Bonjour. Vous pouvez me contacter par e-mail à l'adresse suivante : [email protected]. Bien à vous.

Merci pour votre message. Oui, c'est vrai, la méditation peut apporter beaucoup lorsqu'il s'agit de nous sentir plus serein et plus confiant.

Merci pour cette auto-analyse partagée. Personnellement, je trouve qu'elle n'a rien de paradoxal. Vous avez vos préférences concernant la façon d'avoir des interactions sociales. C'est bon de vous connaître vous-même. Et vous pouvez garder ces préférences sans plus vous sentir timide.

@@jeanmarc-hardy Merci de votre réponse, après ça dépend quelle compagnie indirecte, il y a des groupes que je fuis. Un restaurant calme avec un peu de monde ok, un bar bondé avec des gens ivres et entassés au comptoir, souvent je fuis (sauf si je vois quelqu'un que je connais bien)

@@jeremyv3143 Oui, je peux comprendre :-)

Merci Jérémy, c'est intéressant d'entendre toutes ces nuances. Nous partageons d'ailleurs une "bizarrerie" : je peux ressentir du plaisir à aller seul au restaurant :-)

Merci beaucoup pour cet encouragement 🙏

Merci pour cet aveu... maintenant, si vous parvenez à associer la convivialité à vos passions intellectuelles, c'est ce qu'il y a de plus souhaitable :-)

Merci aussi pour ce partage. Il est le signe que nous évoluons. Mais cette évolution se fait, comme vous le soulignez, par l'observation de nos propres pensées et par l'acceptation qu'elles ne sont pas toujours justes. Cette honnêteté vis-à-vis de nous-mêmes (qu'on pourrait aussi qualifier de lâcher-prise par rapport à notre ego) nous permet de nous libérer.

Je sais que ce que je vais dire peut paraître assez dur, mais la honte, nous en sommes responsables : c'est nous qui choisissons de nous sentir honteux ou fiers. C'est ce que j'appelle la "responsabilisation émotionnelle". Bien sûr, c'est plus facile à dire qu'à faire. C'est pourquoi, en coaching, nous travaillons sur ce que nous appelons en psychologie la "restructuration cognitive", afin d'adapter nos pensées de manière à ce qu'elles génèrent de la confiance, et non plus de la honte. Cela demande une introspection et un travail sur soi, qui peut dépendre de l'histoire de chacun·e.

Bonjour. Alors la réponse va toujours dépendre de chaque personne, car nous sommes des êtres humains avec mille nuances. Mais dans les grandes lignes, je dirais que vous avez plusieurs pistes : 1. S'entraîner à s'exposer aux situations qui nous font peur 2. Apprendre à se connaître soi-même et nous responsabiliser sur ce que nous voulons 3. Adapter notre perception du monde extérieur (parfois perçu comme "dangereux" lorsqu'on nous a surprotégé) 4. S'affirmer devant son parent s'il est encore vivant (mais aussi comprendre les peurs se son parent) J'espère que ces pistes vous parleront :-)

Merci, c'est sympa de le dire :-)

Je respecte votre opinion, mais je me permets de vous apporter mon expérience personnelle de terrain. Moi oui, il m'est arrivé d'accueillir des personnes matériellement nanties en thérapie de peurs sociales... plus d'une fois... même des gens très timides, et très riches. Même si je suis 100% d'accord avec le fait qu'un sentiment d'infériorité sociale ou matérielle peut contribuer à un sentiment de timidité. Les peurs sociales et la timidité touchent absolument tous les milieux, selon mon expérience.

Bonjour et merci pour votre commentaire très intéressant, car il amène un contre-exemple, que j'ai déjà rencontré chez certaines personnes. La plupart des gens sont impressionnés à l'idée de parler en public, surtout devant de grandes audiences, et seront davantage à l'aise face à un petit nombre de personnes. Mais l'inverse peut exister aussi. Lorsque nous sommes à l'aise avec la performance ou le registre professionnel, mais que nous sommes beaucoup moins à l'aise avec le registre intime ou le fait d'être amené à parler de nous-mêmes et nous dévoiler. J'ai reçu récemment en coaching, par exemple, une jeune dame qui n'a aucun souci à s'exposer en public, même pour chanter, jouer d'un instrument ou animer une formation, mais qui se retrouve tétanisée lorsqu'elle dialogue avec une seule personne dans l'intimité. Si ce sujet vous intéresse, je vous recommande de regarder cette vidéo que j'ai tournée, car dans la première partie, je fais référence à ce cas de figure étonnant de stars de la télé, qui sont à l'aise sous les projecteurs, mais très mal à l'aise en coulisses : kzbin.info/www/bejne/rYHWin9ji6qlbaM

Je pense que j'ai le même soucis que votre patiente, énormément de facilité à me mettre en scène et à parler devant un auditoire mais très compliqué de parler de moi ou d'entamer des dialogues intimes face à une personne. Savez-vous d'ou ca peut venir? Peut être un tromatisme de l'enfance ou une peur cachée? Je vais regarder votre vidéo, merci de votre réponse.

