2 font 4._ _- Entre deux points donnés, la ligne droite est le chemin le plus court._ _- La partie est moins grande que le tout._ _Maintenant faites déclarer par sept millions cinq cent mille voix que 2 et 2 font 5, que la ligne droite est le chemin le plus long, que le tout est moins grand que la partie ; faites-le déclarer par huit millions, par dix millions, par cent millions de voix, vous n'aurez point avancé d'un pas._ _Eh bien, ceci va vous surprendre, il y a des axiomes en probité, en honnêteté, en justice, comme il y a des axiomes en géométrie, et la vérité morale n'est pas plus à la merci d'un vote que la vérité algébrique._ _La notion du bien et du mal est insoluble au suffrage universel. _*_Il n'est pas donné à un scrutin de faire que le faux soit le vrai et que l'injuste soit le juste. On ne met pas la conscience humaine aux voix._*_ »_ Victor Hugo Tant que rien n'est fait pour mettre fin au mal, se libérer de ses peurs consistera soit a faire l'autruche, soit à cautionner le mal pour s'en accommoder. Ce qui revient à avoir un cailloux dans la chaussure, et à prendre des anti-douleurs au lieu d'essayer de retirer ce cailloux, aucune de ses solutions ne libérera réellement des peurs, que vous soyez masochiste ou aveugle. La meilleur solution reste, me semble-t-il, le courage. Celui de se dresser contre le mal qui est à l'origine de ces peurs. PS : vous parlez dans vos vidéos datant de plusieurs années, du fait de vous nourrir de prana. Je voulais vous demander si cela était toujours d'actualité et comment vous vivez cela seul/en société depuis ces quelques années ? Je cherche personnellement à acheminer vers une émancipation du système de prédation de ce monde en mettant fin à ma contribution. J'avais touché du doigt quelque chose s'en apparentant dans le passé avant de m'être laissé tiré vers le bas par mon entourage. Je compte réitérer le fait de mettre cela en pratique, j'en suis actuellement à essayer sérieusement de me remettre sur une alimentation crue et non-transformée.
@alaincourtiol76784 жыл бұрын
Bonjour tu vas bien je t’ai envoyé un petit message je n’ais pas eu ta réponse de secours BISES
@MARIE200719553 жыл бұрын
Bonjour claudette. Il y a peu de temps que je te connais. Et écoute tes vidéos depuis le début. Mais j'ai une question. Dans cette vidéo, tu dis qu'il faut accueillir en nous les peurs et dans des méditations plus récentes, tu demandes à la peur de venir dans nos mains et les donner ensuite à la source. Je suis un peu perdue. Un autre questionnement. Il n'est donc pas obligatoirement d'être dans la peur pour la libérer. On peut la libérer donc à un autre moment. Merci beaucoup pour les réponses. Namaste Marie paule
@ClaudetteVidal3 жыл бұрын
Accueillir les peurs du moment n'est pas toujours possible, car nous n'avons pas toujours suffisamment de conscience disponible pour le faire. Pour cette raison et aussi parce que nous avons stocké des peurs dans notre insconscient tout au long de notre vie, il est utile de les faire venir dans nos mains pour les libérer.
@MARIE200719553 жыл бұрын
@@ClaudetteVidal un grand merci pour ta réponse si rapide. Namaste
@levasseurroger62508 жыл бұрын
personne ne se libère de ses peurs ,c'est le contraire ,c'est à dire quand les peurs n'ont plus leur place elles quittent le personnage fictif qu'est l'égo .
@levasseurroger62508 жыл бұрын
Je vous cite Claudette:"quand on lâche-prise"? Mais personne n'est là pour lâcher-prise ,c'est le lâcher-prise qui se manifeste ou non,y'a pas de décision personnelle dans cette affaire. Petite précision de mon point de vue en tout cas.merci pour cette vidéo.