THE SUBSTANCE, ANORA, JURÉ N°2 et FLOW : SALE TEMPS POUR UN FILM

[@Capture-Mag]

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[@gwenaeltison7891]

Une fois n'est pas coutume dans le Landerneau du youtube game des pseudos autoproclamés de critiques youtubeurs bas du front Une équipe qui déflore les esgourdes avec érudition pertinence et surtout un filling propre a vous. Merci encore d'être là pour damner le pion

[@emilezoulette882]

mec, t'écris tellement mal tout en te faisant chier la pine à essayer de penser que c'est pas le cas que tu peux aller postuler direct chez les inrocks

[@Al01-u6p]

"Juré n°2" c'est excellent un point c'est tout.

[@joejoe4782]

Bonjour, super émission comme à chaque fois. Go pour les 1000 pourcent. ❤️❤️❤️

[@jeromejojo3875]

34:49 : Pour moi aussi la scène de "mort" est quand même assez explicite. Même si c'est traité de manière allégorique (voire mystique), tout ce qui tourne autour de l'oiseau a quand même beaucoup à voir avec la fin de vie, de la perte et du deuil... Et justement je ne trouve pas que ça tombe trop comme un cheveu sur la soupe puisque ça explique rétrospectivement pourquoi l'oiseau a pris les rênes de la "mission" : son but est d'aller vers ce "cimetière des éléphants" (il ne peut plus voler, il va mourir etc).

[@tusfeyleny5082]

Merci pour le taf l’équipe 🫡❤️

[@Quemar7]

De tout cœur avec toi Steph sur le Eastwood 😊 Merci encore pour vos échanges éclairant, en particulier la petite masterclass de Marie sur Anora.

[@travisplainview1663]

Oui clairement je ne comprends pas la critique du reste de l'équipe, en quoi le film est mal écrit,le scénario est juste parfait.

[@tontonfranck8620]

Je suis impatient de lire le bouquin de Marie sur The Office!

[@bakeneko5343]

J'ai adoré The Substance mais vos critiques son pertinentes

[@pickingfeeling5096]

Superbe émission, superbe team et trop cool que vous reveniez dans deux semaines !😊

[@Arnaud-s3p]

Le meilleur moment de ma journée 😊

[@abbiezap3364]

01:02:00 "pour moi il est de son côté à ce moment-là", ah, d'accord avec Stéphane, c'est bien ce qu'il me semble aussi, alors que Marie rejoint l'analyse de la team Réalisé Sans Trucage.

[@nkta1]

Pour juré n°2, j'ai décroché quand ils ont parlé de coups et blessures pour une personne qui s'est fait renverser par une voiture. Ça n'a tellement rien à voir, du coup le point de départ est incohérent. Jamais vu une enquête aussi baclée

[@julescalcet5616]

merci, heureusement que vous êtes là. J'ai vu Anora et substance dans la même semaine ( ce qui m'a bien déprimé, j'me suis senti abusé et volé, car le temps c'est précieux) et ce weekend j'ai commencé à me demander si c'est pas moi qui avait un problème. Non non, le problème est ailleurs.

[@enveille3994]

Enfin des personnes éclairées qui ont compris que the substance était une arnaque

[@ecleast8018]

C'est pour ça qu'on aura jamais du grand cinéma de genre en France, vous n'êtes jamais content même quand il y des vraies avancées pas a pas 🙈

[@alexandrebozier4703]

​@@ecleast8018de tte façon les cinéphiles ils se reniflent un peu tous la rondelle alors que les films qu'ils adorent c'est exactement la même chose mais qui ont juste acquis un statut de film culte avec le temps 😂

[@francoisbouchet9907]

@@alexandrebozier4703 yep, De Palma faisait exactement la même chose - avec brio - en recyclant Hitchcock. Mais Fargeat n'aurait pas le droit de faire du patchwork parce que déjà-fait / déjà-vu. Bin c'est tout simplement un style, et ce qui est important, c'est si cette forme magnifie le message. Et la réponse dans The Substance est : OUI !

[@souetrejeremy]

Non seulement la critique permet de situer immédiatement un film dans son époque mais on n'a pas besoin que le temps fasse son œuvre pour dire tout le mal qu'on pense d'un film qui ne dit rien. Quant à l''adverbe "exactement" : les cinéastes de prédilection de l'équipe n'ont pas fait "exactement" la même chose avec des films devenus cultes, comme si les approches et les styles ne différaient pas considérablement.

[@j2m433]

Heureusement alors que tout le monde ne soit pas éclairé ou de mauvaise fois...

[@razorback7828]

Et voilà j'ai vu tous ces films, exactement, et pour moi le meilleur c'est FLOW. Et pourtant j'ai joué à ICO j'ai joué à Journey, j'ai joué à Flow... mais je n'y ai pas pensé durant le film. Et je trouve étrange que vous n'ayez pas l'air de vous interroger sur ce don ça parle vraiment.

[@furyoblues]

Son précédent, Away, était génial également et ramenait à du Death Stranding dans son concept mais tu n'y penses jamais pendant le film, c'est vraiment à froid que ça vient.

[@Taarz]

J'ai bien aimé The Substance, visuellement ça marche bien et j'ai globalement passé un bon moment. Je préfère largement une réalisatrice française qui fait ça plutôt que 99% de la production ciné française qui est une véritable purge.

[@abbiezap3364]

99% tu y vas un peu fort, y'a eu du mieux ces 15 dernières années même si l'on est toujours pas débarrassé des comédies affiches bleues à titre jaune ou autre film parisiano-centré.

[@Charlestrainee3692]

MERCI pour The Substance

[@Butchkouill]

Mettre des visages sur les voix d’une émission que j’écoute toujours en podcast, étrangement, c’est vachement satisfaisant ☺️

[@ptittannique5621]

Ca envoie du niveau cette semaine, didon ! "Euuuh... Et d'abord, tu vois, le panneau d'affichage, s'tu veux, il dit "demain soir" sans indiquer une chaine, t'vois, pis ensuite ca devient "ce soir" le lendemain sans explication, s'tu veux ! C'est bien la preuve que c'est une merde ! Ca se passe meme pas comme ca dans la vraie vie, d'abord !"

[@benzik]

Merci encore à toute l'équipe, c'est une vraie réjouissance de vous regarder et vous écouter ! (Heureux de voir qu'en dépit des désaccords, aucune chaussette n'a été malmenée sur ce tournage.)

[@johanw6812]

Vincent est toujours aussi drôle (Mon bon point)

[@Bluebius]

Je passe un grand bonjour à Julien "Tintin" Dupuy qui est tout fringant aujourd'hui ! Il doit revenir du baptême d'un neveu !

[@johanw6812]

Sûrement parce qu'il utilise même encore les mots "zizis" et "zezettes" 😁

[@salinger44]

+10000 j'aime pour la réf à Malcolm (meilleure série comique). MARIE PRÉSIDENTE DE CAPTURE MAG SUR LE CHAMP !!!! Sinon, pour Flow j'ai beaucoup plus pensé à Cuaron qu'au jeu vidéo. Quand bien même le film évite au maximum l’anthropomorphisme, Gints Zilbalodis opère à certains compromis à des fins narratives et allégoriques et ça me semble clair comme de l'eau de roche. Quel ravissement, ce film. Juré 2, quel film plan-plan. Les thèmes sont là, mais traités façon téléfilm et je rejoins Vincent sur toutes les grosses invraisemblances qu'il faut accepter (sans parler du personnage de J.K Simmons ou Kiefer Sutherland qui disparaissent comme ça)

[@jeromejojo3875]

Pareil, pas mal pensé à Gravity avec cette envie de faire des scènes qui ramènent à une symbolique existentielle...

[@2000metamorphe]

Ça fait du bien d'entendre une critique négative du surcoté Substance, je me sens moins seul avec ce film où pas une seule image n'est inventive ou originale...