@@yaahman74 Merci pour votre réponse. Concernant l'origine de cette sensation, il y a plusieurs pistes qui peuvent être très personnelles. Par exemple, lorsque dans l'enfance, nous avons été valorisés pour nos "prestations", mais que nous n'avons, à l'inverse, pas été invités à exprimer nos émotions, notre individualité, notre différence, etc. Ceci dit, quelle que soit l'origine d'une peur, il est toujours possible de la travailler et de la dépasser. Et contrairement à ce que laissait penser une certaine branche de la psychanalyse à une certaine époque, il n'est pas forcément indispensable d'identifier l'origine d'une émotion pour décider de la changer.

Bonjour. Vous trouverez ici une bibliographie : timidite.info/livres/. Je vous conseille en priorité l'ouvrage de Christophe André et Patrick Légeron : "La peur des autres". Il reste toujours d'actualité, à mes yeux : timidite.info/livres/la-peur-des-autres/. Bonne lecture !

Bonjour et merci pour votre partage. Oui, je comprends, lorsque nous sommes intimidés, nous pouvons "perdre" des compétences. Nous sommes freinés dans nos gestes, dans notre spontanéité, dans notre expression. Avez-vous une idée de ce qui provoque ce stress ? De quoi avez-vous peur ? Bien à vous, -- Jean-Marc J'accompagne les timides depuis 2004 : timidite.info/coaching-timidite/

@@jeanmarc-hardy j'ai peur de me tromper de ne plus comment faire du regard des gens sur moi

@@ducoussomylene1070 D'accord, je comprends. Donc vos craintes se situent au niveau de la peur de l'échec combinée à la peur du regard ou du jugement de l'autre. Avec ce phénomène paradoxal et navrant qui est que la peur d'échouer diminue notre self-contrôle et nos capacités. Une bonne piste, dans ces cas-là, est de travailler sur l'image de soi, la sensibilité au regard de l'autre ainsi que le rapport à l'échec. En explorant dans le détail le bien-fondé de vos peurs (approche dite cognitive), vous parvenez très souvent à ajuster votre façon de voir les choses, dans le sens d'une plus grande confiance et d'un plus grand lâcher-prise. J'en parle un peu dans cette autre vidéo : kzbin.info/www/bejne/rYHWin9ji6qlbaM (Si vous avez des questions, n'hésitez pas)

@@jeanmarc-hardy est ce que il y a un livre que je puisse acheter que sa puisse m'aider

@@ducoussomylene1070 Oui, absolument. J'ai répondu à votre autre commentaire en ce sens. Je vous conseille par exemple "La peur des autres" de Christophe André. C'est un livre qui permet de comprendre les peurs sociales à différents degrés. C'est un très bon point de départ. Je vous invite aussi à explorer cette série de vidéos, basée sur une expérience de terrain : timidite.info/videos/100-videos-pour-vaincre-la-timidite/.

Bonjour et merci pour votre témoignage. Peut-être pouvez-vous commencer par faire le portrait-robot de votre timidité en répondant aux 10 questions sous cette vidéo: kzbin.info/www/bejne/b5vXeH5_d6lge7M ? Bon courage !

Ah, ah, j'adore :-) P.S. La Maison se dégage de toute responsabilité sur les conséquences de cette vidéo.

Bonjour. Et merci pour votre question :-) La restructuration cognitive, c'est quelque chose que nous travaillons en coaching (timidite.info/coaching-timidite/) ou dans certaines psychothérapies, comme les thérapies cognitives et comportementales. Au départ, il est préférable d'être accompagné, mais ce qui est intéressant, c'est qu'avec un peu d'entraînement, vous pouvez être capable d'effectuer ce travail de manière autonome. Même si c'est toujours plus facile, quelle que soit notre expérience, de nous appuyer sur l'altérité. Pour dire les choses plus simplement, la restructuration cognitive est un processus qui va vous conduire à : 1. Identifier vos schémas de pensée (conscients, mais aussi souvent inconscients au départ) 2. Questionner le bienfondé de vos schémas de pensée 3. Ajuster vos schémas de pensée (pour être mieux adapté à traverser la vie positivement) Bien à vous. Jean-Marc

@@jeanmarc-hardy merci pour votre réponse. Oui je le travaille déjà au quotidien mais c'est le plus compliqué pour moi par rapport aux émotions et aux actes ( même si ces 2 points pourraient aussi être améliorés). Je suis perfectionniste et beaucoup d'exigences envers moi-même. J'apprends à me mettre moins la pression et à prendre les choses avec plus de détente et de recul . Je trouve votre site très bien fait et votre vidéo sur les 3 axes de travail très parlante. Je souhaiterai aussi progresser dans la communication de séduction et amoureuse car s'il y a bien un domaine où le lâcher prise aide c'est celui là. Si je veux faire une séance de coaching d'essai, comment s'y prendre ? Merci

