FrenchFunk The song's about unemployment JunkJob's ect whith a good dose of derision (polical humor) Great song Great Band !!!!!!!
@amenostalgique11 жыл бұрын
Good shit
@joelmathew45973 жыл бұрын
Spotify link?
@SuperBriceNice4 жыл бұрын
Who’s here from Emily in Paris? :)
@tenebresskl76149 жыл бұрын
je kife
@bouffelacassette8 жыл бұрын
De ouf!!!!!!!
@imreiariel796111 жыл бұрын
133 views? ohhh come on!!!
@amadeus20510 жыл бұрын
Please tell me where can I find the lyrics of this song
@tatayanka4210 жыл бұрын
I've spend an hour on this, i don't even know why... Anyway, here's for you: Au boulot ! MC agrégé de flow, diplômé de style ! Sortir la tête de l’eau quand la rime est au culot, le flow se boit au goulot, au goulot, au goulot… Qu’ce soit au pôle Nord au pôle sud ou au Pôle emploi, T’es au bon endroit, parait qu’le boulanger Paul emploi, Donc, vas gagner ton pain, ton RSA les miettes font la baguette, Pas sûr que quand tu seras pépé pépère, tu kifferas ta retraite. Le travail c’est la santé ou bien Fleury Merogis. Pour tous les banquiers qui s’prennent pour des numéros 10. Puis ça licencie à tour de bras, dans les entreprises, Et la France d’en bas se retrouve les deux doigts dans la crise ! Refrain : Sortir la tête de l’eau, quand la rime est au kilo, le flow se boit au goulot. J’vais pas vous faire un tableau, c’est la crise de bas en haut, la société est en sanglots. Faut y aller au culot, on passe du rire au trémolo donc sortons vite de nos enclos. Y a de l’espoir dans mon stylo, il faisait noir dans nos silos aujourd’hui le printemps éclos. Ce monde est bancal, une minorité domine tous les autres. On trouve ça normal, que le gramme l’emporte sur le kilo. Quand ça spécule à Londres, on licencie à Pontault-Combault. De l’effet papillon, on passe à l’effet domino. Toi, société mon train-wagon, j’étais ton cheminot, Tu m’as pris pour un con, m’a plumé comme à Bobino. Dix ans de loyaux de bon boulot, derrière un bureau. Moi le bon blaireau qu’on envoi valser comme un Boléro. T’as voulu que j’me barre, baisse le volume, que je te parle. On évolue, puis l’on s’égare, sous des volutes de cigares. Café moulu, que je prépare, du lait du sucre, comme un nectar. Il a fallu, qu’on se sépare, sous l’clair de lune d’un quai de gare, Pour que j’allume enfin mes phares, que j’te salut et que j’reparte, Loin des talus, qui font remparts, qui gênent la vue et le regard. Toi que j’ai lu, papier-buvard, toi mon élu, mon étendard, tu m’as exclu tel un clochard le rap m’a… ( ?) Refrain Il n’y a pas de barbares, le flow de bâbord à tribord, Le papier est barbaque, le BIC est carnivore. J’ai, le vacarme, de la musique pour me reposer. On m’avait dit : faut prendre des risques. Je n’ai jamais osé. Je n’ai, pas pu avancer parce que j’avais les jambes arquées. J’étais coincé comme monnaie dans les rainures de mon parquet. Je ne, regarde pas les journaux, je ne, lis pas la télé. Je vis loin du troupeau à qui l’on apprend à bêler. Le soleil se lève et je ferme les volets, Et j’écris, j’écris, ma descente vers les sommets. Toute la journée je suis coincé, entre une chaise et un bureau. Le stylo BIC est une épée, que je sors de son fourreau. Que vais-je bien pouvoir dire, à cette feuille blanche qui veut que la souille ? Que je suis flic, qu’elle est suspecte, qu’il faut que je fouille. Les mains sur le capot, ça va tourner à la bavure, Il n’est question que de violence quand on en vient à l’écriture. J’repars au boulot, au casse-pipe, au charbon, Pour cracher ma silicose dans mon cornet à piston. J’voulais mourir jeune au fond, pour pas finir vieux et con. Mais le comble, je m’en rends compte, c’est que j’vais mourir jeune et con. J’ai déserté les perspectives, d’un monde balisé, Pour devenir le cliché du rappeur emmerdant l’Elysée. Le cliché de ce poète chantant les printemps éternels, Les utopies, les paradis, les mondes fraternels. Engoncé dans un costume. Je suis un être post-moderne aux allures posthumes. Je me réveil par coutume. Endosse les habits ternes de mes habitudes. Je suis l’esclave de ce monde que je n’ai pas choisis. L’économie une religion, ma poésie une hérésie. Désenchantement, de ma génération fichée À la banque de ses rêves, à découvert d’illusions. Lundi matin, j’ai tout stoppé, j’ai raccroché les gants. A mi-chemin de mon trajet je me suis assis sur un banc. Je me suis mis à gratter ces rimes surannées, Pour vous parler à bout portant, de ma langue surarmée. J’ai mal à mon époque, le capital marque de son sceaux. Sous le règne du ciseau, je veux recoller les morceaux. Quand mon âme est asthmatique, ma musique est ventoline. Les Cartésiens sont des grains de folie, préservez moi de l’embolie. Moi j’ai le cœur qui palpite entre mes basses qui me précipitent A sortir vite de l’impasse et quand les poumons en retraits, Mettre un terme à ces terres-mère, s’arrêter pour voir naître : Les printemps éternels.