[@sylvainwaegemans4246]

Assez d'accord avec vous, je l'attendais ce film mais je trouve hélas que c'est beaucoup de bruit pour rien. Étonnamment ou non, quand on ne s'émerveille pas devant le "génie" de Fargeat, on se prend des insultes carabinées...triste époque.

[@j2m433]

Ah donc si tu te sens moins seul donc ça veut peut être dire que bc de monde aime cette arnaque.

[@2000metamorphe]

@@j2m433 Mais oui, c'est le cas !

[@razorback7828]

C'est pas du Cronenberg c'est du Kronenbourg, franchement tu m'as tué j'étais mort de rire !

[@ptittannique5621]

Bof, ce n'est que paresseusement re-pompe de "Apres La Mouche, de Cronenberg, La Meche, de Kronenbourg" de Les Nuls...

[@solmaytan5047]

​@@ptittannique5621 Le ton blasé de votre commentaire me fait penser que ça n'est que prétexte pour nous faire comprendre que vous avez la ref en mode daronniste... Vous n'êtes pas le seul vieux ici ! Et d'ailleurs, qui vous dit que la personne à laquelle vous répondez n'a pas non plus la ref ? Etait-il nécessaire que Stef pose la citation dans son intégralité ? Manquerait plus que vous nous en ch... une pendule...Bref.

[@razorback7828]

@@ptittannique5621 Oui mais j'ai été surpris!

[@Lobo-y6d]

Pret​@@solmaytan5047

[@izanami9416]

Quand Arnaud il a dit qu il regarde pas sous le tapis, je me suis reconnu et c est même essentiel

[@sylvainwaegemans4246]

C'est plutôt Vincent non?

[@merchone]

Merci pour ce sale temps de grande qualité. Un plaisir. De la nuance dans le choix des films, vos avis et entre vous!

[@robinstruk4184]

Encore une émission passionnante. Mais je trouve dommage que olenregistrement se trouve toujours au croisement de sortie qui ne seront du coup jamais traité, genre Terrifier 3, l'amour ouf, ou le dernier Zemeckis. Y aura t'il quand même un capture mag podcast réal cette saison? un réal un peu plus polémique genre Burton, Ridley Scott, Jeunet ou Cronenberg

[@Capture-Mag]

Nous ne traiterons pas Terrifier 3, sorti depuis déjà un mois. C’est un choix éditorial. Vous pouvez écouter les versions audio de nos podcasts sur notre site, vous trouverez d’autres réalisateurs abordés.

[@robinstruk4184]

@@Capture-Mag merci je les ai déjà toutes écouté.

[@referenz4440]

L'utilisation du male gaze dans The Substance n'est pas en contradiction avec le positionnement féministe du film. Le male gaze est l'intrigue, il ne peut donc pas être de trop, il fait l'expérience et nourrit le récit. Oserions-nous affirmer avec la même assurance qu'il y a trop de dinosaures dans Jurassic Park? Non, car la question est de savoir ce que le film souhaite suggérer et défendre. La volonté est ici de faire du male gaze un personnage à part entière, et de par son expression hyperbolique en atteindre l'extrémité. Le dépassement du male gaze n'est donc pas ici envisagé comme une pratique, dans le sens d'une déconstruction formelle, mais plutôt comme l'expression de sa fin en en assumant toute les limites. Soyons clairs, il n'y a pas d'érotisme dans ce film. Il n y a que des compilations de clichés publicitaires, des fragments de chairs, de l'objectivation pure. Une exploitation tout à fait commerciale du corps dans sa représentation la plus plastique et racoleuse. Pour autant, l'objet de cette démarche n'est pas de séduire l'audience mais tout au contraire de la dégouter. Et de rendre la fascination du "beau", rébarbative et écoeurante. Et c'est en cela que tout diffère. En faisant ce choix, Coralie Fargeat ne rédige pas une réponse à la question qui concerne le male gaze et le regard des femmes dans l'industrie, elle en pose une autre par l'absurde. Si l'aboutissement du male gaze ne peut en somme être que cette collection de gros plans sur une entrecuisse couverte de latex pailleté. Alors? Quoi d'autre? Que pourrait bien être la continuité d'une constante aussi vaine? Aussi bêtement mercantile? Par définition, il n'y a plus rien. Fargeat atteint volontairement la limite que le kitsch s'impose avant la pornographie. Fargeat ne dépasse pas le male gaze, elle le ridiculise et l'achève, car elle en fait une synthèse en forme de point final. Autrement dit, la forme explicite le fond, le supporte et l'enrichit. Il n y a pas de contradiction entre le contenu et son contenant, les deux s'harmonisent, se révèlent. Et, à la manière de son personnage principal atteint de névroses, l'esthétique du film va elle aussi d'un extrême à un autre, d'un jusqu'auboutisme à un autre, passe pour le dire de façon plus réferentielle, des dorures de Showgirls au monstre de Braindead. Tout cela ne peut donc pas être de trop, car la narration, autant que le propos du métrage, dépendent pleinement de ces choix esthétiques.

[@LordGalean]

Oui mais ça suffit pas, c'est de la facilité de film de petit malin, comme chez Refn, et c'est nul.. C'est ça le gros reproche qu'on peut faire à cette utilisation du pseudo male gaze du film (oui le male gaze est un concept sociologique qui n'a aucune réalité que celle qu'on veut bien idéologiquement lui apporter...)

[@referenz4440]

@@LordGalean Je n'ai pas vécu ce film comme une continuation critique des théories Freudo-Mulveyennes, plutôt comme un défouloir radicalement absurde et sans prétention. Personne n'a souligné l'ignoble male gaze de Poor things, et le film a partout été célébré comme étant "féministe", Emma stone n'a d'ailleurs t-elle pas triomphée aux oscars par ce rôle? Le point de vue de Poor things aurait pourtant du être féminin, puisque nous faisions l'expérience de l'humanité par le prisme d'une enfant-femme. C'est une contradiction que je ne vois pas ici. Le point de vue de The Substance est double, le point de vu d'une femme complexée, qui plus est une femme objectivée par une industrie phallocrate, d'abord, puis le point de vue de cette même industrie, sur le corps remplaçant, le corps idéal, l'objet du désir. L'utilisation du male gaze est donc utile et nécessaire. Comme le male gaze est utile dans Red Rocket de Sean Baker, ou dans Under the Silver lake de David Robert Mitchell, car le male gaze est utilisé comme un outil narratif, il est utilisé volontairement, pour souligner des traits propres aux personnages, leurs angoisses, leurs désirs, leurs subjectivités. Je ne vois donc aucune contradiction entre ce que défend le film, et la manière dont il le défend, je trouve au contraire l'ensemble tout à fait cohérent. On peut discuter de la fonction stratégique de cette utilisation, de ses résultats, c'est un débat idéologique tout à fait passionnant, mais ce n'est pas le débat que je porte. Je ne dis pas que le film est une réussite féministe, un chef-d'œuvre de la prise de conscience anti-patriarcale, je dis que le film n'est pas dans la contradiction, car il assume son point de vue. Faire l'expérience de The substance, c'est faire l'expérience du male gaze, par l'intermédiaire d'artifices postmodernes et une esthétique hyperpop. Quant au male gaze en tant que "pseudo-concept", il suffit de lire une seule page de Laura Mulvey pour comprendre que c'est tout sauf de la sociologie, mais une branche de la théorie du cinéma tendance Freudienne, comme beaucoup d'analyses des années 70. Laura Mulvey n'est pas Eva Illouz, c'est avant tout une réalisatrice que personne n'a lu mais dont tout le monde parle.... Ensuite, on ne peut pas critiquer un film en espérant qu'il en soit un autre. On commente le film qu'on a vu, pas le film qu'on aurait voulu voir.

