"De quoi le communisme est-il le nom ?" : Discussion avec Daniela Cobet | UDT RP 2023

[@lauraskip744]

Excellent topo 👌

[@lilith1462]

Merci à Daniela pour cet excellent topo, ça redonne un peu d'élan dans les moments d'inertie.

[@hendazine3147]

Topo ultra intéressant ! Merci

[@ixawan]

Très bon topo bravo !

[@enjolras9914]

Trop bien, merci pour ce topo !

[@dwa7199]

Masterclass de Daniela Coicobet

[@michel31000]

Lourd 🔥

[@magchosw6242]

Dans les années 70 l' autogestion comme l'IP était un espoir pour la. Jeunesse trotskiste lambertiste contre le stalinisme et la bureaucratie le mir au Chili avec les assemblées populaires des paysans sans terre avec les ouvriers du cuivre nous semblaient un modèle 50 ans après ou en somme nous que pèse la confédération paysanne par rapport. Au fnsea de 87 a 2013 conseillère principale ANPE CGT j ai vu le ravagé du management a l américaine en oubliant l humain et ou le chômeur devenait une simple. Marchandise par rapport au capital des petits chefs n plus 1 qui répétaient ce qui avait été fixe par la direction sans possibilité d aucune opposition j ai quitte le PC après 15 ans lors de l abandon de la dictature. Du prolétariat pour le dépassement du capitalisme avec Robert hue.merci pour l espoir. Que donne révolution permanente après toutes. Les trahisons de la gauche Cambadélis qui était le chef de l ajs et de l UNEF trotskiste lambertiste a Nanterre ou j étais en 72 la gauche. Caviar et 'a mondialisation heureuse et l abandon des classes populaires et rùràles et des jeunes racises roussel qui fait le jeu de la macroniie et de lle Pen j en ai marre du lynchage médiatique de la gauche radicale contre mellenchon et les insôumis et même dans la nupes par tondelier Faure Roussel. Et les fossoyeurs du PS Je suis insôumise mais depuis longtemps écolo féministe lesbienne radicale avec Françoise d eubonne je me pose la question de collectifs citoyens de la réappropriation des terres et a ' ANPE en 87 des collectifs de chlomeurs avec les employés qui auraient pu avoir le contrôle de 'eurs droits et gestion au delà des syndicats qui sont souvent même la CGT très conciliante avec la direction depuis 30 ans j ai l impression d un manque de sens de colère mais de lassitude de decouragement ma petite nièce de 25 ans a voté Poutou et macron et le Pen c était la même chose les autres n ont pas vote . L union populaire comme le disait Allende est la seule alternative en reconstruisant une gauçhe ecologiste et sociale et e,mancipatrice❤️🐢🐢🌈

[@Leschenesquonabat]

100 millions de morts..

[@carlosraularguelles1235]

67.000.000 de morts de faim en 2022 dans le monde... Capitaliste! Une France sacrifiée pour le marché, après qu'ils viennent que les aztèques faisaient des sacrifices humains... L'objectif c'est de être comme Haïti, pas de bloquage, l' espérance de vie à Cuba est supérieure à celle des usa... Bloqué! Pas bon! Et des grosses discussions sur le marxisme et la cohabitation avec un système un peu capitaliste artificiel. Si les tortionnaires le bloquent c'est la preuve que c'est l'ennemi. L'état conserve les grands moyens de production. Ils discutent bcp parce que leur éducation permet ça.

[@bouillakavemangedupain7172]

Daniela Quoicoubet giga chad

[@deadmanpalace1529]

merci!

[@stephanereyreau1335]

