SERGE GAINSBOURG - INTERVIEW 1989

Interview réalisée chez Serge #Gainsbourg, 5bis rue de Verneuil, en 1989
#gainsbourg #sergegainsbourg #interview

[@stephanejean3762]

Put...... Je pourrais l'entendre pendant des heures. Son humour scinique , sa simplicité, sa passion pour les arts, le respect de l'humain. Put.... Quel monsieur

[@stevenchaillet]

Épatant cet entretien, un grand merci de cet inédit pour moi ! 👌

[@tairahojo147]

Magnifiquement mené ❤

[@ma8r]

Merci

[@lilibrindacier2759]

Sublime cet échange ! Merci ! Quelle lucidité ! Tranchante comme la lame du sabre ! ❤ « C’est Vian qui m’a motivé ! » ❤ Il a fait un truc de ouf avec la marseillaise ! C’est sûr ! Bande de racistes qui l’ont attaqué !

[@sophiemartinez.91]

❤❤❤ Serge Gainsbourg j'ai commencé très jeune à l'époque mes amis me disaient que il buvait mais je voyais bien au-dessus de tout ça je sais pas son rythme écrit a été grandiose d'ailleurs il m'a beaucoup inspiré parce que par la suite j'ai écrit bizarrement dès que j'ai pu j'étais le voir je n'avais que 20 ans je sais pas je me disais avec le train de vie qu'il a et qu'il aimait faire la fête et tout ce que j'admire complètement on a qu'une vie on fait ce qu'on veut personne n'a pu m'influencer car j'ai toujours trouvé que c'était quelqu'un de profond de tendres et dur à la fois mais parce que aussi c'est son parcours qui veut ça et on lui a pas fait de cadeau non plus comédie avec sa gueule mais sa gueule comme il le dit lui-même parce que moi je le dirai pas car j'ai souvent trouvé justement dans son regard quelque chose de doux et tendre mélodie Nelson et je suis allé le voir à l'époque où il y avait Love On The Beat toute cette époque-là en concert c'était magique avec l'orchestre qui l'accompagnait c'était génial un souvenir magnifique notre Serge nous a laissé quelque chose de très fort je suis très triste car je suis partie de Paris malheureusement j'aurais aimé visiter la rue Verneuil là où il habitait et maintenant grâce à sa fille que j'aime beaucoup enfin la fête de cette maison une œuvre quel dommage que je puisse pas venir j'aurais adoré mais bon c'est la vie je me contente déjà de pouvoir l'avoir vue car c'est pas tout le monde qui peut voir quelqu'un merci❤ ces chansons ont pour moi était une vraie thérapie dans les moments joyeux comme dans d'autres qui était moins il m'a vraiment aidé c'était quelque chose de merveilleux j'ai toujoursCD de l'époque et que je garde précieusement merci pour certaines interview❤

[@FallXD_]

Merci pour le partage de cette interview de ce petit gars dans les dernières années de sa vie, très intéressant.

[@malotielemans3863]

pas degueu 😉

[@angelstone3861]

Gainsbourg, et tout particulièrement Gainsbard, nous manque cruellement !; à fortiori, après la folie "plandémie de Covid-19" et ses nombreuses lois totalitaires scélérates, et son incroyable servitude volontaire organisée. Reviens Serge :))

[@lilibrindacier2759]

Ouiiii ! Merci Angel pour votre réflexion ! Vous dites « tout haut, ce que je pense tout bas ! »

[@marlenestobbart7603]

Trés émouvant d 'écouter cet enregistrement, oú Gainsborough se livre.

[@paulbablee4467]

Oui on a la sensation qu on l'entendra TOUJOURS.

[@novice-cover-girl]

Très impressionnant comment Serges nous raconte avec simplicité la création de la chanson je t’aime moi non plus originellement avec Briggite Bardot qui lui a demandé de ne pas diffuser le morceau 🎧

[@Tackleone]

❤

[@Stephananda-tn6cp]

Gainsbourg aurait pu devenir un génie de la peinture, j'en suis persuadé. Dommage.

[@giuliadeval71]

Bonjour, je suis chercheuse et artiste travaillant sur un projet multimédia autour de la vocalité. J’aimerais utiliser un extrait de 2 minutes de l’audio de cette interview. Pourriez-vous m’indiquer à qui appartiennent les droits d’auteur ? Ce serait essentiel pour envisager un éventuel usage. Merci beaucoup !

[@stars-gate]

40:53 Serge a fait un lapsus, Lolita n'a pas 13 ans, mais presque 15, comme c'est précisé dans le premier quatrain du poème de Vladimir Nabokov : Perdue : Dolorès Haze. Signalement : Bouche « éclatante », cheveux « noisette » ; Age : cinq mille trois cents jours (presque quinze ans !) Profession : « néant » (ou bien « starlette »). Où va-t-on te chercher, Dolorès quel tapis Magique vers quel astre t’emporte ? Et quelle marque a-t-elle - Antilope ? Okapi ? - La voiture qui vibre à ta porte ? Qui est ton nouveau dieu ! Ce chansonnier bâtard, Pince-guitare au bar Rimatane ? Ah, les beaux soirs d’antan quand nous restions si tard Enlacés près du feu, ma Gitane ? Ce maudit würlitzer, Lolita, me rend fou ! Avec qui danses-tu, ma caillette ? Toi et lui en blue jeans et maillot plein de trous, Et moi, seul dans mon coin, qui vous guette. Mac Fatum, vieux babouin, est bienheureux, ma foi ! Avec sa femme enfant il voyage, Et la farfouille au frais, dans les parcs où la loi Protège tout animal sauvage. Lolita ! Ses yeux gris demeuraient grands ouverts Lorsque je baisais sa bouche close. Dites, connaissez-vous le parfum « soleils verts » ? Tiens, vous êtes français, je suppose ? L’autre soir, un air froid d’opéra m’alita. Son fêlé - bien fol est qui s’y fie ! Il neige. Le décor s’écroule, Lolita ! Lolita, qu’ai-je fait de ta vie ? C’est fini, je me meurs, ma Lolita, ma Lo ! Oui je meurs de remords et de haine, Mais ce gros poing velu je le lève à nouveau, A tes pieds, de nouveau, je me traîne. Hé, l’agent ! Les voilà - rasant cette lueur De vitrine que l’orage écrase ; Socquettes blanches : c’est elle ! Mon pauvre coeur ! C’est bien elle, c’est Dolorès Haze. Sergent rendez-la moi, ma Lolita, ma Lo Aux yeux si cruels, aux lèvres si douces. Lolita : tout au plus quarante et un kilos, Ma Lo : haute de soixantes pouces. Ma voiture épuisée est en piteux état, La dernière étape est la plus dure. Dans l’herbe d’un fossé je mourrai, Lolita, Et tout le reste est littérature. * Vladimir Nabokov (1899-1977) - Lolita (1955)

[@patriciacoupard3598]

Tilalala tilalala

[@SSGGo_Pro]

Inceste se Mec 🤬😡