[@ronanlefur5754]

Un peu d'air frais. Merci !

[@TheChevals]

Anora est un chef d’œuvre , une épaisseur dans l’intrigue et les personnages

[@szafranskinico6075]

Très étonné que ne soit pas cité Le 7e Juré, qui reprend quasi le même procédé que Juré n°2.

[@erichvogel7831]

Mais oui ! Je me disais bien. Je l'ai pas vu mais j'avais entendu parler de l'histoire et j'avais oublié le titre du film. Merci beaucoup!

[@szafranskinico6075]

@erichvogel7831 De rien :)

[@jbm6804]

Harvey Dent😂 Tout à fait d'accord sur cette critique

[@merenhorpremier1995]

Merci

[@f1dus216]

Super vidéo Dommage qu'on entende pas assez Clémence pour les critiques

[@liryc8909]

Pas vraiment d'accord avec Marie pour faire d'Anora une sorte de "produit" vain issu de notre époque superficielle (la fille juste vénale qui cherche des sacs et des manteaux). Amha, c'est une vision un peu petite bourgeoise de quelqu'un qui n'a pas de véritables problèmes de précarité :( La fille galère, en coloc, avec un rythme "comme à l'usine", sans aucune sécurité (d'ailleurs le passage où elle pointe cet aspect, "pas de sécu, pas de congés payés etc", à son boss pour s'autoriser sa petite escapade n'a pas été évoqué par les critiques...c'est assez dingue). Elle tombe sur un gars complètement libre de toutes ces contingences matérielles qui forment le principal problème existentiel des prolos. Mais ce gars reste une forme de patron, elle est complètement dépendante de ses désirs, de la façon dont il la paye. Il ne va pas lui offrir un investissement qui pourrait la mettre un peu en sécurité, ou une mutuelle, ça casserait le "glamour" qu'il recherche dans sa relation contractuelle. Il paye pour un trip avec une femme "sexualisée", il paye pour du "sexy", elle doit se plier à l'image qu'il attend d'elle. Je suis sûr qu'elle préfère directement de l'argent ou une sécurité matérielle (qui deviendrait enfin effective dans le mariage justement) mais les sacs et les manteaux ça rentre dans l'histoire que se crée le mec, dans la vision qu'il a des femmes. Je suis sûr qu'elle aurait revendu tous ces cadeaux de gros beauf. D'ailleurs, avant la scène de craquage de la fin, elle laisse ce manteau, elle en fait "cadeau". Bref, je crois que cette histoire de superficialité n'en est pas une.

[@referenz4440]

Excellente analyse effectivement. J'ai compris la même chose. Et en ce qui concerne le rythme du film et la répétition, je la trouve tout à fait justifiée. Acte 1 : La routine. Le travail. Un client. La performance. Le travail. Un client. La performance. La pause clope. Le travail. La pause joint. Un client. L'usine à sexe fume sous les néons rouges. Le matin, repartir, dormir, le soir, rebelote. Le travail. Acte 2 : L’hédonisme. La rencontre du prince. Visiter son château. Le prince ne travaille pas, la fête est sa routine. La jouissance et la flemme. La fête. La jouissance et la flemme. La fête. Le prince ne travaille pas, on travaille pour lui. Le prince est un client. La performance. En arrière-plan, des travailleurs, des domestiques. Exploitation - Prestation de service. La performance. Le travail. Acte 3 : Redescente. Le carrosse de la belle redevient la citrouille. Le jackpot est un scam. La trahison. La solitude. L’isolement. Le rêve se dissipe. Tenir bon. Résister au réveil. Acte 4 : Le rêve n’aura pas lieu. Le prince est un enfant, égoïste et ingrat. Divorce. Acte 5 : Fin de la performance. Et dans un acte d’empathie, il lui rend la bague. Lui ? C’est l’autre corps. Le corps masculin, qu’on paye pour sa force, qu’on paye pour ses muscles. Elle, le corps qu’on paye pour son c*l, sa ch*tte, ses s*ins. Ils ont ça en commun. De n’être que des corps. Elle veut le remercier. Les hommes sont tous les mêmes. Les hommes sont des clients. Ils souhaitent tous la même chose : Le travail. La performance. Il tente de l’embrasser. L’embrasser, c’est l’intime. L’intime, c’est l’émotion. Émotions = vulnérabilité. La vulnérabilité est tout sauf la performance. Sortir du personnage. Du self-control. Sortir du travail. Redevenir un être. L’épiphanie de l’épuisement. Il n’y a pas de Cendrillon. Encore une défaite. S’effondrer.

[@SylvainThuret]

Un film qui imiterait Journey ? Complètement Abzurde. C'est comme si vous me disiez "Adam Sandler qui voit dans Shadow of the colossus un moyen de faire son deuil, lié au 11 septembre". Bon je vais aller voir ça ça m'intrigue.

[@donjuliano9935]

Clint Eastwood arriverait à m'émouvoir en filmant une cagette de tomates pendant deux heures et demi. Dommage de ne pas avoir pu apprecier Juré n°2 dans la belle salle dolby, même créneau que Venom 3, j'admets qu'il y a des priorités.

[@K_daverik]

Stephan Moissakis, 30mn sur Anora pour juste dire "c'est trop long". J'ai eu l'impression de revoir le film... 😅

[@liomams5504]

Vous êtes vachement dure avec Substance (que je ne trouve pas exeptionnel non plus).. Mais vous avez un biais par rapport à Cannes et la hype autour du truc.. du coups vous le démontez plus que de raison... (ça se transforme en vrai procès d intention).. Je pense que des fois vous gagnerez a voir une approche un peu plus humble dans vos critiques en dépit de tout votre background aussi respectable soit il.

[@lucymarcel9469]

Je suis d'accord avec toi je trouve qu'ils se sont focus sur l'esthétique du film et du scénario dite "on se pose trop de question" alors que le film se focus sur un personnage quo sest construite sur le male gaze et la compétition féminines d'où le fin qu'elle dit "elle" et pas "moi" ils demonte le film sans s'être focus sur le message initial

[@sylvainwaegemans4246]

Oui enfin, Erich a visiblement trouvé le film rigolo et Julien remet un peu l'église au milieu du village en soulignant qu'on ne pouvait pas enlever a Fargeat la volonté de faire ce film tel quel dans le paysage cinématographique français. C'est pas comme si ils voulaient tous crucifier Fargeat en place public non plus. Comme toujours y a quand-même un sérieux décalage entre la hype et le résultat final. Pour ma part, je suis d'accord sur le fait que The Substance est raté mais bizarrement je ne le déteste pas. Je le trouve même finalement attachant dans sa maladresse et son côté over the top.

[@malmoth9067]

La pureté militante de la critique : C'est jamais assez féministe ! Gna gna gna. Je trouve ça dommage car un film comme ça aura plus de chance de sensibiliser les hommes à la cause que "Promosing young woman" trop extrêmiste et contre-productif.

[@sylvainwaegemans4246]

​@@malmoth9067 Bah, la pureté c'est comme l'objectivité ou l'approbation universelle...ça n'existe pas. A titre personnel, même en essayant très fort de prendre de la distance, je sais que mon avis restera toujours biaisé.

