Super intéressant, mais c'est étonnant et c'est un euphémisme la manière dont il sèche mais totalement sur la problématique de l'argent dans la psychanalyse et comment la gratuité annulerait l'efficacité ; alors que c'est effectivement le nœud du problème la psychanalyse étant réservée exclusivement aux riches ... ce qui la rend injuste dans son essence même ?
@livlu7275 Жыл бұрын
Je suis considéré comme "pauvre" mais je fais une psychanalyse. Le ou la psychanalyste peut adapter le tarif en fonction des revenus de la personne, il n'y a pas de grille tarifaire. L'analyste ET l'analysant doivent pouvoir vivre donc c'est un équilibre à trouver entre les deux personnes. Qui peut même être rediscuté et revu. C'est assez juste je trouve :). Peut-être que la solution ne serait pas la gratuité des séances mais un revenu universel décent qui permettrait à ceux qui le désirent d'entamer une analyse si l'envie se présentait... :)
@KarineHalpern2 жыл бұрын
12:20 creativite
@cypressous-bois2973 жыл бұрын
le plaisir de fumer sans être jugé.
@Ian_Paq Жыл бұрын
Attends ton premier cancer!
@desadeasinope36504 жыл бұрын
Castoriadis a fait une opposition entre le sens kantien et le sens psychanalytique de l’autonomie. Pourtant, au sens kantien, une action libre n’est pas marquée par l’absence de désir, mais par la présence et les caractères d’un désir qui dépendent de son jugement et de sa conviction sur ce que doit être le devoir moral. Elle exprime que la loi à laquelle nous obéissons dans nos actions n’est pas imposée de l’extérieur sans nous mais que le sujet moral se la donne à lui-même Là où Castoriadis supprime le [nomos] (qui signifie « loi » en grec), de sa définition de l’autonomie, « connaître ses désirs et contrôler la mise en acte de ses désirs » ; et transforme la notion en [auto-hímeros] (ce qui signifierai que le désir émane de soi-même et non de l’extérieur). Pourtant, la définition de l’autonomie ou de liberté éthique kantienne rejoint l’idée de contrôle de la mise en acte de ses désirs suivant l’impératif morale. En effet, si mon désir est celui de tuer l’humanité entière (ce qui représente l’idée de connaître ses désirs), le contrôle de la mise en acte d’un tel désir est n’est possible qu’à partir du moment où le sujet moral s’est pas donné l’impératif catégorique selon lequel j’« agis selon la maxime qui peut en même temps s’ériger elle-même en loi universelle. » ou autrement dit, « ne fais pas autres ce que tu ne voudrais pas que l’on te fasse. » Ainsi, la loi éthique est la loi de la liberté. Elle devrait même être au fondement de la politique comme devoir étant en éternel conflit avec l’idée de bonheur. Car le bonheur signifierait, si on en croit les libéraux ou les autres hédonistes, la mise en acte de nos désirs lorsque ceux-ci nous procure un plaisir...
@kuroroagon76772 жыл бұрын
On souffle
@florenceguerfy81842 жыл бұрын
raz le bol de ces discours il n t a plus qu en France et en Argentine que l on croit a cette theorie ridicule
@wouiwouiz132 жыл бұрын
Quelle théorie ?
@mpld80572 жыл бұрын
@@wouiwouiz13 Je crois qu'il fait référence à la psychanalyse, ce que précisément est terminé au sol par Castoriadis par une prise de judo dans les 3 dernières minutes