@@s-ste4474 Bonjour. Vous mettez le doigt sur un point tellement important que je vais prochainement y consacrer une vidéo : le perfectionnisme :-) Comme vous le dites très bien, le perfectionnisme va générer en nous un lot de pensées oppressantes. Et cela se corrige très bien avec un peu de pratique. L'idée est d'adoucir la façon dont nous vivons les événements et le regard sur nos performances et sur les enjeux... sans perdre les avantages du perfectionnisme, qui nous pousse à nous améliorer et à faire les choses bien :-) Mais le perfectionnisme, comme la timidité d'ailleurs, va prendre des contours un peu différents pour chacun et chacune d'entre nous. Pour ce qui est d'organiser une séance de coaching à l'essai, vous êtes la bienvenue. Je vous invite à me contacter par e-mail ([email protected]) et me proposer quelques créneaux de jours et d'heures qui vous conviennent. Une belle journée à vous.

Bonjour Philippe, vos questions sont bienvenues. Il vous suffit de poster un commentaire et j'y réponds :-)

Merci Didier, ça fait plaisir, ce feedback spontané :-)

Merci pour votre intéressante question. La réponse est OUI, incontestablement, nous pouvons changer à tout âge. J'accompagne régulièrement des personnes qui ont 50 ou 60 ans. Et les changements que ces personnes mettent en place sont parfois spectaculaires. J'en parle concrètement ici: kzbin.info/www/bejne/pJa9Xp2Ne9iqa8U Contrairement à certaines idées reçues, notre cerveau garde une plasticité (c'est-à-dire la capacité de s'adapter) jusqu'à notre dernier jour. Alors, bien sûr, des habitudes ancrées pendant des années ne peuvent pas être démêlées en trois minutes, c'est vrai aussi. Mais lorsque la personne désire vraiment un changement (souvent parce que sa vie est devenue insupportablement douloureuse ou décevante), ce changement peut être initié à tout âge.

​@@jeanmarc-hardy Je vous remercie infiniment. Là j'ai une honte, celle d'avoir relu ma syntaxe.Merci pour vos vidéos très réconfortantes

@@toscanoalexandre1455 Avec plaisir, Alexandre... et aucun souci pour la syntaxe, qui n'enlève aucunement la valeur de votre question, à mes yeux.

Salut Monsieur je vous remercie mais moi j'ai une honte quand je fais quelqu'un du mal et j'ai peur qu'il me laisse

C'est déjà intéressant que vous puissiez vous rendre compte de ce qui se passe à ce moment-là. Et maintenant, si vous prenez le temps de vous assoir et de réfléchir : que pensez-vous de l'attitude de regarder les gens dans les yeux ? Pourquoi baissez-vous les yeux quand on vous regarde ? Vous avez une idée ? Et surtout : comment aimeriez-vous vous comporter idéalement ? Quel serait pour vous le comportement idéal ?

@@jeanmarc-hardy pour moi regarder les gens dans les yeux est une attitude de confiance en soi. Je n'ai aucune idée du fait que je baisse les yeux quand on me regarde. Tout ce que je peux dire je suis géné. J'aimerais regarder les personnes dans les yeux quand je leur parle et quand on me parle sans aucune gêne.

@@patrickgnonssikan7935 Je vous invite alors, maintenant que vous avez pris conscience de ce que vous souhaitez, à adopter cette attitude : regarder les gens dans les yeux... même si vous vous sentez gênés au début. Faites-le tous les jours pendant plusieurs semaines. Avec l'habitude, cela deviendra naturel. Concentrez-vous sur votre comportement (regarder dans les yeux), et non sur votre gêne. N'écoutez pas cette dernière, et elle disparaîtra avec un peu d'entraînement. Courage !

@@jeanmarc-hardy merci. Mais de façon pratique je peux regarder dans les yeux des gens pendant combien de temps? J'aimerais savoir si je dois continuer aussi à refaire votre méthode que vous avez conseillé

@@patrickgnonssikan7935 Oui, vraiment, je vous encourage à insister. Puisque c'est vous qui choisissez, par gêne, de baisser les yeux, c'est vous aussi qui pouvez choisir, par courage, de maintenir le regard. Et pour évaluer le temps que vous parvenez à tenir, étant donné que vous n'allez pas utilisé un chronomètre, je vous suggère de procéder ainsi : 1. Après chaque journée, demandez-vous à vous-même à quel point vous avez réussi à regarder les gens dans les yeux. 2. Donnez-vous une note de 0 à 10 (où 0 correspond à une situation où vous n'avez même pas regarder la personne une demi-seconde, et 10 correspond à une situation parfaite, où vous regardez sans relâche votre interlocuteur) 3. Donnez-vous le défi de monter la note d'un cran le jour suivant (par exemple passer de 3 à 4 sur 10) 4. Faites cet exercice avec détermination, tous les jours, jusqu'à parvenir au moins à 5 ou 6 sur 10 (c'est-à-dire une situation qui n'est pas encore parfaite, mais qui n'a rien de dramatique non plus) Courage !