[@maxschreck7861]

Merci encore pour votre émission à laquelle je ne mets presque jamais de "j'aime", j'ai vraiment souvent plaisir à vous voir casser les films qui m'ont beaucoup plu (en l'occurence The Substance) et dire du bien (même si vous dites bien plus rarement du bien...) d'autres films qui me laissent indifférents (là je n'ai pas d'exemple précis concernant cette vidéo, je n'ai pas vu les autres ni le dernier Eastwood mais vu le ratage des précédents depuis au moins 5 ans, c'est pas dit qu'il me plaise). En fait quand je vois votre émission, il suffit pour moi de savoir que les films que vous cassez (genre Horizon de Costner, dans les récents) risquent de me plaire. Merci pour vos "lumières inversés" et vive les critiques ciné qu'il faut juste savoir décrypter ^^ PS : Pour finir tout de même sur du vrai positif, j'apprécie par contre vos trop rares interview (qui pour le coup méritent un Grand J'Aime), genre celle récente de Siri, et j'ai eu le plaisir de voir son dernier film, Elyas, qui m'a beaucoup plu, un peu comme nid de guepes en son temps. C'est bien de voir qu'il y a quand même quelques rares réalisateurs français qui savent faire aussi bien, et même mieux (en termes de mise en scène, action...) que 90% des cinéastes d'action américains et que certains critiquent ont l'intelligence de mettre un peu en lumière.

[@Alicia-bt6kc]

"Proposition Incedente " n'est pas un navet !😠 Adrian Lyne a enchaîné les films d'exception.

[@klishin9440]

Ah bon ...depuis quand ? Des films d'exceptions ? Sérieusement ? 😂😂😂 (à part l'Echelle de Jacobe qui est culte mais pas non plus un chef d'œuvre.... )je comprend pas ...😅)

[@LordGalean]

131:19 : Il percute quelqu'un.. Ce n'est jamais confirmé que Kemp a bien tué la femme, ça ne sera que suggéré tout le long du métrage, et même à la fin, c'est jamais tranché, c'est là que réside le génie de Eastwood..

[@razorback7828]

Un dernier message sur FLOW, car pour moi, certains d'entre vous sont passés à côté d'un des chefs-d'œuvre de l'année. Mais si par exemple l'on suivait votre logique, si le chat se conduisait comme un vrai chat tout du long. Au final pour qu'il se passe des choses le réalisateur devrait pousser des tas de levier pour générer l'action...Ce serait alors totalement forcé et artificiel comme procédé et ça ne ferait pas un bon film. Et vous seriez les premiers à dire que le chat passe son temps à être victime des situations.

[@mauradzoughlami1802]

Le pitch de juré n°2 est le même que le septième juré de Georges Lautner.

[@zapruderproductions]

Pas tout à fait, puisque dans le film de Lautner on parle d'un juré ayant véritablement (et sciemment) commis le féminicide. Au passage, c'est peut-être d'ailleurs son meilleur film.

[@chonglidu1343]

C'est prévu , que vous fassiez "Terrifier 3" ou non ?!

[@eiz_x]

Je rêve peut-être mais j'ai cru voir quelques défauts de réalisation dans le cadrage de Jury n°2 (flou de caméra et mauvaise mise au point, cadrage...) Un autre problème lié à l'empathie pour Nicholas Hoult, l'acteur a un visage qui ne traduit pas la douleur qu'il est sensé ressentir.(pas assez marqué pour un alcoolique). Loin du chef d'œuvre mais tout de même un film correct.

[@abbiezap3364]

Pas faux ce que tu dis sur cet acteur (Tom Cruise de Wish), que j'ai trouvé super fade, trop lisse pour le personnage. Choix certainement intentionnel mais qui m'apparaît mal fonctionner.

[@Capture-Mag]

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[@LordGalean]

34:15 Vous avez compris que l'oiseau blanc meurt à la fin ou pas ? Sans parler de l'espèce de baleine-poisson qui est évidemment condamnée (à moins d'une nouvelle montée des eaux..)

[@mouadib77]

Pour The substance, Stéphane tu as vu la scène de pipi a la Robocop? Mais oui c'est du wtf mal écrit et pourtant j'ai bien aimé, j'aime les films malade...bonne épice pour moi...mdr

[@Capture-Mag]

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[@JohnSLong-do5li]

Hello! Super émission, toujours un plaisir de vous écouter ❤! Traiterez-vous "La nuit se traîne" dans le prochain "Sale temps"?

[@Capture-Mag]

La Nuit se traine est sorti le 28 aout… il faut passer à un autre sujet, quand même.

[@meddlesque1870]

Ah putain mais vous me soulagez là! Jusqu'à aujourdui j'avais vraiment l'impression de devenir fou à entendre le dithyrambe sur The Substance. J'habite aux Etats-Unis, et ici le film fait l'unanimité et est vraiment super bien reçu, même chez les critiques ciné les plus pointilleux d'ordinaire. Sans mauvais jeu de mot, le symbolisme au ras des paquerettes, c'était vraiment "Style over substance".

[@johanw6812]

"C'est du Kronenbourg pas du Cronenberg", merci Stéphane 😂

[@johanw6812]

J'ai vu le film il y a quelques semaines en Espagne, où il est sorti plus tôt, la salle était pleine le 2e jour après la sortie, je n'avais pas vu un tel phénomène depuis Oppenheimer ou Barbie ... à la fin j'entendais "c'est génial !" et très peu d'avis négatifs, nul doute que les dernières 15 minutes jouent beaucoup sur la perception du public et le bouche à oreilles, c'est à la fois malin (ou très cynique), car ça fait oublier les 2h précédentes où pas mal étaient quand même sur leur portable, car ils devaient évidemment s'ennuyer ou se dire "bon on m'a vendu une fin épique, ça arrive quand ?"

[@emilecarette8993]

A 2h34 « Demi Moore c’est quelqu’un qui a des villes entières en fait. Elle s’est acheté des villes, elle possède des villes ? » Euh quelqu’un peut m’expliquer la, elle collectionne les maquettes de ville miniature peut être Pas compris … lol

[@tiffanyl9827]

je voudrais un peu contredire Julien concernant l'utilisation du cel-shading. Notamment sur le fait que ce n'est pas moins couteux en terme de calcul et demande mémoire que une figure polygonale classique, Il fut un temps où l'effet de Cel shading était réalisé et intégré à l'objet par l'artiste, mais de nos jours, le Cel shading est principalement réalisé à l'aide de shaders. Vous avez la possibilité de prendre n'importe quel maillage et de générer l'effet de Cel shading à l'aide d'un simple shader, (il s'agit principalement de la façon dont l'éclairage touche l'objet et de trouver les bons points de coupure). Du point de vue des performances, un peu plus cher qu'un simple shader diffu, à moins que vous n'utilisiez des contours, auquel cas cela peut être un peu moins coûteux en fonction de vos prouesses en matière de programmation de shaders.

[@artreb]

[@razorback7828]

À part pour Flow, globalement je suis d'accord avec toutes vos critiques. En revanche pour the Substance, comme vous j'ai trouvé le script bancal, mais je pense que c'est après réflexion, en réalité le personnage qui devient schizo quand elle est dans l'autre corps. Puisque l'on constate qu'elle sait très bien se servir des objets pour la transformation. C'est l'histoire d'un dégoût de soit.

[@nohopeinsight5790]