Salut camarades révolutionnaires ! Le débat idéologique entre révolutionnaires et réformistes a toujours été compliqué. L’objectif final pourtant est le même : la libération des classes opprimées. N’est-il pas temps de tirer quelques leçons des erreurs du passé ? Ne serait-il pas plus positif de remplacer le vieux slogan ensanglanté « dictature du prolétariat » par « libération du prolétariat » ? Dépoussiérons ! Le rapport de force est largement en faveur des capitalistes qui disposent outre des moyens de production, de la puissance répressive de l’Etat bourgeois. Si le « réformisme » consiste à négocier avec les capitalistes, le résultat est connu d’avance… De même que le Grand Soir, même s’il était possible, conduirait à un régime totalitaire à très courte échéance. Analyser ses forces et celles de l’adversaire me semble indispensable pour élaborer une stratégie. Faire l’impasse sur ce point ne peut conduire qu’à des contestations sans lendemain et une perte d’espérance pour la classe opprimée. Souvenons nous, après les grandes grèves minières en Angleterre brisées par Thatcher, comment la combativité impressionnante de la classe ouvrière a été laminée et finalement écrasée. Plus récemment, le combat des Gilets Jaunes, faute de projet et par la confusion des luttes s’est traduit par un échec, du découragement et de l’épuisement. La classe possédante bien que secouée quelques semaines a gagné la bataille et a renforcé le camp réactionnaire. Doit-on affronter le capitalisme de front ? (Comme les mineurs britanniques). Affronter les forces de répressions qui ne cesseront d’augmenter le curseur de la violence d’Etat ? L’échec est pratiquement assuré. Alors que faire ? Si on ne peut affronter de front un adversaire trop puissant. Nous pouvons organiser la libération par l’évitement. C’est la stratégie « Capoeira », cette danse ou art martial qui consistait à éviter les coups du maître esclavagiste. Une autre image du propos consiste à assécher le fleuve capitaliste par le détournement des ruisseaux qui l’approvisionne. Plusieurs avantages à cette stratégie : Proposer la construction d’une société libérée de la domination capitaliste. L’effort principal, toute l’énergie disponible serait consacrée à la construction du projet d’émancipation et ne perdrait pas du temps dans une lutte sans fin et épuisante contre un ennemi trop puissant. Pourquoi consacrer sa vie à confectionner des pancartes, taper sur des casseroles, à défiler… (pour le résultat que nous connaissons) alors que nous pouvons nous organiser et consacrer nos efforts à notre libération immédiate ? POUR une nouvelle société plutôt que CONTRE la société. Labourer, produire, étudier, soigner, organiser plutôt que respirer du lacrymo, se faire tabasser ou se faire éborgner par un LBD… Construire nos moyens de productions autonomes (ESS, associations, scop, coopératives, mutuelles,…) toutes les formes de production capable d’échapper à l’emprise capitaliste. Cela passe par arracher de l’Etat bourgeois et c’est un combat qui est jouable, les lois qui permettent cette émancipation. Nos « ruisseaux » deviennent ainsi des « rivières » et nous renforçons nos positions. Il s’agit de construire une organisation qui passe d’une posture trop souvent défensive, académique ou réactif à un mouvement révolutionnaire qui agit sur la réalité des prolétaires. Construire un projet associatif, une coopérative agricole ou une scop industrielle où collaborent des prolétaires est bien l’émancipation, la libération de l’emprise capitaliste attendue. D’expériences locales, de places fortes, la révolution se diffuse sur les territoires et vît avec les territoires comme un poisson dans l’eau pour reprendre l’expression du Président Mao. Ainsi la révolution n’est pas un corps étranger que l’on tente de greffer mais elle émane du peuple. Il ne s’agit pas d’une utopie mais d’une réalité déjà en mouvement. A l’origine, par exemple, la cryptomonnaie n’a pas été conçue pour favoriser le trafic des mafias, ni la spéculation. Il s’agit d’un outil d’émancipation à grande échelle. Elle permet à des centaines de millions de prolétaires sans état civil, sans compte en banque, en Chine, en Inde, en Indonésie, en Afrique… de vendre ou d’échanger sa production agricole, artisanale ou autres sans dépendre grâce à son système de gestion décentralisée, des banques capitalistes et sans risquer d’être pillé par un état répressif. Il s’agit bien d’un détournement de « ruisseaux » visant à assécher le capitalisme mondial. De même, actuellement, une expérience concernant le droit à la sécurité alimentaire est menée en Gironde et en Seine Saint Denis. Elle n’est qu’une marche vers l’objectif final mais l’expérience s’inscrit dans le mouvement révolutionnaire d’émancipation du prolétariat. De même, le droit au travail opposable est un combat essentiel à mener comme le droit au logement. Bien entendu, cela coule de sources, les actions coups de poing, les techniques de « guérillas », de guerres asymétriques, d’épuisement de l’adversaire… restent des outils utiles mais ne doivent pas constituer l’essentiel du mouvement, du projet révolutionnaire. Toutes les expériences du XXe siècle n’ont pas été des échecs : L’éducation populaire, le communisme municipal, la sécurité sociale, la formation politique des militants ont eu des résultats globalement positifs. Il semble intéressant de s’appuyer sur ces fondations. Nombreux sont ceux qui se sont déjà émancipés plus ou moins de l’emprise capitaliste. Mais reconnaissons qu’il est plus facile pour une jeune ingénieure agronome de construire un projet de coopérative qu’à une femme de ménage de la banlieue nord qui se lève à quatre du matin et rentre chez elle à 22 heures… Les projets individuels ou de petits groupes même s’ils sont pertinents ne remplacent pas une organisation politique structurée agissante. Il ne s’agit pas seulement de prendre le contrôle des moyens de production encore faut-il les pérenniser. Quand les chaînes de valeur sont éclatées mondialement, il est illusoire de croire que l’on peut éviter l’affrontement avec les capitalistes. Le capitalisme mondial bloquera immédiatement l’acheminement des fournitures et rien ne sortira des usines. Quelles seront les conséquences immédiates ? Pénuries, pauvreté, ressentiment et très vite une contre-révolution qui sera encore plus oppressive. Nous avons déjà connu cela, le Chili d’Allende par exemple. Evitons de refaire les mêmes erreurs… Ce qui implique de créer progressivement ces chaînes de valeur par la coopération avec nos camarades dans le monde qui mèneront eux aussi la même stratégie révolutionnaire… Cette stratégie de la capoeira implique de réorganiser les structures militantes en ce sens. Au niveau local, régional, national et international. Mille questions sont à débattre, comme la formation du prix d’une marchandise, d’un service hors des lois du marché, la création monétaire, la gouvernance des unités de production, le fonctionnement démocratique de la société nouvelle et bien entendu notre rapport à l’environnement, à la biodiversité … Faire l’impasse sur ces questions a mené très vite aux expériences totalitaires du XXe siècle et il ne s’agit pas de remplacer un totalitarisme par une autre forme de totalitarisme. Depuis plus d’un siècle, rien qu’en France, les militants ont consacré des millions d’heures de lutte, de grèves, d’opposition. Que d’énergie et de temps qui aurait pu être utilisé à bâtir une société émancipée sans attendre l’autorisation des capitalistes et de l’Etat bourgeois ! L’adversaire est aussi à l’intérieur de nos rangs (les rangs de la gauche qui doit débattre mais ne pas se combattre). Quand les partis politiques ne sont que des fonds de commerce clientéliste, des emplois bien rémunérés à vie pour des politiciens professionnels, on peut douter de la sincérité de ces « dirigeants » à vouloir changer la société. Celle-ci leur convient très bien. Et ils sont peut-être les pires de nos adversaires… L’élection démocratique des représentants du mouvement par la base est essentielle mais le contrôle de sa gouvernance également.(de l’ensemble des partis de gauche). Faute de quoi le prolétariat sera encore longtemps trahi et divisé..

