Stéphanie Thomas : Mal de mère(e)

A l'occasion de la parution de Mal de mère(e), Frédéric Barreyre reçoit Stéphanie Thomas qui a recueilli les témoignages de femmes qui regrettent leur maternité, ainsi que la psychiatre Monique Bydloski l'une des premières, en France, à s'être penchée sur l'expérience psychique de la grossesse.

[@TheAfrobeautiful]

C est quoi le rapport entre l’art créatif et les femmes sans enfants. Sérieux?? Tant que cela contribue pour autrui! Il y a des gens qui veulent vivre juste pour eux et c est très bien

[@patriciavaldenaire5787]

Et oui..... On est pas toujours malheureusement la mère qu'il fallait pour notre enfant....ce qui est fait est fait...on ne peut pas revenir en arrière malheureusement... Quelle pression..que de reproches......

[@chawarma1048]

Troubles infectieux plus fréquents pour ces enfants ? C'est prouvé scientifiquement ça ?

[@chawarma1048]

Prochain tabou à traiter : ces mères qui n'aiment pas leurs enfants (si toutefois on se met d'accord sur ce qu'"aimer" veut dire, déjà). Enfin, on va y aller mollo hein, avec déjà un pareil scoop... ☺

[@cle6235]

Je trouve ça bizarre de dire que pour desactaliser la alternative on doit comprendre qu'il y ai une ambivalence. Je pense que mettre en place un éducation sur ce que c'est d'être parents et d'en apprendre plus sur ce qu'il se passe avant, pendant et après l'accouchement permettra au gens d'avoir de meilleure outils pour prendre leur décision et aussi de prendre en charge leur fertilité. De comprendre aussi que l'amour des parent a l'enfant et inversement se construit. Elle n'est pas ambivalence. C'est pas parce qu'on a besoin que la personne ne soit pas devant nous parce qu'elle nous énervé qu'on ne l'aime pas à ce moment précis. Ça veut juste dire que la personne qu'on aime a ce moment précis nous sort par les yeux pour x ou y raison. Toute relation se construit et l'éducation est primordial. Et je rajoute que la congé paternité n'est pas là pour que le père aide mais pour qu'il participe à la parentalité. Le père aussi doit construire sa relation avec l'enfant (donc le papouilles le nourir tout ca) et dois faire sa part. C'est pas une aide.

[@chawarma1048]

Oui, dans l'ouvrage aussi j'ai revu ce mot "aide", mais c'est trop facile ! faire sa part outre changer les couches c'est aussi prendre soin du contact avec l'école, organiser les anniversaires (avec les ballons, les muffins, les activités ludiques), prendre les rendez-vous médicaux et y assister, etc, etc. Or bizarrement c'est souvent les femmes qui s'y collent, comme quoi certaines arnaques se déroulent sur le long terme..