Question tout à fait innocente, qui n'est pas du tout un reproche ou quoi : pourquoi parler d'Anora ? Qui n'entre pas dans la ligne éditoriale (cinéma de genre) de Capture, il me semble. Je suis totalement dans la team de Stéphane "comment dire, en fait" Moïssakis pour Juré N°2, je pense que c'est un très bon Clint, presque du niveau du brillantissime Le Cas Richard Jewell. Dommage que Vincent, Érich, Marie et Julien s'attardent autant sur le scénario et parlent très peu de cinéma : la mise en scène du film et son découpage/montage sont absolument remarquables. Comme dit Stéph, ça transcende totalement le scénario. Et puis, à 94 ans Clint continue de questionner toujours autant l'héroïsme, la justice et la morale (notion ô combien cinématographique que très peu de cinéastes américains abordent de nos jours), et de nous parler de l'Amérique actuelle en filigrane. Que le patron de Warner ait humilié ce géant en sortant Juré N°2 dans 50 salles aux États-Unis est une honte, et prouve une fois de plus l'état dans lequel se trouve Hollywood... Concernant The Substance, je rejoins l'avis un peu plus nuancé de Julien "j'aime me caresser les cheveux" Dupuy (car j'ai l'impression qu'aujourd'hui les avis sont d'une manière générale de plus en plus tranchés et catégoriques, c'est bien aussi la nuance), c'est déjà louable en soi que Fargeat ait fait ce film, atypique et audacieux dans la production française. Perso, je n'ai ni adoré ni détesté. Je l'ai pris comme une série B d'horreur du samedi soir fun et spectaculaire, une satire grotesque et outrancière, à tous les niveaux, qui m'a fait beaucoup rire. Et j'ai apprécié son jusqu'au-boutisme : ça faisait une éternité que je n'avais pas du body horror aussi gore et grotesque (au sens artistique, du monstrueux à la Basket Case 2 et 3 de Henenlotter, dont elle s'inspire beaucoup) au cinéma. Après, oui, c'est trop long, ce n'est pas très bien écrit, les références sont lourdingues et inutiles, la mise en scène agressive et hystéro peut fatiguer au bout d'un moment, mais j'apprécie sa rage, même si elle n'est pas bien canalisée/maîtrisée, que j'ai pris comme un ride, très divertissant. Et Demi est sensationnelle, elle porte le film. Mais ça manque de chair, de fond, je n'ai été ni vraiment dérangé, ni vraiment touché, émotionnellement ça manque d'épaisseur, et de vrais questionnements existentiels. Merci à Julien de citer From Beyond, je vois toutes les critiques (y compris de la presse parisienne généraliste) citer Brian Yuzna dans les influences de The Substance, mais pas Stuart Gordon, qui était un meilleur réalisateur que Yuzna, et qui a lui aussi beaucoup œuvré dans le body horror. Autre film oublié dans les critiques : sur le même genre de sujets, La mort vous va si bien de Zemeckis est quand même d'un tout autre niveau ! Et dans le registre body horror féministe, le récent Men d'Alex Garland est bien plus fort, original et marquant que The Substance à mes yeux. J'aurais bien aimé avoir l'avis de Clémence sur The Substance au fait (elle ne l'avait peut-être pas vu). 😉

[@artboheme]

Vous êtes très dure avec the substance, ça en est suspect ... Certes le film a des défauts mais il est très efficace, c'est un bon divertissement qui ne mérite pas d'être démoli comme ça.

[@TomyKyzer]

@Stephane.... elle n'est pas Kubrick certe mais toi tu n'es pas réalisateur et tes copains qui ont essayés ils ont fait de la m.rde alors merci tout de même mais The Substance est excellent et même en rêve tu n'aurais pas réussi à le faire 😂

[@davidbarny607]

Ils n'ont pas cette prétention. Ils ont le bagage cinématographique de spectateurs aguéris (pour qui les films sont faits, ne l'oublions pas) ils sont critiques, ils donnent leur avis. C'est leur job et ils le font bien. Pas besoin de se sentir vexé(e) si leur avis diverge du vôtre. Perso j'ai détesté Fury Road (et je l'ai vu deux fois pour être sûr) mais j'adore les entendre en parler parce qu'ils en parlent bien, même si je ne partage pas leurs impressions.

[@TomyKyzer]

@davidbarny607 je soutiens de manière générale leurs propos / critiques, d'accord ou pas d'accord ce n'est pas le problème mais dans le cas présent la méchanceté est de mise.... désolé

[@Fredworf-SDFilms]

​​​@@davidbarny607 Le bagage cinématographique de spectateurs aguerris??? C'est quoi, c'est un diplôme ça (PTDR) 🤣 Défoncer à ce point un film ressemble plus à un règlement de compte qu'à une critique cinéma. Sans doute que Coralie Fargeat ne leur avait pas accordé d'interview. Souvent c'est aussi bête que ça. Parceque lorsqu'il s'agit des copinages ils sont capables de défendre des trucs vraiment nases ; c'est déjà arrivé.

[@sylvainwaegemans4246]

Je suis le premier a reconnaître que les avis de CaptureMag tournent parfois a ce qui semble être un règlement de compte personnel. Je trouve ça dommage. Maintenant, contrairement a beaucoup de youtubeurs ciné, on ne peut pas enlever a l'équipe qu'ils ont un long passif dans la presse ciné professionnelle...qu'on les aime ou pas, ce serait de la mauvaise foi de dénigrer cette expérience juste parce-qu'ils ne sont pas gentils avec ce film que vous avez aimé. Concernant The Substance justement, les nombreuses citations sont effectivement gênantes. Je ne remet pas en doute son amour sincère du cinéma de genre mais c'est a croire que Coralie Fargeat cherche a prouver sa légitimité. Avait-elle besoin de ce genre d'artifice pour son film? Si on admet que c'est un problème sur des pures films de studio ultra calibrés comme Alien Romulus ou Deadpool 3, alors c'est également un problème sur ce film d'auteur. Ce qui est critiquable (a raison) chez l'un l'est tout autant chez l'autre. Afficher ses influences de cette manière, ça sert juste a flatter facilement l'égo du spectateur qui peut tranquillement cocher sa grille de bingo. Elle a vu ces films, ok c'est cool...mais je m'en fous, je vais pas au cinéma pour qu'on me cire les pompes.

[@TucoRope2Tight]

​@@sylvainwaegemans4246Le problème sur les citations c'est que d'emblée elles ne sont pas prises aux sérieux ou questionnées dans l'analyse comme potentiellement porteuses de sens pour le film. J'aimerais les entendre moins se moquer, et discuter ouvertement des citations, de leur sens ou de pourquoi elles n'en auraient pas. Quand Fargeat met la musique de 2001 sur le final de son film (le monstre) c'est qu'elle veut dire quelque chose par là. C'est pas du clin d'œil easter egg pour nerd. Y a une démarche qui demande à être analysée/critiquée. Pas simplement balayée comme si elle n'existait pas.

[@callahaine100]

Il y a 2-3 ans vous aviez fait une critique de Possessor, du fils Cronenberg, qui avait l'air de traiter un peu de la même thématique que The Substance. A choisir, lequel est le moins pire?

[@sylvainwaegemans4246]

Si je peux me permettre d'avancer une réponse (qui n'engage que moi) a votre question, les deux sont ratés. A choisir, The Substance est plus rigolo a regarder. Tout dépend évidemment de votre rapport au gore mais dame Coralie Fargeat est très généreuse, on ne peut pas lui enlever ça. Le film de Brandon Cronenberg est intéressant dans l'absolu mais il est plus pompeux et son scénario est moins clair. A vous de voir si vous préférez l'aspect jouissif, grotesque et over the top de Fargeat ou l'aspect plus cérébral et abstrait de Cronenberg fils.

[@marcelpatulacci2063]

Merci pour vos retours. Pour the substance on ne peut évidemment pas passer a côté du message féministe sur le corps de la femme, mais je pensais que ça pouvait aller plus loin justement sur le fait qu'on ne comprenne pas trop si c'est la même personne. J''avais l'impression qu'elle parlé d'une relation mère fille et puis la fin m'a perdu totalement même si depuis le début il fallait mettre la suspension d'incrédulité au max mais c'est mieux que titane oui

[@sylvainwaegemans4246]

Concernant Anora, j'ai bien aimé le film et j'ai trouvé que les scènes "drôles" fonctionnaient bien. Après oui, c'est un peu long. Bizarrement, je sais pas si je suis le seul a l'avoir remarqué, il y a une dédicace a Jess Franco et Soledad Miranda vers la fin du générique. Si quelqu'un a une explication, je suis preneur. Pour The Substance, je suis globalement d'accord avec l'équipe, la tentative est intéressante mais le résultat est raté. Maintenant, je salue Mr Dupuy quand il souligne que, malgré le résultat, le film représente quand-même du boulot et qu'il ne faut pas enlever ça a Fargeat et son équipe. Après, je ne trouve pas le film complètement vide de sens ou totalement creux. Sans vouloir jouer au psy de bazar, je pense que Fargeat se projette dans ses personnages féminins. Demi Moore représente la Coralie privée, une femme encore très séduisante mais bientôt quinquagénaire qui se sert de son film pour se moquer un peu de ses peurs, de ses doutes et de ses inquiétudes. Qualley en revanche représente la Fargeat public, une réalisatrice dont la filmographie n'est pas encore très fournie. Professionnellement, c'est encore une jeune cinéaste dont la carrière est en pleine expansion qui fait du "tape à l'oeil", du sexy, du clinquant parce-que ça se vend. Enfin bon, j'extrapole mais j'essaie de gérer mon rapport ambigu vis a vis du film, je le trouve vraiment pas très bon mais je l'aime bien quand-même.

