Intéressant de revenir sur tous ces points en assez peu de temps finalement. Cela donne pas mal de cartes en main pour réfléchir ensemble à des changements qui permettraient de garder cet outil fabuleux sans contribuer démesurément au réchauffement climatique et autres dépassement de limites physiques.
@y.cschmidlin81726 ай бұрын
Faut il encore ecouter les anneries de Gilles caire?telle est la question
@manixburn64036 ай бұрын
On peut carrément se poser la question faut il encore être en vie ? L'humain a échoué son processus évolutif. Notre destin n'est plus qu'une longue agonie jusqu'à la fin des temps. Pourquoi ne pas se distraire avec des questions ridicules ? ...après tout.
@laurentdevaux56176 ай бұрын
Quelle fumisterie ! Dès le départ, le point de vue est biaisé, rien que le titre suffit pour comprendre : Interrogations autour de la relation aérien-tourisme. D'une part, si on ne prend que les Français par exemple, mais c'est vrai dans une immensité de pays, une écrasante majorité ne prend pas l'avion pour aller en vacances, sans compter que, au-delà des effets, réellement pervers parfois, du tourisme dans certains pays, il n'en reste pas moins que les touristes contribuent aussi au développement de certains pays, même si je n'approuve pas totalement, loin s'en faut même, cet état de fait. Par ailleurs, que fait-on de ceux qui prennent l'avion pour le travail ou de ceux qui, comme moi, le prennent pour aller voir leur famille au bout du monde ? Qu'en fait ce monsieur ? Pour ma part, ma religion est faite : je continuerai quoi qu'il advienne à prendre l'avion pour aller en vacances si je n'ai pas d'autre solution, parce que je ne vois pas pourquoi je me priverais de visiter certains endroits où je ne pourrais pas aller autrement, et pour ce qui est de ma famille, la question se pose encore moins parce que je me vois mal faire 10 000 km autrement qu'en avion ! Donc, prétendre agir sur ma mentalité (j'oublie l'aspect soi-disant confortable de l'avion, passé une certaine durée, un voyage en avion, ça frise le supplice), même pas en rêve. Quant à d'éventuelles politiques contraignantes, elles me font bien rigoler, car ça n'affecterait que quelques dizaines, quelques centaines si on est exagérément optimiste, de millions de personnes. Que ce monsieur aille dire ça aux Indiens et aux Chinois, qui représentent près de 3 milliards d'habitants et n'ont aucune envie de limiter leurs envies de voyager et de se déplacer. Et si on commence à glisser des âneries comme des "valeurs" ou du "partage", là je préfère me taire, je craindrais de devenir grossier !