Bonjour Patrick. Et bravo d'avoir essayé ! Trois jours sont probablement insuffisants. Mais, surtout, si vous ressentez de la honte, cela ne pourra pas fonctionner. En effet, c'est la peur, et non la honte, qui diminue avec l'entraînement et l'habitude. La honte est le sentiment de faire quelque chose d'inconvenant. Avez-vous une idée de en quoi vous trouvez honteux de regarder les gens dans les yeux ? De quoi avez-vous honte exactement ? Merci pour votre message et courage !

@@jeanmarc-hardy Franchement je sais même pas pourquoi J'ai honte de regarder les gens dans les yeux. ce que je peux je ressens une gêne à regarder et dans les yeux des personnes et aussi à soutenir leur regard. Je ne comprends pas pourquoi J'ai autant de mal à ce niveau là

Bonsoir Mr hardy franchement je ne sais pas pourquoi je suis gêné de regarder les gens dans les yeux. Mais ce que je sais on me dit que je suis une personne qui a beaucoup honte et sur ça je suis d'accord donc j'attends vos conseils

Bonjour Carole. Et merci pour votre témoignage courageux. Je vois là un véritable défilé d'images de votre histoire familiale. Avec beaucoup d'émotion... et l'émotion est ce qui nous met en mouvement. L'émotion est l'inverse du refoulement. Les larmes nous permettent d'évacuer ce qui dort en nous. En tout cas, je vous souhaite de donner du sens à toute cette histoire. Peut-être en vous posant ces quelques questions : 1. Qu'est-ce que j'ai appris de tous ces épisodes ? 2. Qui je souhaite devenir ? En quoi est-ce que je veux ressembler ou, au contraire, ne pas ressembler à ceux et celles qui m'ont précédé ? 3. Ai-je besoin de pardonner des choses à d'autres ou à moi-même pour me libérer du passé ? 4. Comment poursuivre cette histoire dans l'amour ? 5. Quel est le cadeau caché dans cette adversité qui m'a été présentée ?

Courage à vous ! Je vous encourage à faire quelque chose pour sortir de votre souffrance.

Merci :-)

Bonjour Mariana. Merci pour votre commentaire. Je suis d'accord avec vous sur plusieurs points : La confiance en soi empêche d'être timide. Savoir ce qui est bon et mauvais pour nous et être capable de nous affirmer sont des qualités importantes. En revanche, concernant la connaissance, ça dépend. J'ai observé des personnes très instruites être très timides. Et inversement, des personnes peu instruites, se sentir parfaitement à l'aise.

Bien plus qu'un inutile barvadage, votre témoignage est très riche, très incisif et très touchant (ce dont je vous remercie). Il oscille entre le regret et la louange. Il interpelle et amène cette question sous-jacente que je n'ose vous poser qu'entre les lignes : Est-il vraiment trop tard pour que vous choisissiez de parler au passé ? Le retournement n'est-il pas, à chaque instant, un possible à saisir ? Demain n'est-il pas le premier jour du reste de notre vie ? Même si l'acceptation de la souffrance nous fait rentrer dans véritable dimension de l'être, comme vous dites. Mais acceptation et renoncement sont des choses différentes. Dans les processus de changement, l'acceptation est une porte d'entrée vers le changement. Merci encore pour votre témoignage.