[@florianlemysterieux1689]

Totalement d'accord avec vous sur the substance, j'ai vraiment pas compris les critiques dithyrambiques sur ce film qui prend vraiment ses spectateurs pour un imbécile à un point où c'en est gênant et m'a complètement dégouté du film

[@jpnevil]

Je ne comprends pas non plus, j'ai trouvé ce film d'une lourdeur...

[@tahitigreg689]

Moi je retourne voir "la mort vous va si bien "...😂

[@Suicidium666]

Et Terrifier 3 ?

[@miximprobables]

Le mépris parfois, c'est un genre de critique aussi.

[@Suicidium666]

@@miximprobables C'est bien ce que je craignais

[@n12m2d7]

🎉🎉🎉🎉🎉🎉🎉🎉

[@PierreDevil203]

Le plus hallucinant avec "The Substance" c'est comme vous le dites très bien ce "Prix du meilleur scénario" à Cannes. Moi je rentre en salle en me disant super, je vais au moins avoir une bonne histoire. Et voila le bazar... On dirait un truc que Charles Band aurait pu écrire bourré il y a 30 ans après avoir vu "Society" ou "From Beyond". On en est vraiment arrivé là, des gens qui font l'amalgame entre les thèmes qu'aborde un film et son scénario?

[@thibaultlabatide_alanore9456]

Je crois que quand un film reçoit un prix de scénar récemment, ça a plutôt tendance à être mauvais signe. Monster avait eu le prix du scénar a cannes avec un scénar faussement complexe avec un twist mal foutu, et l'oscar pour jojo rabbit ou promising young woman me surprendront toujours tellement ces films sont mal écrits.

[@j2m433]

Mais bordel c'est justement pour ça que the substance n'est pas un truc intello mais un pure freaks movie de série b... Et pour une fois qu'un malentendu un vrai film de genre à Cannes ça devient une hérésie mais n'importe quoi

[@PierreDevil203]

@@j2m433 Pas intello ça c'est sûr, le film est con comme un parpaing. Par contre il est très prétentieux c'est ça le soucis. Quand tu veux faire une bonne petite série b ou un film de monstres, tu cite pas Stanley Kubrick ou Nicolas Winding Refn toute les 3 minutes.

[@thamberger]

"Vous n'échapperez pas à vous-même.". «The Substance», ou le body horror à son meilleur. Récompensé à Cannes par le Prix du scénario (auquel j'aurai volontiers rajouté celui de la mise en scène), le nouveau film de la réalisatrice-scénariste française Coralie Fargeat (Revenge) nous plonge dans le récit de l'actrice Elisabeth Sparkle, étoile du cinéma qui a perdu de son éclat au fil du temps, et anime une émission d'aérobic dont elle se fait licencier par son directeur de production, qui veut y réinjecter du sang neuf (et plus attrayant pour l’œil masculin). Sans emploi et victime d'un accident, une clé USB va lui être remise. Sur celle-ci, une publicité mystérieuse faisant la promotion d'une substance très spéciale, lui permettant de générer une version plus jeune, plus belle et plus parfaite d'elle-même, à l'unique condition de suivre 3 instructions bien précises. D'abord hésitante, Elisabeth décide de sauter le pas, déterminée à renouer avec sa célébrité passée, d'une manière ou d'une autre. Mais ce qui semblait d'abord se présenter comme une sorte de miracle va progressivement se transformer en cadeau empoisonné pour elle. Et lui démontrer que sa véritable ennemie, c'est elle-même. «The Substance» est, sans l'ombre d'un doute, l'une des œuvres les plus immersives et radicales que j'ai pu découvrir au cinéma cette année. Variation moderne et viscérale d’œuvres classiques comme «Le portrait de Dorian Gray» (la quête désespérée de la beauté et jeunesse éternelles), «Frankenstein» (la créatrice et sa "créature interne"), «Dr. Jekyll & Mr(s). Hyde» (2 corps liés par la même conscience, se battant pour prendre le dessus l'un sur l'autre) ou encore «Dracula» (l'autre moi qui se nourrit, comme une addict, de la moelle de l'Elisabeth originale pour conserver son corps et plus largement sa vie), cette fable horrifique dresse le portrait, frontal et peu reluisant, de cette obsession maladive pour l'apparence, diktat de la société et des chaînes TV, toujours à la recherche du corps parfait à exploiter sur leurs écrans. Doté d'une mise en scène chirurgicale et oppressante, lorgnant notamment du côté de Kubrick (pour la composition de ses plans et ses décors souvent épurés) ou encore de Winding Refn (en particulier pour son «Neon Demon»), le film fourmille d'idées visuelles ingénieuses (à l'image de cette intro temporelle sur le Walk of Fame), filmant le corps sous toutes ses coutures, sans tabou et de manière parfois volontairement malaisante et hyper-sexualisée (à la manière d'un clip de Benny Benassi), en adéquation totale avec son sujet, dans l'esprit d'un «Black Mirror» gore et qui aurait complètement vrillé. À l'intérieur de cette expérience ultra-sensorielle (d'autant plus lors d'une séance en Dolby Atmos), le très bon duo Demi Moore-Margaret Qualley se complète à merveille, telles les 2 faces d'une même pièce se fendant de plus en plus, et Dennis Quaid prend un certain plaisir à jouer le grand méchant loup en costard et au sourire carnassier. «The Substance» est définitivement une œuvre qui ne plaira pas à tout le monde de par son jusqu'au-boutisme formel (en particulier dans son dernier tiers outrancier mais totalement assumé, convoquant notamment des références à «The Thing» de Carpenter et «Society» de Brian Yuzna), mais personnellement, c'est justement ce qui m'a particulièrement plu. Un film décomplexé et ultra-généreux à tous les niveaux, ne se retenant jamais d'y aller à fond, et ne pouvant laisser indifférent. Un film se revendiquant de l'héritage Cronenbergien, tout en y apportant sa propre vision, sa propre lumière. Un film-monstre sur un combat interne (celui d'une actrice qui, au fond d'elle, ne s'est jamais vraiment trouvée "belle", et semble n'exister qu'à travers le(s) regard(s) qu'on veut bien lui apposer/imposer), dont les images et les sons nous impactent de plein fouet, et ne nous relâchant qu'au moment du générique de fin. Un petit bijou cauchemardesque et jouissif dont on ne ressort pas totalement indemne, et que je ne peux que vous inviter à découvrir sur grand écran (si c'est votre truc évidemment). Parce que des films comme ça, il n'en sort définitivement pas toutes les semaines. 8,5/10.

