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Ce chant d'amour et de languissement de l'être aimé, comme une métaphore du manque pour le paysage duquel on a été arraché.
Que je meure au vent des cimes des montagnes,
Que je meure au vent, que je meure au vent,
Que je meure à la taille de mon bien-aimé,
A la taille de mon bien-aimé, à la taille de mon bien-aimé
Je reste debout, je ne peux pas venir,
je ne peux pas venir, je ne peux pas venir
Je suis si émue, je ne peux pas pleurer
Je ne peux pas pleurer, je ne peux pas pleurer.
Cela fait un an que je ne t’ai pas vu,
Que je meure, mon amour, aux yeux de ceux qui t’ont vu.
Les fleuves n’apportent pas d’eau,
Ils ne m’apportent pas de tes nouvelles.
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