[@yannickbossard6902]

L'introduction au débat est très bien faite. J'apprécie les échanges y compris dans le cadre du topo. 1. L'introduction pouvait être plus courte et le débat plus long. 2. Le débat se fait-il sur la base d'un échange d'expériences et non pas seulement sur des points théoriques et pas du tout sur des points polémiques ?

[@user-bn1fe5su5z]

Partagé

[@dessartguillaume4810]

Pas mal

[@erikgollot6331]

Le communisme peut il exister dès lors qu'il a de l'argent ?

[@edcash6357]

[@africacentral274]

8:12 propriété privé des moyens de production

[@valeriemelody7512]

Le communisme oui ! Roussel non !!!

[@Zeteqm]

Staline oui?

[@Mindar-uk9jq]

Ce débat sur le communisme ne doit il pas intégrer le concept fondamentale ,le temps. Ne doit il pas aussi integrer les constantes que nous a légué la Revolution néolithique à savoir la proprieté privé la famille et la politique comme etant la base de toute exploitation

[@mariolozachary1200]

L'humain n'a pas attendu la " révolution" néolithique pour exploiter, ou même avoir le concept de propriété privée. C'est un peu chercher l'origine du problème à la Rousseau ça. On s'en fout de l'origine, y'en a pas et elle est impossible à déterminer, par contre, jusqu'à y'a quelques siècles, et avant la domination occidentale sur le monde, les humains variaient régulièrement dans leur organisation sociale, donc pourquoi on reste bloqué maintenant ?

[@tempetechat2034]

et la transition ne peu pas ce fair sans "dictactur du proleteria " ?

[@ramos99418]

Pourquoi tu perds ton temps avec une idéologie de looser qui n'aura jamais le pouvoir ?

[@tempetechat2034]

pourquoi tu perds ton temp toi ? la "loose" n'a rien a voir avec un monde possiblement plus juste ... @@ramos99418

[@charlesgrave5427]

😂😂😂😂😂

[@mariolozachary1200]

Très intéressant, c'est ça qu'on devrait apprendre à l'école au lieu de faire chier les gosses avec des conneries 😁. Qu'on soit d'accord ou pas, c'est très intéressant. Et cette définition du communisme, on peut la trouver condensé, voir expliqué où, dans le Manifeste ? Où y'a des auteur.trice plus contemporain qui condense ?

[@pw6002]

C'est quoi les "conneries" auxquelles vous faîtes référence ?

[@sergeato2304]

BAKOUNINE déclara 40 ans avant la révoluyion russe:" un pays qui réalisera une révolution en appliquant les préceptes autoritaires de karl marx finira en dictature"

[@alexa5763]

Alors que Marx était contre l’état l’argent le salariat la religion la soumission l’aliénation la servitude !

[@zebulonreynaud919]

@@alexa5763 la dictature du prolétariat ?

[@alexa5763]

@@zebulonreynaud919eh bah quoi ?

[@ClaudeRoques]

De quoi est il le nom??? Ben du plus grand massacre que l humanité est connu ...j ai bon???😂😂😂

[@sambruslih6976]

Le communisme est un concept et un concept ça n'a pas d'épaules, apprends à parler et reviens après. Non, je déconne, je suis jaloux, t'es belle, t'es intelligente, t'as des couilles,t'es brésilienne ?