[@donjuliano9935]

The Substance est à mon avis un film assez décevant compte tenu de tout ce qui s’en est dit (comme le premier film de la réal dont je n‘ai plus aucun souvenir). J’aime bien à la base les films basés sur un simple concept, qui ne cherchent pas à expliquer le pourquoi du comment de l’histoire, qui laissent un mystère, sauf que là où ça fonctionne dans un Cube de Vicenzo Natali par exemple (puisque les protagonistes se posent légitimement les mêmes questions que le spectateur), dans The Substance c’est moins légitime. Par exemple, si j’étais une belle et célèbre femme de 50 ans à qui on proposerait un produit underground de rajeunissement gratuit, délivré par une organisation obscure, donnant rdv dans un endroit chelou disposant d’une entrée bien craspec, et à qui on demanderait de s’injecter une substance non identifiée, je crois que je n’aurais pas attendu pour fuir à toutes jambes, mais c’est peut-être à cause de mon côté paranoïaque. J’ai également un petit problème avec le virement psychologique assez brutal du personnage principal puisqu’elle semblait très bien vivre ses 50 ans jusqu’au moment où elle surprend la discussion d’un pauvre gars (content de revoir Dennis Quaid) qu’elle avait probablement déjà identifié comme étant un gros beauf. A partir de là, la solution proposée par la substance devrait même en principe totalement la satisfaire sur le papier. Sauf que comme le dit Culture Mag, si la mise en place du concept se tient, la coexistence des rôles par la suite n’est pas très claire. Outre les exemples donnés dans la vidéo, nous pouvons ajouter cette interview où la version jeune dévalorise totalement la version plus âgée alors qu’elles pourraient totalement cohabiter ensemble, et cela qu’elles se souviennent de leurs expériences mutuelles ou qu’elles ne s’en souviennent pas. Elles sont une (c’est sans cesse rabâché par The Voice) mais à la fin elles sont quand même deux (j’ai compté) à s’affronter et c’est quand même moins drôle que quand Ash affronte son double dans Evil dead 3. Quant au fait de laisser leur corps inerte en vrac, je suis d’accord avec Culture Mag, ce n’est pas pertinent (moi avec le bol que j’ai une famille de rongeurs aurait pris domicile dans mon côlon dès le premier jour). Après on va dire que c’est une symbolique, ça on l’a tous compris, mais si c'est le but premier du métrage ce n'est pas très fin comme message. En même temps je connais des gens qui veulent voir le film uniquement parce que Margaret Qualley joue dedans et que sa plastique est bien mise en avant, donc le film dénonce mais en même temps profite de ce qu’il dénonce, c'est bien commode. En point positif, le film a le grand atout d’être porté par ses actrices principales qui livrent tout de même une prestation remarquable. J’avais découvert Margaret Qualley dans Once Upon a Time in Hollywood où je l’avais trouvée incroyable, elle confirme qu’elle est une actrice à suivre, et ça fait également plaisir de voir Demi Moore si justement investi dans son rôle. J’ai également apprécié ces moments où le film commence subtilement à basculer dans le glauque après toutes ces images de perfection corporelle, il y avait un côté malaisant plutôt réussi, un crescendo dans lequel on ne sait pas trop comment ça va mal finir. Malheureusement ça finit (selon moi) en interminable grand guignol et cette rupture casse la dramaturgie mise en place. C’est comme si nous avions une montée vers une fin inéluctablement tragique (comme dans les EC Comics ou des séries comme Black Mirror) et que subitement The Thing se met à interpréter sur scène Notre Dame de Paris avant de filer tête la première vers sa bonne étoile sous une jetée de tomates, difficile d'être marqué ou ému par ce type de conclusion.

[@krusherdelamico5901]

Anora est un sacré bon film, effectivement certains n'ont peut-être pas les outils pour entrer dedans 🙂

[@emilezoulette882]

c'est quoi les outils pour rentrer dedans ? une condescendance crasse de petit cultureux de merde ?

[@nicolasdrisset813]

Mdrr c’est incroyable comme ils aiment rien a chaque fois c’est hilarant Vraiment dommage de pas voir le côté positif des choses

[@deadstar44]

Les blasés en mode daron. "yo C'est nul pompé sur La Mouche et Kubrick". Et alors? Faut plutôt saluer qu'une réal française y aille à fond dans le film de genre trash. A part Marina De Van et Julia Ducournau, je ne vois pas de réalisatrice française se réclamer de David Cronenberg et de Frank Henenlotter tout en étant divertissant et malaisant. La haine de soi au point de se défigurer à nu au sens littéral du terme, c'est glauque, absurde et grotesque. "Elle paye jamais", c'est une cobaye et ça reflète comment certaines stars influenceuses font la promotion de l'Ozempic en ce moment, un médicament pour diabétiques détourné en cure miracle d'amaigrissement aux effets secondaires nocifs. "Personne n'est comme ça dans la vraie vie." A l'ère du procès Mazan et des commentaires grotesques autour minimisant le viol et le consentement venant d'hommes (et de femmes), faut le faire...Tout le reste est à l'avenant, la critique est aussi grotesque que le film qu'elle prétend descendre donnant encore plus raison au parti pris de Fargeat. Le film est aussi "ringard" que son époque genre la société aurait évolué depuis les années 80 à l'ère des influenceurs vulgos à la sauce Kardashian/Nabilla/Maeva Ghennam charcutés au botox et au silicone?! Vaut mieux s'en gausser. C'est en réaction à ce genre de commentaires ringards que ce film est fait en éclatant le narcissisme 2.0 à l'esthétique de film de boules à coup de boules. Monstro ElisaSue est une créature qui mérite de rentrer dans le panthéon des créatures fantasmagoriques du Cinéma. Et pourquoi on n'a pas eu l'avis de Clémence sur The Substance?

[@olivetommme]

Je m'était fais ( en moins violent ^^) la même réflexion : le film est un parfait miroir de plusieurs dérives très concrète ojd, et autant c'est rare, autant je pense que sur ce coup là ils sont tous complètement passé à côté. Après, j'ai aussi l'impression que ce qu'ils appellent des "films de genre de festivals" ont déjà de leur point de vue en dessous la moyenne par principe ^^ ( ce qui est un peu dommage, y'a parfois de belles découverte à condition d'accepter le côté souvent un peu nombriliste de ses films là ).

[@sogoco.6408]

J'ai regardé the substance hier, alors j'ai pas payé la place désoler, mais j'avais tellement détesté la séance de revenge, j'ai regardé the substance vraiment pour avoir un avis dans ce flot réactions, alors petite anecdote, j'avais vu revenge au PIFFF et j'avais pas capté que le film avait été réalisé par une femme, et tout le film, j'ai passé mon temps à me dire et dire à mon pote que c'était de la merde, que c'était scandaleux de laisser des gros beaufs de réal réac filmer encore des trucs comme ça et les passer en festival, bref fin du film, la salle est retournée, standing ovation, j'comprend rien et là Fargeat arrive et je suis littéralement scié. Discours pour balancé que son film est féministe machin et tout, je me pince, que le gars dans au début du film était l'image de l'homme parfait, et pleins de trucs qui m'ont fait le liquifier sur mon siège. Ça a vraiment été l'une des séances les plus lunaires de ma vie. J'ai l'impression qu'on est raccord sur revenge je reviens pas sur ce film de merde. Donc j'étais pas du tout chauffé pour the substance, et j'ai à peu près fait toute votre critique avant même de la découvrir ce soir. Et nouvel ascenseur émotionnel j'apprends via votre intervention que le film a reçu le prix du meilleur scénario à Cannes, j'étais passé à côté et j'étais pas près. Content de vous avoir entendu, je partage totalement l'avis général, je me pose bcp de questions sur la quasi unanimité que le film soulève, je ne comprend absolument pas, et pour le coup ça lui donne pour ma part un peu d'intérêt. Merci en tout cas !

[@emilcalonis6826]

Hello à toutes et tous ! 2 questions : - pourquoi toujours "Alain Mercier" depuis le temps... au lieu de "Alain" ? - Le nouveau mag en pré-commande, en main propre, où sur Paris ? Merci pour ces critiques et les rigolades. Ps : un film d Eastwood n est jamais nul, mais en effet, il est très loin du top 10 celui-là.. malgré Toni Colette et la réal.