Bonjour Jean-Marc. Un grand merci à vous pour votre très gentille réponse. Effectivement , il me semble toujours utile de tenter une approche du passé pour mieux se discerner dans le présent , et rêver un futur meilleur. Sans recherche de nostalgie , j'aime repasser les souvenirs.Cette attitude , je l'applique pour tout ce qui me passionne ( l'histoire , quel sens donner à une oeuvre musicale qui parle depuis le passé jusqu'à nous , etc...).Vous-même nous expliquez votre parcours , votre découverte de la timidité en votre adolescence.C'est extrêmement intéressant et révélateur : il y a autant de formes de timidité qu'il existe de timides.Voilà un vaste sujet ! Mais , ce qui m'a motivé à ajouter un commentaire , hier soir , tient au fait que votre timidité et la mienne sont extrêmement différentes , certes...et je dois dire que vous m'avez beaucoup étonné.En effet , je pensais que la timidité se constitue dès la prime enfance , voire dans le sein maternel ! Pour vous cela n'est pas le cas , enfin en apparence.Il y a cet étrange paradoxe que vous faites ressortir entre le petit garçon chef d'équipe et celui qui découvre sa timidité bien ciblée lorsqu'il s'agit de faire une bise à une camarade de classe.Votre champ d'action n'est plus le même et vous perdez votre supériorité de chef dans le camp des filles.C'est finalement drôle et révélateur car beaucoup d'hommes sont braves devant d'autres hommes et timides avec les femmes...selon les constatations que je me suis faites par l'étude visuelle de la société en règle générale. Or , ma timidité - vous l'avez constaté - commence très très tôt.Disons qu'il y a bien eu un choc lors d'une fête foraine sur les manèges , car je ne pourrais plus dès ce moment traverser une fête , au grand désespoir de mon frère qui voulait toujours m'y entraîner.Il me fallait inventer mille prétextes pour demeurer " caché " à la maison.Oui caché...jusqu'à ce que la fête soit finie et les forains partis.Alors , la vie redevenait belle et il me semblait pouvoir voler tel un oiseau.Vraiment étrange ! J'aime parler de ce détail car il se peut que tout soit relié à cet événement dont - hélas - tout souvenir est effacé dans ma mémoire.Je ne tenterai pas une cure d'hypnotherapie car je veux demeurer maître de la situation et il me semble que l'hypnose permet d'interférer , de s'introduire dans l'identité propre à chaque être.Certes , cela est très subjectif mais la chose me paraît malsaine. Vous avez raison de penser que revisiter le passé peut aider à mieux se situer , voire construire son avenir. Je n'ai jamais cru à l'âge dans le sens où il serait trop tard à partir d'un moment pour avancer.Mes collègues , ceux de mon âge , tiennent des propos débiles : " On vieillit , il y a des douleurs , c'est l'âge , et bientôt la retraite ! " Je me dis qu'avec de tels raisonnements leurs retraites sera très très abrutissante et stérile.Il faut dire que j'ai eu la chance d'avoir une maman qui s'est battue toute sa vie.Elle voulait mourir à 100 ans...mais elle est allée jusqu'à 95 ans , courbée sous le poids des épreuves et de la fatigue après une vie de dur labeur.Cela m'est un exemple que je ne puis qu'honorer et dont je dois m'inspirer. Je n'ai rien réussi , selon les critères que la société prône.À 15 ans j'étais encore en classe de 5e et j'ai suivi , sans y parvenir , une classe de 4e par l'École Universelle.Je ne connais aucune règle de grammaire , n'y ayant jamais pu comprendre quoi que ce soit.Je suis complètement fermé au monde des mathématiques et me souviens avoir été l'éleve à abattre des professeurs.Seule la musique m'attirait.Il n'y avait qu'elle et moi à nous comprendre...mais je ne pus commencer le piano qu'à l'âge de 15 ans car mes parents ( petits commerçants en province ) avaient élevé cinq enfants et ne pouvaient comprendre cette passion de la musique chez leur dernier , véritable cancre en majesté.J'eus finalement un piano d'étude d'occasion et un professeur aveugle à dix kilomètres.Mais après ma première année , ayant progressé tellement rapidement , je fus envoyé à PARIS chez un grand professeur pour être auditionné.Vous connaissez la suite. Avec le temps , avec l'expérience de la vie , ma timidité a trouvé sa place...mais en me laissant toutes les marques , les cicatrices de son empreinte cinglante.Je n'aime pas cette " femme mystérieuse " qui n'a eu cesse de me gâcher la vie et conserve toujours l'orgueilleuse présomption de m'en faire voir.Non...je ne l'aime pas ; car elle se voile de tant de mystère que je ne puis ni distinguer ses traits ni discerner sa voix.C'est qu'elle doit être muette cette furie...mais non sourde ce me semble ! Je dois donc me résoudre à vivre avec elle , à supporter sa présence et m'incliner devant sa force.À moins que ce ne soit moi qui se révèle être plus fort qu'elle ?!?...car en y songeant bien , elle n'a jamais réussi qu'à me faire plier , mais à m'abattre elle ne le peut point.😤 Merci pour votre passionnant témoignage et votre proposition de discernement en dix chapitres , ce qui permet de bien appréhender tous les aspects , toutes les nuances.Ainsi , je pense que beaucoup de personnes vont se repositionner et pouvoir se battre pour avancer grâce à votre précieux témoignage. Pour moi , la vie recommence chaque jour , et de manière très différente.Seule cette mortelle routine d'un travail sans horizon ( mais combien d'hommes peuvent se vanter de posséder un emploi passionnant ? ) me donne le vertige. Je vous souhaite une merveilleuse journée pleine de joie et de belles rencontres Jean-Marc , tout en achevant ici mon discours. Très cordialement. Lionel.

