Je me souviens de ces récitations ( de Verlaine, Rimbaud...), de la primaire au collège. De si beaux textes dont on ne comprenait pas forcément les profondeurs mais qu'on aimait décorer de fleurs et autres dessins aux crayons de couleurs sur nos cahiers d'écoliers.
@sylviesa951819 күн бұрын
Poème cher à mon cœur appris alors que j étais encore collégienne , il y a bien longtemps et pourtant je le fredonne encore comme une prière merci de raviver encore aujourd’hui cette flamme poétique oh tellement puérile, puissante et surtout au dessus de tout bruit.
@Сергей-к3г4ц2 ай бұрын
Merci. J'aime que vous récitiez avec chaleur.❤
@christianeKUNTZ-pr7qmАй бұрын
Mon école il y a 60 ans❤
@stefyguereschi2 ай бұрын
Très belles et mèlancoliques Poèsies❤❤❤
@jelkavujacic94573 ай бұрын
Divota !❤❤❤❤❤
@raymondreymbaut24434 ай бұрын
Pour Annie l'Amour demain pauvre vie😭😭😭😍😍😍🦂🦂🦂🦂💋💋
@michellafont84863 ай бұрын
Fabuleux
@linstantpoesie3 ай бұрын
Merci beaucoup 😊 . N'hésitez pas à vous abonner 😉
@seydacoco5025Ай бұрын
❤❤❤❤❤
@francoislebedel4428Ай бұрын
j'ose proposer a mes amis amateurs de poésie un modeste poème de ma main: Nostalgie Là haut, de mon logis perché, Je vois, sagement alignés, Les grands peupliers enflammés . Magie d’octobre, mois de rentée, Et je m’imagine, écolier fugueur, Las de tant et tant de rigueur, Courir bois et taillis embrasés. Je rêve encore de m’enivrer Le regard tout subjugué Par la folle fournaise De l’automne de braise. Je me plais à m’ imaginer Rejoignant cerfs et sangliers Enjambant ornières et fondrières Caressé par les rousses fougères Las, mes jambes rechignent ; Quelle fichue guigne ! Ne pouvoir encor gagner Mes forêts enchantées ! 18 octobre 2023
@Userrrrrrr8913 күн бұрын
Vraiment agréable🎉🍂🍁
@dridjazdine1359Ай бұрын
Je l'ai lu en 1969
@patriziafrancini305128 күн бұрын
🙏🌠💓🌈💖
@charlottevairet3453Ай бұрын
1:38
@kolbecheang19633 ай бұрын
Ce sont des vers divins...
@chantalbeckmann80223 ай бұрын
les vers sont divins oui mais pas Verlaine hélas !
@vivianevegaia637613 күн бұрын
Dommage une voix de femme pour ce poème purement verlainien