[@AlainAkonoMercier]

- C’est juste une routine, rien de plus ; - pour les remises en main propre, tout est précisé sur Kiss Kiss. On ne va pas étaler nos coordonnées sur KZbin et les réseaux sociaux.

[@emilcalonis6826]

@AlainAkonoMercier OK. Merci Alain ! Je n ai pas du bien voir en commandant sur KissKiss. On a le temps quoi qu il en soit. Au plaisir !

[@ericbruel7870]

A vous entendre , Anora ne mérite pas sa palme . Alors qui a décerné et sur quelle smotivations ? La présidente y a surement vu un film féministe , ce qui compte plus maintenant qu'un bon scénario

[@travisplainview1663]

Vous allez faire une video sur le Zemeckis ?

[@chavernac]

👨🏻‍⚖️

[@Fredworf-SDFilms]

Défoncer à ce point "The Substance" et ça réalisatrice ressemble plus à un règlement de compte qu'à une critique cinéma. Que c'est-il passé, Coralie Fargeat vous a refusé une interview? 😂🤣 Souvent l'explication est aussi bête que ça.

[@sylvainwaegemans4246]

Je me suis déjà posé cette question du règlement de compte personnel quand ils abordent les Snyder, Gunn et Villeneuve. Je ne crois pas que se soit le cas ici, ils trouvent juste que le film est claqué au sol. Julien souligne d'ailleurs que, d'après des interviews qu'il a pu voir de la dame, Coralie Fargeat lui semble très sympathique. Fargeat peut être parfaitement sincère dans sa démarche et faire quand-même des trucs nuls.

[@Capture-Mag]

Tu as raison : ton explication est très bête.

[@Fredworf-SDFilms]

​@@Capture-Magça sent le cœur brisé en tout cas

[@benzik]

Réécoutez, le film ne se fait pas defoncer (à part par Stéphane qui est le plus virulent). Faut arrêter de pleurer dès que certains journalistes osent prendre des distances avec les louanges unanimes de la presse. Pour ma part j'ai vu un film brouillon, prétentieux, bas de plafond et hypocrite dans son discours. Je les trouve finalement gentils.

[@princekrapaud1451]

Ds substance tout à été vu mille fois et mille fois mieux

[@ericbruel7870]

Les palmes d'or sont décernées non plus pour la qualité cinématographique mais par l'idéologie des sujets du moment : un coup c'est le racisme puis le féminisme une autre fois le nazisme , le fascisme , le colonialisme , j'y vois la fin du cinéma , après la fin du showbizness

[@liryc8909]

Ha? Parce que c'était différent avant ? Renseigne toi sur l'origine du festival de Cannes ^^ L'esthétique est politique ;) Il faut faire avec et ce n'est pas un problème.

[@ogdTo]

Franchement descendre "The Substance" et encencer "Vermines", vous avez un peu des goûts de chiottes mais bon soit.

[@murphykaptain9689]

Demi Moore = la moitié en plus. C'est ça la logique du casting ?

[@lescribouillard6900]

56:22 Capture Mag devient marxiste, je peux mourir en paix.

[@ACultOfficiel]

Sur "The Substance" , les citations bourrines à Kubrick , Cronenberg ... ok. Mais ne faudrait-il pas regarder (aussi) du coté Ken Russel et Winding Refn (dans l'outrance , notamment ) ? D'accord sur les problèmes de caractérisation et d'enjeu.

[@jeremygauer7883]

😃👍👍

[@johanw6812]

Ah l'avis de Capture sur le gros navet de Fargeat ? (certains essaient même de réhabiliter Revenge maintenant 😅)

[@johanw6812]

Erich a loué des trucs interminables comme Oppenheimer mais s'est fait chier devant le film de Clint : mauvais point pour lui !😉

[@lingettekandoo]

J'hésite à aller voir Juré n° 2 ce week end, mais j'ai l'impression que ça spoil pas mal. Est-ce que quelqu'un peut me dire si Stéphane le recommande? Plus généralement, ils le considèrent comme un bon Clint Eastwood?

[@johanw6812]

N'écoute pas la critique qui spoile jusqu'au plan final (pour te résumer, Erich le trouve globalement chiant alors que Stéphane a beaucoup aimé et le recommande fortement)

[@lingettekandoo]

@johanw6812 merci !

[@bh590]

J'apprécie beaucoup que Julien fasse un preambule disant quil n'est pas un toutologue du cinéma. Mais il faut avouer que les pontes de ce podcast sont incapables de passer outre le côté narrato-narratif du cinema. Ce n'est qu'une petite partie du cinéma. C'est même le limiter que de ne le voir que par ce prisme. La cinephilie à la Scorsese/Wright/Bong Joon Ho, c'est quand meme bien plus vaste que celle défendue ici.

[@marchermitte]

Tout a fait en accord avec votre critique de "the substance" qui bénéficie d'une maniere inexplicable de critiques et d'avis dithyrambiques un peu partout. Un ennui! Ce film est juste une note d'intention étirée sur 2h20, des plans répétitifs, souvent "empruntés" a des films iconiques, des personnages inexistants qui ne sont la que pour illustrer un concept (jeune et jolie, vieille et moche, vulgaire et macho pour le directeur de la chaine, etc.), totale incohérence dans le traitement du scenario (qui a reçu un prix a Cannes, ca dit tout de ces institutions!). Enfin, vous avez tout dit et je me sens moins seul. Concernant le film de Clint, je vous conseil de voir (ou revoir si vous le connaissez) l'excellent film "Le Septième Juré" réalisé par Georges Lautner en 1962. Avec un pitch relativement similaire, Lautner va beaucoup plus loin, son film est tres pervers et immoral tout en chargeant les institutions et, comme dans la fin d'American psycho, l'impunité d'une certaine élite. Pardonnez -moi le manque de certains accents et de cédilles, j'ai un clavier US.

[@nantikrokin]

décu que vous n'ayez pas aimer anora

[@Capture-Mag]

@@nantikrokin il y a au moins 3 personnes qui ont aimé… 🙃

[@faberbosc6639]

95% de critiques négatives pour des fims plus que corrects ... Pour vous mettre à la réal, c'est quand vous voulez

[@Capture-Mag]

@@faberbosc6639 dis que t’as pas écouté l’émission sans le dire.

[@betessauvages4786]

Merci ! The Substance c'est la mouche filmé par Luc Besson. Le film est mal vendu: ce n'est ni un choc, ni féministe, ni subversif. Effectivement il n'y a pas de propos, car le film n'a rien à dire, sauf un petit message qui arrive trop tard et débité dès le début et qui n'évoluera pas. C'est un film comique voilà tout.

[@RoiPaimon]

"Ils sont enfin de retour pour nous jouer un mauvais tour... !!" Heu... C'est la Team Rocket ça??

[@razorback7828]

En fait je dois dire que j'ai bien apprécié la défense de Moissakis du dernier Eastwood. J'ai rarement du positif à dire sur ses avis, mais là, je salut le bonhomme. Et pour Anora, même si je trouve que le film a beaucoup de faiblesses, je suis assez d'accord avec ce que dit Marie pour sa défense.

[@GutBuster]

Salut, ce serait cool d'avoir votre avis sur la saga Terrifier !

[@Capture-Mag]

Ce n'est plus d'actu. 🤷‍♂

[@GutBuster]

@@Capture-Mag le 3 est encore à l'affiche ! :D

[@Capture-Mag]

@@GutBuster sorti la même semaine que Le Robot Sauvage, traité il y a un mois... Nous reprenons aux sorties de la semaine dernière.

[@pone4645]

The Substance c'est du Cronenberg réalisé par Besson

[@travisplainview1663]

Lol totalement ^^

[@princekrapaud1451]

L erreur de demi Moore c est que maintenant on dit la vieille et c est un suicide. Parce qu elle n est pas grimée en vieille