@@lionelvigneresse4563 : Merci encore, Lionel, pour ce très riche partage. Tantôt sous un éclairage limpide, tantôt derrière le voile du souvenir ou du traumatisme. Une chose est sûre : vous avez de la vivacité d'esprit... et même une forme d'humour entre les lignes :-) Il n'y a qu'un point où je dois bien avouer, pour la pratiquer moi-même, n'être pas d'accord avec vous : c'est l'hypnose. Il s'agit, à mes yeux, au contraire, d'une des pratiques les plus bienveillantes qui soit, et qui contrairement à ce que l'on pourrait penser, vous laisse totalement maître de ce que vous vivez. Sans doute bien plus maître qu'à l'ordinaire, en raison du fait que l'hypnose fait appel à votre Moi profond. Mais c'est mon humble avis, basé sur ma formation et sur mon expérience. Même si, comme dans tous les domaines, il existe probablement des charlatans. Je vous souhaite sincèrement de poursuivre votre existence avec cette capacité d'échange... qui n'a rien de timide :-)

Je profite d'un autre temps de pause pour vous répondre Jean-Marc , faisant suite à votre dernier message qui me touche sincèrement. Alors , il est vrai qu'à propos de l'hypnose je suis très réticent , et cela parce-que je connais un hypnotiseur exerçant à PARIS VIe , à proximité de la place Saint-Sulpice.Certes il possède tous les diplômes exigés dans cette discipline ( il s'agit de l'école Eriknossienne , ou un nom similaire ) et - si l'on peut dire - a pignon sur rue , ou tout au-moins sur internet. Malheureusement , j'ai très bien connu et fréquenté ce personnage lorsque je travaillais au château de VERSAILLES dans les années 1990.Bien qu'étant alors professeur d'anglais au lycée Grandchamp de VERSAILLES , très engagé dans l'église catholique d'autre part , il nous informa ( nous formions alors un petit groupe de personnes vouant une forme d'admiration pour ce personnage au charisme très envoûtant ) qu'il allait désormais se consacrer , parallèlement à son poste à VERSAILLES , à la théologie , faire le séminaire et accéder à la prêtrise.Nous en fûmes comblés , car sa spiritualité ( qui lui inspira deux volumes de mystique édités chez Hovine avec l'Imprimatur ) nous fascinait , il faut bien l'avouer. Pourtant , m'apercevant de détails peu orthodoxes ( car il guidait spirituellement sans autorisation , sans la grâce d'état ) , je m'en entretins avec des prêtres , dont l'un le connaissait parfaitement , qui me conseillérent de lâcher prise avec lui sans plus attendre.Je finis par y arriver mais ce fut un combat car son charisme spirituel avait eu sur moi une emprise particulièrement récurrente.Mais j'y arrivai tout de même.Je quittai VERSAILLES en 2001 pour deux petits musées nationaux ( île d'AIX 17 ) dans le but de me rapprocher de maman et de mon frère ( que j'ai perdu en 2016 ) qui habitaient ROYAN , petite station balnéaire de Charente-Maritime assez proche de l'île d'AIX.Au passage , je dois avouer que ce séjour sur cette île fut un véritable calvaire : je me sentais mourir d'ennui et d'isolement sur cette langue de terre sans relief de 130 hectares.😧 Je pus obtenir une nouvelle mutation en octobre 2010 pour le château de FONTAINEBLEAU ( 77 ) où je me trouve donc , avec logement de fonction. Donc , je perdis plus ou moins la trace de mon personnage encombrant.De retour sur PARIS , j'appris qu'il n'avait point fait le séminaire mais était devenu hypnotiseur eriknossien ( je ne suis pas certain de l'orthographe ! ) avec son cabinet et - surtout - la possibilité de diriger les personnes spirituellement , sans dévoiler son identité ( ce qu'il nous demandait expressément de faire ) dans le cadre même de confessionnaux , à Saint-Sulpice plus particulièrement. C'est ainsi que je me suis fait une idée très négative de l'hypnose en imaginant le danger que cela peut représenter lorsqu'une personne , comme ce personnage que j'ai bien connu , exerce cette profession.Voilà la raison de mon appréhension très justifiée , ainsi que je puis vous l'assurer. Je ne pouvais pas ne pas vous expliquer la nature de mes doutes sur l'hypnose. Encore un grand merci à vous Jean-Marc pour ce beau partage et votre témoignage. Bien cordialement. Lionel.

@@lionelvigneresse4563 Ah oui, sous cet angle, je vous comprends. Merci pour ce partage d'expérience.

Oui, comme vous dites très bien, suite au sentiment de ne pas être désiré, nous pouvons tomber dans des mécanismes autodestructeurs, où nous cultivons l'échec, en effet, comme si quelque chose en nous ne nous autorisait pas à vivre notre vie. Il y a plusieurs piliers qui construisent l'estime de soi : la confiance en soi, l'image de soi et... l'amour de soi. Ce dernier composant est souvent affecté lorsque nous n'avons pas été aimé. Tant il est difficile d'aimer lorsqu'on n'a pas eu le sentiment d'être aimé dans nos premières années. Par quels mécanismes certaines personnes qui ont grandi sur un sol aride parviennent, à un moment donné, à malgré tout se déployer et s'épanouir ? Je ne saurais y répondre précisément. Peut-être comme une sorte de retournement. Une autorisation qu'on se donne finalement à soi-même, même si nous ne l'avons pas reçue de l'extérieur. Vous parlez de votre enfance et j'ignore ce qu'il est advenu de votre vie aujourd'hui. Je vous souhaite, en tout cas, ce type de retournement.

Absolument. J'aime bien votre formulation. Même si tout cela demande un certain entraînement, j'assiste tous les jours à cette victoire progressive sur soi-même, à travers les coachings ou dans ma propre tentative de devenir chaque jour un peu meilleur. Le dragon est en nous bien plus qu'à l'extérieur ;-)

@@jeanmarc-hardy L autre élément essentiel est de toujours être honnête dans une situation. si l on désire changer et rendre consciente une situation vécue, afin de décider de changer notre propre comportement et progresser. Car rien n est envisageable sans cette honnêteté que l on se doit à soi même et donc aux autres...

@@xaviergonzalez8664 Absolument d'accord. L'intégrité est un pilier de la confiance en soi. J'en suis convaincu. Ne pas mentir à l'autre, mais aussi à soi-même.

Oui, si vous partagez certaines choses en commentaires, je vous répondrai volontiers.

Merci pour votre commentaire :-) Je suis heureux d'entendre que vous sentez déjà un changement en vous... ne lâchez rien... continuez votre travail intérieur et la vie va vous sourire.

Bravo pour cette prise de conscience ! Vous avez identifié une de vos peurs : ne pas être à la hauteur. Comme toutes les peurs, elle peut se travailler et se dépasser.

@@jeanmarc-hardy pouvez m'indiquer des exercices à faire, qui m'aideront à developper ma confiance ? Moi,avec les inconnus je parle pas beaucoup mais je suis à l'aise car je me dis que je suis pas obligé de parler,mais avec les connaissances, quand je ne parviens pas à exprimer mes pensées ça me met trop mal à l'aise

@@confitbienius6903 Oui, je comprends bien cette différence que vous ressentez entre les inconnus (qui vous mettent moins la pression à devoir parler) et les connaissances (qui, paradoxalement, vous mettent davantage mal à l'aise).

@@confitbienius6903 Savez-vous de quoi vous avez peur exactement ? Qu'est-ce que vous craignez si vous prenez la parole ?

@@jeanmarc-hardy je veux apparaître comme une personne confiante, entre quelques amis j'arrive à parler correctement mais en public je sais à l'avance que je vais me ridiculiser en bégayant.je choisis de garder le silence de peur de me ridiculiser mais je continue d'être davantage mal à l'aise dans mon silence et si je parle et que je bégaie ça me met triste de voir que peux pas être à l'aise là où la plupart de mes amis le sont . Proposez moi quelques habitudes à adopter 🙏

Bravo, on sent que vous vous êtes mis en mouvement... ne vous arrêtez pas... votre changement est en cours. La clarté avec laquelle vous êtes parvenu à définir vos objectifs (les 2 points que vous avez mentionné) est le signal d'une détermination qui va beaucoup vous aider. Être déterminé à changer.

Je😊

Merci pour votre partage, Nicolas. C'est courageux de parvenir à se poser toutes ces questions et à y répondre. Vous n'avez vraiment aucune idée de l'origine de votre timidité ni depuis quand vous vous sentez timide ? Même pas une petite idée ? Quels sont vos premiers souvenirs de sensation de timidité ? Cela peut aider à remettre les choses en perspective.

@@jeanmarc-hardy ma tante me dit que jai toujours etait comme ca. et jai une cousine qui me dit que jetai pas comme ca. ca doit etre depui petit. mais je sais que ca c'est accentuer a l'adolescence vers 12 ans ou 15 ans. car jetai rejeter par les filles mais mes amis eux etait apprecier des filles. des moqueries. je pense que c'est ca, peut etre autre humiliation aussi jai fai pipi au lit jusqua au moins 20 ans. jai etai chez les scout jai fait pipi au lit pendant un camping. et jai demander a ma mere de venir me chercher. jai eu beaucoup dautre situation genante. et on me dit aussi que ma mere me protegeait trop jetai tout le temps avec elle. et dailleur je vit toujours avec ma mere a 31 ans. mais jai quand meme eu une vie a peu pres normal je suis aller en boite etc. mais je me refugiait dans lalcool car ca me debrider completement javais plus de probleme pour parler.

@@nicolaslutchman7266 C'est courageux d'ouvrir les yeux sur tous ces éléments : les moments humiliants, l'origine d'une timidité qui prend racine dès l'enfance, le fait d'être resté jusqu'aujourd'hui dans la proximité de votre mère, la tentation de se débrider avec l'alcool. Prendre conscience de la situation est toujours le premier pas vers un changement. En cela, je vous félicite. Maintenant, la question est : qu'est-ce que je souhaite ? Qu'est-ce que j'ai envie de changer en priorité ? Qu'est-ce qui va me permettre de me sentir mieux ? Avez-vous des éléments de réponse ?

@@jeanmarc-hardy hier jai chuter jai bu un peu acause d'une ex on va dir et la jetait carrement different jai offert un verre a une fille je suis aller lui parler. ce que je veu changer c'est de pouvoir parler au gens facilement genre lancer un sujet de conversation. par example avec la famille de cette ex, ben jai pa pu leur parler. je repondai juste au question de sa mere. et on voit quand je suis pas a laise je met la main sur l'arriere de ma tete. je veu etre a laise avoir une femme et etre un homme devant elle car avec cette timidité je passe pour un gamin. je veu par example pouvoir demander mon chemin dans la rue a n'importe qui. ca me ronge cette timidité. je me rend compte qu'acause d'elle jaurai jamais de relation amoureuse stable. s'il y avai pa facebook je sais pas comment jaurai pu rencontrer une personne. jai eu que 4 personnes dans ma vie on va dir. et ca n'a jamais durer. javais de soucis niveau sex aussi jy arrivai pas. avec la derniere jai reussi, cest deja un pas en avant, Mais voila je veu plus etre libre pour parler, et parler sans avoir le coeur qui bat extremement vite. c'est tres difficile ce que je vit jessaie vraiment jy arrive pas. jai fait une ou deux action genre demander lheur mais c t sur trois jours different et il y a des jour je nai rien fai

@@nicolaslutchman7266 Courage, Nicolas. En tout cas, on peut dire que maintenant vous savez bien ce que vous souhaitez : pouvoir vous exprimer et adopter une posture d'homme, et non pas d'enfant. C'est pourquoi vous pourriez peut-être prendre le temps d'explorer cette question : "Qu'est-ce qu'un adulte ?".

Bonjour et merci pour votre partage. Concernant la gestion émotionnelle, il existe de multiples techniques. Je vous invite notamment à vous intéresser à l'EFT (Emotional Freedom Technique), qui s'est beaucoup développée, ces dernières années. Ou si vous voulez commencer par quelque chose de simple, vous pouvez aussi explorer certaines techniques de respiration, connues pour être stabilisantes. Par exemple la "mise en cohérence cardiaque", dont je vous parle ici : timidite.info/outils/exercice-de-respiration/. Et concernant votre histoire, je vous comprends : on peut, en effet, être très confiant dans l'enfance, puis perdre cette confiance, parfois brutalement. Cela a été mon cas. Je vous en parle ici (en espérant que cela vous inspire à vous poser vos propres questions, car une histoire et une famille n'est pas une autre) : kzbin.info/www/bejne/e17cZ4qFjcl6q9k. Je vous souhaite une belle journée.

Bonjour et merci pour votre partage. Déjà, ce qui est intéressant dans votre auto-analyse, c'est que vous observez le fait que vous êtes timide, muet ou bégayant, non pas dans toutes les situations, mais à certains moments spécifiques. Notamment quand il s'agit de parler en public (une peur extrêmement répandue). Quant à vos hésitations à poster un statut sur Whatsapp, elles révèlent sans doute une grande sensibilité à l'image de soi, au jugement et... peut-être la peur de ne pas être aimé ou validé ? Oui, bien sûr, tous ces aspects se travaillent très efficacement en coaching. Apprendre à oser s'exprimer sans avoir trop peur d'être jugé.

@@jeanmarc-hardy oui j'aimerais subir un coaching mais je suis africain 🇧🇮j'ai pas assez de moyen Je vous serais reconnaissant de me donner des conseils gratuits 🙏 parce que la timidité me fait vivre un enfer quelque fois

@@confitbienius6903 : Si vous me posez des questions en commentaires, je vous répondrai bien volontiers. Peut-être serais-je tenté de vous inviter à être très doux envers vous-même. Quand vous dites "parfois je me dégoûte", d'un certain côté, on peut y voir du positif dans le sens où ce dégoût vous incite à développer une autre version de vous-même ; d'un autre côté, c'est un sentiment assez dur : vous augmenterez vos chances d'évoluer en restant compréhensif et doux envers vous-même... comme si vous encouragiez un enfant... comme si vous vous preniez vous-même dans les bras pour vous dire : "je t'aime, ça va aller, tu vas réussir à changer".

@@jeanmarc-hardy bon ,j'ai un peu exagéré là où j'ai dit que me dégoûte,oft j'aime la personne que je suis de l'intérieur mais ça me rend triste de ne pas pouvoir être moi même quelques fois,de ne pas dire ce que je pense vraiment en présence de certaines personnes. Je sais pas si vous pouvez me donnez des habitudes à adopter en vue d'évoluer

@@confitbienius6903 Oui, je comprends que ces moments vous rendent triste... cette tristesse est nécessaire pour vous signaler que vous avez envie que quelque chose change.

Merci pour votre appréciation. Cela fait toujours tellement plaisir :-)